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Christophe MASSIE

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Tout ce qui a été posté par Christophe MASSIE

  1. Merci pour ces infos Eric. Lors de mes séances, je règle la résistance sur 5, ça fait un effort modéré pour mon poids de 76 kgs. Pour les cadences, je suis bien dans la fourchette que tu indiques. Je pense qu'il me faudra qqs semaines pour voir les effets sur le vélo, le poids et la reprise d'un peu de vigueur dans les épaules ... A+
  2. Salut Julien, merci pour ce petit retour. En fait, avec les séances qui s'alignent, cela va de mieux en mieux. Hier soir, séance de 45mn sans pb au niveau des lombaires. Cette fois-ci, j'ai pu atteindre les 130/140 de moyenne en pulsation dans les phases de travail en force. Donc ça se met en place progressivement. Après avoir trouvé pas mal d'infos sur un site, je pense que la bonne démarche pour débuter, c'est de travailler à de faibles cadences (entre 20 et 25 coups de rame par mn), en se concentrant bien sur sa position, et en augmentant progressivement l'intensité de son tirage. Cela revient à mettre en place progressivement un travail de force, finalement un peu comme sur le vélo, effort musculaire et faible cadence. Pour un objectif de reconstruction musculaire, je pense que c'est pas mal. A+
  3. Bon ben à ce que je vois, en dehors de la réaction de Gérard, je suis le seul à ramer sur ce forum ! Pourtant, je crois bien qu'il y en a plusieurs qui ont fait ou font encore de la muscu par ici non ?
  4. En ppe, si tu soutiens ta glycémie avec une boisson sucrée pendant l'effort, aucun risque. Je dirais même que pour une sortie de 1h15, sauf à partir avec une glycémie particulièrement basse, le risque d'hypo est quasi inexistant même sans rien manger.
  5. Toujours dans le but d'approfondir le sujet, j'ai eu l'idée (mauvaise?) d'un échange téléphonique avec Alain. Je passe le détail pour conclure qu'il n'en est pas sorti grand chose de convaincant sur cette histoire de pic de glycémie invariable à 30mn. En revanche, Alain m'a filé les références d'une thèse très intéressante sur l'impact des fibres et des aliments à faibles IG sur la réponse glycémique. Elle ne démontre en rien cette histoire de pic à 30mn. Elle évoque au contraire tout au long de son exposé la réponse glycémique post-prandiale sur les 120mn qui suivent l'ingestion. Mais au delà de cette histoire, de pic à 30', 60' ou 90' ui n'a finalement pas d'intérêt en soi, elle replace bien l'intérêt de l'IG en tant que moyen formel permettant de mieux maîtriser les pics d'insuline et de glycémie qui peuvent avoir lieu après le repas, selon les aliments que l'on mange, et de la prévention de l'apparition du diabète de type II et du surpoids (l'insuline étant un inhibiteur de la lipolyse). Pour ceux qui aiment : http://tel.archives-ouvertes.fr/docs/00/87/84/36/PDF/TH2009_Nazare_Julie-Anne.pdf Du coup, pour en revenir au sujet initial, je dirai qu'il est important de connaître l'IG d'une boisson à base de malto avant de s'en servir en préparation d'épreuve. S'il est faible, on peut en consommer à tous moments de la journée, et s'il est élevé, on peut faire comme le suggère Gérard, c'est à dire le noyer dans le bol alimentaire d'un repas, ce qui diminuera nécessairement son IG. Dans le doute, et bien ce serait la méthode Gérard ... Je complète : pour ce qui est des moyens d'assurer les recharges de glycogène, il y a en ppe ce qu'il faut dans les aliments de tous les jours, entre les fruits, les légumes secs, les pâtes ... le choix est vaste en produits à faible IG. Çà rejoint d'ailleurs les propos d'Alain au tout début.
  6. Non, ne pars pas ! J'aimerais bien savoir quand même d'où tu tiens cette information sur le pic de glycémique invariable à 30' et le fait qu' l'IG ne refléterait que la hauteur de ce pic ...
  7. Bah, je te trouve dur ! On parle d'un sujet complexe mais intéressant, chacun vient exposer son point de vue, l'état de ses connaissances, ses arguments. Comme dans tous les débats contradictoires, il y a des agacements, c'est tout.
  8. "La notion de sucres lents et de sucres rapides est aujourd'hui dépassée et remplacée par l'index glycémique" La notion d'IG traite bien du même sujet (lent/rapide), mais avec un formalisme beaucoup plus précis. Je ne dirais pas que l'un remplace l'autre, mais plutôt qu'il le complète ou le précise de manière quantifiée. Ce qui est dépassé et faux, c'est la notion de sucre complexe ==> lent et sucre simple ==> rapide.
  9. Alain, j'ai lu ton article, mais j'avais déjà ces informations. La seule affirmation que j'y trouve et qui ne correspond ni à mes connaissances, ni à mes expériences pratiques concerne justement l'apparition du pic de glycémie à 30mn quel que soit l'aliment ! De plus, je maintiens que l'IG présente un intérêt parce qu'il est justement un indicateur de la vitesse d'assimilation des glucides par l'organisme. Pour répondre à ta question (sur quels travaux te fondes-tu ...), je me fonde plus sur des résultats d'examen, sur des informations que j'ai recueillies et sur mon expérience pratique d'échanges avec des praticiens (diététiciens, endocrinos) et mes mesures quotidiennes de glycémie. Pour ce qui est des résultats d'examens Une hyperglycémie provoquée génère un pic de glycémie à 1h environ, pas 30mn. Je l'ai observé pour moi, pour l'un de mes fils qui a également fait cet test et qui n'est pas diabétique, et c'est ce que tu trouves sur les différents supports qui parlent de ce test sur le net. Pour ce qui est des informations connues sur le sujet Si je reprends ton affirmation, selon laquelle l'IG ne mesure que la hauteur d'un pic de glycémie qui serait invariablement situé à 30' de l'ingestion, dans ce cas, je dirais que la notion d'IG serait sans intérêt. Ce qui est intéressant d'étudier, c'est bien la vitesse d'assimilation des glucides et leur compatibilité avec le fonctionnement de notre organisme et de nos métabolismes. De ce que j'en sais, l'index glycémique d'un aliment est lié à son temps de vidange gastrique. Je dirais même qu'il en est la conséquence. Ainsi, il mesure une notion liée à l'étalement dans le temps de son assimilation. Si cet étalement augmente, le pic de glycémie se trouve diminué et reculé dans le temps. La notion de pic "instantané" n'est d'ailleurs pas en soit très intéressante, et le fait que le pic instantané apparaisse 30mn ou 1h30 n'a pas d'importance. Il est plus pertinent de qualifier la période qui encadre ce max (mettons celle où la glycémie est supérieure à 50% de l'accroissement entre valeur de départ et valeur maxi). Ainsi, un IG élevé provoque un pic de glycémie rapide, élevé mais peu étalé dans le temps. C'est le métabolisme des glucides dans son ensemble qui se trouve accéléré et concentré sur une courte période de temps, bien souvent en déphasage avec les besoins et les capacités de l'organisme. Il en résulte des conséquences nuisibles sur le long terme : épuisement de la fonction de production d'insuline au niveau du pancréas, diminution de la sensibilité à l'insuline de nos cellules, transformation des glucides qui arrivent trop vite en acides gras libres et donc installation d'un surpoids. Tout cela est bien en rapport avec une notion de rapidité excessive. A l'inverse, un IG bas provoque un pic de glycémie moins haut et plus éloigné de l'ingestion. La période de libération du glucose est étalée dans le temps, elle est adaptée à la cinématique de notre métabolisme. Les glucides ingérés peuvent être intégralement convertis en carburant instantané, etc. Pour ce qui est de la pratique Les études que l'on trouve ça et là et qui ne sont pas très nombreuses ont une limite liée à leur caractère théorique, même si elles sont souvent accompagnées de tests sur des populations, tests d'ailleurs menés dans une optique de confirmation d'une conjecture. Elles ne valent pas l'expérience d'observation des praticiens au quotidien (et que je fréquente régulièrement puisque je suis diabétique). Or, si tous les praticiens focalisent aujourd'hui leur attention sur l'IG, et c'est ce qui en fait son intérêt, c'est justement qu'il est révélateur de la vitesse d'assimilation des glucides, qui est une notion fondamentale, aussi bien pour le sujet sain que pour le diabétique. D'autre part, au quotidien, je mesure ma glycémie entre 7 et 10 fois par jour. Je retrouve bien dans les résultats de mes mesures l'incidence des IG sur la glycémie, aussi bien en pic qu'en étalement dans le temps. Ça vaut bien une étude je pense ...
  10. Tous les glucides qu’ils soient simples ou complexes provoquent un pic de la glycémie 30 minutes après leur ingestion. doc il n'y a pas de notions de lent ou rapide là dedans Alors là, je ne suis plus d'accord. Le pic de glycémie sera plus ou moins éloigné de la prise selon l'index glycémique justement. Tu prends 50g de sucre blanc, ton pic de glycémie est plus probablement à 1h. Tu prends 200g de pâtes cuites (équivalent en apport glucidique), ton pic de glycémique est plutôt à 2h/2h30 et il est bcp plus bas. Il y a donc bien un effet d'étalement dans le temps plus ou moins marqué, et les termes de lent ou rapide ont un sens. Pour moi, la notion qui est périmée, c'est celle de glucide simple/complexe, pas celle de rapide/lent.
  11. Oui, la lecture de la glycémie toutes les 10' après ingestion permettrait de tracer la courbe de réponse glycémique (celle qui sert à établir l'IG, il y a une petite erreur dans ton post, tu parles de la courbe de réponse insulinique qui sert à mesurer l'index insulinique). Le pb, c'est que cette courbe de réponse peut avoir des variations d'un sujet sain à l'autre, selon justement le fonctionnement de son pancréas et sa sensibilité à l'insuline. Il faut alors observer le pic de glycémie, apprécier s'il est élevé ou pas, mais aussi la fin de la courbe qui peut donner éventuellement une indication sur la réponse insulinique du sujet : si la glycémie revient à un niveau très inférieur à celle de départ, c'est que le produit consommé déclenche une réaction insulinique brutale, et donc a un effet hyperglycémiant brutal. Ce serait bcp plus facile à percevoir chez un sujet diabétique. Je m'explique sur un exemple : le matin, mon petit déjeuner est calibré sur 110/120g de glucides. Je fais attention justement à ne choisir que des aliments à IG faible ou modéré : pain avec farine complète, certains biscuits que l'on trouve au rayon diététique, pomme. J'ajoute une part de fromage, les lipides ralentissent le métabolisme des glucides. Je met qd même 2 sucres dans le café et un peu de confiture maison (peu sucrée) sur les tartines. Pour métaboliser tous ces glucides, il me faut une certaine quantité d'insuline, celle-ci se chiffre en "unités" (pour info, 1 unité contient 1/22 de mg d'insuline cristalline pure). Il m'en faut ainsi 6 unités. En général, ma glycémie ne dépasse pas les 1.30 g/l dans les 2h qui suivent et revient à la normale ensuite. Si je m'avisais de prendre l'équivalent en glucides sous forme de malto pure et de faire mes 6u d'insuline, il me suffirait d'observer ma courbe de glycémie pour voir si la malto en question à un IG élevé ou pas. Avec un IG est élevé, les 6u seront insuffisantes et ma glycémie va partir en sucette : 1.80 g/l, ou 2.50 g/l ! Beaucoup plus facile à interpréter que la fin de la courbe chez le sujet sain ... Bon je te préviens, je ne servirai de cobaye à personne !
  12. "Oui bien sûr c'est dans les mêmes conditions, 7h00 du matin à jeun..." Je réponds avec un temps de retard ... Donc, effectivement, cela démontre que la malto que tu as utilisée a un pouvoir hyperglycémiant moins élevé que le pain d'épice. Je ne suis pas très calé sur les diverses molécules de maltodextrines circulant ça et là, mais pour parler simplement, j'ai cru comprendre qd même que les maltodextrines désignent des molécules qui sont des "assemblages" de molécules de glucose, et que selon le type d'assemblage et la longueur de la molécule, leur transformation en glucose par l'organisme est plus ou moins rapide. Il y aurait donc des maltos avec des IG élevés et d'autres pas, ce qui rendrait crédible les 2 affirmations.
  13. 100g de pain d'épices, ça fait dans les 75g de glucides (soit l'équivalent de 15 morceaux de sucres). En termes de charge glycémique, ça correspond au protocole médical de l'hyperglycémie provoquée. Par contre, l'IG du pain d'épices est de 70, ce n'est pas non plus réputé être aussi hyperglycémiant que le glucose pur. Ton test avec la malto, tu l'as fait dans les mêmes conditions que celui du pain d'épices (ie à jeun, en prise rapide et sans autres aliments) ? Ce serait intéressant d'avoir ces précisions pour en tirer des conclusions comparatives entre les 2. Quand à l'origine des travaux sur l'IG des aliments, ils datent des années 80 et cette notion s'est vulgarisée au début des années 2000. C'est pour cette raison que je parle d'opportunisme lorsqu'en 2007 Overstim émet cette information sur l'IG de leur malto.
  14. Une absence de sensation d'hypoglycémie après ingestion de malto ne démontre pas que la malto n'a pas un IG élevé. D'abord, l'hypoglycémie réactionnelle ne concerne pas tous les individus. D'autre part, on peut se balader avec une glycémie à 0.60g/l et se sentir parfaitement bien, le seuil de ressenti de l'hypoglycémie étant variable d'un individu à l'autre. Pour autant, une telle glycémie serait bien le signe d'une hyper-insulinémie et donc d'un IG élevé. Les explications des fabricants eux-même sur le prétendu IG de leurs boissons à base de malto n'est pas crédible. Cela ressemble trop à un repositionnement opportuniste à l'heure où le débat sur la qualité des glucides se déplace sur cette notion d'IG, manifestement pas prise en compte au moment de l'élaboration de ces produits.
  15. Je suis assez d'accord avec toi Bernard, chacun peut avoir des réactions individuelles à tel ou tel produit. J'en ai fait usage cet été, en tant que carburant de l'effort longue durée. En dehors de ballonnements, je n'ai rien vu de mieux par rapport aux préparations à base de sucres "simples" genre saccharose, glucose, dextrose ... De plus, les effets sur la glycémie sont étalés dans le temps, et personnellement, pendant l'effort, je préfère un mode de carburation en "flux tendus", où ce qui est ingéré produit des effets immédiats. Cela permet d'avoir la main sur le "débit instantané" de ses apports énergétiques. Lorsque l'on utilise de la malto, à un instant T se superposent les apports glucidiques de ce que l'on a ingéré 15' avant et ceux de la malto que l'on a ingérée 1h avant. Du coup, en cas de variation d'effort (par exemple, passer de la plaine à l'ascension d'un col) cela complique la bonne gestion de la glycémie et des apports d'insuline qui vont avec, que je suis obligé de faire moi-même (diabète oblige). Mais bon, c'est une expérience personnelle, cela ne remet pas en cause le produit lui-même. Par contre, pour en revenir au sujet du post, comme le démontre Gérard, la malto pendant les repas me semble être une bonne solution en recharge glycogénique. Mais je ne vois pas vraiment l'avantage par rapport à des repas correctement chargés en pâtes, ou lentilles par exemple. Sauf, à concentrer bcp d'apports dans de faibles volumes ?
  16. Je viens de faire l’acquisition d’un rameur et je m’y suis mis depuis 15j. Mes objectifs, à travers 2/3 séances hebdomadaires : reconstruction musculaire au niveau des épaules (suite blessures diverses et fonte musculaire depuis 2 ans) avoir une activité physique "indoor" autre que le vélo et plus complète avoir un outil supplémentaire pour m’affûter le moment venu. Après 1 semaine de prise en main pour acquérir posture, geste et synchro, j’ai commencé par des entraînements très modestes : alternance entre phases de détente (cadence 20 à 80/100W) et phases d’effort (cadence 26 à 150/160W), avec échauffement et retour au calme. Cela fait des séances de 45’ environ. Un petit retour sur ces nouvelles sensations. tout d’abord, on retrouve bien les sensations de l’effort d’endurance, avec la même difficulté mentale qu’en vélo, si ce n’est que ce ne sont pas les mêmes groupes musculaires qui sont mis à contribution. ensuite, c’est surprenant de voir la similitude quasi exacte avec le vélo dans la correspondance entre puissance développée et fréquence cardiaque. par contre, la grosse différence vient du type d’effort lié au geste. En vélo, on est sur un effort continu. Au rameur, la phase d’effort est la propulsion en arrière, celle qui correspond au coup de rame, suivie du retour en récupération. En temps sur un geste complet, c’est 1/3 d’effort et 2/3 de récup. enfin, je me rends compte du niveau atteint en vélo : 4h à 160W de moyenne ne posent aucun pb, c’est de la ballade. Au rameur,5’à 160W et j’ai la nuque et les lombaires déjà bien raides … du fait de mes faibles capacités actuelles, l’intensité moyenne de mes séances est relativement basse sur le plan cardiaque : je tape à 105 de moyenne, soit 60% FCmax, dans les phases d’effort, j’atteins péniblement les 130, à peine de quoi brûler quelques acides gras … Alors, après toutes ces remarques, petites questions à ceux qui ont pratiqué rameur ou aviron : que faut-il se fixer comme rythme de progression raisonnable, en prenant par exemple pour référence le temps moyen au 500m pendant 1h (mon temps actuel est très modeste : 2’30’’) ? les muscles qui fatiguent le plus vite sont les lombaires, les trapèzes et les muscles dorsaux derrière les épaules (ces derniers affaiblis par mes blessures antérieures). Je me serais plutôt attendu à une fatigue des épaules (deltoides) ou des bras. Est-ce normal ou c’est mon geste qui n’est pas bon ? Merci pour vos retours, si j’ai la chance de croiser des pratiquants sur ce forum (j’ai cherché un site rameur101 … pas trouvé … )
  17. La dernière sortie aujourd'hui, justement. Totaux 2013 : distance = 9.859 kmsd+ = 108.629mtemps = 391h41'Vitesse moyenne = 25.2km/hFC moyenne = 132 (soit 76% FCmax)Cadence moyenne = 78Dépense énergétique = 277.118 Kcal
  18. Je trouve cet article intéressant car il touche bien du doigt la difficulté de perdre du poids (je parle d’affûtage, pas de perte de surpoids) dans de bonne conditions et souligne la précision entrainement/diététique qui est nécessaire. Etant en ce moment dans cet objectif, je n'ai pas voulu faire de sorties à jeun justement pour éviter des séances trop radicales pour l'organisme. Je m'en tiens à mon programme d'entrainement, et un encadrement strict des apports alimentaires, notamment les lipides. Ça marche et sans nuisances ... Par contre, comme j'apprends que cela permet d’accroître la capacité de l'organisme à mobiliser les lipides dans les ultra-longues distances, je note ça pour l'inclure dans mon programme d'entrainement avant les objectifs d'étés (cyclo montagnarde) ... Merci pour l'info. 2 petites questions au passage : une séance à jeun, c'est donc environ 1h à 65% FCmax ou 70% VO2max, c'est bien ça ?et lorsqu'on les pratique en vue d'augmenter sa capacité à brûler les lipides dans les ultra, on prévoir 2 sorties pas semaine, mais pendant combien de temps avant l'objectif ?
  19. Le calcul de Bernard a pour objectif de déterminer le gain (ou la perte) de vitesse du au vent, pas la vitesse moyenne de l'aller retour. Il fait l'hypothèse que le vent t'accélère autant quand tu l'as dans le dos qu'il te ralentit lorsque tu l'as de face. Dans ces conditions, ce "delta" (20kmh dans son exemple) est bien égal à la différence avec la moyenne des vitesses aller et retour, cette moyenne étant la vitesse que l'on aurait eue dans les 2 sens sans vent. Cependant, ton calcul à toi est juste : avec le vent de ce jour là, la vitesse moyenne ressort donc à 29kmh et qqs, et elle est logiquement inférieure à la vitesse moyenne sans vent.
  20. Je n'ai aucune connaissance ni expérience de ce type de problème. Mais ce qui me paraît évident, c'est que ton désordre est lié à une position prolongée sur le vélo, puisque de petites sorties ou pas de sorties du tout font disparaître la douleur. Donc, je chercherais plutôt côté position ou réglage de selle, mais avant toute chose j'irais voir un médecin du sport habitué au suivi des cyclistes.
  21. Les circonstances étaient un peu exceptionnelles hier ! Ce qui m'a marqué, c'est l'échelle de temps qui devient différente. A ces vitesses, on envisage 100km sur 2h, au lieu de 3h30 en temps habituel, et l'autre point qui surprend c'est que l'on tâte un peu les limites de sa transmission, 50x11 devient un peu court ... Tu m'avais relaté cette expérience en peloton que tu avais eue en Bretagne. Tes sensations ont certainement été plus complètes que les miennes car tu étais en effort. Moi hier, j'avais juste à laisser faire le vent. J'ai bien dû atteindre les 150puls en haut de la petite côte à 6%, mais tout le reste, c'était entre 130 et 140, soit moins de 80% de ma FCmax. Tranquille quoi ...
  22. Pour la réincarnation, je te rassure, en moyenne, les vies se succèdent à 200 ans d'intervalle. Sauf karma monumental à expier ...
  23. Bah, tu fais le difficile ! Va voir Jean, il va t'expliquer comment on se construit une santé avec du globi-boulga.
  24. Eh m'sieur j'ai fini. 255g de globi-boulga c'est 660Kcal, 60g de glucides et 40g de lipides. Y'a aussi 14g de protéines m'sieur !
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