Votre sortie du jour 2024

[Thierry GEUMEZ]

Invité avec ma compagne chez la Schtroumpfette ce week-end, c'était l'occasion d'admirer les paysages du Parc national de l'Entre-Sambre et Meuse et des Ardennes Françaises, et de grimper quelques côtes qui font régulièrement la joie de Michel.

 

Samedi, boucle de 63 km qui débute gentiment par une descente vers la Meuse que nous suivons sur sa rive droite entre Fumay et Revin en empruntant un chemin asphalté mais très peu fréquenté par les voitures, puis, pour nous mettre en appétit, quelques côtes jusque Rocroi où nous marquons une halte pour manger un sandwich. Le retour vers Fumay est effectué de manière plus directe par la départementale et nous voici au pied de la côte que nous avions descendue au début de notre périple : le "Trou du Diable". Avec un tel nom, l'endroit devrait effrayer le "plaineux" que je suis, mais le défi est pourtant à la portée de tout cycliste un peu entraîné.  Depuis la Meuse, l'ascension débute calmement puis le pourcentage augmente rapidement pour se stabiliser entre 7 et 10% pendant quelques kilomètres et s'atténuer progressivement à la fin. C'est l'endroit que Michel a choisi pour porter son attaque. Selon une stratégie favorisée par son tempérament explosif et dans l'attitude typique du grimpeur qui relance régulièrement en danseuse, il a rapidement pris une avance de 200 mètres, mais je me suis appliqué à bien gérer mon effort et à ne pas mettre dans le rouge (mais presque) et je suis revenu peu à peu. Le combat fut sans merci, sans gagnant et sans perdant. L'honneur était sauf. La Schtroumpfette, équipée de son VAE, nous avait déposés avant même le début des hostilités... Un dernier coup de cul et le circuit était bouclé. 930 m de dénivelé positif. Rien de monstrueux mais ça piquait quand même un peu dans les guiboles.

 

Dimanche, sortie entre hommes. Météo plus fraîche et humide que la veille. Michel m'entraîne d'abord sur un chemin vallonné à travers la Forêt de Nismes puis, aidés par un vent arrière, nous rejoignons Najauje par la N99 qui offre quelques montées et des descentes rapides mais sans difficulté technique. Virage à droite et l'horreur se laisse deviner au loin : entre les arbres, la route semble s'élever à la verticale ! Michel me met en garde, l'ascension est trompeuse, la pente continue au-delà de ce qu'on imagine. Ce ne seront finalement "que" 3 kilomètres, mais mon Garmin oscille souvent entre 13 et 15%. Je n'ai pas ma cassette 11-34 et ma cadence descend à 50 tr/min (Franck, ne hausse pas les sourcils !). Michel est parti devant et je n'essaie pas de lutter... Encore quelques kilomètres et nous sommes déjà de retour à la maison. Nous avons roulé seulement 32 km et nous ne sommes pas là pour nous amuser. Nous repartons donc pour une nouvelle boucle. Descente assez rapide vers Olloy puis remontée vers Oignies via un Ravel. La pente est régulière et modérée, entre 3 et 4%, et le chemin est mouillé et jonché de branches tombées au début de la nuit passée à cause d'un bel orage. Nous roulons côte à côte et parlons de choses et d'autres. 52 km et 920 m de dénivelé cette fois.

 

Le week-end est terminé. La météo s'annonce plus froide, comme pour nous signifier que l'automne est bien là. Notre tête est remplie de souvenirs et de projets.

Modifié le 9 septembre par Thierry GEUMEZ

[Michel DURY]

Merci pour ta présence ce week end, Thierry, c'était très sympa!

 

Je t'ai senti en grande forme et tu m'as aussi mené la vie dure, faut pas croire, hahaha!! Juste un regret, c'est que ta compagne n'ait pu nous rejoindre sur le vélo, mais elle avait un certificat médical alors voilà.

 

Mine de rien, les montées là bas aboutissent à un dénivelé assez impressionnant, je n'aurais jamais parié sur de tels chiffres, je pensais en être à la moitié par là et suis vraiment surpris de frôler les 1.000 mètres. Je comprends maintenant que je suis parfois bien fatigué après 80 km dans la région. Là je t'ai soigné car d'habitude on fait un peu plus du bord de Meuse qui fatalement est bien plat, et puis il fallait que tu découvres le monstre à 13% devant lequel je pleure à chaque fois (-:

 

Bien chouette week end à refaire un jour d'été, tu verras, la région est accueillante au soleil! Là j'ai l'impression d'être déjà en automne et de ne pas avoir eu d'été, on s'est caillé le dimanche.

[Jacques VANDEWIELE]

Il y a 3 heures, Thierry GEUMEZ a dit :

Invité avec ma compagne chez la Schtroumpfette ce week-end, c'était l'occasion d'admirer les paysages du Parc national de l'Entre-Sambre et Meuse et des Ardennes Françaises, et de grimper quelques côtes qui font régulièrement la joie de Michel.

 

Samedi, boucle de 63 km qui débute gentiment par une descente vers la Meuse que nous suivons sur sa rive droite entre Fumay et Revin en empruntant un chemin asphalté mais très peu fréquenté par les voitures, puis, pour nous mettre en appétit, quelques côtes jusque Rocroi où nous marquons une halte pour manger un sandwich. Le retour vers Fumay est effectué de manière plus directe par la départementale et nous voici au pied de la côte que nous avions descendue au début de notre périple : le "Trou du Diable". Avec un tel nom, l'endroit devrait effrayer le "plaineux" que je suis, mais le défi est pourtant à la portée de tout cycliste un peu entraîné.  Depuis la Meuse, l'ascension débute calmement puis le pourcentage augmente rapidement pour se stabiliser entre 7 et 10% pendant quelques kilomètres et s'atténuer progressivement à la fin. C'est l'endroit que Michel a choisi pour porter son attaque. Selon une stratégie favorisée par son tempérament explosif et dans l'attitude typique du grimpeur qui relance régulièrement en danseuse, il a rapidement pris une avance de 200 mètres, mais je me suis appliqué à bien gérer mon effort et à ne pas mettre dans le rouge (mais presque) et je suis revenu peu à peu. Le combat fut sans merci, sans gagnant et sans perdant. L'honneur était sauf. La Schtroumpfette, équipée de son VAE, nous avait déposés avant même le début des hostilités... Un dernier coup de cul et le circuit était bouclé. 930 m de dénivelé positif. Rien de monstrueux mais ça piquait quand même un peu dans les guiboles.

 

Dimanche, sortie entre hommes. Météo plus fraîche et humide que la veille. Michel m'entraîne d'abord sur un chemin vallonné à travers la Forêt de Nismes puis, aidés par un vent arrière, nous rejoignons Najauje par la N99 qui offre quelques montées et des descentes rapides mais sans difficulté technique. Virage à droite et l'horreur se laisse deviner au loin : entre les arbres, la route semble s'élever à la verticale ! Michel me met en garde, l'ascension est trompeuse, la pente continue au-delà de ce qu'on imagine. Ce ne seront finalement "que" 3 kilomètres, mais mon Garmin oscille souvent entre 13 et 15%. Je n'ai pas ma cassette 11-34 et ma cadence descend à 50 tr/min (Franck, ne hausse pas les sourcils !). Michel est parti devant et je n'essaie pas de lutter... Encore quelques kilomètres et nous sommes déjà de retour à la maison. Nous avons roulé seulement 32 km et nous ne sommes pas là pour nous amuser. Nous repartons donc pour une nouvelle boucle. Descente assez rapide vers Olloy puis remontée vers Oignies via un Ravel. La pente est régulière et modérée, entre 3 et 4%, et le chemin est mouillé et jonché de branches tombées au début de la nuit passée à cause d'un bel orage. Nous roulons côte à côte et parlons de choses et d'autres. 52 km et 920 m de dénivelé cette fois.

 

Le week-end est terminé. La météo s'annonce plus froide, comme pour nous signifier que l'automne est bien là. Notre tête est remplie de souvenirs et de projets.

Samedi matin , après avoir suivi la Sambre de Tamines jusqu'à Namur j'étais aussi sur la Rive droite de la Meuse entre Namur et Annevoie . Là j'ai pris la côte du même nom jusqu'à Bioul pour remonter ensuite chez moi par Denée et boucler un 100 km. La météo le matin était un peu tristounette et j'ai eu quelques gouttes de pluie après Namur ensuite j'ai trouvé qu'il a fait chaud . C'est mon ressenti en tout cas.

SI le SChtroumpf me lit,  il y a un beau parcours à faire lorsque de chez lui il arrive à Annevoie il prend la côte vers le château mais après quelques centaines de m il y a une belle route et une belle côte à droite en direction d' Arbre puis remontée vers St Gérard en passant par Montigny sur des routes agricoles . C'est vallonné mais surtout tranquille. De St Gérard il y a différents tracés pour rejoindre son BW. ( Brabant Wallon )

Pour le lecteur belge ou étranger , le parcours que je décris ci-dessus peut se faire au départ de Namur et avec retour dans la même ville pour offrir de belles randonnées vallonnées au S du sillon Sambre et Meuse si populaire chez les météorologues .😉

Modifié le 9 septembre par Jacques VANDEWIELE

[Michel DURY]

il y a 39 minutes, Jacques VANDEWIELE a dit :

Samedi matin , après avoir suivi la Sambre de Tamines jusqu'à Namur j'étais aussi sur la Rive droite de la Meuse entre Namur et Annevoie . Là j'ai pris la côte du même nom jusqu'à Bioul pour remonter ensuite chez moi par Denée et boucler un 100 km. La météo le matin était un peu tristounette et j'ai eu quelques gouttes de pluie après Namur ensuite j'ai trouvé qu'il a fait chaud . C'est mon ressenti en tout cas.

SI le SChtroumpf me lit,  il y a un beau parcours à faire lorsque de chez lui il arrive à Annevoie il prend la côte vers le château mais après quelques centaines de m il y a une belle route et une belle côte à droite en direction d' Arbre puis remontée vers St Gérard en passant par Montigny sur des routes agricoles . C'est vallonné mais surtout tranquille. De St Gérard il y a différents tracés pour rejoindre son BW. ( Brabant Wallon )

Pour le lecteur belge ou étranger , le parcours que je décris ci-dessus peut se faire au départ de Namur et avec retour dans la même ville pour offrir de belles randonnées vallonnées au S du sillon Sambre et Meuse si populaire chez les météorologues .😉

Oui Jacques, j'ai déjà parcouru la région à maintes reprises lors de sorties inter club.  J'aimerais y retourner, ça fait longtemps que je n'ai plus été à de tels rassemblements mais avec la météo qu'on a cette année, et cette journée en est bien l'illustration, ce n'est vraiment pas un plaisir.

 

Incroyable à quel point la météo est pourrie, j'ai l'impression qu'on a eu que trois semaine d'été et qu'on passe directement de l'hiver 2024 à l'hiver 2025.

 

Dans deux semaines je pars en Toscane, j'espère avoir enfin un peu de beau temps là bas car en Belgique c'est sans espoir.

[Franck PASTOR]

il y a 45 minutes, Michel DURY a dit :

Oui Jacques, j'ai déjà parcouru la région à maintes reprises lors de sorties inter club.  J'aimerais y retourner, ça fait longtemps que je n'ai plus été à de tels rassemblements mais avec la météo qu'on a cette année, et cette journée en est bien l'illustration, ce n'est vraiment pas un plaisir.

 

Incroyable à quel point la météo est pourrie, j'ai l'impression qu'on a eu que trois semaine d'été et qu'on passe directement de l'hiver 2024 à l'hiver 2025.

 

Dans deux semaines je pars en Toscane, j'espère avoir enfin un peu de beau temps là bas car en Belgique c'est sans espoir.

 

Étant donné ta veine habituelle, prévois-toi quand même quelques activités à mener par mauvais temps là-bas…

[Michel DURY]

il y a une heure, Franck PASTOR a dit :

 

Étant donné ta veine habituelle, prévois-toi quand même quelques activités à mener par mauvais temps là-bas…

C'est surtout le choix d'y aller en moto ou en voiture... je n'ai pas trop droit à l'erreur.

[Nicolas JOARY]

Il y a 4 heures, Michel DURY a dit :

Incroyable à quel point la météo est pourrie, j'ai l'impression qu'on a eu que trois semaine d'été et qu'on passe directement de l'hiver 2024 à l'hiver 2025.

 

Dans deux semaines je pars en Toscane, j'espère avoir enfin un peu de beau temps là bas car en Belgique c'est sans espoir.

En m'installant pour de bon ici fin mai, puis bavardant avec des autochtones, je racontais n'avoir pas le souvenir d'une seule petite semaine de bon temps en Belgique depuis octobre 2023 ! C'était effectivement déprimant et démotivant, comparé au plaisir de rouler dans la Drôme et le Vaucluse, où je séjournais une dizaine de jours chaque mois.

Je ne connais pas la Toscane, mais on m'a dit que cela ressemble assez bien à la Drôme Provençale.

[Nicolas JOARY]

Après la journée maussade d'hier et compte tenu de la semaine plutôt fraîche et venteuse annoncée sur les Baronnies, je suis parti fin de matinée pour une boucle de 61km/727m+, au nord de Nyons dans le sens antihoraire. J'ai grimpé Valouse sans forcer, vent dans le nez à un moment où il était encore modéré. Il s'est renforcé progressivement par la suite, mais les changements de direction que je négociais successivement me l'ont rendu essentiellement favorable.

Ça sent l'automne ici aussi, mais c'est une très belle saison et les vendanges ont commencé.

[René KUENTZLERRE]

Les vendanges ont aussi commencé en Alsace. Depuis dimanche toutes mes tentatives de sorties tombent à l'eau. Demain peut être mais seulement 14 - 15° et toute la semaine.... Mardi dernier je soupconnais que ce serait ma dernière sortie sur la Route des Crêtes, j'ai bien fait d'en profiter.

[Thierry GEUMEZ]

il y a une heure, Nicolas JOARY a dit :

Après la journée maussade d'hier et compte tenu de la semaine plutôt fraîche et venteuse annoncée sur les Baronnies, je suis parti fin de matinée pour une boucle de 61km/727m+, au nord de Nyons dans le sens antihoraire. J'ai grimpé Valouse sans forcer, vent dans le nez à un moment où il était encore modéré. Il s'est renforcé progressivement par la suite, mais les changements de direction que je négociais successivement me l'ont rendu essentiellement favorable.

Ça sent l'automne ici aussi, mais c'est une très belle saison et les vendanges ont commencé.

Salut Nicolas, tes sorties me rendent bien sûr un peu jaloux... mais je n'ai pas le courage d'assumer comme toi un exil 😇

 

Question entraînement, sens-tu que ton niveau a progressé depuis que tu séjournes dans la région de Nyons et que tu fais beaucoup plus de dénivelé qu'en Belgique ?

[Nicolas JOARY]

il y a 26 minutes, René KUENTZLERRE a dit :

Les vendanges ont aussi commencé en Alsace. Depuis dimanche toutes mes tentatives de sorties tombent à l'eau. Demain peut être mais seulement 14 - 15° et toute la semaine.... Mardi dernier je soupconnais que ce serait ma dernière sortie sur la Route des Crêtes, j'ai bien fait d'en profiter.

J'ai entendu que la neige était annoncée en altitude (2000m et+) dans les prochains jours.

Encore de belles journées à venir avant l'hiver, mais quand elles seront là, il faudra en profiter.

[Nicolas JOARY]

il y a 3 minutes, Thierry GEUMEZ a dit :

Question entraînement, sens-tu que ton niveau a progressé depuis que tu séjournes dans la région de Nyons et que tu fais beaucoup plus de dénivelé qu'en Belgique ?

Difficile de comparer !

Mon endurance est revenue à un niveau correct, à présent que j'ai roulé un peu plus grâce aux meilleures conditions climatiques et un environnement motivant. C'est déjà ça.

Je n'ai pas l'impression de grimper mieux qu'à l'automne dernier à Riccione, mais j'étais en bonne forme au départ et rouler en groupe apporte une motivation différente.

J'ai fait dernièrement quelques bonnes sorties à plus de 1000m de D+, donc ça va. 

Le vrai test sera le Ventoux (probablement par Malaucène ce mois-ci ou le mois prochain). La difficulté sera surtout de bien gérer l'effort, prendre un rythme raisonnable et le tenir.

Je devrais me rapprocher d'un (bon) club local, ce serait sans doute bénéfique, mais je devrais mettre un peu de côté mon tempérament d'électron libre ; et ça, ce n'est pas facile.

[Bernard MOREAU]

il y a 55 minutes, René KUENTZLERRE a dit :

.. Mardi dernier je soupconnais que ce serait ma dernière sortie sur la Route des Crêtes, j'ai bien fait d'en profiter.

J'ai participé à l'unique "Etape de légende" entre Strasbourg et le Ballon d'Alsace.
C'était en 2007 et je viens de vérifier la date : 23 septembre. 
Il avait fait très beau.
Plus au Sud, je me souviens avoir grimpé le Galibier un 12 octobre et il y a qq années Val Thorens autour de cette date.
Ces 3 sorties sous des conditions météo très agréables, je pense que tu es légèrement trop pessimiste,

PS : le 12 octobre est bien sûr une date inoubliable, bien pire que le 11 septembre puisqu'elle commémore le début des génocides d'Amérique Nord et Sud.

Modifié le 9 septembre par Bernard MOREAU

[Jpfvelo]

Il y a 22 heures, Gérôme BORGER a dit :

Salut Jean-Pierre,

c'est une randonnée, pourquoi se prendre la tête comme ça? Tu crois que c'est comment en course?

Maintenant si ça te saoule de tirer les suceurs, bin planque toi dans le peloton.

oui je sais , mais il veulent tous rouler vite mais ne pas prendre de relais et faire des efforts....me planquer je ne sais pas faire...salut Gérome 🙂  je pars in italia milan genes florence 5 terre rome naples  , je vais revenir et expliquer mes deboires avec les mains ....et surement  un peu de poids en plus ....

[René KUENTZLERRE]

il y a une heure, Bernard MOREAU a dit :

J'ai participé à l'unique "Etape de légende" entre Strasbourg et le Ballon d'Alsace.
C'était en 2007 et je viens de vérifier la date : 23 septembre. 
Il avait fait très beau.
Plus au Sud, je me souviens avoir grimpé le Galibier un 12 octobre et il y a qq années Val Thorens autour de cette date.
Ces 3 sorties sous des conditions météo très agréables, je pense que tu es légèrement trop pessimiste,

PS : le 12 octobre est bien sûr une date inoubliable, bien pire que le 11 septembre puisqu'elle commémore le début des génocides d'Amérique Nord et Sud.

Ouah Strasbourg - Ballon d'Alsace beau parcours au moins 150 kms de montagne, il y a 15 ans on était encore en forme et on emmenait du braquet 🤣.

Oui il y aura encore de belle journées en septembre - octobre mais s'il ne fait pas plus de 25° dans la vallée je ne monte plus à 1000 - 1300m, là haut il y a toujours 7 à 10° en moins, je suis très frileux et aucune protection de graisse. Je viens de voir que je suis descendu sous les 55 kgs, je ne sais pas trop pourquoi 😪. S'il y a du soleil je vais rester au maxi vers 700m.

[Bernard MOREAU]

[Bernard MOREAU]

Oui, c'était un superbe parcours : il reprenait une étape du TdF 1967. 215 km avec env. 4500 m de D+ je crois.
Très belles routes.
Tes 55 kg : après 65 ans il semble que si l'on continue de beaucoup rouler ça devient difficile de ne pas perdre du poids.
Il faut manger davantage de protéines. A l'effort on a davantage tendance à utiliser la masse musculaire comme source d'énergie. 
Avec 55 kg, il te faut 1,5 fois 55  = 85 g de protéines par jour quand tu es très actif.
Je ne suis pas un nutritionniste, je ne fais que répéter ce que j'ai lu.
Bonne route.

[Thierry GEUMEZ]

il y a 13 minutes, Bernard MOREAU a dit :

Tes 55 kg : après 65 ans il semble que si l'on continue de beaucoup rouler ça devient difficile de ne pas perdre du poids.
 

 

Parole de maigre ? 😋

 

 

[René KUENTZLERRE]

il y a une heure, Bernard MOREAU a dit :

Oui, c'était un superbe parcours : il reprenait une étape du TdF 1967. 215 km avec env. 4500 m de D+ je crois.
Très belles routes.
Tes 55 kg : après 65 ans il semble que si l'on continue de beaucoup rouler ça devient difficile de ne pas perdre du poids.
Il faut manger davantage de protéines. A l'effort on a davantage tendance à utiliser la masse musculaire comme source d'énergie. 
Avec 55 kg, il te faut 1,5 fois 55  = 85 g de protéines par jour quand tu es très actif.
Je ne suis pas un nutritionniste, je ne fais que répéter ce que j'ai lu.
Bonne route.

7 cols avec le Platzerwasel au milieu c'est pas pour les mous de la cuisse, comment cela s'est il passé pour toi ? Tu as mis quoi comme braquet dans le Platzerwasel ?

Merci pour ta piste sur les protéines, il est vrai que j'ai tendance à manger un minimum de viandes et ne pas penser à compenser avec d'autres sources.

[Bernard MOREAU]

il y a une heure, René KUENTZLERRE a dit :

7 cols avec le Platzerwasel au milieu c'est pas pour les mous de la cuisse, comment cela s'est il passé pour toi ? Tu as mis quoi comme braquet dans le Platzerwasel ?

Ça s'était plutôt bien passé. Comme toujours je visais la gagne ds ma catégorie d'âge, bien que pas parmi les moins âgés. 
Dans ce genre d'épreuves il n'y a pas de dossards distinctifs d'après l'âge, impossible de savoir qui surveiller.
J'avais tout donné dans le Ballon, mais j'étais en bout de course et je n'aurais pas pu monter les 5 mn plus vite qu'il m'aurait fallu. 2ème ça m'allait d'autant plus que je devais finir à seulement 1h env de Jalabert (3e je crois après avoir été longtemps seul en tête) qui préparait Hawaï sauf erreur.
Pour les braquets, je ne sais pas si j'avais 39:25 ou 34:25, je ne crois l'avoir noté.

Mais j'ai le relevé de mon cardio. J'essaie de le joindre.
Trop gros, je le coupe en 3 morceaux.

Modifié le 9 septembre par Bernard MOREAU