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Votre sortie du jour 2020


Olivier COMMENT

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Quel mental, bravo!  

J'avais vu qu'il vallait peut-être mieux se battre en côte et ne pas trop forcer là où ça va vite, pour récupérer (descente).  Ce triathlète français du Québec en parle https://youtu.be/R2cJduPQANU  (10 min)

(« ROULER VITE » ça ne veut rien dire. J'analyse la vitesse à vélo)

ok il va vite et le vent compte beaucoup plus, c'est juste une base de réflexion. Et pour ma part, je ne sais pas trancher.

Ce qui me semble profitable par contre, c'est de ne pas mouliner tout le temps, pour muscler un peu.

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Je suis aussi de cet avis , bien grimper et récupérer un peu dans les descentes et avoir un bon rythme sur le plat ....bon les cyclistes forts sont bons partout en général .

Sinon la puissance en vélo c'est vélocite+force ......

Vélotaf pour moi ce matin juste 8km en VTTAE mais je travaille ma force avec car au dessus de 25km/h l'électrique ce coupe et je dois emmener les 24kl du bestiau ...

Ce soir selon l'heure ou je quitte se sera entre 6 ou 10km ...c'est peu mais toujours mieux que de prendre la bagnole .

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Ton lien youtube ne marche pas… «404 error» 🙁

J'ai tourné les jambes, certes, mais j'ai bien plus forcé qu'à mon habitude, en témoigne mon sévère mal de jambes…

Question philosophique du jour : 95 tours/min de cadence moyenne, plus élevée qu'à mon habitude, mais en appuyant plus fort qu'à mon habitude sur les pédales, est-ce encore «mouliner» ? 🆒

Du reste, c'était purement instinctif, et ça me paraît tout simplement correspondre à la règle qui établit que la cadence doit augmenter avec l'intensité de l'effort pour optimiser celui-ci.

Pour en revenir à cette tactique de «rouler à l'envers» que je me suis mis à appliquer ces derniers temps : après réflexion, j'ai probablement tort de regarder la moyenne en travaillant ainsi. Ce qu'il faudrait, c'est que j'applique cette tactique pendant des séances d'entraînement ciblées, sur une ou deux heures (après échauffement) pendant lesquelles je travaillerais sciemment mes points faibles avec cette méthode, en oubliant le compteur.

Si cela s'avère efficace, les effets s'en feront sortir à moyen ou long terme sur mes longs parcours vallonnés habituels.

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J'avais vu qu'il vallait peut-être mieux se battre en côte et ne pas trop forcer là où ça va vite, pour récupérer 

Il faut être le plus régulier possible pour réaliser la meilleure moyenne, mais le problème n'est pas si simple qu'il y paraît :

- Du point de vue physiologique, il faudrait développer une puissance constante.

- Pour limiter les pertes aérodynamiques, il faudrait rouler à vitesse constante.

S'il est plus ou moins aisé de satisfaire les deux conditions sur un parcours plat et sans vent, tu comprends qu'il faut sacrifier un peu les deux sur du vallonné et/ou avec du vent.

Selon notre poids, notre puissance, le pourcentage de la côte et la vitesse du vent, il devrait être possible de trouver le meilleur compromis par voie mathématique. Je n'ai pas osé m'y attaquer, préférant refiler la patate chaude à un prof de math, j'ai nommé... Franck. Vu son absence de réponse, j'en conclus qu'il n'est pas homme à relever les défis 🤐

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Je viens de recliquer sur le lien sur cette page,  ça passe sans soucis. Bizarre.

Difficile de donner un conseil, mais je pense tout simplement que la clé pour progresser, c’est de varier les parcours (côtes et plats en travaillant sa position et ses cuisses), varier les intensités, les cadences, éviter les routines et comme déjà dit sortir de sa zone de confort (ça fait bateau dit comme ça). 

Bon aujourd’hui sortie avec deux copains du club, 17h40, lampes sur les vélos, c’est parti en souplesse.

Sans idée précise, ils pensaient s’orienter vers la Flandre, ...je les ai guidés vers le Smeysberg :-D, en arrivant d’abord par Holstheide et le centre de Huldenberg. Tout s’est bien passé ;-)   Amusant , il faut se lancer avec le 50 au début du Smeysberg et tout d’un coup il faut embrayer sur le 34, grimpette raide et danseuse jusqu’en haut, c’est ce que je préfère.

49 km D+465 27,4 km/h   , 8 jours sans vélo ... mais 4 sorties running, indispensable de se dépenser presque quotidiennement pour se sentir bien.

https://strava.app.link/1anDP5i1cab

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Le Smeysberg, je l'ai fait justement ce matin, la Brabantse Pijl Cycling Route y passe. 

Ce qui témoigne de notre différence de niveau, c'est que moi je me lance là-dedans sur le plateau de 34 dents et je passe ensuite sur le 24 dents… Le plus gros que je suis capable de maintenir là-dedans, c'est 24/25, à 13 km/h, les jours de (très) grande forme. Aujourd'hui, comme je voulais m'économiser dans les bosses, je suis monté sur le 24/30 à 9-10 km/h. Dans tous les cas, j'y grimpe assis. La danseuse, c'est généralement pour me détendre, et le Smeysberg n'est pas un lieu de détente. 😃

Un peu plus loin, le parcours emprunte aussi la Moskesstraat, que je n'ai plus besoin non plus de te présenter. 😇 Si tu voulais guider tes amis vers un traquenard, c'était l'endroit et le jour idéal  : à cause des récentes intempéries, certaines sections étaient encore détrempées et l'adhérence était limite sur les pavés dans le très raide final: je me pensais à l'abri de mauvaises surprises avec mes pneus de 30 mais j'ai quand même patiné plusieurs fois de la roue arrière. J'imagine ce que ça aurait donné sur des pneus fins gonflés à bloc ! 

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Si tu éprouves le besoin de récupérer, c'est justement parce que tu as dû développer plus de puissance dans les côtes pour limiter les variations de vitesse pénalisantes sur le plan aérodynamique. 

Sur une épreuve plate, comme un record de l'heure par exemple, l'effort est relativement constant. Des accélérations suivies de périodes de repos seraient contre-productives.

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Remarque, en approche de ce Smeysberg depuis le carrefour ça descend un peu, normal que je commence sur le 50. Plus loin je pense que j'étais sur le 34/25-23 mais debout, avec une cadence autour de 75 peut-être (pas pu regarder l'écran, dur ;-) )

Mes copains n'ont même pas bronché en retrouvant cette grimpette ;-)

La Moskesstraat, j'y retournerai quand les poules auront des dents , j'ai un peu de mal à l'apprécier, doux euphémisme. Pour les estrangers à la région, il s'agit d'une vieille route très raide en pavés à l'adhérence toute relative. 

Je roule encore en GP4000S 25mm à min 7 bar. Bientôt je repasserai en 23 devant (gonflé à bloc).

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Bonsoir,.

Points forts de cette sortie club sur 85 kms,le col du Gambet ( var83) pour rejoindre la Londe les Maures , puis la corniche des Bau rouge qui rejoints Carqueiranne au Pradet en surplombant la mer et le chemin de l'Artaude avec son passage à 20% ( 14.5 % de moyenne sur 1km),  ciel bleu et soleil sous 9° au départ à 8h00 et 20° au final sous un ciel menaçant mais peu de vent.

Sportivement Serge. 

 

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La Moskesstraat, j'y retournerai quand les poules auront des dents , j'ai un peu de mal à l'apprécier, doux euphémisme. Pour les estrangers à la région, il s'agit d'une vieille route très raide en pavés à l'adhérence toute relative. 

Je roule encore en GP4000S 25mm à min 7 bar. Bientôt je repasserai en 23 devant (gonflé à bloc).

Tu parlais de variété dans un de tes messages ci-dessus. Pourquoi crois-tu que j'utilise des pneus de 30 mm de section ? Ça me permet justement de varier mes terrains de jeu… entre autres, de passer des trucs du genre Moskesstraat en galérant beaucoup moins que du temps où je m'y risquais avec des pneus de 25 gonflés à 7 bars minimum. 

Résultat: la Moskesstraat est devenue une de mes ascensions habituelles, j'y passe souvent alors qu'avant c'était exceptionnel… 🤐

Note qu'elle est prévue dans le parcours de la prochaine Flèche brabançonne professionnelle ainsi que dans celui du championnat du monde 2021 basé à Louvain (Leuven)… de même que le Smeysberg, d'ailleurs. De quoi les faire connaître dans le monde entier ! 🆒

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