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Polygone Vincennes - les comportements limites


Invité

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Guillaume, comme je l'ai dit l'ensemble du groupe n'avait pas grand chose à gagner puisque nous devions être en train de lutter avec acharnement pour à peu près la 50e place sur 500 concurrents.

A l'époque ou je faisais les cyclosportives "à fond", mon unique objectif était de faire le meilleur temps et la meilleure moyenne possible : de mes "années cyclosportive", j'ai peu de souvenir de mes places (anecdotiques) mais plus des moyennes (tout aussi anecdotiques dans l'absolu mais impressionnantes relativement à ce que je peux faire aujourd'hui).

Ce qui m'a mis quand même en rogne sur cet exemple, c'est que si avec la dizaine de gars qui sont venus "faire le sprint" donc qui avaient encore un peu de jus, on c'était relayé sur les 20 derniers kilomètres nous aurions tous, fait un meilleur temps et une meilleure moyenne...

Alors que être 50, 51, 52 ou 60... je ne comprends pas trop...

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Bonjour,

J'ai roulé début septembre à Vincennes, et je n'ai pas eu la sensation de voir ce type de comportement. Après oui cela roule fort. Je ne suis pas affilié à un club, et roule sur un pinarello à assistance électrique, donc certainement pas intéressant pour ce genre d'individu. Après, à 57 ans (je ne suis pas vieux) je prend tout cela avec une certaine indifférence.

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Parce que dans ce genre de groupes, tu 'as jamais personne pour te filer un coup de main, mais ils ont toujours du jus quand tu tentes de te faire la belle et revenir sur toi, puis "jouir" de te sauter au sprint. Alors la mesquinerie et la bêtise est bien dans le camp de ceux qui restent bien au chaud dans ta roue. Ambiance pourrie alors que l'on devrait avoir un vrai esprit de camaraderie et se serrer les coudes.

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Expliqué comme ça c'est plus clair

Donc c'est plus l'ennui de ne pas avoir été aidé par des gars qui avaient les moyens physiques de le faire, que celui de finir derrière à une place qui a peu d'importance

Même si personnellement je n'ai pas le même ressenti, ce genre de comportement ne me dérange pas vraiment, je comprends que ça puisse en gêner d'autres

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Tu n'es pas en course, chacun se fait plaisir comme il l'entend! peut-être que celui qui reste dans ta roue tourne depuis un bon moment...et toi tu viens d'arriver!!! Lorsque j'allais à Lonchamps j'aimais bien accrocher des gas plus costauds que moi. Je pouvais aussi tirer un cycliste pendant longtemps celà ne me gênais pas.

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tout a fait jean claude a Rungis c'était la même philosophie le peloton (une centaine et plus parfois ) se formait dés 16h et jusqu'a 20 h cela  permettait de faire des kms en toute sécurité !

jamais vu d'embrouille décrite plus haut faut dire que la grande majorité du peloton était composé de coureur FFC des 1 au 4 .....

bon vélo

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Karl "se serrer les coudres"

ça dépend de la taille du cintre 🆒

rouler en groupe il y a des bons moments et des moins bons

Perso , habitant Levallois Perret pendant 4 ans pour mon boulot, j'allais de temps en temps à Longchamp pour faire un peu de fractionné, si je n'avais pas le temps d'aller plus loin, et j'ai remarqué une chose : les provinciaux nous causions dans le peloton, les autres pas très souvent.

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Je partage ton analyse. Je vais souvent au polygone, de manière irrégulière selon mon emploi du temps,  donc parfois le matin, parfois l'après-midi et il est vrai que le samedi et surtout  le dimanche les chutes se multiplient en raison de comportements dangereux : changements de ligne inopinés, gens qui ne savent pas tourner (surtout le virage du "bas") , dépassements par la droite.Parfois le mercredi avec des jeunes qui font des sprints, s'arrêtent net, coupent leur trajectoire.  Quelques gueulantes de temps en temps, mais sinon, globalement il y a une bonne entente, on finit par connaître des gens de vue voire personnellement. Je roule aussi sans maillot de club, et je n'ai jamais de problème relationnels.J'alterne des sorties pépères, mais de temps en temps,  même "vieux" il m'arrive de prendre des groupes où ça roule très vite, on descend à plus de 50, on "monte" à 40 . Là il faut avoir confiance dans les gars qui sont dans le groupe. Quand je vois un gars devant moi qui donne des coups de patin fréquents (j'ai eu le cas la semaine passée), ou qui zigzague, je me laisse décrocher, c'est tout. Le dernier problème que j'ai eu à Vincennes, c'st tout seul et à petite vitesse : une roue qui a décroché sur une bande blanche quand il se mettait à crachiner. Rien compris🙁

 

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tout a fait d accord avec la confiance a celui de devant , et c est bien pour cela que généralement j essaie d être devant et avec un de mes potes on tire assez souvent le groupe , dernièrement un du groupe 2 a essayer de suivre mais j 'étais absent ,incident qui ma été relaté , suite a grosse accélération ,  il s 'et vautré par manque de lucidité sur une partie de chaussée un peu abimé , malheureusement pour lui il est salement amoché  au visage , ça se remettra mais il a eu de la chance

concernant la fin de l émulation en groupe et l 'évocation de faire la course ,pour celui qui a couru , je ne crois pas beaucoup que cela s arrête .

 

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On a dû se croiser alors. Je roule principalement seul, avec des cyclos dans ma roue. Parfois certains te remercient pour la "ballade", d'autres râlent quand tu te relèves pour boire, parce que tu fais baisser leur moyenne ! A prendre avec le sourire.
Quand je me résouds à rester dans un groupe qui me rattrape sans rouler beaucoup plus vite dans le faux-plat montant, je garde une distance plus grande avec ceux de devant quand je sens une limite de rupture, un déficit de lucidité, prompt à un écart à tout moment, ce qui arrive souvent avec ceux peu habitués à rouler en groupe. Et tant pis pour l'aspiration ! Mais globalement, en choisissant les jours et heures, il y a moyen de se faire plaisir au Polygone.

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Fort possible, cette année je viens plutôt en fin de semaine, pas de possibilité la première moitié, mais il m'est arrivé de venir les autres jours et je connais pas mal de monde de vue, et certains font même un signe de la main. Mais je n'ai jamais eu vraiment de conflit avec des gens. Quand je vois un champion d'opérette qui double à droite, ou qui rentre à l'intérieur du virage pour en sortir complètement a l'extérieur avant de relancer en zig-zag, j'évite tout simplement sa proximité,voire je quitte le groupe, mais je ne dis rien.  Quand ça roule vraiment à bloc, je me le permets de temps en temps pour  faire des efforts et progresser, je fais partie de ceux qui restent dans les roues, à 40 dans le faux plat montant, je peux tenir mais pas prendre des relais ( ou alors exploser peu après), et à 50 dans la "descente", j'ai les jambes autour du cou, mon plus gros braquet étant 50x12. A 59 balais, pas la peine de jouer les héros, je ne passerai pas pro...  Après, il y a les habitudes qu'on repère : le dimanche par exemple, ça se met à rouler bien quand ça se vide, si 'on n'est pas pressé, entre 12 et 13 h00. Mardi et jeudi en fin d'après-midi, de groupes d'habitués qui ne font pas les khons et roulent parfois fort etc. Le danger  vient aussi , et surtout les WE ou mercredis, des gens qui se baladent avec des chiens, de ceux qui font rouler un gosse de 4 ans  sur la piste et qu'on voit au dernier moment dans les virages. Je vais aussi de temps en temps à Longchamp, plus rarement (je suis à peu près à mi-chemin mais j'ai pris l'habitude de Vincennes quand j'habitais Montreuil) , et on voit  un peu les mêmes choses. Le rétrécissement est même pire et occasionne de belles gueulantes.

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Jamais roulé dans vos circuits urbains mais je suis assez surpris des remarques sur les gars qui ne prennent pas de relais. 

Il m'arrive de rouler régulièrement en groupe et si j'ai décidé de rouler devant, je me contrefiche qu'on me relaye pas, je bosse, je tourne les jambes même si ça doit durer 20 bornes, aucun soucis. Idem si les gars veulent faire la pancarte, chacun prend plaisir où il veut. J'apprécie juste la petite tape ou le petit salut en fin d'entrainement. 

C'est l'avantage de rouler très souvent seul où on ne peut pas se "cacher" derrière quelqu'un, notre sortie ne dépend que de nous.

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