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1200 francs ? Non, ça c'était le prix du bas de gamme en Aelle, ce truc que s'arrachent aujourd'hui en occasion des types en baggy pour faire du fixie... 😃 Prix inconcevable aujourd'hui même si on l'indexait sur l'évolution des salaires... On disait à l'époque du "passage" que les prix seraient surveillés pour éviter les arnaques et les ententes qui feraient exploser le coût de la vie... Ben voyons...
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"oui.......d'ou mes guillemets .... et puis quoi..???? a choisir je prefere 1800 là que 10 fois plus dans une voiture,on peut disserter longtemps sur les prix... " Et puis ? Qu'avec une telle évolution de ces prix les vélos devraient avoir zéro défaut. C'était juste pour confirmer que c'est limite de la part du'une grande marque, et du prix actuel du matériel... Avant le passage à l'euro le moyen de gamme se trouvait à 5000 francs en cherchant bien, à 10 000 c'était du matériel digne des pros, conçu pour être très robuste et sans le moindre défaut de fonctionnement sur la durée...
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"deja dit , mais meme si j'ai "l'entree de gamme " a 1800 eu ,je trouve ça plus que limite de la part d'une "grande" marque....." Petit rappel : en francs ça fait presque 12 000 balles. Le cours de "l"entrée de gamme" a eu comme une courbe bien différente des salaires, non ? Entrée de gamme... On n'a visiblement pas fini de se foutre du monde. Puisque ça marche...
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Ce défaut n'est pas trop étonnant. On cumule le défaut des cuvettes rapportées sans réglage possible, comme sur la plupart des vélos actuels, ce qui pose le problème de l'ajustage de la largeur de la boîte de pédalier (dans ce cas on a recours à une rondelle ondulée qui crée immanquablement des frottements) avec l'absence de filetage qui garantit et le bridage et l'alignement des cuvettes. On emboîte comme dans un gros jeu de Lego... Comparez en version pièces neuves la fluidité des anciens boîtiers scellés de bonne qualité avec celle de ces "systèmes" modernes, pas besoin d'être grand technicien pour constater qu'il y a un os dans le potage. Comparez même un vieux boîtier encore en ordre de marche avec ces machins même avec de la "céramique", c'est sans appel. Tout un tas d'experts en marketing ont fait passer comme "progrès" des économies de fabrication des pièces détachées (plus de manchons scellés garantissant des tolérances infimes, plus de filetage). Sur certaines pédales "haut de gamme" exotiques on en est même arrivé à s'arranger pour virer des roulements côté extérieur de la cage pour les remplacer par des bagues "antifriction" comme sur les mini-vélos de supermarché pour gamins des années 70... Pour ça on dit que c'est "light" donc meilleur, et on vend encore plus cher, et les fanas de pièces légères se ruent dessus. Il serait temps dans un domaine un minimum technique comme le cycle (faut pas délirer en croyant les pubs, ce n'est pas non plus de l'aérospatiale) de redescendre sur Terre et de ne plus croire n'importe quoi à coup de dogmes du genre "c'est plus léger, c'est donc meilleur", ou encore "le boîtier est plus gros, il y a donc moins de pertes d'énergie". Dans le même ordre d'idée, pourquoi quasiment *toutes" les marques se sont ruées sur les cadres en carbone qui se ressemblent tous si on fait abstraction de la peinture et des autocollants ? Parce que c'est vraiment meilleur que les autres matériaux, adapté à nos routes si bien entretenues ou parce que 2 ou 3 usines les fournissent à pas cher à Taïwan ? Ca fait 30 ans que je suis passionné par la technique du vélo, mais là il y a comme une lassitude quand les "beaux" vélos deviennent des machins aussi passionnants et raffinés qu'un stylo Bic...
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Boyaux et saut au niveau de la valve
Olivier TÉTART a répondu à un(e) sujet de Nicolas TOURN dans Le matos
Comme toi, ne serait-ce que pour des questions de garantie... Autrefois on s'en moquait un peu, une jante n'était pas si chère après tout et on n'hésitait pas vraiment à bricoler un peu en général pour ajuster éventuellement les accessoires. Maintenant le contexte est évidemment un petit peu différent : le matériel est sensé avoir été "pensé" globalement à l'optimum (moyeux/jantes/rayons dédiés du même constructeur). Essaye tout de même de bien ré-encoller en laissant bien sécher le boyau à forte pression pendant 48 heures pour bien le plaquer uniformément (6kg pendant 1/2 heures le temps que les fils se tendent doucement, puis 8kg, éventuellement à regonfler le lendemain si chambre latex qui "perd" plus ou moins). (Ne pas exposer à une source de chaleur pendant ce temps). Bonne patience. A+ Olivier -
Boyaux et saut au niveau de la valve
Olivier TÉTART a répondu à un(e) sujet de Nicolas TOURN dans Le matos
D'après ce que je crois me souvenir, il me semble qu'effectivement les "trous" de valve dans les parois externes sont aujourd'hui plus petits qu'autrefois (dans l'alu). Peut-être pour ne pas trop fragiliser la jante à cet endroit ? Le truc c'est aussi de recoller les boyaux régulièrement, et surtout quand il y a un problème de ce genre (bruit, le "saut" ça me laisse plutôt perplexe en fait, parce que quand un boyau a vraiment un "saut" qu'on sent bien en roulant ça annonce plutôt les fils bien coupés et le prochain éclatement) qui peut énerver. Ce n'est pas si long avec l'habitude, le seul truc c'est de bien laisser "sécher" 24 heures au moins pour que ça se fixe bien. Moi à la fin j'encollais tout pour éviter ce genre de petit désagrément, je ne laissais même plus une petite zone sans colle pour le démontage en bord de route, je me débrouillais pour faire avec mes grosses papattes en cas de crevaison, mais c'est vrai que ça peut être alors assez difficile à décoller. -
Boyaux et saut au niveau de la valve
Olivier TÉTART a répondu à un(e) sujet de Nicolas TOURN dans Le matos
Ouh là... Ca ne veut pas dire qu'on ment, mais c'est un problème auquel on ne pense pas forcément ou qu'on croit juste anecdotique, surtout dans l'enthousiasme. Autrefois avec des Clément en soie ou même des Canetti plus accessibles (des boyaux pas chers et français contrairement à ce que pourrait faire croire le nom) mais soignés, ça ne le faisait jamais à ma connaissance, mais il semblerait que les boyaux soient en général un peu moins souples de nos jours pour être plus robustes, si on se fie à ce qu'on dit dans les magazines. Pour ma part, la dernière fois que j'ai percé avec des boyaux c'était avec des Vittoria Atlanta sur piste à cause d'une minuscule épine sur un anneau qui était un vrai billard au début des années 2000, ça a été de mémoire ma dernière expérience en la matière. Un bon encollage bien réparti sur toute la jante et une nuit de forte pression lors de la monte initiale évitait bien ce genre de problème (mais autrefois, la forte pression avec les boyaux bas de gamme pour l'entraînement, mieux valait malheureusement l'oublier pour ne pas risquer de les faire éclater avant même de rouler, et se limiter à 7/7.5 kg maxi. Alors, avec la petite zone laissée non encollée à l'opposé de la valve après la formation du fond de jante (étalé, lui, sur *toute* la jante) en prévision du démontage, une fois sur deux c'était :"plash, splash, splash...". Parfois ce n'était même pas dû à la colle sur la jante, mais à un décollement partiel de la toile de protection de la couture fixée de façon "cheap" à la machine sur les boyaux destinés aux sorties d'entrainement. Les Wolber "renforcés" qui étaient bien pratiques dans leur genre faisaient par exemple et malheureusement bien ça par temps chaud... Il faut dire aussi que les jantes de cette époque étaient vraiment "molles" par rapport à celles d'aujourd'hui, c'était tout le "volant" qui était vraiment souple, et ça peut évidemment tromper si on compare le souvenir des sensations d'alors avec celles que pourraient donner les boyaux actuels montés sur jantes rigides. Sinon, en dehors du bruit pas de problème, ça ne faisait heureusement pas de saut ! (sauf évidemment avant éclatement à cause de fils coupés tout comme pour un pneu). Les boyaux, c'est vrai que ça donne en général de bonnes sensations, mais pour ça il en faut de bons, donc qui coûtent cher de nos jours, et ça demande quand même pas mal d'un entretien qui revient souvent... A tel point qu'à la fin même sur piste je préférais encore prendre le risque des pneus à l'entraînement (gros risque de déjanter sur les vélodromes aux virages bien relevés en cas de crevaison rapide) et réserver de bons boyaux sur de bonnes roues que pour les courses. Maintenant ça ne se discute pas si on est convaincu et qu'on n'a jamais été trop ennuyé par ces petits problèmes, pour ma part ça ne correspond plus à mes besoins. -
Boyaux et saut au niveau de la valve
Olivier TÉTART a répondu à un(e) sujet de Nicolas TOURN dans Le matos
Ne te prends pas la tête, tu n'y es pour rien, c'est un problème récurrent du boyau que ses partisans oublient souvent de mentionner, que les anciens coureurs des années 80 connaissent bien (avec éventuellement un bruit de collage/décollage à chaque tour de roue quand la monte est un peu ancienne quand on ne roule pas très vite, exactement comme tu le dis un "splash-splash-splash-splash..." un peu crispant). Normalement la mise sous pression égalise les tensions lors de la monte quand la colle est fraîche, le reste est anecdotique et ne rattrape quasiment rien... Bonne route. A+ Olivier -
Chaines Shimano Dura-ace 7901 et 7801
Olivier TÉTART a répondu à un(e) sujet de Jean-Joseph PRUDHOMME dans Le matos
Shimano cloisonne encore plus en créant des incompatibilités même à l'intérieur de la marque ? Donc matériel à fuir pour ne pas avoir de mauvaises surprises ou être prisonnier d'un seul modèle... -
De toute façon quand c'est fabriqué loin ça sort principalement de deux grosses usines où la main d'oeuvre est sous-payée façon néo-esclavage, peu importe l'autocollant. Un vrai beau cadre made in France ou made in Europe avec une certaine tradition des cycles, un truc artisanal fait avec goût, je conçois parfaitement que ça puisse coûter plus de mille euros, ça les vaut. Par contre un bidule asiatique avec trois tailles en sloping, quelles que soient ses qualités (pas forcément nulles mais vraiment sans aucune magie), c'est 400 ou 500 euros maxi après transport, même si des pros jouent les mercenaires dessus avec de jolies étiquettes pour la présentation. De toute façon dans 99% des cas il y a la même chose qui sort du même moule (voir mieux puisque les vrais fabricants commencent à garder le meilleur pour eux !) en "no name", la conception n'étant même plus européenne mais choisie sur catalogue chez les rares fabricants par les marques. Les transferts de technologie étant faits il ne reste plus du "crû" local que quelques commerciaux, éventuellement la peinture/vernis, et surtout les actionnaires. En clair c'est de l'arnaque. Alors bon, il ne faut plus rêver, au bout d'un moment ça ne marche plus de subventionner des types à grosses propriétés qui ont foutus tous leurs employés à la porte, ou leurs banquiers qui profitent de la réalisation du stock au passage, ente deux "crashs" mondiaux, braves gens qui attendent que ça "tombe" comme par magie sur leurs comptes après prise de marge au passage, tout ça pour qu'on roule sur exactement les mêmes bouzins aux qualités strictement équivalentes... Si je change un jour pour un cadre de prix ça sera pour un cadre genre bel acier sur mesure fait par un artisan local, ou un vrai cadre de tradition genre Time ou Look, mais vraiment made in France. Peut-être un véritable Italien (mais je ne sais pas s'il en reste véritablement, par exemple Gios, c'est mort, maintenant c'est du truc asiatique assez moche en trois tailles et rebadgé. Edit : si, finalement la marque semble refaire le traditionnel CompactPro cm en cm en 2011). Un bel objet, quoi. Sinon ça sera du bidule quelconque au plus bas prix possible pour une qualité donnée, c'est à dire pas bézef du tout, ou encore même du matériel de récupération pour encore moins, façon "développement durable" , là il y a un choix illimité que d'autres délaissent par mode. Puisque c'est la "mondialisation", et "qu'on n'a pas le choix", il faut que tout le monde assume, y compris les rois de la "délocalisation". A+ Olivier
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Cintre FSA wing pro compact
Olivier TÉTART a répondu à un(e) sujet de Jean-Claude BIANCHI dans Le matos
C'est ça, j'en ai un comme ça en alu sur un vélo : 44 en bout de cintre et plutôt 42 aux cocottes. Cintre assez agréable (le plat en haut est vraiment bien fait). -
Les pertes de rendement pour un pneu sont dus aux frottements, et plus il y a de couches (protections, plis, etc) plus il y a de frottements. La chambre pouvant être considérée aussi comme une couche, de plus désolidarisée, le tubeless qui en est dépourvu a logiquement un meilleur rendement, non ? Pour le boyau c'est plus l'absence de frottement le long des crochets, la forme cylindrique une fois en pression et le volume d'air moindre qui explique un meilleur ressenti à ce niveau.
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Bonsoir Gaëtan, L'ancien modèle était effectivement une savonnette dès que la route était un peu humide, mais la chape de la version 2 ou 3 que j'ai vue en magasin semble être exactement la même que que celle des Zaffiro pro II que j'utilise (avec des sculptures assez profondes et pas seulement une surface façon petit "nid d'abeilles" de part et d'autre d'une bande slick comme sur les anciens modèles). Si c'est vraiment le cas ce défaut est bien corrigé. A+ Olivier
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Pour le rendement ce n'est pas si sûr qu'il soit à la traîne... Je me souviens de tests en "laboratoire" faits par des revues qui le classaient très très bien de ce point de vue...
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J'ai utilisé l'hiver l'ancienne version avec moins de tpi que maintenant : très bien pour le rendement, etc... Mais bien glissant sur route humide (déco de chape blanche, certain disent que la couleur influence à cause des composants qui font la couleur ? Ce qui m'étonne). Il faut dire que je gonfle à 8 kg systématiquement. Depuis je ne me casse plus la tête, j'utilise pour tout le Zaffiro Pro II, lui même avec un peu plus de fils que l'ancien Zaffiro, qui a apparemment la même chape que le Rubino actuel (pas le modèle slick), et franchement c'est excellent pour le prix, les routes pourries qu'on a, et même le look. J'ai roulé sur tout un tas de trucs, du ProRace, du GP4000S, du Vredestein, du truc américano-japonais introuvable en France, etc... Ca va peut-être faire hurler certains ici mais vraiment, vu l'endurance, la tenue, les pressions que ça encaisse, le poids pas trop élevé et même le rendement qui n'est pas formidable pour le Zaffiro mais pas du tout ridicule non plus, pour un petit usage amateur, quoi de mieux ? C'est certes un peu raide, mais un GP4000 bien gonflé, c'est souple ? Des coureurs qui étaient équipés avec ça pour l'entraînement m'avaient fait part de leur satisfaction il y a quelques années et je ne les avais pas crus (sur un forum certains ne les prenaient pas au sérieux parce que pour eux ces pneus d'entraînement étaient bien meilleurs que bien d'autres bien plus chers, il y en a même qui disaient qu'ils les préféraient à leurs pneus sur leurs roues de course !) Et en plus avec ça on est quasi sûr d'arriver à bon port ou de finir sa course sans percer, ce qui est loin d'être gagné avec d'autres modèles bien plus chers... Pour frimer sur une ligne de départ ce n'est peut-être pas ça (et encore, il y a plein de couleurs dispo pour accorder les pneus à son cadre en cherchant bien 😆 ), mais franchement... Ca semble être une tradition chez les équipementiers italiens de faire du matériel basique de très bonne qualité au rapport excellent pour les jeunes coureurs ou les gens qui ne veulent pas se poser de question ou laisser leur paye dans du matos (dans le même genre les roues Kamshin m'avaient vraiment étonné pour leur prix, un peu lourdes mais étonnament fiables après un bon entretien maison, et très bien pour parcours roulant, ou alors j'ai eu comme par coïncidence un pic de forme exceptionnel juste au moment où je les essayais, idem pour les moyeux Miche, tout un tas d'accessoires ITM ou autres, etc...) Pas de frime mais du bon gros rationnel et économique à changer sans hésiter en cas d'usure. Donc le nouveau Rubino II avec la même chape ça doit être du tout bon. A+ Olivier
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AMC : fragile. Bien si on est léger et si les routes ne sont pas trop abîmées.
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Quel que soit le vélo, dans ce cas la première chose à vérifier : graissage des contacts axes/pattes de fourche et de cadre, blocages. Ensuite : tige de selle (ça arrive à couiner avec les déformations du cadre même en danseuse quand c'est monté à sec, c'est arrivé à un gars de mon club qui a cherché pendant des semaines). Dans 99% des cas sur un vélo entretenu (ou autrefois entretenu) ça règle le problème. Sinon, si ça continue, voir éventuellement le graissage du filetage du boitier de pédalier. Après, bien plus rare (sauf s'il y a eu un montage barbare, du genre montage à sec et serrage à la Hulk qui fissure le cintre), voir la direction/potence/cintre, et encore plus rare s'il n'y a pas décollement d'insert, fissure, etc... Mais très souvent c'est rien du tout.
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avis sur pneus fortezza tri comp vredestein
Olivier TÉTART a répondu à un(e) sujet de Alain BOUVIER dans Le matos
Les miens bien anciens s'usent lentement sans beaucoup de coupures, toujours très petites, même en empruntant les petites routes pourries d'IdF. De loin les meilleurs pneus depuis longtemps (je gonfle à 8, au-dessus ça ne sert pas à grand chose, au contraire sur les routes courantes mal entretenues ça massacre le matériel, roues et pneus). J'essayerai peut-être les nouveau GP en 24 même pour courir, parce qu'avec les intempéries les routes sont pires que jamais, et ça m'étonnerait bien qu'on les répare vite. Et même sur les beaux circuits, avec les "gendarmes couchés", les "coussins berlinois" et autres chicanes ou "guillotines à cyclistes" mieux vaut avoir du matériel plus que blindé, donc de gros pneumatiques peuvent être finalement meilleurs pour le rendement global... (En passant ces aménagements font juste tomber les deux-roues à l'occasion, pour lesquels ils sont très dangereux, surtout en temps de pluie (les "coussins" ou passages en matière synthétiques, plots divers sur lesquels ils se font serrer, etc...) mais ne ralentissent quasiment pas les grosses bagnoles qui forcent le passage; de toute façon leurs conducteurs ont souvent les bonnes relations pour faire sauter les prunes en disant qu'ils n'ont "pas vu" l'usager plus petit...) -
Pour aider un peu. Pour ceux qui ont besoin d'une selle large, il y a la San Marco SKN Ti qui a un look "moderne", qui est relativement légère et assez bon marché. Gros avantage : après quelques problèmes de dos je l'oublie complèment une fois posé dessus (attention, j'ai la chance de m'adapter un peu à tout, mais là ça a été intantané avec 80 kg pour 1m 84). En plus elle offre l'originalité (peu répandue chez nous). En gros, en bonne qualité sans se ruiner il y a chez San Marco pour les petits gabarits la Concor (un peu trop étroite pour moi), la SKN pour les plus grands (nickel pour moi) et (mais en plus cher) la Regal pour les grands costauds lourds (bien aussi pour moi). Pas la peine de mettre une fortune dans une selle à mon avis, mieux vaut viser les valeurs sûres que sont les têtes d'affiche encore abordables des marques, et bien les régler. Le reste c'est un peu du snobisme (les formes se retrouvent quasi à l'identique dans l'éventail des gammes. A par Brooks qui est à part et vraiment artisanal avec quelques fabricants de selles en cuir, là c'est autre chose pour un autre usage et d'autres attentes). (Attention, Concor et Regal "callent" et plutôt sur l'arrière alors que la SKN semble donner plus de liberté). Un artcle de 2006 en anglais, le testeur explique qu'il était un inconditionnel de la Turbomatic, et qu'il a enfin (re)trouvé son bonheur) : http://www.roadcyclinguk.com/bike-reviews/tested-san-marco-skn/1548.html La Turbo est aujourd'hui relancée (en plus moderne et plus cher), peut-être à voir aussi (j'ai utilisé par le passé des Flite sur piste sans être convaincu, elles se creusent, et aussi des Fizik que j'ai trouvées chère et fragiles en déformation). A+ Olivier