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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR
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Je n'ai pas en tête mes temps au Granier par Chapareillan. Mais si tu fais le col du Coq versant Saint-Nazaire en moins d'une heure, tu m'auras battu, mon record est de 62 minutes, il y a dix ans, juste avant mon départ pour la Belgique en fait. Je me souviens de mes braquets ce jour-là : 28/24 et 28/28 essentiellement, quelques courtes portions avec 28/19 et 28/21. Je me rappelle également que c'était en été, qu'il pleuvinait et que je ne sentais pas mes jambes. Une sensation grisante ! La bruine favorise peut-être la performance en montée ! Vu mon âge, 38 ans, je ne serai peut-être plus jamais en état de faire mieux.
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Après être rentré à Tournai lundi dernier, j'ai passé deux jours à… ne rien faire, puis nous sommes partis, ma petite famille et moi, à Düsseldorf en Allemagne rendre visite à la marraine de ma fille. J'en ai profité pour passer une semaine complète sans vélo. Retour définitif à Tournai hier soir. J'ai repris aujourd'hui pour une petite balade de deux heures autour de Tournai, avec deux ascensions du Mont Saint-Aubert, la première tranquille, la deuxième à fond. On dirait que cette semaine sabbatique ne m'a rien fait perdre de ma forme actuelle. Le seul BRA que j'ai fait, en 97, c'est justement dans le sens que tu as essayé hier. Et ton incident m'a fait penser à quelque chose que j'aimerais faire depuis longtemps : monter un col en véritable pignon fixe, mais avec un braquet de montagne évidemment. Je me suis toujours demandé quelle seraient les sensations qu'on éprouverait. Le problème, évidemment, c'est qu'il faudrait redescendre avec ce braquet… J'ai toujours eu horreur de descendre le Lautaret vers Bourg-d'Oisans : la route y est imprévisible, les tunnels dangereux, le revêtement très variable… et on est les proies rêvées des inconscients du volant : la pente n'étant globalement pas suffisante pour qu'on puisse aller aussi vite qu'eux, ils tiennent absolument à nous doubler quelque soit le danger. Tes mésaventures l'illustrent ! Chapeau pour tes réflexes. J'irais volontiers vous rejoindre pour rouler, si c'est possible. Je repasse du côté de Grenoble à Noël, mais ça sera moins évident de faire du vélo alors, à plus forte raison de la montagne 😃
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Mon premier col : le col du Coq, près de Grenoble, à 15 ans, en 87, versant Saint-Nazaire. 12,7 km d'ascension à 8,6 % de moyenne avec un braquet de… 40/24. J'ai craqué et mis pied à terre à deux bornes du sommet, au même endroit où Laurent Jalabert a abandonné en 96 lors du Critérium du Dauphiné Libéré. Mon père, dont le vélo avait un 32/24, m'a passé alors son vélo et a pris le mien, c'est comme ça que j'ai pu terminer. Depuis je grimpe ce col avec 28/28 en braquet minimal. Meilleur temps il y a dix ans : 62 minutes. Vivent les tout petits braquets !
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Influence du recul de selle sur la puissance
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Adrien FERRY dans Le matos
C'est marrant mais j'ai expérimenté le contraire de ce qui est dit ici : avoir reculé ma position (il y a déjà longtemps) a augmenté et non diminué ma vélocité, et mon passage de 170 à 175 mm pour les manivelles (entrejambes de 84,5 cm) ne l'a modifié en rien… Ayant dû réutilisé mon très ancien vélo la semaine dernière, en montagne, dont les manivelles sont des 170 mm, ma vélocité n'a pas augmenté pour autant.. -
Pas étonnant : un VTT sur route, c'est confortable, facile à piloter, quasi indestructible et ça a d'origine les bons braquets pour passer partout à l'aise quel que soit le niveau du cycliste 🆒
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Très belles photos que tu as faites ! Mais ça me fiche le bourdon parce qu'aujourd'hui je quitte la région pour retourner à Tournai…😢
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En venant de Saint-Romans, j'emprunte la route de gauche à l'intersection en arrivant à Saint-André : c'est une route étroite qui re-grimpe, pendant un petit moment, et qui redescend abruptement en longeant la falaise dominant le nord de Pont. On a quelques brefs points de vue sur Pont en contrebas, à travers la végétation. On débouche sur la route directe Pont-Saint-Romans, au hameau du Bel, juste à côté d'une maison, et on n'a plus qu'à tourner à gauche et descendre sur Pont. Beau circuit que tu as fait le 14 juillet. Dans le genre, je faisais souvent un circuit analogue, mais qui passait par les Écouges et le col de Romeyère au lieu de Malleval, tout bêtement parce qu'à Rencurel j'ai de la famille à laquelle je pouvais rendre visite. Tu n'es pas le seul à ne pas connaître Chatelus. Même ma propre mère, native du coin (Saint-Just) n'y était jamais allée, avant que je l'y emmène il y a quelques temps !
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Tu as fait le BRA, mais une année paire, quoi ! 😉
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Ben voilà, la montée de Domène à Freydières a été effectuée ce matin, soit 900 m de dénivelée, et non 1000, en… 65 min. Un peu déçu, ça fait donc 5 min de plus que mon meilleur temps. Je ne sais pas si c'est dû à la remise en service improvisée de ma vieille bécane, à la prise d'âge (hé, j'ai l'âge d'Armstrong, quand même ::), au fait que ça n'est que ma quatrième (et dernière) sortie en montagne cette saison, ou à la combinaison de tout ça. Enfin bon, c'était quand même une ascension agréable, avec un temps superbe, des points de vue aussi magnifiques que d'habitude sur Grenoble, Revel et Corps d'Uriage. Niveau braquet, quasi toute la montée d'à peu près 12 bornes (pas de compteur pour le vérifier) très régulière et assez pentue, a été effectuée littéralement en « pignon fixe », 28/28. Ah, et pour les amateurs j'ai plus de détails sur ma bécane antédiluvienne : le cadre est estampilé précisément « Tube Carbolite 103 by Peugeot ». Le cintre et la potence sont de marque « Atax ».
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Pour revenir à mon petit séjour dans le Royans/Vercors : je n'ai pas laissé inactive ma vieille bécane dépoussiérée. Elle a fait deux petites sorties, mais pour visiter ce que je considère comme les plus beaux points de vue du Vercors. La première sortie (mercredi) m'a amené à Saint-André-en-Royans, petit village adorable blotti au pied du Vercors, puis à Pont-en-Royans et à la montée la plus méconnue de tout le massif, mais certainement pas la plus facile : la côte de Chatelus. Qui connaît ? À ceux qui connaissent Pont-en-Royans (splendides maisons en encorbellement au-dessus de la Bourne !) : pour aller à Chatelus, quitter Pont-en-Royans en direction de Villard-de-Lans, puis moins d'un kilomètre plus loin, à l'entrée du pont sur la Bourne, prendre une petite route à droite : 4 km de pente variant entre 8 et 10 % pour arriver à un des points de vue les plus beaux qui soient sur les gorges inférieures de la Bourne et les falaises de Presles, très réputées dans le monde de l'alpinisme. 28/28 de rigueur autour comme d'hab de 80 tours/minutes dans quasi toute la côte. J'y ai tout juste croisé une voiture et des cantonniers au sommet à Chatelus même : pas un seul cycliste pour profiter de ce bijou. Tant mieux pour moi et tant pis pour les autres 😛. Je suis ensuite redescendu du même côté, mais pour les intéressés il y a moyen de continuer après Chatelus et de redescendre sur la Bourne, plus en amont de celle-ci, vers Choranche (s'y trouvent des grottes magnifiques), et d'ainsi faire une bien belle boucle. La deuxième sortie, hier, m'a fait grimper justement la route en vis-à-vis de celle de Chatelus, celle qui mène au hameau de Presles et que j'ai prolongé jusqu'au hameau du Faz à partir de Pont-en-Royans. Nettement plus longue, 12 bornes environ, les huit premiers kilomètres (jusqu'à Presles) oscillant à vue de nez entre 7 et 9 %, la portion de Presles au Faz entre 5 et 7 %. La route jusqu'à Presles, est à peine moins méconnue (sauf par les alpinistes) et encore plus belle que la précédente et ce n'est pas peu dire, car elle fournit des points de vue aussi bien sur le Royans que sur les gorges de la Bourne. Qui plus est, un peu avant Presles, elle est particulièrement vertigineuse (passages en surplomb dans la falaise), ce qui me fait la déconseiller aux personnes souffrant du vertige, comme d'ailleurs bien d'autres routes du Vercors 🆒. Là, j'ai quand même croisé des cyclistes et en ai rattrapé deux, qui peinaient sur des braquets beaucoup plus gros que les miens (28/24 et 28/28). L'un avait un double compact, l'autre s'obstinait à grimper sur le plateau médian de son triple. Je me demande ce que la vue de mes braquets et de mon vélo à porte-bagage a dû leur inspirer… 😛 À noter que ceux qui en ont le temps et l'envie peuvent prolonger l'ascension de Presles de plusieurs façons, dont la montée au plus haut col du Vercors : le Mont Noir, 1421 m, et redescendre par les gorges de Malleval, ou celle des Écouges, ou celles de la Bourne : plein de possibilités de circuit. Devant rentrer pour « grailler », je n'ai pas pu aller plus loin que le hameau du Faz et redescendre sur Saint-Pierre de Chérennes par une route très pentue et particulièrement sinueuse. Bilan : deux magnifiques sorties, pour une montée en forme montagnarde bien agréable. Aujourd'hui, retour dans le Grésivaudan, et demain matin dernière sortie : je projette de repartir vers le balcon de Belledonne. J'ai en projet de monter à Freydières (un peu moins de 1200 d'altitude et de 1000 m de dénivelée). Dans le temps, je mettais une heure tout rond pour y monter à partir de Domène et par Revel et les Roussets. Là, je vais mettre certainement plus… Et après demain, retour au plat pays 😢
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Désolé pour le retard de la réponse : là où j'étais ces derniers jours (une ancienne ferme du Royans au pied du Vercors), pas de connexion internet. En effet, ce vieux vélo est un Peugeot 18 vitesses (3*6). Quand mon père l'a acheté pour moi à un voisin en 1985, il était en double plateau 50-40 et 6 pignons 14-24, vite passé en 14-26 puis 14-28. Quand je me suis mis à l'utiliser sérieusement en montagne, vers 1993-95, je l'ai fait passer en triple. Braquets finaux : 50-40-28 et 14-16-18-21-24-28. Outre le pédalier et les dérailleurs devenus donc triple (Shimano RX-100), j'avais fait changer les freins (RX-100 itou). Du temps de mes vadrouilles étudiantes, j'ai ajouté un porte-bagages que j'ai toujours eu la flemme de démonter par la suite. Tiens, et si j'essayai ce soir… Le reste, à part les pneus (Hutchinson Kevlar) et les pédales (Time Allroad Gripper que j'essaie cette semaine), est d'origine. Le cadre 58-58 axe-axe n'est apparemment ni Colombus ni Reynolds, mais estampillé Peugot. Les câbles de freins sont apparents comme il se doit, les manettes de vitesse sont au cadre, à friction, il n'y a qu'un seul porte-bidon, en alu, la selle est une Turbo Gel, les jantes sont des Mavic (plus plates qu'elles tu meurs)… Je mettrais bien une photo, il faudrait juste que j'en prenne une et que je trouve un site où la déposer !
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après le long sous-bois, très agréable, qui sépare La Pérérée des Ferrats, on retrouve à Corps la route qui relie Pinet/La Ronzière à Revel : tu prends tout droit, traverse un hameau … et attaque une descente rapide en sous-bois (nous y voilà ...) qui s'achève par un petit pont orienté à gauche à partir duquel on attaque à découvert la "fameuse" remontée sur le bourg de Revel, avec 700m secs et les 200 derniers m plus relax après le cimetière jusqu'au croisement (Eglise) où on plonge à gauche vers Domène. » On est bien d'accord, on parle du même itinéraire. « une petite route en état très correct mais avec quelques pourcentages qui obligent à vraiment lever le cul de la selle » C'est la côte de Rocharey (du moins je l'appelle comme ça) : en ce qui me concerne, puisque je grimpe assis, le 28/32 y est indispensable sauf grande forme. « Si tu avais le temps, tu prendrais à droite à Corps, monterais à la Ronzière puis à Pinet (300 derniers m raides) » Je préfère faire cette route-là en descente, après être venu de Saint-Martin d'Uriage ou de Venon, à cause du point de vue :: « pour enquiller vers Les Seiglières par la RF qui court à travers les grands sapins. » J'avoue que je n'aime pas cette portion-là, je l'ai toujours trouvée sinistre sans trop savoir pourquoi. Je préfère encore les deux itinéraires classiques pour monter à Chamrousse. Ou par Séchilienne et le Luitel.
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Pardon pour l'erreur de la côte du cimetière, n'ayant pas de compteur depuis des lustres et n'ayant jamais mesuré cette côte même quand j'en avais un, j'ai fait dans l'approximatif. Dans la montée vers la Pérerée, j'ai essentiellement utilisé le 28/28 dans les trois premiers kilomètres : j'ai préféré mouliner un maximum, par prudence, pour cette reprise de la montagne avec ce matériel. En temps normal, effectivement, j'y emmène le 28/24. Dans la deuxième épingle à cheveux, j'ai regretté de ne pas avoir mon 28/32, pour pouvoir y rester assis. Après la courte redescente, je me suis permis le 28/24 puis le 28/21 et le 28/18, la pente devenant progressivement moins raide. Quant à la côte du cimetière, je l'ai faite intégralement en 28/28, toujours par prudence. Je me permettrai de mettre plus gros plus tard. Normalement je la fais aussi en 28/24 et quand je suis en forme je l'absorbe à fond les manettes en 28/21. Mais je n'en suis pas encore là… Mes freins fonctionnaient parfaitement : il faut dire que j'ai été prudent aussi dans la descente. Question réglage, c'est surtout ma position qui était gênante, j'ai dû m'arrêter quatre fois pour changer la hauteur de selle qui était beaucoup trop haute au départ : un oncle à moi, aux guibolles nettement plus longues que les miennes, avait utilisé ce vélo juste avant moi. :: Et j'ai bataillé un bon moment pour retrouver le bon coup de main pour les manettes au cadre. À mon tour de me permettre une (mini) rectification : le pont du bas de la côte du cimetière n'est déjà plus dans le sous-bois, on vient d'en sortir quand on l'aborde 😛
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Aujourd'hui, premier jour de reprise de contact avec la montagne grenobloise. Je suis venu passer une semaine chez mes parents qui habitent en banlieue de Grenoble, mais je n'ai pas pu amener mon vélo habituel, comme je l'ai dit plus haut. Résultat, je dois faire avec ma très vieille bécane de 1985, que j'ai eu à 13 ans (beaucoup trop grande pour moi à l'époque) : un Peugeot à 6 pignons, manettes au cadre et porte-bagage. Dentures : 50-40-28 et 14-16-18-21-24-28. Une pièce de musée ! Par contre, j'ai voulu en profiter pour essayer mes nouvelles pédales, des Time Allroad Gripper, couplées avec des chaussures Time Axion. Que dire sinon que ça change radicalement de mon autre autre vélo, où j'ai un groupe Tiagra, 9 pignons et un braquet mini de 28/32 qui m'a bien manqué aujourd'hui. Vu que je dois me faire à mon « nouveau » matériel, j'ai préféré y aller doucement pour commencer. Ma reprise de contact avec la montagne (Belledonne) a donc consisté en une côte de 5 bornes à 7-8 % (Murianette-La Pérerée, pour les locaux) entrecoupée d'une courte descente, suivie d'un long faux plat vers Les Ferrats (Corps d'Uriage) et d'un côte finale d'1,5 km à 9 % menant à un village de moyenne montagne appelé Revel. Puis redescente dans la vallée du Grésivaudan. Courte sortie, mais panoramas déjà spectaculaires sur cette vallée. Au final, j'aurais quand même passé une belle partie des deux petites heures de cette sortie à me battre avec le réglage de la selle, le chaussage et le déchaussage de ces nouvelles pédales, les manettes au cadre dont j'ai complètement perdu l'habitude et l'absence de mon 32 dents dans certains coup de cul des montées et de mes 11 et 12 dents dans la descente… Ça fait beaucoup de choses à digérer en si peu de temps ! Après-demain, je vais en faire un peu plus du côté du Royans et du Vercors.
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Dans ce cas, il aurait dû pédaler à faible cadence aussi dans la partie à 5 % 😛
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Je suis originaire du Grésivaudan même (Le Versoud), mais ça fait dix ans que j'habite en Belgique maintenant (j'ai 38 ans). Avant de partir j'ai eu le temps d'écumer toutes les routes de Belledonne, Chartreuse et Vercors à vélo, Trièves excepté. J'ai dû faire le balcon de Belledonne une bonne trentaine de fois. Le tour de Belledonne par contre, en une sortie, jamais. Quand je montais au Balcon, je passais par l'accès classique, la route du Sonnant d'Uriage, jusqu'à Uriage même, puis Saint-Martin : je me faisais un point d'honneur de parcourir toute la route officielle du Balcon sans en manquer un mètre. En passant par Venon (que j'ai souvent grimpé par ailleurs), ça aurait amputé cette route de quelques hectomètres. 😛 Là, je viens de revenir à Grenoble pour une semaine de vacances d'abord chez mes parents, puis dans le Royans chez ma grand'mère… mais sans mon vélo, que je n'ai pas pu prendre en train avec moi (entre prendre mon vélo et ma fille de 20 mois, j'ai vite choisi 😆). J'ai bien l'ancienne bécane de mes vingt ans qui traîne au garage, mais je n'y suis plus habitué. Le temps de m'y refaire, la semaine sera déjà passée…
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« Vent du nord ?! ou du sud ?! today, vent du nord à décorner les vaches dans la vallée du Grésivaudan ! » C'est rare que le vent y soit violent, mais il vient quasiment toujours du nord dans cette vallée. Ça explique que mon sens préféré de parcours du balcon de Belledonne a toujours été Uriage-Allevard, parce que on a toujours toujours le vent dans le dos au retour 😆
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Je pense que c'est la surcompensation, en effet, parce que cela s'est produit trois jours après ton Étape du tour. Pour en bénéficier, il n'est peut-être pas nécessaire de passer 10 jours sur place, ce qui est d'ailleurs un luxe que peu de non-montagnards peuvent se permettre comme tu le rappelles à propos. Mais il suffirait de produire un effort très conséquent trois jours avant la date visée, et les deux jours suivants de rouler peu et à l'économie, le but étant de récupérer. Dans son livre, Fignon se montre chaud partisan de cette méthode. En sachant que la durée de la période de surcompensation peut varier suivant les organismes. À chacun de se connaître. Pour moi et pour la plupart des gens elle est effectivement de trois jours. Vois les choses sous cet angle-là : tu as gagné une expérience irremplaçable qui te servira lors des prochaines éditions !
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Ce dimanche, randonnée « Maxime Monfort » dans les Ardennes belges et luxembourgeoises, autour de la belle petite ville belge d'Houffalize, près de la frontière avec le Grand-Duché. Les bénéfices de cette rando (prix d'inscription : 5 euros) sont reversés à l'association des enfants cardiaques « C'est notre vie », parrainée par le cycliste professionnel belge Maxime Monfort (équipier de Cavendish sur le Tour). Quatre circuits « route » au choix : 40, 70, 110 ou 150 km. N'étant pas sûr de mon coup de pédale dans les monts ardennais (je ne peux m'entraîner que dans les Ardennes « flamandes » aux côtes nettement moins longues), j'ai opté pour le 110. Du point de vue touristique : paysages à couper le souffle, vraiment, que ce soit en Belgique ou au Luxembourg. Verdure, vallons, forêts, bocages, magnifiques fermes et résidences, c'est vraiment un lieu de villégiature cycliste idéal. Très peu de plat sur le circuit, quasi que des côtes, pour la plupart longues (pour le pays !) et assez peu pentues. À noter que les Ardennes visitées côté luxembourgeois sont nettement moins peuplées que côté belge, et que les routes y sont en bien meilleur état. Du point de vue sportif, j'ai bouclé le circuit en cinq heures tout rond, y compris le ravito d'une vingtaine de minutes… et une erreur de parcours qui m'a fait perdre à peu près dix minutes (et m'a embarqué dans l'ascension d'un joli mur hors parcours !). Compte tenu de ça et de la topographie du parcours, je suis assez satisfait de mon temps. Comme j'étais (relativement) frais à l'arrivée, j'ai embrayé pour finir ma journée sur une ascension non prévue par le circuit, à Houffalize même : la côte de la rue Saint-Roch. Et au moins celle-là, je l'ai faite volontairement :: C'est la première côte répertoriée que franchissent les coureurs de Liège-Bastogne-Liège. Et ce n'est pas la plus facile, un vrai mur ! Jugez-en vous-même par son profil : http://www.climbbybike.com/FR/ascension.asp?Col=Rue-Saint-Roch&qryMountainID=1022 J'en ai été récompensé au sommet par une belle vue plongeante (arrière) sur la ville. Bilan très positif, cette randonnée a un goût de revenez-y. L'année prochaine, si j'en ai l'occasion, je ferai le grand circuit de 150 bornes.
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J'aurais donc longé 100 fois ce lac sans connaître son nom…😳
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Aujourd'hui, 130 bornes dont 90 correspondant au circuit « La route des collines ». Le « Pays des collines » est en fait le prolongement en Wallonie des Ardennes flamandes. La route des collines est un circuit balisé parcourant cette belle région. Sentiment mitigé : le paysage était spectaculaire, mais le circuit, contrairement à mes attentes, évitait soigneusement les côtes les plus intéressantes. Il passait quand même par trois côtes notables : l'Escalette, la Houppe et les Hauts de Saint-Sauveur (pour ce dernier le circuit évitait soigneusement le côté le plus dur, grr), le reste était peu remarquable. En plus, le balisage n'était pas top : il manquait plusieurs panneaux, d'où pas mal de km supplémentaires parcourus en pure perte. Et pour couronner ce sentiment désagréable, j'ai cassé un rayon vers la fin du parcours. Il n'y avait pourtant pas de pavés ou très peu sur ce circuit ! Les derniers 30 km à parcourir l'ont donc été avec une roue bien voilée, mais ça passait. Ouf !
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Ah, désolé pour la confusion. C'était un défaut de conception du boyau, alors ? Ou est-ce dû à la chaleur là aussi ?
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Oui mais, et ton histoire le prouve à nouveau, la colle qui tient le boyau à la jante est susceptible de fondre par forte chaleur… Avec la difficulté de réparation, c'est ce problème qui me tient éloigné du boyau.
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Et là aussi, il pourront broder en montant au Saint-Eynard avant d'aller au Porte, et/ou en prolongeant ce dernier jusqu'au Charmant Som. Puis rentrer en reprenant le Cucheron et le Granier dans l'autre sens… Il y a matière à des sorties vraiment démentes rien qu'en restant dans ce massif ! 😛
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S'ils veulent s'achever, il peuvent enchaîner avec le col du Coq versant Saint-Hugues 😆