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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR
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En effet, à chaque profil son entraînement ! Et même ici, en Belgique, où les dénivelées sont limitées, le pourcentage des pentes nécessite souvent de vrais braquets de haute montagne, voir plus encore. Et le revêtement aggrave souvent les choses… Entre-temps, je me suis aperçu que dans la liste des murs que j'ai faits hier, j'avais oublié d'en mentionner un : le « Bourliquet », à Frasnes même. Un vrai talus lui aussi, mais en bon état. Je trouve le Bourliquet original dans le fait qu'il est encore plus impressionnant à descendre qu'à monter : c'est une ligne droite presque parfaite, et à un moment on a l'impression de « tomber » en chute libre vers la plaine et Frasnes. http://www.climbbybike.com/fr/ascension.asp?col=Le-Bourliquet&qryMountainID=785
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Les cols les plus difficiles de France
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Nicolas DAVY dans L'entrainement et la santé
Pour bien domestiquer certains pourcentages, c'est sûr qu'il faut sortir du cadre imposé par les fabricants de groupes de route. Pour ma part, avec mon braquet mini actuel de 26/32 (pédalier TA Carmina 46-36-26 flambant neuf, cassette 11-32 venant du VTT), il me faudrait un longue pente à plus de 15 % pour me sentir forcer. -
Les cols les plus difficiles de France
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Nicolas DAVY dans L'entrainement et la santé
On ne ressent pas les ascensions de la même façon :-). Qu'un col soit irrégulier ne m'a jamais posé problème, je change de braquet et voilà. Je garde alors à peu près la même cadence de pédalage et l'intensité d'effort reste la même. À moins que des changements de pourcentages brusques se produisent tous les dix ou vingt mètres, là ça peut devenir fastidieux. Dans le genre, le col de la Cluse en Chartreuse, en venant du col des Egaux, n'est pas mal comme escalier, même si les changements ne s'y produisent quand même pas tous les dix mètres. -
Pas de veine Eric ! J'espère que tes bobos ne se feront pas trop sentir la semaine qui vient ! Aujourd'hui, balade dans les Ardennes flamandes et les Monts de Frasnes, comme la plupart de mes dimanches. Sauf qu'aujourd'hui, je testais mon nouveau pédalier, un flambant neuf TA Carmina triple, avec dentures 46-36-26. Un triple compact, quoi ! J'ai fait en sorte que la sortie emprunte plusieurs « murs », de façon à utiliser tous les plateaux et tous les pignons. Ce qui s'est produit, et pourtant j'avais ma 11-32 habituelle à l'arrière, venue du VTT. Mais j'ai dû mettre le 26/32 plusieurs fois, dans les passages à 14 % et plus, pour garder ma fréquence de pédalage autant que possible au-dessus des 80 tours/minutes, comme je l'aime. Il m'a fallu ajuster le réglage de mon dérailleur avant à plusieurs reprises, mais après tout a marché nickel. Pour les curieux, le profil des principaux talus que j'ai fait gravir à ma bécane, et où le 26/32 a été franchement bienvenu : Le « Rossignol », à Frasnes (revêtement impeccable et très belle vue arrière, si on est suffisamment adroit pour regarder derrière soi dans du maxi 18 % !) : http://www.climbbybike.com/fr/ascension.asp?Col=Le-Rossignol&qryMountainID=818 Le Saint-Sauveur à… Saint-Sauveur (sous-commune de Frasnes), une des côtes les plus pentues de toute la région, digne du mur de Grammont, atrocement pavé (dans sa partie la plus pentue qui plus est). Il a été emprunté par l'Eneco Tour cette année, et il le sera aussi par le circuit Franco-Belge les jeudi 30 septembre et vendredi 1er octobre prochain : http://www.climbbybike.com/fr/ascension.asp?Col=Beau%20Site%20South%20West&qryMountainID=137 Le « Fortuinberg » à Renaix (bien revêtu) : http://www.climbbybike.com/fr/ascension.asp?Col=Fortuinberg&qryMountainID=663 Le « Fiertelmeers » à Renaix encore : http://www.climbbybike.com/fr/ascension.asp?Col=Fiertelmeers&qryMountainID=7914 Noter que ce dernier mur peut se prolonger par une sente de 300 m tout aussi pentue, mais dans un état désastreux. J'ai fait aussi ce prolongement, mais heureusement que j'ai des pneus solides !
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Les cols les plus difficiles de France
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Nicolas DAVY dans L'entrainement et la santé
Qu'est-ce qu'un col difficile ? Pas forcément un col pentu, à mon avis. A priori une pente n'est plus vraiment difficile si on a les braquets qu'il faut pour la grimper. Quitte à descendre très bas dans les braquets, ce que je n'hésite jamais à faire. Reste le fait que la dépense d'énergie y est constante, car on est toujours en prise et jamais en roue libre, sauf s'il y a des replats. À ce compte, si les braquets sont adaptés, un col serait d'autant plus difficile qu'il est long, suffisamment pentu pour qu'on soit toujours vraiment en prise et qu'il a moins de portions de récupération. Pour ma part, celui qui m'a paru le plus dur, c'est le col du Glandon versant nord. Plus de 20 kilomètres de montée, près de 1500 m de dénivelée pour 1924 m d'altitude, un seul replat à Saint-Colomban-les-Villards, et le reste du temps une montée avec très peu de lacets, où tu es toujours en prise. Beaucoup moins connu, le col du Mont Noir dans le Vercors, par Cognin-les-Gorges. 1421 m d'altitude, mais départ à 200 m d'altitude seulement, et aucune portion de récupération. Si on n'est pas bien entraîné, on le sent passer, croyez-moi… Qui plus est, il y a des passages vertigineux et il y pleut assez souvent… J'ai fait des cols plus longs et avec plus de dénivelée, par exemple le Galibier par Bourg d'Oisans et le Lautaret, mais cette montée est très irrégulière jusqu'au Lautaret et offre des plages de récupération plus appréciables que celle du Glandon versant nord. Je n'ai jamais fait le Galibier côté Télégraphe qu'en descente, mais il y a des chances qu'il me paraisse encore plus dur dans l'autre sens que le Glandon versant nord, vus la longueur, la dénivelée et l'absence apparente de véritable récupération en-dehors de la courte descente sur Valloire. -
Boonen n'a apparemment pas eu besoin de coureurs Colombiens pour tomber dans la coke… 🙄 Si on pouvait par contre avoir plus de vrais grimpeurs dans les grands Tours actuels, ça ne ferait évidemment aucun mal. En supposant d'ailleurs que ces Colombiens sont de purs grimpeurs. Ils sont peut-être plus complets que ça.
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Nous n'avons tout simplement pas la même fréquence de pédalage ;-) Pour rien au monde je ne baisserais la mienne.
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Finalement, j'ai faite la randonnée de 148 bornes dont j'ai parlé plus haut, et mon genou m'a laissé tranquille. Il s'agissait du « Gordel pour cyclotouristes ». Le Gordel (« ceinture » en néerlandais) est une série de randonnées sportives organisées par la communauté Flamande de Belgique pour défendre le caractère « flamand » de la périphérie de Bruxelles (à majorité francophone, mais enclavée en Flandre). Comme cela reste bon enfant, un Francophone peut y participer sans risque. Le « Gordel pour cyclotouristes » est la plus longue des randonnées cyclistes organisée ce jour-là. Elle traverse les Ardennes flamandes rendues célèbres par le Tour des Flandres et une région légèrement vallonnée de l'ouest de Bruxelles appelée Pajottenland. Le clou de la randonnée étaient l'ascension du Mur de Grammont, chronométrée. Pas de bol, je n'ai pas repéré le stand de départ, l'ai dépassé en bayant aux corneilles avant de me rendre compte de ma distraction, et à cause de ça j'ai perdu au moins 30 secondes sur mon temps de grimpette, qui est officiellement 4 min 19 :-(. Autre contre-temps du jour : j'ai paumé mes lunettes de soleil, probablement lors d'un des arrêts. Et je m'en suis rendu compte beaucoup trop tard ! Sinon, j'ai bouclé les 148 bornes en 7 h 20, 6 h 30 environ en décomptant les pauses obligatoires (pour les contrôles), ce qui vu mon niveau et le côté vallonné et ultra-sinueux du circuit me paraît satisfaisant. Détail révélateur de la difficulté du circuit : la grande majorité des vélos était montée en triple plateau. Hé non, le Plat Pays ne l'est décidément pas du tout, monsieur Brel…
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Specialized Roubaix Exoert 2011
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Gérard MANEVAL dans Le matos
Comme route, il y a de tout en Belgique : macadam, béton, pavés… Mais tous ces revêtements ont un point commun : ils sont mal entretenus. Nids-de-poule dans le macadam, gros « rails » entre les plaques de béton, pavés disjoints ou déracinés… Si vous voulez tester la solidité de vos roues, venez le faire ici ! Je croyais jusqu'il y a peu qu'il n'y avait pas de routes gravillonnées mais j'en ai vu une petite « fraîchement » gravillonnée en sortant de Tournai la semaine dernière. La grande majorité des routes étroites sont en béton. Les routes plus larges le sont parfois aussi mais le plus souvent bitumées. Les pavés se trouvent le plus souvent en ville et plus spécifiquement en centre-ville, mais ce peut être aussi d'anciens sentiers agricoles qui autrement seraient en terre. Certains tronçons pavés sont conservés comme patrimoine cyclistes, tels les fameux murs : Koppenberg, Grammont, Bosberg… mais aussi de longs tronçons plats ou peu vallonnés façon Parix-Roubaix. -
Specialized Roubaix Exoert 2011
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Gérard MANEVAL dans Le matos
Question en passant, puisque je semble le seul à trouver le GP 4000 plutôt souple : il y a des critères objectifs pour définir la raideur d'un pneu ? C'est-à-dire, en dehors du « ressenti » de l'un ou l'autre cycliste ? -
Specialized Roubaix Exoert 2011
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Gérard MANEVAL dans Le matos
C'est bizarre qu'on les trouve raides : c'est la sensation inverse que j'éprouve, par rapport aux Michelin que j'ai longtemps utilisés. Il faut que je gonfle à 8 bars un Continental pour avoir la sensation de bout de bois que j'avais à 7 bars avec un Michelin… Qui plus est, ils se montent bien plus facilement. Pour ce qui est de l'accroche, je ne les ai jamais pris en défaut, excepté sur des pentes pavées à 20 % où ils patinent lorsque les pavés sont trempés. Mais même le Michelin Axial Pro Winter que j'utilisais avant (ça commence à faire un bail) patinait dans les mêmes circonstances… -
Specialized Roubaix Exoert 2011
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Gérard MANEVAL dans Le matos
Ce qui pour moi fait partie de la performance, avec une bonne adhérence et une bonne résistance au crevaisons ;-) D'accord, d'après des tests que j'ai lu ce ne sont pas les mieux placés question résistance au roulement, si c'est cela que tu veux dire. -
Specialized Roubaix Exoert 2011
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Gérard MANEVAL dans Le matos
J'ai toujours eu des roues Mavic à jantes plates et à rayons, n'ayant jamais recherché l'aérodynamisme. Roulant fréquemment et bien contre mon gré sur des routes en mauvais état, pavées ou à plaques de béton mal jointes, j'ai carrément fait mettre 36 rayons à mes Mavic Open Sup. Si les routes de ton coin sont en bon état, et si tu fais de la montagne, je choisirais des roues avec raisonnablement moins de rayons, des jantes plates pour la légèreté (et pourquoi pas à boyaux), voire des jantes carbone, et des pneumatiques performants genre Continental GP 4000. Mais je ne suis pas versé dans les différents modèles de roues toutes montées disponibles dans le commerce actuellement, ni ne connais leur prix. J'irais cependant, a priori, chercher chez Mavic dont les jantes m'ont toujours satisfaits. -
Un genou sensible me rend prudent. J'évite toute sortie jusqu'à dimanche, où je me suis depuis longtemps inscrit pour une rando de 148 bornes. Je verrai sur place si mon genou me laisse tranquille, et si c'est pas le cas la rando va être très courte en ce qui me concerne… 🙁
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Specialized Roubaix Exoert 2011
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Gérard MANEVAL dans Le matos
À ta place, je prendrais le Comp Ultegra en en changeant les roues, pneus compris. Je pense pour ma part que les roues sont bien plus importantes que le cadre pour le comportement du vélo. En particulier, le poids des roues a bien plus d'importance que le poids du cadre. Le cadre, moi, je lui demande d'être solide et le reste de ses qualités m'importe beaucoup moins. -
C'est très simple : pour en casser une, il suffit de trop la croiser et de forcer un peu trop. Paf ! Ça m'est arrivé en pleine côte quand j'ai mis accidentellement, d'un coup de genou en passant en danseuse, la chaîne sur le petit pignon alors qu'elle était sur le petit plateau (j'avais des manettes au cadre à l'époque). C'était pourtant une chaîne neuve.
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Lacher le cintre
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jean-Michel DIEVART1639476343 dans L'entrainement et la santé
Pas si évident que ça à trouver, mais j'ai fini par le dénicher ici : http://www.velogessien.com/article-hors-normes-40786388.html Impressionnant d'équilibre, le gars. Il ne dévie guère de sa trajectoire même lorsqu'il doit forcer un peu ! Par contre, quel luxe de se faire précéder par une moto et de se faire suivre par une voiture et une autre moto rien que pour ça… -
Lacher le cintre
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jean-Michel DIEVART1639476343 dans L'entrainement et la santé
L'adresse de la vidéo ? J'ai pu faire des côtes d'une à deux bornes, même raides, sans les mains. Tout un col de montagne, non, je n'ai pas essayé, mais ça me tenterait. Là, une autre clé, c'est d'avoir des petits braquets encore plus petits que d'habitude, sinon chaque coup de pédale aurait trop tendance à te tirer vers le côté. Attention à choisir une route relativement large et la moins fréquentée possible, surtout pas par des poids lourds. Non seulement parce qu'au moins au début on risque de ne pas rouler droit en côte sans les mains, mais aussi à cause des déplacements d'air causés par les véhicules… Certains cols sont munis de pistes cyclables en montée, ce qui serait une très bonne chose si on fait cet exercice particulier. Je ne connais pas le col de la Faucille. Satisfait-il à ces conditions ? -
Aujourd'hui, six heures et demie de balade ultra vallonnée dans les Ardennes flamandes, autour de Renaix. Je n'ai pas quitté le K-Way de toute la sortie, sauf pour un bref intermède d'une heure de temps clair. Il a dû faire 15 degrés à l'ombre au moment le plus chaud, et en plus il y avait un de ces vent glacials et violents dont le « Plat » Pays a le secret. Arrêts fréquents pour rectifier la hauteur de selle, suite à un problème de position trop basse depuis quelques temps, dont j'ai parlé plus haut et aussi dans un autre sujet actuel…
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Merci pour ta réponse et celle de Dimitri. Ton explication du décollage semble tenir (c'est le cas de le dire).
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Deux questions aux spécialistes des boyaux : Quand on change de boyau parce qu'il est usé, change-t-on également de roue ? La réflexion d'Eric me fait penser qu'il vaut mieux avoir au moins deux paires de roues à boyaux. On roulerait avec la première paire de roue tandis que les autres attendraient les « six mois » pour être prêtes. Sinon, on serait coincé en attendant que les boyaux neufs soient correctement collés sur notre seule paire de roues, si j'ai bien compris… La seconde question vient d'une observation que j'ai faite il y a quelques temps. J'étais monté dans le grenier où traînait le vieux vélo à boyaux de mon oncle, qu'il n'avait plus utilisé depuis quinze ans. La colle ne tenait plus du tout ! Bien sûr, c'est un cas de figure extrême. Mais ça me fait me demander combien de temps un collage de boyau est fiable ?
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Lacher le cintre
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jean-Michel DIEVART1639476343 dans L'entrainement et la santé
C'est surtout délicat à faire au passage d'un col. Si tu n'as pas su anticiper suffisamment avant d'arriver au sommet, et si la descente qui suit est raide et sinueuse dès son début, tu te retrouves à te débattre avec ton coupe-vent, le guidon et le frein tout à la fois… -
Aujourd'hui, j'ai refait dans les Ardennes flamandes la « route Eddy Merckx », dont j'avais parlé déjà il y a un mois ou deux ici même. Pour rappel, cette route propose à son menu quelques joyeusetés du Tour des Flandres : le mont de l'Enclus, le vieux Kwaremont et le Paterberg, plus quelques autres bosses peu connues. 46 km de circuit plus les 60 km aller-retour pour rejoindre celui-ci ---> belle sortie d'entraînement, faite sans problème. La forme est toujours là. Il y a eu deux points noirs toutefois. N'ayant rien changé à ma position depuis des lustres, j'ai l'impression pourtant depuis quelques temps d'être assis nettement plus bas que d'habitude. Ce n'est pas ma tige de selle, j'y ai mis un repère qui certifie qu'elle n'a pas bougé d'un millimètre. J'en déduis que c'est ma selle, un Turbomatic 3 vieille de deux ans, qui se serait affaissée, du moins quand je suis dessus. Du coup, dilemme : la changer tout de suite, ou attendre la fin de la saison et en attendant rehausser la tige de selle ? Je pense pour la deuxième option, ayant une randonnée prévue dans quinze jours, et ne souhaitant pas chambouler à nouveau ma position par l'installation d'une nouvelle selle. Également un léger bruit assez régulier genre clang-clang venant semble-t-il de l'arrière du vélo, qui ne se produit que lorsque je pédale. Ce bruit est d'autant plus net que la vitesse de rotation de la roue est élevée. Cliquets de la roue libre ? Roulements du moyeu ? Peut-être le pédalier ? Malheureusement mon vélociste habituel est en vacances. Je vais voir s'il y en a d'autres qui peuvent inspecter cela, n'étant pas assez compétent pour m'attaquer à des cliquets ou à des roulements…
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Lacher le cintre
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jean-Michel DIEVART1639476343 dans L'entrainement et la santé
Bijoux ! Et là, si j'en vois, moi, au lieu d'éviter je m'arrête pour ramasser ! :: -
Lacher le cintre
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jean-Michel DIEVART1639476343 dans L'entrainement et la santé
Tes derniers messages m'ont fait réfléchir, Éric. Ainsi je me suis aperçu que je n'avais plus essayé de faire demi-tour sur une route étroite (avec de la place pour une seule voiture de front) depuis longtemps. Sur une route à deux voies, ça ne m'a jamais posé d'autres problèmes que celui de surveiller la circulation. Alors pour voir j'ai essayé sur une piste cyclable le long de l'Escaut ce matin, au début de ma sortie. Elle est un peu plus étroite qu'une voie de voiture normale. La première fois que j'ai fait demi-tour là-dessus (de la droite vers la gauche de la piste, sens trigo), j'ai dû déchausser pour ne pas tomber. La deuxième fois, pas de déchaussage mais j'ai mordu sur le bas-côté. C'est seulement à la troisième que j'ai réussi sans problème particulier. Puis j'ai voulu inverser le sens de rotation (de la gauche vers la droite cette fois-ci, sens horaire). C'était encore plus hésitant ! Il m'a fallu cinq tentatives pour être à l'aise. Mais c'est assez normal puisque dans la circulation habituelle on fait demi-tour dans l'autre sens, à moi d'être en Grande-Bretagne… Comme quoi, cette simple manœuvre n'est pas si aisée que ça…