
Jérémie LAPLAC
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ça va te paraître étrange mais s'il pleut, j'y serais peut-être car les obligations prévues seraient alors décalées ;)
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La reine des prés t'aidera à bien dormir, mon bon Franck .....
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Le Colnago, le jour et le Litespeed, la nuit ou le contraire ? Le Colnago, la nuit, le Litespeed, le jour. Le Litespeed était plus confortable que l'acier, plus vivant dans toutes les circonstances.
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Contacte JP Levacon ; il fait les deux, titane et acier. Il te répondra de façon neutre. Les caractéristiques mécaniques de l'acier et du titane sont fort différentes, le comportement dépendra de l'honnêteté de ton discours à ton cadreur et de sa capacité à transcrire tes souhaits sur un matériau ou un autre Quant à moi, j'ai eu un Colnago Master. Quand je suis passés sur un Litespeed, ça a été le jour et la nuit. Il ne faut pas s'arrêter sur un matériau, c'est la façon dont il est travaillé qui fera le comportement. J'ai eu en prêt un Litespeed T1, adulé par son propriétaire mais trop brutal pour moi....
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Quatre heures de sortie en guise de reprise de contact avec les routes brabançonnes ça doit piquer après quelques sorties alpines. Pour ma part, j'ai enchainé une sortie de 106 km dans l'est du pays et deux courtes de 55 et 62 bornes. Les deux premières sur des petites routes avec entre autre, Amermont, Wanne, Redoute, Thiers de la Principauté dans le secteur de Malmédy et celle de ce matin, entre amis et sans autre intérêt que de bavarder ...... Je m'en sors avec des éraflures sur le coude, et un guidon tordu vite remis d'aplomb Tu as de la chance, c'est comme ça qu'on se casse une clavicule 😲
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Le but, Bernard, est de se faire entendre avec la sonnette par les piétons sur les pistes cyclables, en agglomération sur une voie verte. Le législateur a sans doute pris en considération le fait qu'un vélo de course, en principe, ne roule pas la nuit ... Mais il y a une nuance : si le vélo de course est dispensé d'éclairage obligatoire la journée, il ne l'est pas la nuit tombée. Il me semble que la logique voudrait qu'on supprime ces archaïsmes de la loi ... à chacun d'être assez grand ... pour se rendre visible ! Nous sommes d'accord
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Mais si je repasse dans ce coin-là j'irai prioritairement combler une autre de mes graves lacunes, le Glandon-Croix de Fer versant Rochetaillée. Je commence à me demander si tu es un vrai franc allobroge 😃
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Question bien belge : le code français ne distingue pas un vélo "normal" d'un vélo de course ? En Belgique, l'éclairage et les catadioptres sur roues (ou bandes blanches réfléchissantes) ne sont pas obligatoires pour les vélos de courses. La sonnette l'est, et au risque de passer pour un "khonnar", c'est normal, simplement pour se faire entendre poliment par un autre usager faible. Je sais, ça fait vieux %@!? d'en avoir une mais c'est ainsi.
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Faire de mon vélo un véhicule de vacances
Jérémie LAPLAC a répondu à un(e) sujet de Greg FINCK dans Le matos
Jérémie tu as quoi comme monture ? Un Lynskey Cooper CX acheté au rabais sur chainreaction dot com, monté en 3x11, dérailleur XT derrière et Ultegra devant, leviers et freins Gevenalle. Sur les conseils d'une éminence du forum, pédalier Spécialité TA Carmina. Des roues artisanales, légères mais fiables .... Maintenant, il existe d'autres très bon vélo pour ce genre d'usage : Cannondale Touring, VSF T1000 (de mémoire), Trek 520, Kona Sutra, Surly Long Haul Trucker. Attention au braquets débiles proposés par certains constructeurs : 34*32, c'est juste insuffisant. Pour le chiot, regarde ce lien : http://bit.ly/2vmNQIv. Le site est d'ailleurs une mine d'information sur le matos, entre autres -
Bonne chose de faite, Franck ! Perso, même si je te rejoins pour les paysages du versant sud, c'est le versant nord que je préfère escalader, et de loin. La montée au Lautaret, que tu viennes de Briançon ou de l'Oisan est juste moche tant elle s'apparente à l'A6 un jour de chassé-croisé.... Si tu as le temps, va donc te faire le col de Sarenne par Mizoën, ça te plaira
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Faire de mon vélo un véhicule de vacances
Jérémie LAPLAC a répondu à un(e) sujet de Greg FINCK dans Le matos
Je pars régulièrement en itinérance et autonomie complète. Ces deux derniers mois, un coup dans les Vosges et un coup dans les Alpes.... 1/ Les braquets, le plus important. Si c'est du plat, 30*28 ou 30 le fera. Si ça grimpe - même peu, tu risques d'être très vite ennuyé. La remorque, ça bouffe une énergie folle et ça fait souvent des à-coups. Je suis passé partout avec du 24/32. A Briançon, je me suis foutu de la tête de deux allemands assez âgés, chargés comme des mules avec du 22/36, mais le lendemain, on les a revu dans l'Izoard, la fleur au fusil 🤐 2/ La bagagerie : le truc sur lequel il ne faut pas regarder à 10 euros. Ortlieb et Vaude font de très bonnes sacoches, qui se clipsent très facilement sur les racks Tubus. Attention, si tu prévois un parcours hors route, double impérativement les attaches du bas de tes sacoches, sans quoi ça a la mauvaise tendance de se faire la malle au premier nid de poule. 3/ Porte-bagabes : là dessus aussi, évite le bon marché léger. Le truc à 20 euros qui casse, ça te fiche tes vacances en l'air (j'ai expérimenté) 4/ Le poids est ton ennemi ! Tu emportes le strict-minimum et si tu pues après 3 jours, ce n'est pas bien grave. Perso, je mets le sac de couchage et la tente sur le guidon, avec un support spécifique. A l'arrière, deux sacoches de 15 litres, pas remplies à fond histoire de me laisser de la marge pour pouvoir prendre le casse-croute ailleurs que dans mes poches. J'y met un matelas gonflant très compact, une tenue de rechange, une veste de flotte, une tenue civile, du savon, dentifrice, pharmacie, réchaud .... Pour le chien, n'oublie pas sa gamelle et ses croquettes 🆒😃 -
à part les câbles qui se bouffent vite en 11v +1 avec les câbles & gaines Dura Ace. J'ai résolu le problème avec les câbles, gaines et liners Jagwire Road Elite
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Turin Nice 2017
Jérémie LAPLAC a répondu à un(e) sujet de Jérémie LAPLAC dans L'entrainement et la santé
Transmets-moi ton mail en MP si tu le souhaites ..... -
Hello Michel, j'aurais voulu y être aussi, mais mon programme ne me l'a pas permis. Bravo, belle journée et terrible étape ..... et belle moyenne, dont je suis envieux !
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Turin Nice 2017
Jérémie LAPLAC a répondu à un(e) sujet de Jérémie LAPLAC dans L'entrainement et la santé
Eric, à plusieurs, ça nécessite de supporter les défauts et les qualités des autres. Perso, je suis du matin et levé à 6h30, je serais monté sur le vélo à 7h30. Mes amis aiment prendre leur temps le matin, donc, on ne partait jamais avant 9h00. Alors, je lisais pour passer le temps. Quant à la performance pure, tu trouveras des CR sur le Web qui relatent ce parcours en quatre jours. C'est trop vite pour moi ; j'ai apprécié les deux demi-journées de repos, j'ai adoré la pause crème glace dans le col d'Agnelle, je me suis arrêté souvent pour regarder d'où on venait et où on allait ... Impossible pour moi de faire cela en doublant le kilométrage journalier. Top, ton lien , je ne connaissais pas ! -
Turin Nice 2017
Jérémie LAPLAC a répondu à un(e) sujet de Jérémie LAPLAC dans L'entrainement et la santé
Franck, approximativement 300 bornes sans asphalte, mais pas non plus du VTT hein, faut pas pousser 🤐 Le col de Tende, par exemple, est, sur le versant français, majoritairement en terre battue. Idem pour le Turini via l'Authion, le col de Braus... Mes amis sont en 1x11 (tu vas hurler, je sais et je plussoie) mais c'est leur choix. L'un dans l'autre, n'importe qui avec un peu d'entrainement sait boucler le parcours. C'est une question de moral et de patience. Ton vélo ferait le job, peut-être avec une fourche permettant de plus gros pneus. J'avais du 700x40, c'est passé partout.... -
De retour de mon grand objectif de l’été : Turin – Nice par les petites routes alpines. Ne pouvant prendre part à l’évènement « officiel » (http://bit.ly/2utp9YT), nous y avons consacré nos vacances d’été. J'ai rédigé un CR que vous trouverez dans cette section, ici : http://bit.ly/2uq9nzr
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C’est l’histoire de trois amis qui, au cours d’une sortie hivernale dans les chemins enneigés des Ardennes, ont décidé de se lancer dans une aventure sportive et humaine différente, avec une seule règle : prendre du plaisir sur le vélo sans essayer de battre un quelconque record. C’est ainsi qu’un matin de juillet, nous avons quitté Turin, en mode bikepacking avec un minimum de matériel de camping, une tenue de rechange, un short et un tee shirt. La première difficulté du parcours arrive après une cinquantaine de kilomètres assez monotones : le colle de Colombardo, qui s’avère vite être une saloperie sans nom. Des pentes épouvantables, du brouillard, de l’orage, de la pluie, l’asphalte qui cède très vite sa place à la terre, des chiens de bergers tout sauf sympathiques … Une sale entrée en matière. Après une nuit passée abrités dans une chapelle dans la descente du col, nous nous attaquons à un beau morceau : le colle del Finestre, emprunté à deux reprises ces dernières années par le Giro. Ce magnifique col ouvre la route vers l’Assietta (http://bit.ly/2utquPk), où nous passons la seconde nuit. Cette ancienne route militaire offre un des plus beaux panoramas des Alpes et nous avons la chance de la parcourir sous une météo magnifique. Descente vers Sestrière, ascension du col de Montgenèvre pour rejoindre Briançon où nous passons l’après-midi au bord de la piscine du camping. Une courte étape reposante, en prévision du troisième jour avec au programme, l’Izoard et l’Agnelle. Si ces deux monstres se laissent assez facilement domptés avec les vélos course, il n’en n’est pas de même chargé. Une fois de plus, mes braquets d’asmathique (11/32 derrière, 24/36/48 devant) me permettent de passer la journée sans trop souffrir, en profitant des paysages grandioses du Queyras. Courte descente vers Chianale pour se mettre une (?) bière(s) bien rafraîchissante(s) derrière la cravate J et refaire le monde au resto…. Cinquième jour : Colle de Sampeyre. Une longue ascension régulière pour nous mener au sommet, avant de basculer par le valle d’Elva. Cette route d’une autre époque, encastrée dans les falaises, est d’une beauté magique et intemporelle. On se demande juste comment dans le monde sécuritaire actuel, on peut encore emprunter une voie si dangereuse, ne comportant guère de barrières de sécurité, avec des à-pics vertigineux …. Après une pause déjeuner, c’est le colle de Prei. Un monstre qui ne se laisse pas facilement dompter, avec des rampes de plusieurs centaines de mètres à 18 %. Arrivés au sommet, nous nous arrêtons dans un petit refuge. Apéros, bonne bouffe, nuit réparatrice et nous voilà en route le lendemain pour le colle Fauniera sur des chemins militaires, avec à nouveau des paysages éblouissants. Cette journée devait être facile, avec seulement deux petits cols (en plus du passage du Fauniera), 70 kilomètres et 2000 mètres de D+, mais c’est bien fatigués que nous atteignons Limone au pied du col de Tende. Septème jour : mauvaise surprise, des douleurs au dos apparues la veille me font souffrir. Je grimpe difficilement le col de Tende et arrivés au sommet, nous renonçons à une boucle de 80 kilomètres qui devait nous ramener à St Dalmas de Tende via la route du sel (http://bit.ly/2v0zyhx). Ce sera donc une étape très courte, avec après-midi repos à Tende …. Le lendemain, c’est l’ascension de du Turin par l’Authion. Passer de 400 à 2080 mètres chargés, sur moins de 20 kilomètres, avec la fatigue accumulée se révèle être plus compliqué que prévu. Mon mal de dos n’arrange rien, la chaleur non plus. Je m’enferme dans ma bulle et attends patiemment que ça passe. Trois heures et quatre litres d’eau plus tard, nous sommes au Turini, la dernière véritable difficulté de ce périple derrière nous. La fin de journée se passe à Sospel, en terrasse ; ça sent bon l’écurie. Dernière journée : col de Braus par une piste dans les bois, chemin sommital pour rejoindre Sainte Agnes et col de la Madone. S’en suit la longue descente vers la côte. C’est plein d’émotions que nous atteignons Nice ; je ne saurais décrire tout ce qui m’est passé par la tête à ce moment-là. Nous avons rencontré de très belles personnes qui nous ont soutenu, qui nous ont donné spontanément de l’eau, des conseils … Nous avons souffert, nous avons partagé des moments de joie, de bonheur mais aussi de moments de douleur et de peine. Mais le moment le plus difficile, ce fut sans conteste la fin de ce voyage fabuleux. Je ne me rappelais plus que le vélo pouvait apporter tant de satisfactions. Un tout grand merci à ma petite famille, qui a accepté de sacrifier une partie des vacances pour que je puisse mener ce projet à bien. Enfin, pour info et même si les chiffres importent peu, ça donne 645 kilomètres pour 16900 mètres de D+. Je reste disponible pour celles et ceux qui seraient avides de conseils et d’informations ….
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Impossible de clipser pédales Speedplay
Jérémie LAPLAC a répondu à un(e) sujet de Sylvain TIPAC dans Le matos
Pour avoir tant d'ennuis, c'est que les épaisseurs sous les cales ne sont pas correctes. Speedplay explique de façon précise comment procéder selon le type de chaussure. Perso, j'avais mis de l'huile et desserré le ressort de tension de la cale. -
ça c'est deja décanté
Jérémie LAPLAC a répondu à un(e) sujet de Marcel FERRAN dans Discussions Route
Sur le Giro, Qiuntana avait le don d'allumer des pétards mouillés. Un gros démarrage, puis il s'essoufflait et Dumoulin & consort revenaient la fleur au fusil. Il ne faut pas s'attendre à voir un Quintana olympique après un Giro alors que sur ce même Giro, il n'a jamais été capable de mettre une minute en montagne à un rouleur comme Dumoulin. Globalement, sur le Giro, le niveau était particulièrement faible. -
on a eu la mauvaise surprise de trouver une route en grande partie défoncée par des travaux en cours Pas trop dérangeant, un petit bout de gravel avec l'énooooorme avantage de ne pas rencontrer de circulation ..... J'ai bien aimé cette bosse, abordée très humblement sur les conseils de Franck. Haussire usurpe quelque peu le titre de côte la plus dure de Belgique - à mon humble avis - dans la mesure où les pourcentages sont moins brutaux que ce que l'on peut trouver ailleurs, comme par exemple dans le mur de Huy. L'un dans l'autre, une très belle sortie, où on a refait le monde, en partie du moins, et où les voitures nous ont globalement foutu une paix royale.
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En autonomie pour deux ou trois jours, j'utilise la sacoche de guidon salsa cradle exp (http://bit.ly/2tQu9pL) et la sacoche de selle Arkel en 15 litres (http://bit.ly/2ubz1ow). C'est jute suffisant, mais ça ne laisse pas de marge ce qui est parfois embêtant pour se ravitailler à l'avance. Avantage de ces modèles : ils sont très stables sur le vélo, faciles à mettre en place. Pour du plus long avec plus d'incertitude météo, je substitue la sacoche de selle par deux petites fontes Ortlieb de 13 litres chacune. Je sais ranger sans souci une tenue de rechange, une tenue "civile", de quoi bivouaquer et un petit réchaud pour le café du matin ou la bouffe du soir. Je n'ai jamais aimé rouler avec un sac à dos, ça me donne mal aux cervicales. Donc pour la flotte, c'est obligatoirement des porte-bidons partout sur le vélo ou de l'eau dans une des sacoches.
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Prochaine longue sortie prévue lundi, journée libre, et je vais peut-être la faire en Ardenne. Ça dépendra de la météo. Tiens moi au jus .....
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Et apres le carbone . quoi?
Jérémie LAPLAC a répondu à un(e) sujet de Christian CANNONDALE dans Le matos
il me semble, s'agissant des cadres en "poil de kangourou", que les bidons, même placés en bas du kadre, doivent pas mal sauter, non ?? Une source sûre qui bosse dans la R&D d'une grande firme américaine m'a affirmé que ces cadres en poil de kangourou seraient destinés à un usage assez engagé, sans doute la descente en VTT, en sautant de bosses en bosses 😃 Des cadres en poil de yak sont à l'étude (ça se précise), et seraient conçus pour rouler en montagne, en haute altitude 😇 On n'arrête pas le progrès ! ça se précise, et le tuyau n'est pas percé .... -
Et apres le carbone . quoi?
Jérémie LAPLAC a répondu à un(e) sujet de Christian CANNONDALE dans Le matos
Le poil de chameau, voilà le vrai créneau à prendre De fait, Georges, l'esprit visionnaire que tu es a flairé le bon coup. Avantage du poil de chameau : bidons intégrés dans le haut du cadre. A ne pas confondre avec les cadres en poils de kangourou, ou les bidons se glissent dans la bas du cadre.