Olivier TÉTART

pour 90 kg moi je verrais plutôt un montage traditionnel à base de Jantes Mavic cxp33 avec 36 rayons à l'arrière et 32 à l'avant, croisement à 4 derrière et à 3 devant. Je pèse jusqu'à 88 kg et c'est ce que j'utilise pour que ça ne bouge pas et que ça réponde bien. Mais c'est pas à la mode, et c'est sans doute un peu plus lourd, c'est pas ça pour exposer son vélo. Pour moi les roues avec peu de rayons sont une hérésie, c'est juste un truc marketing pour des économies d'échelle, l'aérodynamisme quand on roule à moins de 60 à l'heure, ben... Baisse la tête 😃

Pour le modèle Faggin je me suis trompé, c'est le modèle Fiorentino et pas Marcello dont je voulais parler. Le SL compact est aussi pas mal dans le genre. En fait comme tout est apparemment à la carte on peut même faire faire un mix des deux... Chez Singer et bien d'autres qu'on oublie on doit pouvoir obtenir aussi de très belle choses, l'artisanat sait encore faire du très beau (mais pour les chromes on semble être malheureusement bridé par les normes en France).

"Merci ????" Pourquoi les points d'interrogation, j'ai dit un truc qui t'a froissé ? Si c'est le cas, désolé, ce n'était vraiment pas le but.

Je n'ai pas bien compris : les deux Gios marcheraient encore ensemble ?

Perrin dans le sud IdF, Salmon nord Bretagne... De vrais cadreurs pour l'acier qu'on oublie pourtant parfois dans les forums. Perrin est aussi spécialiste de l'inox. Attention Gios est maintenant séparé en deux depuis quelques années (2007 ?) : un Gios Torino qui ne vend qu'en Italie (un peu comme les artisans sus-nommés en reprenant la tradition de la marque) et un Gios Italia qui fait dans la plus grande production et qui exporte, avec capitaux en partie japonais je crois, chacun avec l'un des deux frères à la tête. Pour de très beaux vélos italiens, dans le même genre que Gios Torino il y a une marque qui revient aussi à l'artisanat après avoir donné dans la grande production (il me semble qu'on trouvait même ses cadres à la feu Fnac sports dans les années 80...), fabriqués à Padova (Padoue) : Faggin. Allez faire un tour sur leur site, ça vaut vraiment le détour pour ceux qui aiment la peinture sur chrome et le vélo italien qui faisait rêver ma génération dans les années 80 (le modèle Marcello, du prénom du fondateur de la marque, est une merveille...) Et le poids on s'en fout un peu en vrai.

Après avoir eu des Look pendant des années je suis passé récemment aux pédales Xpresso de Time : elles fonctionnent très très bien...

J'ai utilisé des 25 pendant deux ans en course et à l'entraînement en étant persuadé que c'était meilleur pour le rendement suite aux test divers faits à droite ou à gauche dont on trouvait les analyses sur des sites francophones ou anglo-saxons. Et c'est vrai que j'étais/j'en suis très content. Puis j'ai eu par hasard une énorme promo sur des Hutchinson Atom en 23 cet été en me baladant en GSS, que j'ai montés sur des jantes étroites à l'ancienne. Et là j'ai eu l'impression de m'envoler (pneus légers, souples). Les 25 vont très bien sur mes roues Miche à jantes plutôt larges, très bon rendement, bon grip, mais les 23 souples sur des jantes traditionnelles étroites le font aussi très très bien, très bon grip dû sans doute à la souplesse de la carcasse qui se ressent bien (pneu d'été). Comme je le disais plus haut, à mon avis si le 25 passe sur le devant de la scène c'est surtout parce qu'il est parfaitement adapté à la largeur plus importante des jantes carbone (et des jantes alu actuelles qui ont adopté le même design), et les tests de labo sont, je le parierais, faits avec ce type de jante. Mais en fait le 23 sur jantes anciennes plus étroites donne peu ou prou la même chose (souplesse du pneu en particulier mise à part). J'en suis sûr la largeur de la jante donne une indication sur le pneu optimum à mettre dessus pour avoir le meilleur profil de carcasse : il n'y a pas le 23 meilleur ou le 25 meilleur, ça dépend sur quelle roue on les monte... Et l'esthétique : ben en fait sur un de mes vélos c'est le 25 qui claque le plus, et je ne jurais plus que par cette section, au point que j'ai pris le 23 ensuite seulement parce que j'avais un super prix dessus en me disant que ça suffirait bien pour finir la saison. Ca a fait mieux que suffire...

"Après l'électrification des groupes et l'arrivée des disques, il est à parier que l'avenir nous réserve un tel équipement." Un moteur dans le pédalier ? 😆 Ca existe déjà, ça s'appelle un cyclo(moteur).

La section mais aussi le rendement dépend aussi de la largeur de la jante. Celle-ci va donner un profil différent selon la section du pneu, donc une empreinte au sol de forme différente, donc un rendement différent... Les tests récent en 25mm sont faits avec des jantes "modernes" donc plus larges qu'autrefois (c'est les contraintes de la construction de jantes en carbone qui a donné cette tendance devenue mode même sur les roues en alu). Ca serait intéressant de comparer le rendement d'un pneu de 23 monté sur une jante étroite old-school avec le rendement d'un 25 monté sur une jante large actuelle, on aurait peut-être bien des surprises qui n'iraient pas forcément dans le sens des pubs actuelles...

Pour avoir le même recul tu localises à l'oeil le creux des deux selles (à la limite tu le marque avec un bout de scotch élec, fais gaffe quand tu le retireras certains revêtements de selle sont fragiles), tu mesures la distance du pivot ou de l'axe du cintre au creux de l'ancienne selle toujours en place, tu démontes l'ancienne selle et tu montes la nouvelle de manière à ce que le nouveau creux soit à la même distance. Ca devrait le faire pour retrouver une même position si on compte qu'en s'asseyant la selle ne va pas avoir un creux qui avance ou recule selon une déformation plus ou moins imprévisible. Sinon pour régler dans l'absolu un recul il y a le fil à plomb, ce qui donne une indication mais a aussi ses limites (on ne se cale pas forcément pareil en statique qu'en pédalant sur la route). A peaufiner à la sensation et/ou si quelqu'un peu te photographier ou filmer pendant que tu pédales. A+ Olivier

Moi c'est 51/39 et 12-25 en 10 vitesses depuis un bail, et plus je vieillis plus j'essaye de mouliner vite. Avec ça je passe partout même les côtes-surprises que mes dirigeants trouvent en stage, et puis la vraie montagne c'est loin de chez moi, le téléphone y passe mal, il y fait froid l'hiver, il y a de la neige, c'est dangereux quand on y randonne (à pieds) en solo, il y a trop de monde dès qu'il fait beau, etc... Je n'ai fréquenté qu'en stage en fin d'hiver et pour quelques courses l'été il y a longtemps, c'est pas du tout mon milieu naturel. 😆 La moyenne montagne ou les montagnes à vaches c'est déjà plus mon truc, mais dans mon coin il y en a même pas. Et quand j'habitais près des vraies montagnes les copains coéquipiers me surnommaient l'homme des plaines parce que j'y mettais quasiment jamais les pieds, et surtout jamais pour faire du ski, alors... L'été je roule un peu en Vendée, c'est quand même difficile d'y trouver un col hors catégorie... A+ T.

Si tu es en IdF ou pas loin tu as les cycles Perrin dans l'Essonne qui travaillent l'inox, c'est même leur spécialité avec l'acier (Ils sont de vrais fabricants/techniciens en plus d'être de bons vélocistes comme il en reste peu).

Si tu écoutes les revues spécialisées il y a eu tellement de progrès en 20 ans que tout le monde devait rouler à plus de 70 km/h aujourd'hui (comment ? Tu n'y arrives pas ?), même qu'un Merckx de la grande époque avec son matériel tout aussi de la grande époque aurait du mal à suivre le cyclo de base d'aujourd'hui avec son cadre top moumoute à nono-machins muni du cardio/gps/cure-dent de la mort qui tue... A toi de voir si un objet technique aussi simple qu'un cadre a pu vraiment évoluer ou si c'est du baratin.

"C'est mort l'alu vous pensez où juste un coup marketing du moment?" Le cadre le plus rigide que j'ai eu était en alu, un EXS à pas cher (je l'ai encore, il a de bons gros tubes hydroformés bien compliqués avec des renforts soudés à certains raccords, c'est simple : je ne l'ai senti un poil bouger que sur des tout petits braquets en sprint en côte très raide, un des rares moments où on a un couple important en tant que cycliste, là où les autres cadres se tortilleraient sans doute dans tous les sens). C'est à mon avis sans doute le moyen le plus économique (très) de faire un truc complètement bridé et relativement léger (donc avec un rendement d'enfer à condition de ne jamais se tromper dans les braquets). L'idéal sans doute pour un coursier qui ne veut pas casser son PEL en cas de chute/casse... Beaucoup d'alus ont maintenant une géométrie "relax" qui atténuent certainement ce caractère (tubes arqués plus longs), mais on trouve encore des modèles très abordables qui devraient bien le faire dans le genre. Objectivement les alus que j'ai utilisés sont de bons cadres. J'ai repris mon acier en délaissant mon dernier alu blindé, monté aussi avec des périphériques sur-dimensionnés suite à des douleurs qui n'avaient rien à voir avec le vélo (problème aux cervicales qui donnait des douleurs continuelles dans un bras, suite à une chute mais pas à vélo) parce que ce matériau me parle, c'est ce que j'ai connu étant jeune. Et quitte à ne plus avancer autant être sur un truc qu'on trouve beau et qui est réputé relativement confortable sur la durée même si c'est un peu plus lourd. C'est sans doute ce que veulent dire les anglo-saxons quand ils disent "steel is real" : c'est une longue tradition et on sait à quoi s'en tenir (un peu comme les selles en cuir : vu le savoir-faire accumulé depuis plus d'un siècle ça ne peut pas être totalement mauvais).

Le carbone a sûrement fait des progrès, et aussi pour ce qui est du confort ou même du rendement je me suis bien gardé de faire un classement : la géométrie du cadre y est pour beaucoup indépendamment du matériau. La seule chose qu'on peut comparer à coup à peu près sûr du plus au moins c'est la robustesse, le poids, la grosseur. (Et là c'est plus personnel mais je suis sûr que les grosses sections soi-disant aéro c'est du pipeau, surtout en peloton, les plus anciens se souviendront que les constructeurs avaient fait le même coup marketing un bref moment dans les années 80 avec le métal, tout ce qui était aplati et plus ou moins "goutte d'eau" vu de loin coûtait d'un coup deux fois plus cher, et pourtant là ça aurait à la limite pu se justifier puisque les sections étaient proches, donc vent de côté c'était assez insensible).

En plus des trois catégories citées, pour mieux te faire cogiter, il y a un type d'acier à part : l'inox. Déjà qu'un bon acier moderne pour le faire rouiller il faut quand même y aller, genre air marin et stockage dans la cave (j'ai un Gios en Dedacciai utilisé par tout temps et laissé un temps de côté sans nettoyage, deux/trois ans dans mon cellier/cave, même à un endroit de la boîte où il y avait un éclat de peinture assez important, emporté lors du vissage du boîtier, il n'a pas rouillé, alors l'inox...) Et du point de vue rigidité, l'inox c'est quelque chose. Ceux de chez Reynolds ont un module de Young bien supérieur à n'importe quel titane... Le carbone c'est fragile, ça fissure quand c'est léger et ça ne supporte pas le moindre choc. Le titane a des caractéristiques très variables selon l'alliage et c'est difficile à faire réparer (mais en même temps c'est connu pour être robuste quand ce n'est pas trop fin). L'acier est le plus aisé à faire réparer mais c'est souvent plus lourd, donc pas à la mode rien que pour ça (beaucoup de sites ou de revues ont une responsabilité pour ça en résumant l'optimisation à la légèreté, ce qui est évidemment idiot mais le plus facilement mesurable, donc on simplifie et ça donne le "la" à la tendance générale). Ca peut être fragile en étant très (trop) fin. Pas besoin de gros tubes pour que ce soit performant. L'inox c'est rigide et costaud, pas besoin de "mégatubes" ou autres machins pseudo aéro pour obtenir une bonne tenue, les petits tubes seront bien assez performants sans avoir recours à ces arguments marketing selon lesquels un gros tube est plus aéro qu'un petit, ce qui est le "nouveau" décret tout aussi stupide que celui de la légèreté à tout prix. En fait on dit que gros c'est mieux parce qu'en carbone il faut bien ça pour pouvoir faire des cadres légers et suffisamment rigides, sinon c'est le caoutchouc des années 90 quand on faisait léger en petits tubes, ça se décollait/fendait aux raccords ou se tortillait dans tous les sens en "monocoque". Donc on a fait des trucs aplatis à la louche en décidant que c'est aéro. Idem pour l'alu. Ce qui est super pertinent vent de côté dans une bordure, un peu comme les jantes hautes. Voir les innombrables chutes de l'étape de la Somme du dernier TdF ou encore le dernier Gand-Wevelgem . http://www.***/index.php?post/1437/choix-des-roues-sur-gent-wevelgem-2015 (a la place des *** de la censure mettre le nom du site qui parle de matos de vélo). En vidéo c'est encore mieux façon cirque Pinder : http://www.rtbf.be/video/detail_cyclisme-resume-de-gand-wevelgem?id=2004442 On voit nettement que ceux qui ont gardé le matériel officiel avec jantes de 50 ont tendance à s'envoler et à finir dans les canaux... Le lendemain, c'est curieux, la plupart courait avec des jantes basses plus ou moins maquillées jusqu'au moment d'être sûr d'avoir une météo assez favorable pour utiliser le matériel officiel avec grosse jantes pour mettre les autocollant qui se voient bien. Pour revenir au seul cadre, le problème de l'inox, c'est que c'est (très) cher... (C'est comme le titane). Et il n'y a pas beaucoup de monde pour bien le travailler. (sauf versions rarissimes à raccords spécifiques si ça se fait encore vu le peu de demande dans ce matériau précis). Et du point de vue esthétique ça ressemble parfaitement aux autres cadres en acier, ça fait "vintage" (pas à la mode du tout pour frimer alors que techniquement c'est sûrement le top, perso je ne demande qu'à tester). A+ Olivier

C'est le seul inconvénient qui me freine comme je roule en course par tout temps. J'utilise en ce moment une Concor. J'ai une très belle Brooks course qui attend patiemment un montage dans mes archives, un jour sur un acier sur mesure, je suis sûr que ça le fera très bien...

5mm en moins ça risque de faire de toute façon trop de retrait, s'il le faut je dirais 2/3mm au maximum (il doit déjà y avoir 3 mm, ce qui suffit dans la plupart des cas). Avant de couper quoi que ce soit qu'il essaye de rajouter une petite bague de 5mm (ou de virer celle de 5mm qu'il a et de la remplacer par une de 1cm) pour avoir un pivot plus bas par rapport aux bagues et voir si ça vient bien de là et pas du système d'expandeur qui remonte dans le pivot au serrage (c'est le problème vicieux que j'avais eu sur un pivot carbone même en vissant bien au couple indiqué par le constructeur l'expandeur dans le pivot avant réglage, il n'y avait rien à faire ça remontait un poil (quoi, d'environ 1mm) quand on mettait en compression, juste suffisamment pour rendre le bon réglage impossible). C'est plus facile dans un premier temps d'ajouter une pièce pour tester le système que de couper, de voir que ça ne vient pas de là et de ne plus pouvoir revenir en arrière. Ca prend 5 minutes et ça peut éviter une erreur. A+ Olivier

Durano Plus (Schwalbe).

Vérifie sous le capot de compression que le pivot de direction soit bien au minimum 3/4mm sous la potence ou la bague la plus haute qui serait éventuellement placée au dessus. Si c'est bien le cas vérifie encore que le système de compression par expandeur pour les fourches carbone ne soit pas trop remonté (dans ce cas quand tu serres la "vis verticale" tu ne compresse rien du tout mais tu bride juste le système dans le pivot contre le capot, ce qui ne permet pas de resserrer le jeu). J'ai eu un système pourtant haut de gamme (Reynolds) qui avait tendance à remonter au serrage parce que son expandeur se bloquait mal dans le pivot, en tout cas pas suffisamment bas (donc remontée et serrage contre le capot, pas de compression du jeu de direction, donc jeu important). Ce sont les deux raisons classiques qui empêchent de bien régler les fourches avec pivot carbone (pour les pivots en métal avec une étoile la deuxième n'existe pas, il ne reste que la première : un empilage de bagues pas assez important qui fait qu'on serre le capot contre le pivot et non contre la potence ou l'entretoise placée éventuellement au-dessus, pour que ça puisse mettre le tout en compression). A+ Olivier

Géométrie avec une chasse très différente d'un vélo à l'autre et à laquelle il faut s'habituer, potence courte ?

"Tu es sur pour 2021 car après les elections de 2017, ils vont se lacher sur les retraites" Meuh non, il y en a qui ont déjà promis il y a des années qu'ils n'y toucheraient pas...😃 Paroles de p... Pardon : politiques. Qui eux touchent une confortable retraite après peu d'années d'"activité". Ca doit être ce qu'ils appellent les valeurs de la République...

Pas mal, hein ?... Tiens, encore un autre exemple, peut-être plus accessible : http://www.masibikes.com/framesets/gran-criterium Ne pas confondre avec Massi. Pour la petite histoire la marque était si réputée qu'elle faisait les cadres sur mesure pour d'autres plus connues... La réputation a débordé en France dans un petit milieu au point que j'ai connu des coursiers qui faisaient le voyage jusqu'à Milan pour faire faire leurs cadres. Maintenant elle fait du carbone comme toutes les autres, sans doute ni meilleure ni pire, et elle a ce modèle sans doute pour rappeler son passé. Les tailles sont fixes, on vise l'international, on n'est plus trop dans la tradition redevenue artisanale comme chez Faggin. Comme d'autres marques de la grande époque elle a évolué... Certaines pas de manière très heureuse pour les amateurs de beaux vélos, d'ailleurs (comme Atala qui ne fait plus que des trucs comme des VTC ou des vélos de ville). On a aussi des artisans capables de faire de très beau cadres traditionnels à la demande et sur mesure en France. Cependant ils semblent bien plus ennuyés par les normes pour pouvoir faire des chromes, ou au moins de vrais chromes de qualité. L'alternative serait de faire faire des cadres en inox et de polir les parties pour faire "chrome", il existe (ou il a existé) au moins une série inox spéciale pour ça. Avantage : sans doute plus résistant et ne peut altérer quoi que ce soit car pas d'emploi d'acides ou autres. Et des performances mécaniques modernes au top. C'est sans doute tout à fait dans les cordes d'artisans comme les cycles Perrin qui sont les grands spécialistes de l'acier, ça me trotte dans la tête depuis longtemps, parce que quand je pense beau vélo, ben il n'y a rien à faire je pense automatiquement et inconsciemment acier... A+ Olivier

Je remonte le fil pour signaler que, suite à la proposition de vente d'un pédalier Ultra Torque neuf (Centaur alu) à bon prix par un mécano et un vélociste en qui j'ai toute confiance (et aussi en tenant compte du témoignage de Jérémie Laplac ), je me suis laissé tenter et j'ai testé cette version Campa de l'"axe intégré", et malgré mes réticences, là je dois dire que ça fonctionne bien et que c'est du très bon matériel. Peut-être pas aussi fluide à vide qu'un bon boîtier carré mais c'est très acceptable (il faudrait vraiment chipoter pour dire que ça ne va pas). A voir pour la durée dans le temps (les roulements sont moins protégés que dans un boîtier, logiquement ils devraient durer moins longtemps). A+ Olivier

Hey, regardez un peu ce qu'on fait encore de beau en Italie... http://www.fagginbikes.com/portfolio/fiorentino/ Et il y en a d'autres en cherchant un peu...