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Christophe MASSIE

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Tout ce qui a été posté par Christophe MASSIE

  1. C'est délicat. C'est un jugement de Prud'Hommes autour d'une rupture de contrat de travail. Compte tenu du fait que Di Grégorio avait été blanchi en appel (je pense d'ailleurs que c'est ce jugement qui a déclenché une action aux Prud'Hommes), cette suite est parfaitement logique. Elle est un message adressé à toutes les équipes sur ce genre d'affaires, et pour être dissuasif, on peut souhaiter que le préjudice ait été généreusement fixé.
  2. Certes, c'est l'employeur qui paie mais l'argent de l'employeur venant des sponsors, c'est eux qui trinquent d'une certaine manière.
  3. En fait, nos expériences se rejoignent un peu, les sorties courtes et intenses favorisent plus la perte de poids. Ça rejoint aussi la théorie : comme le dit Guillaume, il y a un métabolisme de récupération qui a pour mission de rétablir ce que l'effort a déséquilibré. En l’occurrence, sur un effort intense, on revient avec des réserves de glycogène diminuées. Le métabolisme de récupération va brûler les réserves de graisses pour reconstituer les stocks. De plus, un effort bref ne va pas trop ouvrir l'appétit. Si on modère ses apports en glucides dans les 24h qui suivent l'effort, on va certainement brûler des graisses. Evidemment, il ne faut pas espérer faire le même exercice tous les jours, car les stocks de glycogène n'étant pas reconstitués d'une fois sur l'autre, on va taper dans le muscle assez rapidement et au bout de qqs sorties, ce sera une diminution des performances + fatigue. Personnellement, j'ai remarqué une nette différence du métabolisme de récupération après une sortie intense et après une sortie "foncière". La première ne m'occasionne pas de tendance à l’hypoglycémie, mon besoin en insuline varie peu, juste une diminution au repas qui suit. La sortie foncière par contre m'oblige à diminuer mes apports en insuline dans le repas et la nuit qui suit l'effort (il faut bien qqs avantages au diabète insulino dépendant : ça permet de connaître ses besoins en insuline!). Cela signifie bien que dans un cas, il y a oxydation des lipides après l'effort et dans l'autre des glucides !
  4. Le post est ouvert pour parler d'affûtage, pas de traitement d'un surpoids ou de recherche d'anorexie ! Il est clair que chercher à perdre du poids demande des efforts, sur le plan alimentaire en premier lieu, et peut amener son lot de difficultés. Mais on peut accompagner cet effort par une pratique du sport qui l"optimisera au lieu de le contrarier, ce qui le rendra plus efficace. C'est l'objet de cette discussion, comment s'affûter en maintenant ses performances et en minimisant la fatigue, la faim après l'effort, etc.
  5. Pour perdre du poids sans perdre en puissance, faut pas toucher à la masse musculaire. Au contraire, elle augmente ton métabolisme de base et t'aide à brûler des graisses au repos ... Non, la piste, vu ton gabarit, c'est de perdre de la masse grasse. C'est bien ce que suggèrent certains je crois ...
  6. C'est un peu contraire aux idées reçues En fait, cela fait un moment que des expériences sur des populations témoin ont révélé que l'exercice intense par intervalle occasionnait une perte de poids plus importante que l'exercice d'endurance modéré sur des périodes plus longues. Mais toujours réalisé sur des personnes en surpoids. Pour les sportifs, pas vraiment d'études sur le sujet.
  7. En 2012, j'avais fait ça un moment : apports < dépenses (-3000Kcal/semaine environ). Au bout de qqs semaines, la fatigue est arrivée car c'était en plus une période d'entrainement avec 2 séances intenses par semaine. Mais bon, je crois effectivement devoir passer par une adaptation alimentaire, mais vraiment bien ciblée pour éviter la fatigue justement. Je sens que ça va être simple à gérer ce truc là au niveau des repas en famille ...
  8. Y'en a-t-il parmi vous qui aient remarqué s'il y a des plages d'intensité de travail ou des types de sortie qui favorisent la perte de poids par la fonte des réserves lipidiques ? Personnellement, j'ai regardé un peu mes variations de poids sur les 2 dernières saisons et le travail que j'avais fait à côté, et c'est difficile de mettre des choses en corrélation. J'ai quand même l'impression que l'exercice court à haute intensité favorise plus la perte de poids que l'exercice long et modéré. Je dirais même que ce dernier amènerait plutôt une prise de poids, un peu comme si l'organisme se trouvant confronté à des situations de consommation de graisses compensait en stockant mieux les apports ultérieurs ... Mais bon, tous ces constats sont fait sur des variations de poids moyen pas très importantes : amplitude de 1.5 kg sur une saison. Tout cela pour planifier un peu d’affûtage sérieux l'année prochaine, car j'aurais comme chaque année des objectifs en montagne. Mon poids moyen mensuel cette saison a varié de 77.9 à 79.5 kg pour 1.80 m. Alimentation stable et surveillée, peu riche en graisses. Si je pouvais être à 74 kg au pied des cols, ce serait nickel ! Merci !
  9. Beaucoup de renseignement que j ai lu ici ne m ont pas été communiquées par le médecin ... Et oui, malheureusement, en dehors des médecins de famille, la profession est assez avare en explications. C'est un peu la culture du milieu hospitalier, les médecins parlent aux médecins ... pas aux patients ... pas aux intéressés ... personnellement, je trouve ça horripilant !
  10. Salut Bernard, Qu'en penses-tu ? Effectivement, un test d'effort reflète la forme physiologique du jour par rapport à un protocole théorique (cadence, paliers) et les résultats sont dépendants de l'activité ou la non activité des jours précédents. Tout d'abord, entre la théorie d'un test d'effort au protocole calibré et la pratique réelle et intuitive sur le terrain, il y a des facteurs assez différenciant. Lors de la montée d'un col, si tu cadences à 80 (au lieu de 60 imposés au test d'effort), il en résulte une augmentation de la FC à puissance équivalente, donc du débit sanguin, et donc une diminution du taux de lactate sanguin puisque le débit d'oxygène augmente. Dans ces conditions, les seuils de lactates du test d'effort ne se retrouvent pas sur le terrain. D'ailleurs, essaies de faire l'exercice de monter une même (longue) côte à une vitesse déterminée correspondant à peu près à ta puissance au seuil, mais une fois sur un gros braquet à petite cadence et l'autre fois sur un braquet souple à cadence plus élevée. Tu t'apercevras que la première fois tu as bien mal aux jambes avant de t'essouffler (augmentation des lactates, mais diminution de la FC par rapport à la puissance produite) et dans le second cas, tu atteins au contraire ta limite respiratoire avant ta limite musculaire, car tu oxydes plus vite tes lactates, mais l'effort t'amènera à une FC plus élevée. Ensuite, la recherche des seuils (qui sont définis par rapport à la concentration des lactates) est basée sur l'analyse de l'adaptation ventilatoire, car elle est en correspondance théorique. Mais il y a des exceptions à cette correspondance : certaines d'origine pathologique, d'autres liées au fait que le sujet doit être en pleine possession de ces capacités d'oxydation. Donc en particulier, la réserve glycogénique au début du test doit être normale. Si les stocks ne sont pas correctement reconstitués par rapport à une effort récent, la capacité d'oxydation diminue et les seuils mesurés seront anormalement bas.
  11. Je viens de lire ta réponse Bernard. Voici à quoi correspondent les "ER" et comment ils sont interprétés dans un test d'effort. - ERO2 = équivalent respiratoire O2 = volume d'air expiré pour une consommation d'1l d'O2 - ERCO2 = équivalent respiratoire CO2 = volume d'air expiré pour éliminer 1l de CO2 Ce sont les indicateurs qui permettent de déterminer les seuils, car l'adaptation de la ventilation correspond au métabolisme des lactates. Dans la pratique, les appareils mesurent les volumes d'air expirés et inspirés (les 2 identiques=VE) et dans ces volumes, la quantité d'O2 et de CO2. De là, on déduit le volume de CO2 produit lors de chaque cycle respiratoire (= VCO2=volume de CO2 dans l'air rejeté) et le volume d'O2 consommé dans le même cycle (=VO2=différence entre le volume d'oxygène inspiré et celui expiré). Ensuite, les appareils établissent les courbes VE, VO2, VCO2 et celle des équivalents respiratoires en O2(=VE/VO2) et CO2(=VE/VCO2). Le seuil SV1 est marqué par une inflexion de la courbe de l'ERO2 car à ce seuil, la ventilation augmente pour éliminer le CO2 produit par l'oxydation des lactates qui apparaissent, mais sans augmentation notable de l'oxygène consommé. Il en résulte une élévation significative du rapport VE/VO2 alors que le rapport VE/VCO2 reste stable. Le seuil SV2 est caractérisé par la limite d'oxydation de l'organisme. A ce stade, volumes d'air et de CO2 expirés (VE et VCO2) continuent d'augmenter dans un rapport constant qui est celui observé au seuil SV1 (cela correspond à l'augmentation constante de la production de lactate depuis le seuil SV1). Cependant, au seuil SV2, l'organisme a atteint sa limite de de capacité d'oxydation. Donc la consommation d'oxygène VO2 se stabilise. La ventilation augmentant, le rapport VE/VO2 augmente donc brutalement. On observe donc une 2ème inflexion de la courbe ER02 alors que la courbe ERCO2 ne se modifie pas. Entre les 2 seuils, les volumes VE, VO2 et VCO2 augmentent en proportion de l'effort. Dans cet intervalle, la concentration en lactates augmente mais ils sont oxydés par l'organisme. A tout moment, si l'on stabilise l'effort, on stabilise également le taux de lactates qui est parfaitement supportable. Au delà du seuil, VE et VCO2 continuent d'augmenter, VO2 plafonne. Les lactates produits ne sont plus oxydés, leur concentration dans le sang augmente beaucoup plus vite, celui-ci devient acide. Une stabilisation de l'effort n'empêcherait pas l'augmentation des lactates, car l'organisme est en surrégime par rapport à ses capacité d'oxydation. Les muscles deviennent douloureux jusqu'à la limite que peut supporter le sujet, l'organisme s'épuise. Ce n'est pas une situation à maintenir longtemps car l'acidose devient dangereuse, la tension artérielle est très élevée, le muscle cardiaque est au maximum de ses capacités, donc en risque de blessure. Dans la pratique, cela correspond assez bien à ce que l'on ressent sur son vélo. Le franchissement du seuil SV2 est vraiment perceptible, celle du seuil SV1 est bcp moins marquée, personnellement, je ne l'identifie pas. En fait, j'ai passé moi-même un test d'effort avec mesure des échanges gazeux l'année dernière, et je m'étais bien demandé aussi à quoi correspondaient toutes ces données. Ceci résume les réponses que j'avais trouvées, je pense que ça tient la route ... PS : Bernard, ce post était une réponse à la question de ton intervention précédente sur la signification des ER
  12. Re ! Franchement, les données que tu donnes me laissent perplexes, c'est à dire que les termes employés ne correspondent pas aux valeurs fournies. Je m'explique. Seuil aérobie (SV1) = seuil d'apparition des lactates dans le sang, mais sans accumulation car l'organisme les oxyde. A ce seuil, l'effort reste modéré, la conversation est possible, le quotient respiratoire est largement < 1, c'est à dire que la quantité d'O2 captée par la respiration est supérieure à la quantité de CO2 rejetée. En général, le seuil SV1 s'établit aux alentours de 70% de la fréquence cardiaque maximale. Donc déjà, par rapport à cette définition, ton seuil aérobie ne peut pas être de 165 (ce qui te ferait une FCmax aux alentours de 235 ...) et dans tous les cas, ne peut pas correspondre à un QR de 1.01. Pour moi, c'est ton second seuil, pas le premier. Seuil anaérobie (SV2) = seuil d'accumulation des lactates dans le sang, avec une concentration > 4mmol/l. A ce seuil, l'effort est important, la respiration est ample et rapide, la conversation est très difficile. Le QR=1, voir légèrement au dessus. Cela signifie que l'organisme rejette autant de CO2 qu'il en absorbe, il atteint sa limite de capacité d'oxydation, les lactates produits ne sont plus totalement oxydés et commencent à s'accumuler. En général, le seuil SV2 s'établit aux alentours de 90% de la fréquence cardiaque maximale. Ceci étant dit, on voit donc par rapport à ton test que 184bpm ne peut pas être ton second seuil, cette fois-ci non pas à cause de la FCmax que cela supposerait (aux alentours de 205, ce qui reste encore possible), mais parce tu as un QR de 1.17 à cette FC, donc on est largement au dessus du seuil SV2. Pour moi, c'est ton effort maxi. Donc, d'après les valeurs que tu donnes, ton seuil SV2 est à 165, à peu près cohérent avec une fréquence cardiaque maxi à 184, elle même à peu près dans la norme pour ton âge. Tu dois certainement avoir sur ton test la puissance fournie à cette fréquence, c'est cette donnée qui te permet de connaître ton potentiel de performance sur un col par exemple. A 184bpm, tu produis ton effort maxi. Tu as un QR à 1.17, il est normal que le médecin arrête le test. Tu devais quand même pas être très à l'aise à ce stade, avec des jambes douloureuses et un essoufflement très marqué. On sait que l'on peut continuer qqs secondes, mais l'organisme étant au max de ce qu'il peut faire, l'épuisement est vite atteint et la performance régresse ensuite. Sinon, à ma connaissance, tous les protocoles de mesure sont basés sur une fréquence de pédalage relativement basse. C'est certainement lié au fait qu'une cadence élevée accélère le rythme cardiaque, le débit sanguin et donc diminue la concentration des lactates, et augmente ainsi les seuils. En conclusion, tu ressors avec une puissance max de 325W obtenue à 184bpm, une puissance au seuil anaérobie qui doit se situer qqpart entre les paliers 275W et 300W (il faut regarder ta FC moyenne à ces paliers puis extrapoler), fournie à 165bpm, soit 90% de ton max. Et donc, mes conclusions sur ces données dans mon 1er post ...
  13. Il n'y a pas vraiment de contraste à relever. Si l'on fait l'hypothèse que les 325W sont atteints à l'effort maxi (donnée hypothétique), alors dans ce cas, le QR est > 1 et le raisonnement est faux (et non pas semble faux). Par contre, si les 325W sont atteints au seuil (toujours hypothèse), alors QR=1 et le raisonnement est vrai ... Mais d'après les infos fournies, le seuil est à 165bpm. Sinon, je pense effectivement que le test s'est arrêté à cause de Scarlett Johanssonn. Hypothèse aussi ...
  14. Je parle du raisonnement que démontre ton excellent calcul ! Mais bon, soit, si l'on part du principe que l'interprétation des données est hypothétique, il faut effectivement tout mettre au conditionnel ...
  15. Bientôt, not'Jojo il va faire en dénivelé ce que les débutants font en distance. Si c'est pas pénible un peu ce temps de voiture pour aller au point de départ !
  16. Dans ce cas, le raisonnement est faux car dans le test, il semble que 325W soit la puissance développée au dernier palier, à une pulsation de 185bpm qui est donc la valeur de FC max lors du test. A ce régime cardiaque, le QR est supérieur à 1, car il s'agit d'un effort anaérobie. Mais bien vu pour le calcul qd même. En fait, le résultat n'est pas trop bien présenté, il faudrait avoir : - le protocole de test - FC puissance et VO2 au 1er seuil - FC puissance et VO2 au 2nd seuil (==> VO2 max) - FC puissance et VO2 au dernier palier
  17. Salut Pierre-Anthony, Ton niveau de puissance n'est effectivement pas spécialement élevé. Dans l'absolu 325W au max à l'effort, c'est bien mais sans plus pour ton âge et ton poids. Mais rapporté à ton expérience de cycliste, c'est pas mal du tout et avec 16 mois de pratique, ta marge de progression est encore importante. Mais dans un test d'effort complet comme celui-là, les chiffres les plus importants ne sont pas ceux-là. Plus intéressante est la VO2max. Cette donnée se ramène à la masse corporelle pour rentrer dans une échelle de comparaison. Ramené au poids, cela te fait met à 53ml/mn/kg. C'est perfectible à 33 ans. L'entrainement et la poursuite de ta perte de poids devraient rapidement te faire passer au dessus des 60 (ne serait-ce qu'en arrivant à 4500ml/mn avec un poids de 72kgs pour 1m74). A plus de 60, ça fait déjà une bonne cylindrée. L'autre point intéressant, c'est ton seuil anaérobie à 165bpm. Tu indiques aérobie, mais je pense qu'il doit s'agir du second seuil, SV2, dit anaérobie. Il est atteint à 89% de ta FCmax et pourrait être aussi plus haut, ça te permettrait de travailler à un niveau moyen de puissance plus élevé. L'amélioration de la VO2max se travaille par des séances anaérobies, à des FC proches du max, par intervalles courts. L'amélioration du seuil anaérobie se travaille par des séances de fractionné également, mais sur des durées plus longues et à un niveau d'intensité plus bas, correspondant au seuil SV2 connu, voir très légèrement en dessous.
  18. C'est une belle aventure, et surtout un bel exploit sportif. Un tel parcours demande quand même une condition physique exceptionnelle. Pour avoir bien souffert sur des distances et des dénivelés moins importants, j'en mesure bien la difficulté. Vraiment, un grand bravo et merci pour le récit et les photos !
  19. Je sors effectivement 2 fois par semaine. La sortie 4, je suis en moyenne à 85% sur l'ensemble de la sortie. Ça a été une sortie dure, mais avec une récupération assez rapide derrière. Et la sortie 5, parti bille en tête, un peu en dedans les 3 premiers km pour avoir un minimum de mise en jambes, et le reste à fond, 87% sur l'ensemble de la sortie. Au retour de ces sorties que je fais au max jusqu'au dernier mètre, je fais 2 ou 3 tours dans le village à l'arrivée pour faire tourner les jambes. En fait, j'ai pris la mauvaise habitude de revenir d'une sortie avec un "résultat" : le + souvent un record sur le temps total, ou sur les temps cumulés en côte. Sept/Oct, c'est souvent une période de record pour moi car les objectifs de l'année sont passés, je n'ai plus d'entrainement de préparation à mener, j'essaie de profiter de mes acquis et de poser de nouvelles références pour l'année d'après. Ça ne dure qu'un temps, comme tu le dis, la fatigue m'a rattrapé. Sans que je m'en aperçoive !
  20. En fait, quand je dis de bonnes jambes, c'est que je progresse en braquets dans les côtes, et j'atteins ma limite respiratoire avant ma limite musculaire. Mais avec tes explications, je vais revenir à des sorties plus raisonnables et seulement 1 par semaine où je ferais mes "CLM" sur mes parcours de référence ...
  21. "Quand tu fais des sorties "dures", tu fais des séries, ou tu passes quasiment toute la sortie dans les zones hautes ?" Répartition sur mes 5 dernière sorties : 71/21/8 (4h30), 50/42/8 (1h45), 58/40/2 (3h45), 13/72/15 (4h00), 5/80/15 (1h30). Dans les sorties dures (les 2 dernières de la liste), je suis en zone haute quasi toute la sortie.
  22. Salut Guillaume, Je n'avais pas pensé à cette explication. Il s'agit en fait de fatigue cardiaque donc ? Car côté jambes, comme je le disais, je prends 2 à 3 jours de récup après mes sorties les plus intenses, et en général je ne ressens pas de fatigue physique pour la sortie d'après. Sinon, si on prend le cas d'un coureur qui fait une course tous les dimanches. Il peut respecter cette répartition des intensités de travail dans les entraînements, mais au final, en cumulant avec sa course où il est sans doute à 85-95% en permanence, il ne doit pas être loin de mes chiffres non ?
  23. On lit couramment que le temps d'entrainement doit se répartir entre les 3 zones d'intensité de la manière suivante : - endurance fondamentale (60 à 80% FCM) = 80% - résistance douce (80 à 90% FCM) = 15% - résistance critique (90 à 95% FCM) = 5% C'est à peu près la moyenne des chiffres. J'ai fait un relevé sur les sorties des 6 dernières semaines, soit un peu plus de 40h, et je trouve une répartition 45/48/7. Du point de vue forme du moment, côté jambes tout va bien, mais par contre, côté respiration, je trouve que j'arrive trop vite à mes limites dans les côtes montées en rythme, justement en ce moment, impossible de dépasser les 95% FCM, ce qui m'arrivait encore fréquemment en début de saison, dès que je décidais de terminer une côte en sprint par exemple. Y a-t-il une explication ou bien est-ce encore la conséquence des sorties longues (très longues) faites au mois d'août ? Si qqun peut apporter ses lumières, merci ...
  24. Dans ce genre d'exercice (partie force), faire gaffe qd même de ne pas se niquer les lombaires si on met les mains en bas du guidon, ou se flanquer une tendinite au genou ... Sinon, la description de l'exercice est top, ça sent le vécu à pleins poumons.
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