Christophe MASSIE

http://www.sportcommunication.info/web2010/resultat.php?annee=2012&parcours=1&cat=101&langue=1 Ton pote est donc dans la liste des 20 1ers qui font moins de 6h ?

Si on se fie au calculateur de puissance de de vo2cycling : avec une vo2max de 55 et toutes les ascensions à 80% vo2max (soit un peu en dessous du seuil), on obtient une VA de 940m/h ==> 5h d'ascension pour les 4 cols. Reste 4h pour les 50kms de plaine, les 55kms de descentes et les arrêts divers. C'est jouable, mais faut être au top niveau préparation.

Je me suis fait un tableau sur Excel pour ça, si tu me donnes ton adresse mail en MP, je te l'envoie. Tu auras juste à saisir la circonférence de la roue et le nb de dents de la K7 et des plateaux. Après, c'est tout simple, tu saisis ta cadence et il de fournit tout de suite la vitesse sur tous les braquets possibles.

Ah non, c'est trop facile. Les mains dans le dos.

Sur ma k7 11x28, le 34x14 ne couine pas, et le 50x21 non plus. Il faut dire qu'en dessous du 14, j'ai encore 3 pignons, donc c'est finalement assez proche du centre sur la k7. L'un comme l'autre restent des développements modérés. Lorsque j'utilise le 34x14, c'est souvent en pied de bosse au moment où je quitte le grand plateau que je sais ne pas pouvoir emmener jusqu'en haut. Le 34x14 me permet de conserver de la vitesse. Après, évidemment, je remets des dents au fur et à mesure de la difficulté. Le 50x21, c'est plutôt sur les parties un peu ardues des parcours non vallonnés (vent de face ou bon faux plat ou coup de cul sur un petit raidard). Je fais des exos de force en ce moment. 50x17 sur un 1km dans du 6-9%. Cadence 40/42. Je me fais bien chier. C'est pas grave, je suis grand plateau, je suis sûrement bon ...

Je ne vois pas trop l'intérêt de parler petit et grand plateau pour évoquer le développement que l'on utilise. Quand on emmène un 50x21 ou un 50x24, on a beau être grand plateau, c'est plus ce que j'appelle du braquet. Il serait plus logique de se mettre 34x14 ou 34x17 pour ce qui est de la position de la chaine, sauf à vouloir éviter l'inconfort d'un chgt de plateau en bas puis en haut d'une bosse pas trop méchante. Grand plateau / petit plateau, pour moi, ça ne qualifie pas grand chose.

Je ne pense pas qu'il y ait de véritables solutions. L'hyperventilation nécessaire aux efforts d'EPI sera forcément moins efficace avec un tissus devant : d'une part, l'air repris en aspiration sera plus chargé en CO2, celui-ci de l'expiration qui a précédéet d'autre part, le débit d'air (donc d'oxygène) est nécessairement diminué par le tissu que l'on peut mettre devantJ'ai également le même pb. Je met mon tour de cou jusque sous le nez dans les phases de détente, et je l'enlève dans les phases d'effort. Hier, 40mn d'efforts ainsi réalisés en ventilation forte par 3°C (seuil, pas PMA), et 1h10 avec le tour de cou. J'avais la voix claire en rentrant !

Depuis juillet, je me pose aussi la question de le faire. Mon idée au départ était de faire un 24h non stop, plutôt sur une boucle pour simplifier l'organisation, mais après tout, un Bordeaux Paris, pourquoi pas. Il y a aussi les 24h du Mans, seul ou en équipe. J'en avais parlé à Joachim en août qui m'avait donné tous ces conseils qu'il vient de rappeler et j'avais commencé ma préparation. Je suis arrivé sans trop de difficulté à boucler des parcours de 200kms/1000mD+ (1 par semaine, 3 au total, le dernier en 7h30, arrivé dans un bon état de fraicheur) puis un de 300kms/2000mD+ (quasiment 12h, plus difficile à cause du relief). Ensuite, j'ai arrêté, c'était trop tard pour cette saison. De cette petite expérience, je retiens qu'au delà d'un certain kilométrage, il n'y a pas de dégradation supplémentaire de l'organisme à partir du moment où on s'alimente on s'hydrate correctement. Un niveau de fatigue relativement stable s'installe, assez pesant, et tout l'enjeu consiste alors à traîner cette fatigue le plus loin possible, s'en accommoder, bien repérer toutes les petites choses qui peuvent faire du mal et les éviter, et inversement. Il y a un côté très lancinant, très automatique dans le rythme de croisière. Lorsque je suis rentré de ma sortie de 300kms, 100 kilomètres supplémentaires n'auraient pas été plus pénibles physiquement que les 100 derniers. Sauf que je n'en aurais pas fait un de plus car pas programmé pour ça psychologiquement. Donc comme le dit Joachim, il arrive un moment où c'est la volonté qui doit prendre les choses en main pour aller jusqu'au bout. Il faut se programmer correctement et avoir une détermination sans faille. Il faut aussi savoir que si ta préparation tourne exclusivement autour de longs parcours à effort modéré, tu deviendras assez vite un bon diesel, et il te faudra faire un peu d'intensité ensuite pour retrouver de la réactivité cardiaque et monter dans les tours ...

Finalement, ça me fait plaisir de voir autant de grincheux au vent. Car en lisant certains, j'avais fini par me sentir marginal de ne pas penser que le vent c'était normal pour un cycliste, que c'était pas grave, qu'il fallait quand même tenir son effort, sur un bon 50x17 bien sûr, patati patata ... tout sauf la vraie vie un jour de vent quoi !

Je crois aussi comme Joachim que le vent est un malaimé pour des raisons psychologiques. Il est vu comme un intrus à qui on a rien demandé et qui nous pourrit la vie là où ça devrait être facile. Il massacre la moyenne, rallonge le temps de parcours, demande un effort à la pédale permanent, etc. C'est un ingrédient rarement prévu dans une sortie. Comme nos presque voisins Belges, on est bien servi en Picardie, surtout en ce moment. L'autre jour, justement, on avait un bon vent annoncé de 40/45kmh, et j'ai fait ma sortie départ vent de face. Dans des faux plats entre 2 et 4% avec un tel vent, c'est parfois petit plateau et 17/18kmh ! En fait, pour éliminer l'impact psychologique, je fais 2 choses depuis peu : 1/ je met un bonnet qui couvre bien les oreilles, déjà, ça élimine une bonne partie de la présence auditive du vent. Et 2/ je me reconditionne en me disant que pour une fois, je vais pouvoir faire un effort proche d'une ascension de col dans ma plate région ... Du coup, ça devient motivant, à condition bien sûr d'abandonner l'idée plus ou moins installée d'essayer de faire un bon temps sur la portion de parcours en question et de se reprogrammer. Moi qui suis toujours plus ou moins en train de penser à mes futurs défis en montagne, c'est un gymnastique de l'esprit finalement pas trop compliquée ... Par contre, il y a eu des moments cette année, surtout quand je faisais des sorties contre la montre, pour taper un bon temps sur un parcours donné, où là, je pestais et me décourageais. Ca m'est déjà arrivé d'avancer en côte face au vent comme un enragé en hurlant des injures qui m'auraient valu l'internement immédiat si j'étais tombé sur une brigade ...

Je crois que personne n'aurait de remarques à faire à propos de ce que tu évoques. On ne mesure pas la valeur d'un homme à la qualité de son orthographe. Mais ici, à l'évidence, les fautes sont intentionnelles, au point que c'en est grossier et trivial. Pour ceux qui ne les auraient pas vues, la perche est même tendue ! Et donc certains s'agacent de voir une pareille bouffonnerie, le troll qui n'arrive même pas à se faire passer correctement pour un troll, faut pas être malin tout de même ... Et je ne parle pas du post en lui même : la respiration sous la pluie ... en voilà un vrai sujet de discussion !

C'est un schéma que j'ai vu assez souvent dans les pgms d'entrainement pour cyclos montagnardes. Sauf que I5, c'est plutôt 95-100% PMA. Un exercice comme ça doit sans doute augmenter également la tolérance aux lactates. Par exemple : http://www.lookcycle.com/fr/all/look-cycle/coaching/preparer-l-etape-du-tour.html J'y vois une logique de travail différente que le pur exercice de PMA ou de seuil. En l'occurrence, il s'agit de mettre l'organisme dans le rouge après 4' de seuil. Ce n'est pas du tout pareil en termes d'effort que de se taper 1' à I5 en partant d'un rythme simplement soutenu. C'est aussi s'habituer mentalement à se faire violence à un moment où au départ on n'est pas du tout "confortable". Je fais en ce moment des exercices de ce type en côte, en format réduit, ce qui donne plutôt 3' au seuil et 40" en sprint pour terminer la côte. Le moment où tu lèves ton cul pour sprinter alors que tu es déjà en difficulté respiratoire, c'est dur mentalement, et l'accélération qui va derrière fait vraiment mal ... Au final, d'une séance sur l'autre, j'ai + de facilités dans les 3' de seuil et en toutes circonstances, un coeur plus apte à approcher son rythme maxi.

Çà, c'est sûr, dès qu'on veut être sérieux sur la diététique, tout ce qui est industriel, il faut vite oublier. La quantité de lipides qu'on trouve dans tous ces plats préparés est assez impressionnante. Ce qui est particulièrement piégeur, c'est qu'on en trouve même là où il ne devrait quasiment pas y en avoir, comme des préparations à base de légumes. Un p'tit coup d'oeil au tableau des apports alimentaires révèle parfois de sacrées surprises ...

Eric a fait une réponse assez complète et je partage son point de vue. Une alimentation adaptée, en quantité comme en timing, est un facteur optimisant à la fois la préparation et la récupération, donc les perfs. Je n'ai pas de retours d'expérience à faire sur des choix d'alimentation ayant abouti à une augmentation de performances, car vu mon niveau, j'ai bien d'autres leviers plus efficaces à travailler avant d'en arriver là. Mais je peux témoigner que l'on peut mener un "affûtage" par déficit de calories sans perte de performance à condition de bien équilibrer la provenance des Kcal et de les avaler au bon moment. J'ai pu constater par exemple qu'une répartition énergétique 55%glucides, 15% protéines et 30% lipides répondait assez bien aux besoins physiologiques. Je suis même à 60/15/25 pour les jours avec sortie>3h ou sorties de travail intense. Repas du soir léger, et lipides plutôt au p'tit déj. Alors maintenant, allez-y, faites l'expérience de ne mettre que 30% de lipides dans votre alimentation, vous verrez que ça fait pas bcp ... NB : petit rappel : 1g glucide ou de protide apporte 4Kcal, mais 1g de lipide en apporte 9 (et pour la petite histoire, 1g d'alcool en apporte 7, totalement inutilisables pour le muscle).

Salut Guillaume, j'ai regardé l'historique des mesures, à 1'30" ==> 124bpm soit -28%. En fait, je suis effectivement dans un exercice de série : 3 ascensions de cette côte enchaînées, avec descente sans tourner les jambes, détente de 15' sur le plat et rebelote. Entre le haut et le bas, ma récupération cardiaque me semble bonne, et quasi constante, je reviens aux alentours de 100bpm au pied de ma côte après descente en roue libre. Mais à côté de ça, le max que j'atteins décroit : 173/168/167 la 1ère série, 164/164/163 la 2ème. Mon temps d'ascension va bien sûr en augmentant d'un effort sur l'autre. Je cherche bien sûr à interpréter ces résultats ... Au fait Guillaume, regardes bien tes mails du mois dernier ...

Ah ! Merci Bernard.

Ca nous met pas trop loin : env. 47% de récup pour toi en 3', et 41.5% de récup pour moi en 2'30, sachant que je suis sur un vélo en mvt même sans tourner les jambes, on doit récupérer un poil moins bien que sur un trainer statique pdt la phase récup. Et alors Bernard, ton temps de récup de l'époque, tu le qualifiais comment ?

Bonsoir, Quelqu'un saurait-il qualifier un temps de récupération cardiaque après effort ? Je précise ma question autour d'un exemple vécu cet am : - FC repos ce matin = 43 - Effort : côte de 1.5 km grimpée au seuil, puis sprint en danseuse sur les 200 derniers mètres. - Au pied de la côte : FC = 118 - En haut de la côte : FC = 173, mon max ou quasi - Arrêt immédiat de l'effort et descente les jambes statiques - FC à 1' : 145 - FC à 2' : 114 - FC à 2'30 : 101 Je cherche à savoir si ce sont de bons temps de récup ou pas, je n'ai pas trouvé bcp de littérature sur le sujet ... Merci pour vos avis éclairés.

Ouais, en plus ! Mais bon tu sais ce que c'est, hein, les acquis sociaux ...

Les français seraient plutôt malvenus de se plaindre d'une quelconque sous-représentation dans cette épreuve. Pas trop d'accord, moi, je comprends parfaitement. L'endroit n'a nul besoin de l'organisateur et de ces hordes de hollandais. Sportcomm n'a pas inventé l'Alpe ni le Galibier. et le parcours existe en tant que tel. De toutes façons, cette cyclo n'amène pas un vrai brassage international, mais plutôt une colonisation bien ciblée sur 1 ou 2 nationalités. Il y a eu appropriation. Derrière, l'attitude de SportComm ne relève que de la complaisance économique. Et cette espèce d'ambiance "Ici, c'est chez nous" entretenue par les hollandais autour de l'Alpe d"Huez est horripilante. J'ai fait 2 fois l'Alpe cet été. La 2ème fois, je m'arrête au bar à l'entrée du village d'Huez pour acheter un jus de fruit. Les proprios tranquillement assis à une table en train de discuter avec leurs copains en néerlandais ne bronchent pas. L'un d'eux devant mon attente insistante finit par me toiser du regard et pousse du coude sa copine qui termine tranquillement sa conversation avant de venir vers moi. Je lui demande une boisson sucrée en français. Elle me fait une mine interrogative (hypocrite et tête à claque) du genre : "Comprend pas, quelle est cette langue ?? " Je demande en anglais. Elle me fait répéter , genre je comprends très mal l'anglais. Pour finir, j'arrive à avoir mon jus de fruit, pas un sourire, pas un remerciement, ni bonjour ni au revoir. Bref, c'est un bar de hollandais pour hollandais. Je ne parle pas des inscriptions partout le long de la montée. Cette attitude est envahissante, peu accueillante et génératrice de ce que j'appellerais un "ghetto de nationalité". Elle est parfaitement volontaire et incorrecte.

Bonsoir Marc, je connais cette manip, c'est bien celle-ci que j'ai essayée plusieurs fois sans succès hier. En fait, j'ai résolu le pb il y a moins d'1h ! J'ai changé la pile de mon CS400 (trop faible pour avoir une bonne émission IR, j'avais eu un msg de pile à changer il y a qqs temps, mais comme tout fonctionnait bien jusqu'alors... ), j'ai désinstallé le dernier driver de la clé infra-rouge que j'ai testé car j'en avais essayé plusieurs, voyant que celui livré avec la clé ne fonctionnait pas, j'ai réinstallé le driver fourni avec la clé ET j'ai redémarré mon PC, le driver étant un exécutable qui semble rester en mémoire ... . Depuis, tout va bien. Merci quand même. Apparemment pas bcp de possesseurs de CS400 sur le forum.

Bonsoir, Je crois qu'il y a des utilisateurs de POLAR modèle CS400 sur le forum. Je voudrais transférer des résultats de sorties mémorisés sur le POLAR vers le logiciel POLARPROTRAINER5 installé sur mon PC (sous XP). J'ai la clé USB IR de POLAR. Quelqu'un peut-il m'indiquer la marche à suivre car lorsque je suis les instructions du manuel, impossible de faire le transfert ? Merci pour votre aide ...

C'est un article partisan, subjectif et caricatural c'est certain. Mais tous ces défauts d'analyse sont involontairement entretenus par certains traits qu'il souligne et qui sont assez juste. Et notamment, ce côté déguisement de la tenue de cycliste ! Je suis sûr quand même que même si elle convient techniquement à la pratique de notre sport, elle plait à bon nombre pour la ressemblance que ça leur donne avec les cadors du milieu pro. Il est vrai aussi que le look casque + lunette dépersonnalise totalement l'apparence en même temps qu'il donne un air pas vraiment sympa. Et que dire des tenues vendues en grande surface avec tous ces logos ?? Je ne parlerai pas du look que ça fait aux buveurs de bière, obligés de pédaler à 10h10 avec les genous écartés pour laisser place à l'énormité du ventre ... franchement, j'en croise plus d'un dans le genre ! Ajoutons que le milieu pro ne donne pas non plus une image très vertueuse de ce sport ... Bref, tout ça cumulé fait que ce genre de papier n'a absolument rien d'étonnant. Mais c'est comme toujours, il suffit d'une minorité pour déformer l'image d'une communauté toute entière.

Et non, pas possible ! C'est un peu pour ça que j'ai rapidement abandonné ce logiciel au profit d'OpenRunner que je trouve franchement plus pratique et convivial, même si le calcul du d+ laisse parfois perplexe ...

Clic droit pour poser des points et avoir le calcul automatique du parcours. Pour revenir au dernier point POSE (et non au dernier point calculé), cliquer sur "Effacer la route calculée". Ca te ramène au dernier point que tu as posé.