Olivier DARGE Posté le 30 septembre 2020 Share Posté le 30 septembre 2020 Quel mental, bravo! J'avais vu qu'il vallait peut-être mieux se battre en côte et ne pas trop forcer là où ça va vite, pour récupérer (descente). Ce triathlète français du Québec en parle https://youtu.be/R2cJduPQANU (10 min)(« ROULER VITE » ça ne veut rien dire. J'analyse la vitesse à vélo)ok il va vite et le vent compte beaucoup plus, c'est juste une base de réflexion. Et pour ma part, je ne sais pas trancher.Ce qui me semble profitable par contre, c'est de ne pas mouliner tout le temps, pour muscler un peu. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sylvain KARLE Posté le 30 septembre 2020 Share Posté le 30 septembre 2020 Je suis aussi de cet avis , bien grimper et récupérer un peu dans les descentes et avoir un bon rythme sur le plat ....bon les cyclistes forts sont bons partout en général .Sinon la puissance en vélo c'est vélocite+force ......Vélotaf pour moi ce matin juste 8km en VTTAE mais je travaille ma force avec car au dessus de 25km/h l'électrique ce coupe et je dois emmener les 24kl du bestiau ...Ce soir selon l'heure ou je quitte se sera entre 6 ou 10km ...c'est peu mais toujours mieux que de prendre la bagnole . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Franck PASTOR Posté le 30 septembre 2020 Share Posté le 30 septembre 2020 Ton lien youtube ne marche pas… «404 error» 🙁J'ai tourné les jambes, certes, mais j'ai bien plus forcé qu'à mon habitude, en témoigne mon sévère mal de jambes…Question philosophique du jour : 95 tours/min de cadence moyenne, plus élevée qu'à mon habitude, mais en appuyant plus fort qu'à mon habitude sur les pédales, est-ce encore «mouliner» ? 🆒Du reste, c'était purement instinctif, et ça me paraît tout simplement correspondre à la règle qui établit que la cadence doit augmenter avec l'intensité de l'effort pour optimiser celui-ci.Pour en revenir à cette tactique de «rouler à l'envers» que je me suis mis à appliquer ces derniers temps : après réflexion, j'ai probablement tort de regarder la moyenne en travaillant ainsi. Ce qu'il faudrait, c'est que j'applique cette tactique pendant des séances d'entraînement ciblées, sur une ou deux heures (après échauffement) pendant lesquelles je travaillerais sciemment mes points faibles avec cette méthode, en oubliant le compteur.Si cela s'avère efficace, les effets s'en feront sortir à moyen ou long terme sur mes longs parcours vallonnés habituels. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 30 septembre 2020 Share Posté le 30 septembre 2020 un poil déçu par ma moyenneIl t'a manqué quelques lièvres pour te motiver. Le 28 est à ta portée, je peux en témoigner (j'exagère peut-être, vu l'état de tes routes) 🆒 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 30 septembre 2020 Share Posté le 30 septembre 2020 J'avais vu qu'il vallait peut-être mieux se battre en côte et ne pas trop forcer là où ça va vite, pour récupérer Il faut être le plus régulier possible pour réaliser la meilleure moyenne, mais le problème n'est pas si simple qu'il y paraît :- Du point de vue physiologique, il faudrait développer une puissance constante.- Pour limiter les pertes aérodynamiques, il faudrait rouler à vitesse constante.S'il est plus ou moins aisé de satisfaire les deux conditions sur un parcours plat et sans vent, tu comprends qu'il faut sacrifier un peu les deux sur du vallonné et/ou avec du vent.Selon notre poids, notre puissance, le pourcentage de la côte et la vitesse du vent, il devrait être possible de trouver le meilleur compromis par voie mathématique. Je n'ai pas osé m'y attaquer, préférant refiler la patate chaude à un prof de math, j'ai nommé... Franck. Vu son absence de réponse, j'en conclus qu'il n'est pas homme à relever les défis 🤐 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Franck PASTOR Posté le 30 septembre 2020 Share Posté le 30 septembre 2020 Je ne me souviens pas que tu m'aies soumis le problème ? Pis de toutes façons, ça me paraît relever plus de la compétence d'un physiologiste que d'un mathématicien… (et hop, je botte la patate chaude en touche — pardon pour l'amalgame hasardeux de ces deux images 😳). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 30 septembre 2020 Share Posté le 30 septembre 2020 Je confirme que je t'en ai déjà parlé. Tu n'étais sans doute pas réceptif pour les mêmes raisons qui te font décliner l'offre aujourd'hui 😃Sans rire, le problème est complexe. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Olivier DARGE Posté le 30 septembre 2020 Share Posté le 30 septembre 2020 Je viens de recliquer sur le lien sur cette page, ça passe sans soucis. Bizarre.Difficile de donner un conseil, mais je pense tout simplement que la clé pour progresser, c’est de varier les parcours (côtes et plats en travaillant sa position et ses cuisses), varier les intensités, les cadences, éviter les routines et comme déjà dit sortir de sa zone de confort (ça fait bateau dit comme ça). Bon aujourd’hui sortie avec deux copains du club, 17h40, lampes sur les vélos, c’est parti en souplesse.Sans idée précise, ils pensaient s’orienter vers la Flandre, ...je les ai guidés vers le Smeysberg :-D, en arrivant d’abord par Holstheide et le centre de Huldenberg. Tout s’est bien passé ;-) Amusant , il faut se lancer avec le 50 au début du Smeysberg et tout d’un coup il faut embrayer sur le 34, grimpette raide et danseuse jusqu’en haut, c’est ce que je préfère.49 km D+465 27,4 km/h , 8 jours sans vélo ... mais 4 sorties running, indispensable de se dépenser presque quotidiennement pour se sentir bien.https://strava.app.link/1anDP5i1cab Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Olivier DARGE Posté le 30 septembre 2020 Share Posté le 30 septembre 2020 puissance constante ? intuitivement je préférerais varier justement et récupérer un peu entre les difficultés . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Franck PASTOR Posté le 30 septembre 2020 Share Posté le 30 septembre 2020 Le Smeysberg, je l'ai fait justement ce matin, la Brabantse Pijl Cycling Route y passe. Ce qui témoigne de notre différence de niveau, c'est que moi je me lance là-dedans sur le plateau de 34 dents et je passe ensuite sur le 24 dents… Le plus gros que je suis capable de maintenir là-dedans, c'est 24/25, à 13 km/h, les jours de (très) grande forme. Aujourd'hui, comme je voulais m'économiser dans les bosses, je suis monté sur le 24/30 à 9-10 km/h. Dans tous les cas, j'y grimpe assis. La danseuse, c'est généralement pour me détendre, et le Smeysberg n'est pas un lieu de détente. 😃Un peu plus loin, le parcours emprunte aussi la Moskesstraat, que je n'ai plus besoin non plus de te présenter. 😇 Si tu voulais guider tes amis vers un traquenard, c'était l'endroit et le jour idéal : à cause des récentes intempéries, certaines sections étaient encore détrempées et l'adhérence était limite sur les pavés dans le très raide final: je me pensais à l'abri de mauvaises surprises avec mes pneus de 30 mais j'ai quand même patiné plusieurs fois de la roue arrière. J'imagine ce que ça aurait donné sur des pneus fins gonflés à bloc ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 30 septembre 2020 Share Posté le 30 septembre 2020 Si tu éprouves le besoin de récupérer, c'est justement parce que tu as dû développer plus de puissance dans les côtes pour limiter les variations de vitesse pénalisantes sur le plan aérodynamique. Sur une épreuve plate, comme un record de l'heure par exemple, l'effort est relativement constant. Des accélérations suivies de périodes de repos seraient contre-productives. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Olivier DARGE Posté le 1 octobre 2020 Share Posté le 1 octobre 2020 Remarque, en approche de ce Smeysberg depuis le carrefour ça descend un peu, normal que je commence sur le 50. Plus loin je pense que j'étais sur le 34/25-23 mais debout, avec une cadence autour de 75 peut-être (pas pu regarder l'écran, dur ;-) )Mes copains n'ont même pas bronché en retrouvant cette grimpette ;-)La Moskesstraat, j'y retournerai quand les poules auront des dents , j'ai un peu de mal à l'apprécier, doux euphémisme. Pour les estrangers à la région, il s'agit d'une vieille route très raide en pavés à l'adhérence toute relative. Je roule encore en GP4000S 25mm à min 7 bar. Bientôt je repasserai en 23 devant (gonflé à bloc). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Olivier DARGE Posté le 1 octobre 2020 Share Posté le 1 octobre 2020 Je pensais aux parcours "normaux" avec un peu de relief. Et puis le plaisir, les challenges ponctuels, etc. vive la variété ;-) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 1 octobre 2020 Share Posté le 1 octobre 2020 Bien sûr, quand on aime on ne compte pas 😆 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Johan ASSINK Posté le 1 octobre 2020 Share Posté le 1 octobre 2020 Ça ira mieux comme ça: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge MASSELOT Posté le 1 octobre 2020 Share Posté le 1 octobre 2020 Bonsoir,.Points forts de cette sortie club sur 85 kms,le col du Gambet ( var83) pour rejoindre la Londe les Maures , puis la corniche des Bau rouge qui rejoints Carqueiranne au Pradet en surplombant la mer et le chemin de l'Artaude avec son passage à 20% ( 14.5 % de moyenne sur 1km), ciel bleu et soleil sous 9° au départ à 8h00 et 20° au final sous un ciel menaçant mais peu de vent.Sportivement Serge. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Franck PASTOR Posté le 1 octobre 2020 Share Posté le 1 octobre 2020 La Moskesstraat, j'y retournerai quand les poules auront des dents , j'ai un peu de mal à l'apprécier, doux euphémisme. Pour les estrangers à la région, il s'agit d'une vieille route très raide en pavés à l'adhérence toute relative. Je roule encore en GP4000S 25mm à min 7 bar. Bientôt je repasserai en 23 devant (gonflé à bloc).Tu parlais de variété dans un de tes messages ci-dessus. Pourquoi crois-tu que j'utilise des pneus de 30 mm de section ? Ça me permet justement de varier mes terrains de jeu… entre autres, de passer des trucs du genre Moskesstraat en galérant beaucoup moins que du temps où je m'y risquais avec des pneus de 25 gonflés à 7 bars minimum. Résultat: la Moskesstraat est devenue une de mes ascensions habituelles, j'y passe souvent alors qu'avant c'était exceptionnel… 🤐Note qu'elle est prévue dans le parcours de la prochaine Flèche brabançonne professionnelle ainsi que dans celui du championnat du monde 2021 basé à Louvain (Leuven)… de même que le Smeysberg, d'ailleurs. De quoi les faire connaître dans le monde entier ! 🆒 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Franck PASTOR Posté le 1 octobre 2020 Share Posté le 1 octobre 2020 Bedankt Johan, nu werkt het prima! 😄 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Olivier DARGE Posté le 2 octobre 2020 Share Posté le 2 octobre 2020 Sûrement un complot des fabricants de gros pneus et de roues équipées de freins à disque !! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Franck PASTOR Posté le 2 octobre 2020 Share Posté le 2 octobre 2020 Ben oui, un complot, un de plus, on est vraiment cernés par les complots en ce moment.Il y a d'ailleurs un autre complot international (Belgique, France et même Suisse), qui vise à m'empêcher de tourner les jambes à vélo, mais je résiste héroïquement ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés