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Michel ROTH

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Tout ce qui a été posté par Michel ROTH

  1. Sauf qu'ici, comme l'expliquait Beenkens, chacun a une ou plusieurs étapes prédéterminées à l'avance suivant les qualités de chacun et des temps de "repos" assez longs. Dans les autres équipes, c'est au petit bonheur la chance: ils brûlent un, deux ou trois équipiers qu'on ne ne reverra pratiquement plus par la suite, puis seulement les remplacent par d'autres.
  2. Hier pendant la retransmission de l'étape, Rodrigo Beenkens a expliqué que la RTBF avait fait une étude sur la gestion de la course par l'équipe Sky, en analysant individuellement les résultats de chaque coureurs sur chaque étape. Dans cette étude, les résultats sont résumés dans un tableau, avec en abscisse les différentes étapes et en ordonnée le classement de chaque équipier de Froome. Voici les conclusions: A part Geraint Thomas qui termine régulièrement (8 fois sur 16) dans le même temps que son leader, les autres coureurs perdent presque systématiquement du temps, parfois beaucoup. Ils semblent se ménager. Sur base du tableau ci-dessus, des tendances se dégagent. Ces temps semblent démontrer que certains coureurs sont (pré) désignés pour faire l'étape à bloc (Thomas et un ou deux autres), lever le pied en fin d'étape ou sont carrément mis "au repos". Les efforts fournis par les Sky Compte tenu de la qualité des coureurs concernés, on peut considérer que les coureurs Sky, à l'exception de Froome et Thomas, n'ont disputé chacun que deux étapes vraiment "à bloc". Voici le détail par coureur : Richie Porte : Deux étapes à bloc (le chrono par équipes et La Pierre Saint-Martin). Il a levé le pied six fois et il a été "au repos" à huit reprises. Nicolas Roche : Deux étapes à bloc (les pavés et le chrono par équipes). Il a levé le pied sept fois et il a été "au repos" à sept reprises. Leopold Konig : Deux fois à bloc (le premier chrono et le chrono par équipes). Il a levé le pied deux fois et a été onze fois "au repos". Dans les Pyrénées, Konig a pris près de 45 minutes, anormal pour un coureur de son niveau encore 7e du Tour l'an dernier. Wouter Poels : Trois fois à bloc (au Havre, chrono par équipes et Gap). Il a levé le pied une fois et a été 10 fois "au repos". Ian Stannard : Deux fois à bloc (en Zélande et chrono par équipes). Il a été quatre fois à son niveau (gruppetto en montagne), il a levé quatre fois le pied et a été six fois "au repos". Luke Rowe : Deux fois à bloc (au Havre, chrono par équipes). Il a été quatre fois à son niveau (gruppetto en montagne), il a levé deux fois le pied et a été huit fois "au repos". Geraint Thomas : 13 fois à bloc. Il a aussi perdu trois fois autour d'une minute dans les trois arrivées sèches (Huy, Mûr de Bretagne et le Havre). L'étape la plus marquante à cet égard, c'est l'arrivée à Mûr de Bretagne (8e étape). Ce jour-là, tous les équipiers de Froome, sauf Thomas, ont terminé assez loin. Richie Porte a été relégué à 3'08, Leopold Koning à plus de quatre minutes et tous les autres à plus de six minutes. Quand on sait que le chrono par équipes était programmé le lendemain, c'est sans doute loin d'être un hasard. Deux jours plus tard, Porte a été très présent et s'est classé deuxième au sommet de la Pierre Saint-Martin. Les Sky voulaient frapper fort sur ces deux étapes. Ils ont répondu présents. Est-ce que David Braislford a demandé à ses coureurs de gérer leurs efforts lors de la première semaine pour être frais le jour J ? C'est ce que semblent démontrer les résultats et les classements des étapes. Il s'agirait en tout cas d'une approche complètement révolutionnaire de la gestion des efforts sur trois semaines. Et cela donne un éclairage particulier aux déclarations de Froome en début de Tour. "Ces gars ont été préparés pour le Tour de France, pas pour pouvoir le gagner eux-mêmes, mais pour m'aider à le remporter", disait-il dans un portrait réalisé par ASO. Ce système qui base presque tout sur un seul homme est évidemment très risqué. Le but est de gagner le Tour avec Froome mais s'il connait un problème, cela peut tourner au fiasco. Source: http://www.rtbf.be/sport/cyclisme/tourdefrance/detail_sky-ou-la-gestion-revolutionnaire-des-equipiers?id=9037684
  3. Bonjour, Voici mon prono: F1: Alejandro Valverde F2: Samuel Sanchez F3: Serge Pauwels F4: Chris Froome F5: Nairo Quintana Team Wallonie-France
  4. La phrase exacte est: "Le Français a tout le talent pour devenir un leader". 😉 Ce qui veut dire qu'il sera le leader désigné sur les ardennaises à la place de Kwiat, avec le soutien de... Stybar.
  5. Avec le départ de Kwiatkowski de l'équipe Quick Step pour Sky, Patrick Lefevere veut faire de Julian Alaphilippe le successeur du Polonais et en faire un leader de l'équipe. Source: Le Soir de ce jour.
  6. il n'a plus rien sur les os, plus proche de 60kgs Tu racontes une énorme bêtise. Mets 60 kg dans la formule (1) et voit ce que cela donne.
  7. Puisqu’on connait la puissance moyenne développée par Gesink sur une montée de 15,6 km (15600 m) dont le dénivelé vaut 1148 m, soit, 409 W, on peut tenter de calculer celle de Froome. - Temps d’ascension de Gesink : 2576 s, soit une vitesse moyenne de 6,056 m/s - Temps d’ascension de Froome : 2576-93 = 2483 s, soit une vitesse moyenne de 6,283 m/s. Froome ayant terminé 93 s devant Gesink/ La différence de puissance provenant des frottements mécaniques entre Froome et Gesink peut être négligée, car cette contribution (qui est de toute façon faible par rapport aux autres contributions) doit être sensiblement la même pour les deux coureurs. Il reste donc essentiellement - en supposant la vitesse du vent nul (ce qui est toujours une hypothèse douteuse) - les contributions gravitationnelles et de résistance à l’air qui interviennent dans le calcul de cette différence entre Gesink et Foome, soit: g h(vF mF – vG mG)/e + 0.5 d (CF VF**3 –CG VG**3) avec : g= 9,81 m/s**2 h= 1148 m e = 15600 m vF (vitesse moyenne de Froome) = 6,283 m/s vG (vitesse moyenne de Gesink) = 6,056 m/s mF = masse corporelle de Froome + celle de son vélo, de ses vêtements et accessoires. mG= masse corporelle de Gesink + celle de son vélo, de ses vêtements et accessoires. d = densité de l’air en kg/m**3 CF= surface effective de Froome en m**2 (produit du coefficient de pénétration dans l’air et de la surface frontale du cycliste). CG= surface effective de Gesink en m**2 Avec les données connues, la différence de puissance peut s’écrire : 0,722 (6,283 mF -6,056 mG) +0,5 d (248,03 CF – 222,1 CG) (1) Si l’on veut calculer cette différence, il faut bien se rendre compte que mF, mG, CF, CG et d ne sont pas connus. Supposons des valeurs typiques CF = CG = 0,4 m**2, d = 1 kg/m**3, alors le second terme provenant de la résistance de l’air vaut + 5,4 W à ajouter à la puissance développée par Gesink. Pour le premier terme de (1), qui représente l’influence gravitationnelle, et si mF = 67.5 + 8 (masse du vélo et du reste)= 75.5 kg mG = 70 +8 kg = 78 kg on trouve pour le premier terme de (1): + 1,4 W Donc au total, la puissance moyenne développée par Froome : 409+5,4+1,4 = 416 W Mais si mF = 66 + 8 = 74 kg (Froome est particulièrement maigre, paraît-il) mG = 69 +8 = 77 kg (j’enlève un kilo à Gesink pour ne pas favoriser Froome) on trouve, pour le premier terme de (1) : – 1 W (noter le signe négatif, qui montre qu’un poids plume doit développer moins de puissance brute qu’un coureur plus lourd pour vaincre la gravité. Un poids plume, à puissance égale, montera donc plus vite qu’un coureur plus lourd) Au total : la puissance moyenne développée par Froome vaudrait : 409+5,4-1 = 413,4 W Entre les deux hypothèses on obtient seulement une différence de 2,6 W. Maintenant, vous pouvez manipuler mF, mG, CF, CG et d (et même introduire une valeur pour la vitesse du vent), pour faire pencher la balance du côté que vous souhaitez, selon que vous n’aimez pas Froome ou que vous le défendiez. Ce qui prouve l'arbitraire de ce genre de calcul. N.B : la densité de l’air en altitude et par temps chaud est inférieure à 1 kg/m**3. Notez l’incertitude qu’apportent des coefficients comme C, ainsi que la valeur de la vitesse du vent (en général prise égale à 0 m/s). Ces incertitudes sont la plus grande source d’erreur dans les calculs de Vayer. Il est donc faux d’affirmer que ces calculs sont précis, même si l’on élimine l’incertitude sur le poids en introduisant la notion de coureur étalon (cette hypothèse suppose aussi un poids identique au matériel, ce qui peut malgré tout introduire un biais si le poids des vélos est différent).
  8. Eh bien prouve le contraire ! En fait on n'en sait rien. Ni toi, ni moi. Eh bien moi, je vais te le prouver. C'est l'énergie cinétique qui est dissipée dans la tête au moment de l'impact. Vitesse: 30 km/h (je suis très optimiste); m = 5 kg (masse de sa tête, mais il faut probablement prendre plus si tout le choc se fait sur la tête); 1/2 mv**2 = 0.5*5*(30000/3600)**2 = 174 (résultat fortement sous-estimé car la vitesse et la masse sont certainement supérieurs aux valeurs données) Rapporté à un objet de 5 kg tombant sur ta tête, cela correspond au fait que cet objet tombe sur ta tête d'une hauteur de : 174/(5*9.81) = 3,5 m. Donc prends un gros marteau de 5 kilos et laisse-le tomber sur ta tête d'une hauteur de 3,5 m (sans casque), puis viens nous raconter le résultat. 😃
  9. Quant à Thomas et à sa chute il était presque à l'arrêt ! Quelle mauvaise foi. A la vitesse à laquelle ils descendent, il est physiquement impossible de décélérer à ce point en seulement quelques mètres (la demi-largeur de la route) Geraint Thomas a foncé tout droit vers un poteau électrique, contre lequel il a tapé la tête avant de basculer dans le ravin.
  10. Accessoirement, ce brave Delion roule désormais sans lunettes et sans casque. Brave homme. Et que penses-tu du casque de Geraint Thomas hier ?
  11. Tout-à-fait d'accord. Le Tour offre des étapes beaucoup plus variées que le Giro et la Vuelta. Surtout, tout le gratin du cyclisme y est présent. Donc on a une course beaucoup plus nerveuse. Il ne faut pas être simplement bon grimpeur pour gagner le Tour. Sur la Vuelta et sur le Giro, les étapes sont répétitives avec toujours le même scénario. Des arrivées en côte et la plupart du temps, une petite bataille dans les 5 derniers kilomètres. D'ailleurs il suffit de regarder les écarts entre le premier et le dernier, après une semaine de course, pour voir que le TDF est bien plus dur que les 2 autres Tours. La Vuelta est une simple course de rattrapage de fin de saison, dessinée pour les grimpeurs espagnols et ennuyeuse à souhait avec toujours le même schéma d'étapes. Le Giro, à ce point de vue est un peu mieux que la Vuelta, mais le Giro est une course moins nerveuse et moins disputée que le Tour. Son parcours moins varié, lui confère un intérêt moindre. En outre certains coureurs n'y viennent qu'en guise de préparation au Tour. Ce n'est pas parce que Froome tue le Tour par sa domination qu'il est ennuyeux. Si Pinot l'avait tué, la plupart de ceux qui critiquent cette course l'aurait trouvée formidable. Dire que le Tour n'est pas passionnant n'est que le reflet de la frustration de certains de voir leurs idoles françaises décevoir et l'ennemi Sky dominer. Hier, j'ai encore vu une étape passionnante avec un numéro exceptionnel de Peter Sagan. On ne verra jamais cela sur la Vuelta car il n'y a pas - ou peu (pour ne pas dire pas du tout) -d'arrivée en bas d'un col. Des 3 grands Tours, c'est la Vuelta la moins intéressante. Elle a d'ailleurs toujours suscité moins d'intérêt de la part de grands champions comme Merckx, Hinault, Anquetil et même l'Espagnol Indurain.
  12. Tu aurais vu à quoi sert le casque. Geraint Thomas lui doit une fière chandelle quand il frappe de la tête un poteau.
  13. Bonjour, Voici mon prono: F1: Jan Bakelants F2: Joaquim Rodriguez F3: Alejandro Valverde F4: Sylvain Chavanel F5: Chris Froome Team Wallonie-France
  14. Si Pierre Sarlet s'entoure d'experts reconnus (physiciens, ingénieurs), il devrait citer leurs noms. Il nous livre une valeur brute (500 W) que l'on doit prendre pour argent comptant, sans donner plus de détails. Or pour calculer la puissance il faut connaître de nombreuses données. La moindre des choses serait de publier les valeurs des paramètres qu'il introduit dans le modèle mathématique. Ces paramètres, soi dit en puissance, sont largement invérifiables. On peut facilement douter de la véracité de cette valeur annoncée par Pierre Sarlet quand on compare avec Robert Gesink qui a développé 409 W, une valeur mesurée par son capteur de puissance et qu'il a publiée, donc non sujette à caution : https://www.strava.com/segments/9860930/embed Il a même développé un pic à plus de 800 W (non montré dans le lien précédent mais que je vu publié ailleurs. Je ne retrouve plus le lien). Or, Gesink termine à 1min 33 s de Froome. Dans le programme officiel du Tour, Gesink pèse 70 kg et Froome 69 kg (valeurs non vérifiables). Il n'est pas possible qu'une différence de 91 W existe entre Gesink et Froome pour un écart à l'arrivée d'une minute et 33 s. Ou dit autrement qu'avec une puissance de 22 % supérieure à celle de Gesink, l'écart en temps ne soit pas plus important. Ou alors il faut que l'on me le démontre données à l'appui. Enfin, les premières données publiées un peu partout sur le Web donnaient des valeurs de l'ordre de 6,2 W/kg pour Froome. On a donc l'impression que certains manipulent des données invérifiables pour faire pencher la balance du côté qu'ils souhaitent.
  15. Pierre Sallet, docteur en physiologie Mais pas docteur en physique. Ceci n'est pas un problème de physiologie, mais de physique. Donc ce Pierre Sallet ne peut pas être considéré comme un expert du calcul de watt.
  16. Oui, hallucinant est bien choisi comme terme. Espérons tout de même que cela se calme lors des étapes de montagne qui arrivent.
  17. Oui mais Cyrille Guimard n'est pas crédible quand il accuse, par exemple, Hesjedal. Parce qu'il a été facile de montrer que cela pouvait s'expliquer facilement par les lois de la physique. De plus, le vélo de Hesjedal a été contrôlé à l'arrivée. http://www.velo101.com/forum/voirsujet/velo-avec-moteur-ou-pas--28352/page:6
  18. Pourquoi ne gagne-t-il donc jamais Sagan s'il triche ? Au moins une petite fois. Toujours battu. Pourtant il s'économise avec son vélo électrique. Bizarre.
  19. Pour en revenir à l'arrivée d'hier, Bardet a reconnu qu'il ne connaissait pas cette montée. Il avait sous-estimé sa longueur. Donc c'est fort possible qu'il était un peu cuit au sommet. Si erreur il y a eu du côté français, c'est de ce côté-là qu'il faut chercher. Je suis persuadé que Bardet aurait pu gagner s'il avait placé son démarrage plus tard dans l'ascension. Question de timing...
  20. Oui, France Télévision aurait dû nous montrer en totalité la course à l'avant dans ce moment critique.
  21. Cette impression que Cummings revient très fort , est surtout accentuée par le fait que Pinot et Bardet sont au ralenti en train de se regarder et se jauger pour savoir lequel va ose Mais je parle d'une séquence prise dans l'ascension. Les 3 coureurs sont encore séparés. Pinot n'a pas encore rejoint Bardet et on voit Cummings qui n'est pas plus loin de Pinot que celui-ci ne l'est de Bardet. La caméra est juste derrière Cummings et le montre en plein effort, faisant forte impression. Donc si Cummings était à ce moment, disons 100 m derrière Pinot, et Pinot, disons 100 m derrière Bardet, il est fort probable que quand Pinot rejoint Bardet (on ne voit pas cet instant à la TV), Cummings est à moins de 100 m du duo car il roule plus vite que les 2 coureurs qui le précèdent. Après le sommet c'est plat et en descente pendant un bon km. Cummings est un poursuiteur et il est fort possible qu'il aurait bouché le trou avant la ligne d'arrivée, même si les deux français n'avaient pas hésité au moment du retour de Pinot sur Bardet.
  22. Hier soir, vers 22h30, j'ai regardé sur la chaîne flamande l'émission "vive le vélo". On y a revu les images de l'ascension. En fait, on voit très peu le retour de Cummings, sauf une séquence très significative: L'ascension n'est pas terminée, et sur un seul plan, on voit les trois coureurs impliqués: Bardet, Pinot et Cummings. Bardet est en tête et l'écart entre Pinot et Bardet est le même, à vue d'oeil, que celui entre Cummings et Pinot. Comme la caméra est juste derrière Cummings, on voit que ce dernier revient très fort et donne une impression de puissance. Cette séquence filmée ne dure que quelques secondes. On ne voit pas quand Pinot rejoint Bardet car la séquence suivante montre la lutte entre les premiers du classement général et les tentatives de Quintana pour décrocher Froome. Puis la caméra revient sur les premiers et montre Pinot en compagnie de Bardet. On peut supposer qu'au moment où Pinot avait rejoint Bardet, Cummings s'était encore rapproché de Pinot. Donc, il est fort probable que Cummings serait de toute façon revenu sur les 2 français avant la ligne d'arrivée, même sans l'hésitation de ces deux derniers. Au sprint il était le plus rapide des trois. Bardet a peut-être attaqué trop tôt. Il aurait dû attendre avant de placer son démarrage. Il a faibli en fin d'ascension puisque Pinot revenait sur lui. Cummings est sorti au bon moment.
  23. Bonsoir, Voici mon prono: F1: Mark Cavendish F2: André Greipel F3: Peter Sagan F4;John Degenkolb F5: Alexander Kristoff Team Wallonie-France
  24. Cummings n'est pas non plus le premier venu dans ce genre d'arrivée. Il gagne début d'année le Trofeo Andraitx, à Palma de Mallorca, en haut d'un petit col en devançant un puncheur comme Valverde et d'autres grimpeurs comme Mollema et König. On voyait très bien qu'il terminait très fort. En plus, il est très fort en poursuite et après le sommet, il restait plus ou moins 1 km de plat.
  25. F4: Greg Van Avermaet (il fait toujours 4) Pas aujourd'hui. Pour une fois que je ne le mets pas dans le top 3 pour ce genre d'arrivée.😕 Content tout de même pour Greg. Belle victoire et nouvelle deuxième place de Sagan.
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