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Michel ROTH

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Tout ce qui a été posté par Michel ROTH

  1. On classe les classiques d'après le type de parcours, pas suivant les régions. La Lombardie est de type "ardennaise" comme l'Amstel.Tout le monde sait çà.
  2. Salut Guillaume, On a souvent considéré qu'il y a 5 grands monuments dans les classiques: - Milan San Remo (inclassable) - 2 flandriennes: Tour des Flandres et Paris Roubaix - 2 ardennaises: Liège-Bastogne-Liège et le Tour de Lombardie Probablement parce que ce sont les plus anciennes et qu'elles sont considérées comme les plus prestigieuses. On peut rajouter actuellement l'Amstel Gold Race qui, depuis son introduction, est une classique classée type ardennaise et qui acquiert petit à petit un statut de grand monument. La Flèche Wallonne (ardennaise) comme le Volk - Omloop et Gand Wevelgem (flandriennes) appartiennent à une catégorie en dessous (on les considère comme moins prestigieuses). Paris Tours aussi. D'ailleurs elles rapportent moins de points au classement World Tour. Reste les courses comme la Flèche brabançonne, à travers la Flandre, le grand prix de l'E3, et d'autres encore en France ou en Italie.... Mais elles restent encore en cran en-dessous et servent plutôt de préparation aux grandes classiques C'est juste mon avis, mais on ne peut pas prétendre être complet si l'on ne peut pas briller sur chaque monument du cyclisme, donc y compris sur les grandes classiques flandriennes.
  3. J'ai l’impression en consultant le site de l'organisateur que, comme le parcours définitif n'est pas encore connu (il est indiqué textuellement: Le parcours définitif sera annoncé plus tard), le nombre exact de côtes et les dénivelés ne sont pas encore indiqués.Il faut donc attendre les prochaines mises à jour du site Il faudra probablement revenir plus tard sur le site pour avoir plus de détails sur les différents parcours. Je remets l'adresse du site (à aller revoir de temps en temps pour voir s'il y a des changements): http://www.sport.be/lblcyclo/2014/fr/parcours/
  4. Kwiatkoski n'est pas mal non plus car capable de briller sur les flandriennes et les ardennaises. Le seul bémol: en cas d'arrivée avec un petit groupe est-il capable de régler ses compagnons au sprint ? Par contre, par rapport à Sagan, il pourrait devenir un candidat sérieux pour la victoire finale d'un grand Tour, ce que Sagan ne me semble pas capable (ou pas encore ???). Tu me parles d'Andy Schleck, mais aurais-tu oublié Louis De Funès, présent sur toutes les classiques et capable du pire et du meilleur sur les grands Tours. Étonnant que personne ne l'ai cité...😆
  5. C'est tout-fait en accord avec mon analyse. Sagan me semble bien être le coureur en devenir qui a le plus de cordes à son arc sur différents types d'épreuves. Certains citent Nibali, Rodriguez et Valverde, mais ils oublient que ces coureurs sont absents sur la moitié des grandes classiques, c'est-à-dire les flandriennes. De plus, ils ne disputent pas les sprints massifs. Sagan sait se mêler aux sprints massifs et concurrencer les meilleurs comme Cavendish et Kittel. Il peut remporter n'importe quelle classique d'un jour: flandrienne et ardennaise. Bien sûr, il ne gagnera pas de grands tours (enfin sur ce qu'il a montré actuellement), mais sur ces mêmes grands tours il peut remporter plusieurs fois le maillot de meilleur coureur aux points car en moyenne montagne, il peut accompagner les meilleurs. En contre la montre, il n'est pas si mauvais qu'on le sous-entend. Je me souviens d'un clm au Tour de Suisse où il a longtemps eu le meilleur temps avant que les coureurs motivés par le classement général n'entrent en course. Il est possible aussi, que comme il ne vise pas le général des courses par étapes, il ne se livre pas avec toute la motivation dans ces clm. N'oublions pas non plus qu'il est encore très jeune et qu'il a encore une grosse marge de progression.
  6. Avec le cyclisme moderne où chacun se fixe des objectifs bien précis, il n'y a pas actuellement de coureur complet. Je ne vois aucun coureur capable, même sur plusieurs saisons d'affilé, gagner une classique flandrienne, une classique de type ardennaise, des épreuves contre la montre, des sprints massifs, un grand Tour et le championnat du monde. Il n'y a que des coureurs qui se spécialisent dans tel ou tel régistre. Peter Sagan sera peut-être celui qui peut se rapprocher le plus d'un coureur complet. Il ne gagnera pas de grand Tour, mais le gagnera aux points. Pour le reste il peut briller partout et peut encore s'améliorer en clm.
  7. Salut Patrick, Si tu fais le parcours intermédiaire (le 270 km n'est plus de mon âge) on peut le faire ensemble. On connaît bien les côtes. 😆
  8. Salut Franck, Pour le climat en avril, çà peut changer du tout au tout au cours de la journée. On dit d'ailleurs en rigolant qu'on peut retrouver les 4 saisons sur la même journée. Etant natif de la région, il peut effectivement faire très froid en avril et début mai. Il n'est pas inhabituel d'avoir de la pluie en vallée et de la neige ou de la neige fondante sur les sommets, au-delà de 400 m d'altitude. Alors les descentes deviennent très glissantes. Les sommets autour de Stavelot peuvent donc parfois être enneigés car on monte au-dessus de 500 m. Le pire dans ces conditions, ce sont les extrémités qui se refroidissent: mains, pieds et oreilles qu'il faut tenter de garder au chaud pendant de longues heures. Et si les conditions changent, il faut se débarrasser de ses couches. Les Hollandais sont souvent très bien organisés: ils ont des voitures suiveuses avec des vêtements de rechange et des boissons chaudes... Se méfier du plateau de Bastogne qui peut aussi être enneigé et balayé par un vent glacial (ce fut le cas lors de la victoire d'Hinault). Ce jour-là le temps a changé tout au cours de la journée: froid et neigeux le matin, puis pluie et neige fondante en milieu de journée, et grand soleil en fin d'après-midi. Pour les températures c'est pratiquement 3 à 5 °C en moins par rapport au centre de la Belgique et des nuits nettement plus froides, ce qui explique que les températures matinales sont souvent très basses. Je trouve qu'organiser cette cyclo fin avril n'est pas la meilleure date. C'est trop tôt car le risque de mauvaise météo est bien réel et pour les amateurs qui habitent ces contrées ils n'auront pas beaucoup de kilomètres au compteur avant cette épreuve, car il est difficile de rouler avant début mars. Pour cette raison, Tilff-Bastogne-Tilff est mieux placé dans le calendrier. Mais c'est vrai que l'inverse est aussi vrai: il peut faire très agréable fin avril avec des températures frôlant les 20°C. Donc, pas de panique. Juste suivre attentivement les prévisions météo
  9. Salut Jean, Cette route à droite avant le pont sur l'Amblève, je la connais bien. Je l'ai parcourue en voiture plusieurs fois comme un raccourci en venant de Wanneranval lorsque j'allais rendre visite à la maison de retraite rue Pré Messire. En venant de Wanneraval, c'est pratiquement tout droit. On passe effectivement par un pont sur l'Amblève en prenant ce raccourci. C'est étroit certes mais pas plus que le Stockeu lui-même ou les ruelles de Stavelot avant la Haute Levée. Bref, on voit que ce ne sont pas les possibilités qui manquent... et on peut imaginer une infinité de parcours différents. On pourrait même y rajouter la côte de Wavreumont (un fameuse côte sur une belle route de surcroît) pour ensuite aller rechercher la côte d'Amermont qui arrive au sommet de la Haute Levée. L'important est de ne pas laisser trop de distance entre les côtes.
  10. Salut Jean, Oui, c'est à cette route avant le pont sur l'Amblève que je pensais. Je la connais bien. En descendant Stockeu par le Chemin du château, il faut prendre directement à droite avant le pont sur l'Amblève. Cette rue débouche sur la rue du Pré Messire. - A droite on passe devant la maison de retraite Ferdinand Nicolay. On arrive à un croisement. En prenant à gauche on retrouve la route de Malmédy, donc direction côte d'Amermont si l'on prend l'ancien circuit automobile et que l'on aborde cette côte par une route à gauche (Tilff-Bastogne-Tilff l'emprunte). En prenant à droite au bout de la rue Pré Messire on peut rejoindre Malmédy en grimpant la côte vers le monastère de Wavreumont (c'est très pentu aussi). Mais cela nous éloigne du parcours de LBL. Enfin, on voit que la région de Stavelot est un paradis pour grimpeurs - Ou bien en débouchant sur la rue du Pré Messire, prendre à gauche pour rejoindre la rue principale de Stavelot (rue Ferdinand Nicolay). On débouche en face de l’Institut Saint Remacle. A partir de là c'est facile de prendre la Haute Levée et on ne passe pas deux fois au même endroit, devant l'abbaye. Note qu'à Trois-ponts se poserait le même problème. Il faudrait éviter de passer deux fois entre le carrefour avec la route d'Aisomont-Wanne et le carrefour vers Vielsalm. C'est très court - de l'ordre de 50 m. Mais il y a une possibilité d'évitement. En redescendant la route de Basse Bodeux (après avoir fait Hézalles), il faut prendre à gauche au carrefour avec la route de Vielsalm - et non pas directement vers Coo en allant tout droit et passer à nouveau sur ce tronçon de 50 mètres. Cette route se divise: l'une remonte vers l'ancienne barrière et l'autre (celle qu'il faudrait prendre) est parallèle à la route de Coo que l'on peut rejoindre environ 1 km plus loin pour aller chercher le Thier de Coo. Donc finalement, c'est très réalisable et cela durcirait fameusement la course. A mon avis, la moitié du peloton serait définitivement largué après la Haute Levée et ne reviendrait plus.
  11. Salut Jean, Je confirme que la Flèche Wallonne des pros qui arrivait à Verviers empruntait bien l'itinéraire que tu mentionnes. Je me souviens très bien que Zoetemelk l'avait gagné en s'échappant dans Stockeu. La Flèche Wallonne que les pros disputent actuellement n'a plus rien à voir avec son parcours d'antan, qui était nettement plus sélectif. Mettre le Thier de Coo dans LBL pourrait laisser trop de kilomètres entre Stockeu et le Thier De Coo si l'on ne rajoutes pas par exemple les Hézalles. Car le traditionnel tryptique Wanne-Stockeu-Haute Levée ne laisse aucun répit: çà monte et çà descend, sans possibilité de récupération ou si peu. Une possibilité est donc de faire Wanne, mais de redesendre par Aisomont vers Trois Ponts (et non vers Stavelot)., A Trois-Ponts, pratiquement au bas de la descente, la course enchaînerait avec les Hézalles (aussi dur que Stockeu). Ensuite la route de Coo sur seulement 1 ou 2 km, pour prendre le Thier de Coo, descendre sur Stavelot par les pavés de la Rue Neuve pour faire Stockeu et Haute Levée. Le tryptique Wanne-Stokeu-Haute Levée serait remplacé par un enchaînement de 5 côtes très rapprochées. Problème: il faudrait éviter de passer deux fois devant l'abbaye en empruntant des ruelles dans Stavelot !!!! Ps: pour les pourcentages du Maquisard, je pense bien qu'il s'agit de la montée à partir de Spa: http://www.sport.be/cycling/fr/hellingen/info.html?Route_ID=130 Pour le Thier de Coo: http://www.sport.be/cycling/fr/hellingen/info.html?Route_ID=377 Pour les Hézalles (Trois Ponts):😆 http://www.kuitenbijters.com/de-cols-en-de-cotes/48-cote-des-hezalles-trois-ponts
  12. Salut Jean, Si les pros font les Forges, cela signifierait-il qu'ils font une fois de plus l'impasse sur la Roche aux Faucons ? Pour moi le Maquisard et les Forges se valent plus ou moins. Le Maquisard est plus long. Maquisard: 3 Km pourcentage moyen: 5,1 % , porcentage max: 10 % Forges: 2 km 100; pourcentage moyen: 6 %, pourcentage max: 10 % Un peu comme les Rosiers qui est encore plus long: 4km60, pourcentage moyen: 5,5 %, pourcentage max: 10 % Ce ne sont pas évidemment les plus dures de LBL...
  13. Oui Pascal, finalement, je me rends compte que c'est tout de même plus cher que les randos "Cycling Tour" de la Banque de la Poste comme Tilff-Bastogne-Tilff. Pour l'Omloop Van Vlaanderen (144 km) le 15 mars 2014, la seule déjà au programme sur leur site, j'ai vérifié que c'est seulement 12 Euros. C'est vrai aussi que le club La Redoute d'Aywaille organise une belle cyclo à prix modique. J'y avais participé en 2006. C'était en juillet me semble-t-il. Il faut remercier les bénévoles de ce club.
  14. Bonjour Eric, Les photos datent de 2006. Il me semble qu'actuellement le revêtement de la côte de Mont le Soie ne se soit pas amélioré, surtout la descente vers Grand-Halleux. La Flèche de Wallonie est aussi très dure. En fait on y grimpe le Stockeu jusqu'à son sommet, soit sur 2km 300 (ce les pros ne font pas: ils tournent à gauche à la stèle Merckx après 1km 100 d'ascension pour redescendre sur Stavelot)) pour ensuite grimper vers Wanne en sens inverse des pros avec un pourcentage plus élevé (15 % contre 13 % dans le sens Grand-Halleux-Wanne). Sans compter le fameux Thier de Coo...
  15. Bonjour Michel, Voici quelques photos du tronçon pavé de Stavelot: http://www.cyclo-ardennaise.net/Diapo-parcours/pages/IMG42.htm Faire défiler les images en avant pour découvrir la côte de Haute Levée et en arrière pour découvrir les côtes de Stockeu et de Wanne.
  16. Je ne trouve pas le prix exhorbitant. Car sont compris l'assurance et les ravitaillements qui sont bien répartis et où l'on peut se servir à volonté.
  17. Concernant les tronçons pavés, il ne doit y avoir que la traversée de Stavelot, après la descente de Stockeu. Ce n'est pas très long et c'est en légère montée devant le passage de l'abbaye. Néanmoins les pavés sont très gros et çà secoue pas mal pour les poids plumes.
  18. Oui c'est clair. Et si Stockeu est au programme il y a un passage à 21 %.
  19. Liège-Bastogne-Liège challenge 2014 aura lieu le samedi 26 avril 2014, la veille de la course des pros. Comme d’habitude trois distances sont proposées : - 79 km.Départ et inscription sur place entre 8:00 h et 10:00 h. Prix de l’inscription sur place: 25 Euros - 160 km.Départ et inscription sur place entre 6:30 h et 9:30 h. Prix de l’inscription sur place: 30 Euros - 276 km. Départ et inscription sur place entre 6:30h et 7:30h. Prix de l’inscription sur place: 35 Euros On peut aussi s’inscrire sur place le vendredi 25 avril entre 16h et 18h. Une caution de 5 Euros est exigée pour une puce et une plaque d’identification. Il est également possible de s'inscrire en ligne via le lien donné en bas. Pendant la randonnée Liège-Bastogne-Liège challenge, vous pouvez prouver vos talents de grimpeur sur 4 côtes. Votre temps sera enregistré électroniquement au moyen de la puce que vous recevrez avec votre numéro d'identification. Le temps sera enregistré sur les côtes suivantes: Côte du Rosier: 4500m - 5,7%Côte de La Redoute: 2100m - 9,7%Col du Maquisard: 3000m - 5,1%Côte de St. Nicolas: 1000m - 7,6%Le parcours définitif (côtes au programme) n’est pas définitivement connu à ce jour. Le parcours de 276 km reprendra probablement le parcours des pros. Lieux de départ et arrivée : Centre Sportif de Naimette-Xhovémont Boulevard Philippet 83 4000 Liège Toutes les infos et mises à jour futures (détail des différents parcours et dénivelés) peuvent être consultées ici : http://www.sport.be/lblcyclo/2014/fr/ PS: ceux qui seraient sur place le vendredi 25 avril et reconnaîtraient la fin du parcours en milieu de matinée auraient beaucoup de chance de croiser les équipes de pros qui reconnaissent la finale deux jours avant la course.
  20. Tu n'as rien compris à ce que Cavendish a voulu dire. Il n'y a rien d'infantile à ce qu'il dit. Le grand public assimile l'équation réductrice: dopage=cyclisme Cela arrange très bien beaucoup de monde. Le cyclisme sert depuis trop longtemps de bouc émissaire au dopage généralisé dans le sport de niveau. La bonne équation est la suivante: dopage= sport de haut niveau. En réduisant le dopage au cyclisme on trompe tout simplement le public et les médias y contribuent largement, ainsi que certains intervenants sur ce forum. Bref, c'est plutôt le grand public que l'on infantilise en faisant croire que le dopage n'est propre qu'au cyclisme et anecdotique ailleurs. Le Cav a tout-à-fait raison de s'insurger contre cet état de choses. Il y a autant de dopage dans le sport de haut niveau comme le football et le tennis que dans le cyclisme pro et cela beaucoup de gens n'aiment pas trop l'entendre. Tout simplement parce que les enjeux financiers dans ces sports sont un ordre de grandeur supérieur à ce qu'on le voit dans le cyclisme. Le jour où l'on verra la police fouiller à l'improviste les vestiaires à la mi-temps d'une finale de coupe de monde de football ou d'Europa League n'est donc certainement pas pour demain dans l'état actuel des choses, car trop d'argent est en jeu et le public est conditionné pour croire que le dopage n'existe que dans le cyclisme. Le pire c'est que, même sur ce forum, on trouve des gens pour alimenter ce conditionnement.
  21. Mark Cavendish en a visiblement marre qu’on ne parle de dopage que pour le cyclisme. Dans son autobiographie intitulée « At Speed », le Cav’ s’en prend notamment au tennis, dont il accuse les joueurs et les responsables de minimiser la question du dopage. « Mon autre frustration est la différence entre notre sport et les autres. Prenons le tennis. La Fédération Internationale de Tennis a mis en place le passeport biologique en 2013, soit cinq ans après l’UCI. En 2011, un total de 21 contrôles sanguins hors compétition ont été réalisés dans le tennis contre 4 623 dans le cyclisme. Et en même temps, vous entendez André Agassi dire « que le tennis a toujours montré la voie dans la lutte anti-dopage » ou Marion Bartoli insister sur le fait que « le dopage n’existe pas dans le tennis ». » Dans ces propos rapportés par le Daily Telegraph, Mark Cavendish pointe du doigt le fait que le tennis se voile la face au sujet du dopage. « Je ne veux pas m’en prendre à un autre sport parce qu’il se distingue du cyclisme. Mais comment peut-on être si confiant alors que, pendant 10 ans, Lance Armstrong a déjoué tous les contrôles antidopage ? Le problème avec les déclarations d’Agassi et de Bartoli, c’est qu’ils perpétuent le récit que le cyclisme est concerné par le dopage et que les autres sports sont propres. J’ai réalisé cette différence quand j’ai entendu Tim Henman répondre sur un ton neutre à une question sur la récupération après les matchs en cinq sets et expliquer qu’ils utilisaient des perfusions intraveineuses. Une méthode parfaitement légal dans ce sport, mais strictement interdite pour nous. » Source: http://www.sport365.fr/autres-sports/divers/dopage-cavendish-s-en-prend-au-tennis-1075114.shtml Mark Cavendish en a visiblement marre qu’on ne parle de dopage que pour le cyclisme. Dans son autobiographie intitulée « At Speed », le Cav’ s’en prend notamment au tennis, dont il accuse les joueurs et les responsables de minimiser la question du dopage. « Mon autre frustration est la différence entre notre sport et les autres. Prenons le tennis. La Fédération Internationale de Tennis a mis en place le passeport biologique en 2013, soit cinq ans après l’UCI. En 2011, un total de 21 contrôles sanguins hors compétition ont été réalisés dans le tennis contre 4 623 dans le cyclisme. Et en même temps, vous entendez André Agassi dire « que le tennis a toujours montré la voie dans la lutte anti-dopage » ou Marion Bartoli insister sur le fait que « le dopage n’existe pas dans le tennis ». » Dans ces propos rapportés par le Daily Telegraph, Mark Cavendish pointe du doigt le fait que le tennis se voile la face au sujet du dopage. « Je ne veux pas m’en prendre à un autre sport parce qu’il se distingue du cyclisme. Mais comment peut-on être si confiant alors que, pendant 10 ans, Lance Armstrong a déjoué tous les contrôles antidopage ? Le problème avec les déclarations d’Agassi et de Bartoli, c’est qu’ils perpétuent le récit que le cyclisme est concerné par le dopage et que les autres sports sont propres. J’ai réalisé cette différence quand j’ai entendu Tim Henman répondre sur un ton neutre à une question sur la récupération après les matchs en cinq sets et expliquer qu’ils utilisaient des perfusions intraveineuses. Une méthode parfaitement légal dans ce sport, mais strictement interdite pour nous. » - See more at: http://www.sport365.fr/autres-sports/divers/dopage-cavendish-s-en-prend-au-tennis-1075114.shtml#sthash.dW6q7A2n.dpufMark Cavendish en a visiblement marre qu’on ne parle de dopage que pour le cyclisme. Dans son autobiographie intitulée « At Speed », le Cav’ s’en prend notamment au tennis, dont il accuse les joueurs et les responsables de minimiser la question du dopage. « Mon autre frustration est la différence entre notre sport et les autres. Prenons le tennis. La Fédération Internationale de Tennis a mis en place le passeport biologique en 2013, soit cinq ans après l’UCI. En 2011, un total de 21 contrôles sanguins hors compétition ont été réalisés dans le tennis contre 4 623 dans le cyclisme. Et en même temps, vous entendez André Agassi dire « que le tennis a toujours montré la voie dans la lutte anti-dopage » ou Marion Bartoli insister sur le fait que « le dopage n’existe pas dans le tennis ». » Dans ces propos rapportés par le Daily Telegraph, Mark Cavendish pointe du doigt le fait que le tennis se voile la face au sujet du dopage. « Je ne veux pas m’en prendre à un autre sport parce qu’il se distingue du cyclisme. Mais comment peut-on être si confiant alors que, pendant 10 ans, Lance Armstrong a déjoué tous les contrôles antidopage ? Le problème avec les déclarations d’Agassi et de Bartoli, c’est qu’ils perpétuent le récit que le cyclisme est concerné par le dopage et que les autres sports sont propres. J’ai réalisé cette différence quand j’ai entendu Tim Henman répondre sur un ton neutre à une question sur la récupération après les matchs en cinq sets et expliquer qu’ils utilisaient des perfusions intraveineuses. 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  22. Michel ROTH

    Prison

    Fignon, dans son livre, parle des années Indurain: pas des années avant. Tu accuses donc Fignon de mentir. Et puis, toi qui aime tellement écrire qu'on roule de plus en plus vite, pourquoi ne pas parler des moyennes: - 1989: 3285 km. Vainqueur: Greg Lemond à la moyenne de 37,482 km/h. Du même ordre que lors de sa victoire en 1986 à 37,020 km/h, mais pour une distance plus grande: 4094 km. Ce n'est pas très rapide en regard de Delgado 1988 qui réalise 38,909 km/h pour une distance pratiquement égale: 3286 km. A croire que l'EPO supposé de Lemond ne l'avait pas rendu plus fort que Delgado. - 1990: 3504 km. Vainqueur: Greg Lemond à la moyenne de 38,621 km/h. Moyenne que l'on soutenait à plusieurs reprises dans les années 1980. Par contre: -1992: Indurain est le premier à passer la barre des 39 km/h de moyenne: 39,504 km/h pour une distance de 3983 km. Le record précédent était détenu par Hinault en 1981 avec 38,960 km/h et une distance de 3753 km. On ne retrouve pas dans les moyennes de Lemond en 1989 et 1990 des moyennes de 39km/h que l'on enregistrera à partir de 1992. Au contraire, elles sont du même ordre que celles que l'on enregistrait entre 1980 et 1990.
  23. Michel ROTH

    Prison

    On s'en fout qu'elle ait été utilisée ou non. Il a enfreint la réglementation anti-dopage. Stocker son sang et le manipuler est interdit et est assimilé à du dopage avéré. Comme Bernard M. l'écrit, tu es plus jésuite que juriste. Sans compter qu'il a menti: il a toujours affirmé qu'il n'avait pas fréquenté Fuentes. L'analyse ADN l'a confondu. Pour le TAS, c'était évident. Aucune instance juridique n'a pu et ne pourra jamais l'innocenter.
  24. Michel ROTH

    Prison

    Bref dont pourquoi s'acharner sur lui et lui retirer ses victoires et pas à Indurain ? Vaste fumisterie et vive Armstrong. Tu devrais t'intéresser à l'histoire de la lutte anti-dopage. L'EPO apparaît dans le peloton cycliste au début des années 1990. Des coureurs, comme Fignon, le confirment. Fignon dans son livre; "nous étions jeunes et inconscients". Fignon, comme Lemond, sont de la même génération. L'un et l'autre constatent que "quelque chose" a changé dans le peloton. Fignon finit par entendre parler d'une nouvelle substance "l'EPO" qui peut transformer un coureur moyen en coureur de premier plan. Il décrit dans son livre le cas d'un coureur qui, auparavant n'était qu'un modeste équipier et qui dans ces années 1990 tire le peloton à allure infernale sans montrer le moindre signe de fatigue. Fignon apprend donc l'existence de l'EPO à travers les propos de coureurs du peloton, mais le grand public n'est guère au courant jusqu'à ce qu'éclate l'affaire Festina en 1998. Avant 1998, l'EPO n'est pas détectable et il faudra encore quelques années pour qu'il le devienne. En 1998, l'AMA n'existe pas et les lois anti-dopage ne sont pas encore très sévères avec les tricheurs. Indurain qui a gagné ses 5 tours à l'époque où l'EPO est arrivé dans le peloton bénéficie de la présomption d'innocence. D'ailleurs, qui sait quand l'EPO s'est retrouvé sur la liste des produits interdits ? Il est aussi impossible de réanalyser les échantillons de l'époque qui ont été plus que probablement détruits. Après 1998, les choses changent. Il y a création de l'Agence Mondiale Antidopage et les sanctions contre les dopés se durcissent. Tout le monde est au courant: coureurs comme grand public; Armstrong comme les autres coureurs. En 1999, après l'affaire Festina, la peur du gendarme commence à faire effet progressivement et il est clair que certains avaient abandonné certaines mauvaises habitudes. La France, en particulier, prend des mesures pour limiter le dopage (suivi longitudinal,...). En 1999, on ne détecte pas encore l'EPO directement, ce qui n'empêche pas l'incorrigible Armstrong, lors de sa première victoire au TDF, d'être contrôlé positif à un corticoïde mais il achète son contrôle. Ceci est prouvé (paiement d'argent à Hein Verbruggen). La suite, on la connaît. Elle est digne d'un système que l'on peut qualifier de mafieux: corruption, menaces,... Un coureur comme Pantani a été éjecté du Giro qu'il était en train de gagner pour taux d'hématocrite trop élevé (ce qui n'était pas une preuve absolue de la prise d'EPO; faute de mieux à l'époque). Alors on peut se demander qui de Pantani ou d'Armstrong a été victime de la chasse aux sorcières ? Ironiquement, c'est une dénonciation qui a permis le contrôle matinal de Pantani. Armstrong, lui, était prévenu à l'avance des contrôles. Toute une différence. En 1999, Pantani avait déjà un fameux palmarès (TDF, Giro), mais il tombe car il ne bénéficiera jamais des protections mafieuses de l'Américain. Alors, arrêtons de présenter Armstrong comme une victime.
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