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Look 795 Blade RS


Jean-Franois

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il y a 27 minutes, Sylvain KARLE a dit :

L'industrie du vélo a alourdi les vélos pour les raison que tu cite mais beaucoup n'ont pas les watts pour exploiter ces vélos exigeants et maintenant au revient au light c'est vraiment le marketing a fond et vider les poches de cyclistes car tous n'ont pas les moyens  .....

 

Le marketing n'est pas seul en cause. Les nouvelles contraintes liées au freinage ont obligé les constructeurs à renforcer le cadre et la fourche en certains endroits et à modifier le rayonnage des roues. Ces changements n'étaient pas vraiment maîtrisés au début et les vélos sont devenus plus lourds et plus raides. Les progrès sont en cours et on peut s'attendre à de petits allègements. Mais les freins à disques resteront quand même toujours plus lourds que ceux à patins.

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il y a 16 minutes, Olivier MILLIÈS-LACROIX a dit :

Si j’ai acheté le Bianchi c’est parce que c’est peut être mon dernier vélo et que j’ai toujours voulu avoir un Bianchi, une marque qui a une place à part dans l’histoire du cyclisme.

Ta déception est probablement à la hauteur de ton attente. Laisse-toi le temps de digérer la différence entre ton rêve et la réalité et apprends à profiter des qualités de ton nouveau bijou... et à ne pas lui demander ce qu'il est incapable de t'offrir.

 

 

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 je suis tatalement en accord avec cette article     https://fr.top-fire.com/blog/will-a-lighter-bike-make-me-go-faster_b16

 

 

 

Un vélo plus léger me fera-t-il aller plus vite ?

  • 2021-10-15 15:11:19

Pas autant que vous le pensez.

 

Lorsque vous roulez pendant des heures et que vous montez des collines escarpées, vous pouvez avoir l'impression que le poids du vélo sous vous vous ralentit sérieusement. Cependant, réduire de quelques onces (ce qui implique généralement l'achat de pièces plus chères) ne vous fera gagner que quelques secondes. Ce n'est certainement pas le moyen le plus efficace ou le plus rentable de rechercher la vitesse.

 

Jim Gourley, un triathlète diplômé en ingénierie aérospatiale de l'U.S. Air Force Academy, discute ce sujet dans son livre « Faster : Demystifying the Science of Triathlon Speed ». En fait, il a fait des calculs mathématiques pour voir combien de vitesse un cycliste pouvait économiser avec un vélo plus léger.

 

Premièrement, il estime que passer d'un vélo de route ou d'un vélo hybride d'entrée de gamme avec un cadre en aluminium à une voiture de course en fibre de carbone équipée des pièces les plus légères du marché peut vous faire économiser environ 3 livres. Ensuite, il a calculé combien de temps il faudrait à un cycliste pour rouler sur quatre vélos différents - 15 livres, 16 livres, 17 livres et 18 livres - pour gravir une montagne d'un kilomètre de long.

 

Même sur la pente la plus raide qu'il a testée (7 %), une différence d'une livre entre les vélos ne pouvait gagner qu'environ 2,5 secondes, et le vélo le plus léger n'était que 7,5 secondes plus rapide que le vélo le plus lourd. "Pendant une course qui dure des heures, quelques secondes par montée ne sont pas un avantage significatif", a-t-il écrit, du moins pas pour les cyclistes amateurs ou les triathlètes de groupe d'âge. (Si vous participez au Tour de France et suivez le rythme de vos concurrents, c'est une autre affaire.) Et, il convient de noter que même ces petits avantages disparaîtront à mesure que la piste deviendra plate.

 

"De nombreux fabricants d'équipements vous diront que leurs guidons sont 20 grammes plus légers que les poignées des concurrents", a déclaré Gourley. "Mais vous devez mesurer la différence de poids pour apporter des changements notables. La différence de 20 grammes est importante pour l'alunissage de la NASA, mais ce n'est pas différent de vous qui essayez de partir."

 

Le Dr Jim Martin, professeur agrégé de sciences du sport et de l'exercice à l'Université de l'Utah, a déclaré que l'une des raisons pour lesquelles le poids du vélo n'est pas important est qu'il ne représente qu'une partie du poids total que vous portez. "En regardant un vélo de 20 livres et un vélo de 15 livres, il est facile de dire:" Wow, j'ai économisé 25 %! "", a-t-il déclaré. "Mais en fait, le poids de votre vélo plus votre propre poids plus vos vêtements, votre bouteille d'eau et votre gu, vous ne perdez que 5 livres sur tout sur le vélo. Donc ça finit mieux qu'il n'y paraît. Beaucoup plus petit."

 

Bien que les vélos plus légers aient un léger avantage sur les vélos plus lourds, toute avance qu'ils prendront sur les pentes sera partiellement compensée en descente. (Un vélo plus lourd ne compense pas toutes les différences, surtout lorsque vous devez freiner en descente, mais il accélérera légèrement plus vite qu'un vélo plus léger.)

 

Gourley a déclaré qu'un moyen plus efficace et plus économique de réduire le poids est de perdre du poids, pas de réduire le poids du vélo. (En supposant que vous deviez perdre au moins quelques kilos en trop, honnêtement, la plupart d'entre nous le font.) Non seulement cela peut réduire votre poids global d'un pourcentage plus important, mais cela augmentera également votre consommation maximale d'oxygène. Cela peut automatiquement vous donner plus de puissance. Le renforcement des jambes est également très important.

 

"Tout le monde veut un vélo sexy et ultra-léger, mais de bonnes jambes sont aussi sexy", a-t-il déclaré. "Je vois beaucoup de gens faire du vélo cher, mais leurs jambes sont bon marché. C'est comme conduire une Corvette avec un moteur à deux cylindres."

 

Si vous voulez vraiment améliorer votre conduite actuelle sans dépenser beaucoup d'argent, vous devez vous concentrer sur une chose : l'aérodynamisme. "Il y a un dicton dans l'industrie du vélo selon lequel l'aérodynamisme est meilleur que le poids, et je suis tout à fait d'accord", a déclaré Martin. Bien que vous raser les jambes ou acheter un cadre, un casque ou des roues aérodynamiques puisse vous rendre un peu plus rapide, si vous courez sur une piste où ils sont autorisés, vous en tirerez le meilleur parti en ajoutant des barres d'air et en ajustant vos performances. La position sur le vélo.

 

« Si vous pouvez réduire la zone avant de 10 %, vous réduisez également autant de résistance », a-t-il déclaré. "La position des coudières, la position où vous placez vos bras sur la barre, la façon dont vous tenez votre tête - ce sont les choses les plus importantes, et elles sont généralement faciles à réparer."

 

Il a ajouté que quelle que soit la vitesse à laquelle vous roulez, c'est correct. "Il existe une croyance générale selon laquelle si vous roulez à une vitesse inférieure à une certaine vitesse (par exemple, 18 ou 20 miles par heure), l'aérodynamisme n'a pas d'importance. Ironiquement, pour les cyclistes plus lents, cela peut être plus important car ils passent beaucoup plus de temps sur la piste." Il a expliqué qu'une réduction de la traînée de 10 % sur un trajet de 90 minutes à 40 km peut économiser 9 minutes ; pour ceux qui terminent en 50 minutes, disons, cela ne fait gagner que 5 minutes.

 

Conclusion : un vélo plus léger peut vous faire gagner quelques secondes à chaque fois que vous montez une colline. Cependant, si vous voulez vraiment être plus rapide, il existe de meilleures façons de consommer votre énergie et votre argent, comme réduire le poids, améliorer les roues et rendre votre vélo plus aérodynamique.

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il y a 1 minute, Didier SALEMBIER a dit :

Avec les disques et le DI2,le marketing est le grand gagnant.Pas nos finances !

Perso toujours en mécanique et patins,WHAT ELSE ?

Didier que chacun ce fasse plaisir , les disques sous la flotte c'est bien quand meme , le Di2 je ne connais pas mais les retours que j'ai c'est que ça marche super bien ....

Après un bon Ultegra mécanique ou Campa Centaur ça marche super pour un prix correct  , avec des patins on arrive aussi a freiner sous la pluie il faut juste anticiper un peu + qu'avec les disques , le problème c'est les prix qui explosent et qu'on nous oblige de + en + a passer  a ces systèmes . 

Quand au poids des vélos franchement +/- 1kl c'est pinuts pour une majorité des pratiquants .....

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autres extraits trés convaincant je trouve ; https://www.velochannel.com/le-gain-de-poids-sur-un-velo-route-32411

 

 

 

Inutile de préciser que ces valeurs sont encore plus ridicules si on se balade en permanence avec deux grands bidons pleins (+/- 900 g pour chacun), un multi-outil, une pompe et deux chambres à air, un téléphone et de quoi se ravitailler pendant 250 km.

En termes de production d’énergie, un gain de 1 kg sur le matériel pour le cycliste de 70 kg dans une pente de 8 % à 15 km/h lui permet d’économiser approximativement 4,5 watts. Et lorsqu’on s’intéresse au temps gagné, on arrive à un gain de 20 secondes pour 30 minutes de montée. C’est à la fois peu pour de l’entrainement ou de la randonnée, ou si l’on considère que ce même kilo peut avant tout être gagné sur le cycliste (avec en plus une amélioration de la condition physique), et beaucoup en compétition quand on sait que ces 20 secondes peuvent manquer en haut d’un col pour accrocher un bon groupe.

 

Si la pente diminue, le gain de temps s’estompe car plus la vitesse augmente, plus la résistance de l’air devient prépondérante. Et il y a beaucoup plus à gagner avec un vélo aérodynamique qu’avec un vélo léger aux vitesses auxquelles nous roulons habituellement. Un cadre de route aérodynamique permet d’économiser approximativement 25 watts à 45 km/h par rapport à un cadre avec des tubes ronds. Avec des roues aérodynamiques, on est autour de 10 watts, ce qui est au final bien plus intéressant que les 4 ou 5 watts gagnés avec un vélo d’un kilo de moins dans une pente à une vitesse de 15 km/h. Si 45 km/h semble une vitesse très élevée (c’est la norme de référence pour les tests aérodynamiques dans l’industrie du vélo), nous passons généralement beaucoup de temps sur un vélo autour de 30 km/h, avec un gain en puissance moins important mais sur une plus longue durée. Bref, dans l’absolu et à la condition qu’on roule au train, mieux vaut toujours un vélo aéro qu’un vélo léger.

 

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si il a bien une raison d'alléger un vélo c'est sur les roues ;

 

 

Influence sur les sensations

Sur la route, la vitesse est rarement linéaire. Il faut souvent freiner, relancer, adapter son allure et dans ce cas lutter contre l’inertie du vélo. Un vélo plus léger se montre plus nerveux, plus vif, et permet d’accélérer ou de revenir à la vitesse initiale plus rapidement ou avec moins de fatigue. Les masses en rotation – surtout les roues – sont dans ces conditions prépondérantes pour la rapidité de mise en action, et même lorsque la route s’élève. Si les moyeux, cassette et rayons ont peu d’influence, il n’en est pas de même pour les jantes, pneus et chambres à air, dont le poids total joue sur l’inertie du vélo. Pour prendre un exemple typique, entre un montage avec des jantes d’entrée de gamme de 550 g, des chambres à air de 110 g et des pneus de 300 g (soit un total de 1920 g pour les deux roues) et un montage avec des jantes de 400 g, des chambres à air de 70 g et des pneus de 200 g (soit un total de 1340 g pour les deux roues), le gain s’élève à 580 g en statique. Mais en réalité, le gain sur l’inertie totale du vélo est équivalent à deux fois le même poids gagné sur le cadre ou les accessoires. Soit l’équivalent de 1160 g s’il avait fallu changer des pièces comme le cintre, la potence, la selle, le pédalier, etc. Alléger les roues change donc radicalement la perception que l’on a du même vélo.

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@Olivier MILLIÈS-LACROIX: A propos du specialissima, peux-tu m'en dire un peut plus ? il faisait parti des vélos qui m'intéresse. Quels changements (toujours en terme de sensation) as tu noté en changeant les roues ?

 

@David Courtois

avant internet, je n'avais pas que mon vélo décathlon, acheté à décathlon parce qu'à 15ans, je n'avais pas les moyens d'autres choses. Finalement, c'était plus simple.

 

Perdre ou gagner 1 à 2 minutes en haut d'un col n'a pas d'importance pour mon niveau.

La question du poids du vélo est vraiment "mentale". Avec un vélo plus lourd et plus cher, j'aurais la sensation de m'être fait entuber par les constructeurs. Il y a déjà les prix pour ça.

 

Au passage, sur les 5 dernières années, j'ai perdu 5kg de poids de corps (changement d'alimentation + et augmentation de kilomètres parcourus). Là, j'ai senti (et observé) que je grimpais mieux.

 

Pour le côté euphorisant du nouveau matos, j'ai essayé des bora 35 sur mon synapse à la place des r0.

J'ai effectivement roulé plus vite: pendant la sortie, le carbone faisait un petit sifflement lors des relances, alors je relançais plus fort. Je suis conscient que c'était bien la nouveauté qui m'a fait roulé plus vite. Je n'aurais pas réitéré cette "performance" à chaque sortie.

 

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Le 27/09/2024 à 22:00, Jean-Franois a dit :

Aucune idée de ma puissance, je  roule sans capteur.

Je sais que je ne suis pas un pro... mais quand je vois tous les ceux qui roulotent sur leurs énormes treks , spé ou colnago, je me dis que je peux emmener plus que mon synapse!

 

Quand tu n'arrives plus à exploiter le vélo, que se passe-t'il concrètement ?  tu subis le vélo au point qu'il est pénible de rentrer, ou simplement, tu roules comme sans utiliser les capacités du vélo ?

 

Et avec tous les vélos que tu as eus et essayés , pourquoi n'as tu pas roulé le look ?

Je suis petit coursier acces ,l'assaisonnement dernière me suis offert le velo de mes reves ,un trek madonne .qui c est relevé un cauchemar.trop rigide latéralement couplé avec ultimate impossible à envoyé  .pour roulotter ça va mais quand faut envoyer ,relancer sprinter impossible à faire vivre je buttait incroyablement sur la rigidité du cadre .et en bosse pareil fallait mettre petit et mouline. Et le blade est réputé encore plus rigide !!! J ai vite revendu le madonne et retrouvé le plaisir sur un willier 0SL 

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Il y a 2 heures, Jean-Franois a dit :

avant internet, je n'avais pas que mon vélo décathlon, acheté à décathlon parce qu'à 15ans, je n'avais pas les moyens d'autres choses. Finalement, c'était plus simple.

pareil, un cobra 540, en shimano RX100 😄 souvenirs souvenirs...

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Il y a 2 heures, Jean-Franois a dit :

@Olivier MILLIÈS-LACROIX: A propos du specialissima, peux-tu m'en dire un peut plus ? il faisait parti des vélos qui m'intéresse. Quels changements (toujours en terme de sensation) as tu noté en changeant les roues ?

 

@David Courtois

avant internet, je n'avais pas que mon vélo décathlon, acheté à décathlon parce qu'à 15ans, je n'avais pas les moyens d'autres choses. Finalement, c'était plus simple.

 

Perdre ou gagner 1 à 2 minutes en haut d'un col n'a pas d'importance pour mon niveau.

La question du poids du vélo est vraiment "mentale". Avec un vélo plus lourd et plus cher, j'aurais la sensation de m'être fait entuber par les constructeurs. Il y a déjà les prix pour ça.

 

Au passage, sur les 5 dernières années, j'ai perdu 5kg de poids de corps (changement d'alimentation + et augmentation de kilomètres parcourus). Là, j'ai senti (et observé) que je grimpais mieux.

 

Pour le côté euphorisant du nouveau matos, j'ai essayé des bora 35 sur mon synapse à la place des r0.

J'ai effectivement roulé plus vite: pendant la sortie, le carbone faisait un petit sifflement lors des relances, alors je relançais plus fort. Je suis conscient que c'était bien la nouveauté qui m'a fait roulé plus vite. Je n'aurais pas réitéré cette "performance" à chaque sortie.

 

En fait j’ai changé 2 fois les roues. Une première fois pour troquer les velomann palladium d’origine (pneus Pirelli P0 race 26 mm à chambre) par des Zipp 303 firecrest (pneus tubeless Pirelli 30mm, plus petit que 30 chez Pirelli ce n’est pas compatible avec la jante qui est sans crochets, “hookless”). J’avais récupéré ces roues du vélo de ma femme, ou je les avais remplacées par des Shimano Dura Ace C36. Avec les Zipp  je pensais alléger le vélo, en réalité je l’ai alourdi ! (Pas dû aux jantes mais au Tubeless, les jantes exigent des pneus TLR de 30 minimum, avec le préventif, et plus le pneu est large plus il en faut, le résultat est lourd). Mais malgré le surpoids le comportement du vélo s’est amélioré et je butais moins dessus qu’au début. Est-ce du au changement de roues, à l’amélioration de ma forme ou à ma familiarisation avec le vélo ? Je pense les 3. 

Le 2ème changement c’est le remplacement des Zipp par également des Shimano DA C36 (avec les Pirelli 26 à chambre cela allège le vélo de 300g !), je les ai montées la semaine dernière, je ferai un retour d’ici 15 jours quand j’aurai un peu roulé avec.

Globalement, sur les quelques centaines de km que je l’ai roulé mes sensations sur le Specialissima, sur lequel j’étais complètement planté au début, n’ont cessé de s’améliorer, et s’il est plus exigeant que mes Trek (un Émonda SLR et un Domane SLR gen 2 réglé mou, car l’amortissement du cadre est réglable), il va plus vite sur le plat, je me retrouve sur certaines portions à 40 km/h là ou c’est plutôt 38 avec les autres. J’espère qu’avec les Shimano C36 je pourrai le prendre pour les parcours et cyclos de montagne pour lesquels cet été je suis resté sur l’Emonda.

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Bon, toutes ces histoires de poids et de roues, et de poids de roues, m'ont donné envie de pousser un peu sur la fin de ma sortie post-boulot pour voir, d'autant que j'étais en configuration gravel (donc les roues shimano rs171 d'origine à 2kg la paire, et des pneus gravel en 37mm), pesé à un peu plus de 9.6kg "presque prêt à rouler" (avec supports de bidons, compteur, lampe, mais sans les bidon/compteur/lampe/pompe/sacoche d'outils). Et j'ai fait tomber mon record perso dans une petite bosse proche de chez moi, que j'emprunte régulièrement, et passée pas mal de fois avec mon BMC d'au moins 2.2kg plus léger 😁. Bon d'accord on est plus sur un effort type puncher que grimpeur, mais quand même, ce vélo n'a pas fini de me surprendre... Et dire qu'il y a 2 ans j'ai dépensé plusieurs centaines d'euros pour grappiller quelques centaines de grammes sur le BMC (potence superleggero, cintre carbone, selle à rail titane, chambres tubolito...), tout ça pour se faire poutrer par un gravel de 9.6kg à 1500 balles 😬

 

chevre.png

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Il y a 18 heures, Sylvain KARLE a dit :

Didier que chacun ce fasse plaisir , les disques sous la flotte c'est bien quand meme , le Di2 je ne connais pas mais les retours que j'ai c'est que ça marche super bien ....

Après un bon Ultegra mécanique ou Campa Centaur ça marche super pour un prix correct  , avec des patins on arrive aussi a freiner sous la pluie il faut juste anticiper un peu + qu'avec les disques , le problème c'est les prix qui explosent et qu'on nous oblige de + en + a passer  a ces systèmes . 

Quand au poids des vélos franchement +/- 1kl c'est pinuts pour une majorité des pratiquants .....

Le diktat des fabricants est insupportable. Je serai le dernier gaulois !

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Il y a 11 heures, Didier SALEMBIER a dit :

Le diktat des fabricants est insupportable. Je serai le dernier gaulois !

J'avoue que passer sur de l'ultegra di2 me plait bien.

 

Par contre, les disques et le tubeless, j'aurai préféré m'en passer.

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Le 01/10/2024 à 18:00, Bernard JOSI a dit :

Je suis petit coursier acces ,l'assaisonnement dernière me suis offert le velo de mes reves ,un trek madonne .qui c est relevé un cauchemar.trop rigide latéralement couplé avec ultimate impossible à envoyé  .pour roulotter ça va mais quand faut envoyer ,relancer sprinter impossible à faire vivre je buttait incroyablement sur la rigidité du cadre .et en bosse pareil fallait mettre petit et mouline. Et le blade est réputé encore plus rigide !!! J ai vite revendu le madonne et retrouvé le plaisir sur un willier 0SL 

 

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Le 02/10/2024 à 18:41, Jean-Franois a dit :

J'avoue que passer sur de l'ultegra di2 me plait bien.

 

Par contre, les disques et le tubeless, j'aurai préféré m'en passer.

Grand consommateur de vélos et ayant toutes les technologies disponibles, à m’en priver d’une ce serait le Di2.

Le Di2 c’est merveilleux mais ce n’est que du confort d’utilisation. Les FAD c’est le sécurité en toutes conditions climatiques le freinage avec un doigt quelle que soit la puissance et un dosage inégalable.

et le tubeless : confort, adhérence, résistance à la crevaison, plus de crevaison par pincement…

Aujourdhui les réfractaires sont ceux qui n’ont pas essayé. 
quant au poids des vélos, je ne peux pas parler pour ceux qui font 50 kg (quoique…), mais pour qu’un de mon gabarit, y compris en haute montagne c’est beaucoup moins important qu’un bon dosage de rigidité et une géométrie qui favorise les relances. 
mon meilleur vélo de montagne (Time ADH) n’est pas le plus léger des vélos que j’ai eus loin de là… il pèse « très lourd » autour des 7.5 kg mais est équipé de roues très dynamiques (fulcrum speed 25) dispose d’un avant très redressé et à un dosage de rigidité qui me convient certainement parfaitement. En relances ça part comme une balle…

j’ai d’autres vélos qui roulent beaucoup plus vite sur le plat voire sur un parcours vallonné, (plus rigides, avec des roues plus hautes) mais lorsque tu cumules les dénivelés (je suis en Andalousie, on a fait une journée à 3000 et plusieurs journées a plus de 2500m de D+), l’aptitude à relancer n’est pas négligeable.

l’exemple du Tarmac est pour moi parlante : SL7 : vélo très stable, super efficace sur le plat, quelconque en montées et en relance avec mon petit niveau, SL8 : avant redressé, boîte et arrière un peu plus élastique, avant rigidifié : vélo « facile «  en relances.

Quant au « quoique… » que j’ai énoncé un peu plus haut, il vient du fait que autour de moi j’ai des cyclistes de tous niveaux et de tous gabarits ( nous sommes 14 en Andalousie et je suis le plus lourd) la plupart ont des vélos « modernes », avec du Di2, des disques du tubeless, ceux qui ont gardé leurs vélos « d’avant » sont unanimes : leurs vélos de maintenant sont plus performants. Mais parfois il suffit de pas grand chose… mon Time ADH se marie moins bien avec les hypéron qu’avec les speed 25, avec un poids très proche, j’ai un copain qui vient d’acheter un tarmac SL6 d’occasion : il était monté avec des schwalbe One à chambres quand il l’a acheté et il se trouvait « collé », il est passé sur des black bird tubeless : la nuit et le jour !!!

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Il y a 7 heures, Pierre PLANA a dit :

Grand consommateur de vélos et ayant toutes les technologies disponibles, à m’en priver d’une ce serait le Di2.

Le Di2 c’est merveilleux mais ce n’est que du confort d’utilisation. Les FAD c’est le sécurité en toutes conditions climatiques le freinage avec un doigt quelle que soit la puissance et un dosage inégalable.

et le tubeless : confort, adhérence, résistance à la crevaison, plus de crevaison par pincement…

Aujourdhui les réfractaires sont ceux qui n’ont pas essayé. 
quant au poids des vélos, je ne peux pas parler pour ceux qui font 50 kg (quoique…), mais pour qu’un de mon gabarit, y compris en haute montagne c’est beaucoup moins important qu’un bon dosage de rigidité et une géométrie qui favorise les relances. 
mon meilleur vélo de montagne (Time ADH) n’est pas le plus léger des vélos que j’ai eus loin de là… il pèse « très lourd » autour des 7.5 kg mais est équipé de roues très dynamiques (fulcrum speed 25) dispose d’un avant très redressé et à un dosage de rigidité qui me convient certainement parfaitement. En relances ça part comme une balle…

j’ai d’autres vélos qui roulent beaucoup plus vite sur le plat voire sur un parcours vallonné, (plus rigides, avec des roues plus hautes) mais lorsque tu cumules les dénivelés (je suis en Andalousie, on a fait une journée à 3000 et plusieurs journées a plus de 2500m de D+), l’aptitude à relancer n’est pas négligeable.

l’exemple du Tarmac est pour moi parlante : SL7 : vélo très stable, super efficace sur le plat, quelconque en montées et en relance avec mon petit niveau, SL8 : avant redressé, boîte et arrière un peu plus élastique, avant rigidifié : vélo « facile «  en relances.

Quant au « quoique… » que j’ai énoncé un peu plus haut, il vient du fait que autour de moi j’ai des cyclistes de tous niveaux et de tous gabarits ( nous sommes 14 en Andalousie et je suis le plus lourd) la plupart ont des vélos « modernes », avec du Di2, des disques du tubeless, ceux qui ont gardé leurs vélos « d’avant » sont unanimes : leurs vélos de maintenant sont plus performants. Mais parfois il suffit de pas grand chose… mon Time ADH se marie moins bien avec les hypéron qu’avec les speed 25, avec un poids très proche, j’ai un copain qui vient d’acheter un tarmac SL6 d’occasion : il était monté avec des schwalbe One à chambres quand il l’a acheté et il se trouvait « collé », il est passé sur des black bird tubeless : la nuit et le jour !!!

Je te rejoins sur tous les points.

Notamment sur les 3 grosses innovations (changements) des ces dernières années (transmission électrique, tubeless et FAD). Pour moi, la plus notable c'est le tubeless, même si là encore, il faudrait rentrer dans le détail, car pour exploiter au mieux le confort des pneus tubeless, il faut utiliser la bonne largeur de jante (au moins 23, mais 25 c'est encore mieux) pour mettre des grosses sections (28 ou 30) et abaisser les pressions tout en améliorant le rendement, bref c'est un équilibre à trouver.

Je te rejoins pour le Di2, oui c'est un peu plus précis et rapide, mais bon, ça change clairement pas grand chose à l'expérience... sans compter de ne pas oublier de recharger, car tomber en panne de dérailleur, ça peut mettre fin à la sortie (selon le rapport sur lequel tu es bloqué). Le principal intérêt du Di2 pour moi (qui ne suis pas doué sur la gestion des plateaux/pignons) est le mode automatique (ou semi-automatique je ne sais pas la différence entre les 2), en gros, je ne m'occupe que de la manette droite et ça gère tout, y compris le changement de plateau pour toujours avoir le meilleur alignement. Sur mon gravel en mono plateau, le Di2 a donc encore moins d'intérêt pour moi.

Pour tout le reste je suis d'accord avec toi, c'est d'ailleurs très compliqué de trouver les bons compromis. Tout est question des bonnes associations : type de cycliste (poids/puissance/morphologie)/type de cadre ; type de cadre/type de roue ; type de roue/type de pneu. Sans compter d'autres points qui jouent beaucoup, par exemple sur mon supersix j'ai un cintre très étroit de 38cm, j'adore la sensation, la position, ça participe beaucoup à l'expérience de pilotage, de sensation aéro

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Je ne suis pas contre les FAD et les tubeless, de toutes façons, voulant un vélo moderne, j'ai déjà fait le choix d'y passer.

 

Disons que j'y passe parce je vais changer de vélo. Mais je ne change pas de vélo pour les FAD et les tubeless.

 

Pour le moment, je me pose des questions sur les contraintes de ses nouvelles technologies: frottements parasites, réparation d'un tubeless au bord de la route.... Bref du conservatisme typique au cyclisme.

 

Même si les patins m'ont toujours arrêté (j'ai des roues alu), et que je crève assez peu, je pense que je serai convaincu, comme beaucoup d'utilisateurs, après quelques sorties.

 

Pour le di2, je vois plus facilement les avantages, mais encore une fois, je ne reproche rien à mon "vieux" 105 mécanique .

 

 

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il y a une heure, Jean-Franois a dit :

Je ne suis pas contre les FAD et les tubeless, de toutes façons, voulant un vélo moderne, j'ai déjà fait le choix d'y passer.

 

Disons que j'y passe parce je vais changer de vélo. Mais je ne change pas de vélo pour les FAD et les tubeless.

 

Pour le moment, je me pose des questions sur les contraintes de ses nouvelles technologies: frottements parasites, réparation d'un tubeless au bord de la route.... Bref du conservatisme typique au cyclisme.

 

Même si les patins m'ont toujours arrêté (j'ai des roues alu), et que je crève assez peu, je pense que je serai convaincu, comme beaucoup d'utilisateurs, après quelques sorties.

 

Pour le di2, je vois plus facilement les avantages, mais encore une fois, je ne reproche rien à mon "vieux" 105 mécanique .

 

 

Un vélo moderne ou des jambes modernes ?

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