Aller au contenu

Franck PASTOR

Membre
  • Compteur de contenus

    16 034
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    82

Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Hier sortie de deux heures avec trois ascensions prévues, à trois rythmes différents, du Mont Saint-Aubert à Tournai. Sortie gâchée par la pluie, le vent et toujours ce grincement, plus épouvantable que jamais, qui se produit à chaque coup de pédale droite. Je suis rentré plus tôt que prévu, sans faire la troisième grimpette du mont. Les conditions climatiques et ce bruit m'avaient fait perdre toute envie de pédaler. Aujourd'hui j'inspecte le pédalier pour comprendre d'où ça vient… et je m'aperçois que la manivelle droite est complètement desserrée ! Encore un coup des vibrations dues à ces maudits pavés ???
  2. Avant-hier, samedi, j'étais exceptionnellement libre du fait de la visite de mes parents. Ça aurait pu me libérer pour le Tour des Flandres cyclo, de façon inattendue, mais pas de regrets, je ne me sentais pas encore prêt pour une telle expédition. En échange, j'ai fait la Waterhoekroute, du côté d'Avelgem et d'Anzegem (ouest de Courtrai) où le Tour des Flandres passait en milieu de parcours d'ailleurs (au Tiegemberg). Circuit de 50 km vallonné et sinueux au bord de l'Escaut, plus 60 bornes bien plates pour y accéder et en revenir, soit environ 110 bornes. http://jderoi.free.fr/datas/descriptif/boucle/f/page/waterhoekroutef.htm Vent du sud à décorner les bœufs (les participants du Tour des Flandres cyclo ont du déguster…), un vélo qui couinait à chaque coup de pédale droite sans que je comprenne pourquoi et une crevaison en fin de circuit : bref, ça n'a pas été une sortie agréable, malgré le côté champêtre du parcours et le temps magnifique. En tout 6 h de vélo arrêt compris, j'ai déjà fait mieux sur cette distance ! 🙁
  3. Ajourd'hui, 1 h 30 de sortie avec comme compagne de sortie la pluie qui s'était invitée sans que je lui ai rien demandé. Elle a fait dans le genre sournois, cette fois : fine et tiède, à peine sensible sur le plat (à part la boue sur la route…), mais elle fouette le visage en descente et ne laisse plus un poil de sec à l'arrivée. Sans parler du vélo. Pourquoi fallait-il que ma seule sortie en semaine soit programmée à ce moment-là ? 😢
  4. On va pas recommencer notre petite discussion triple-compact, c'est pas l'endroit. A priori, non, d'après une FAQ de leur site leurs pédaliers triple ne sont pas compatibles 11 vitesses : http://www.campagnolo.com/jsp/fr/faq/faqcatid_9.jsp#79 Ceci dit, ça n'empêche pas les bricolages, et apparemment ce vélociste-la a monté un triple 11 v : http://cyclesveran.over-blog.com/article-montage-velos-vendus-en-boutique--43933364.html (la page est longue et lente à se charger, faire une recherche du mot « triple ») Malheureusement, ils ne disent pas si ça a marché correctement ou pas. Je pense que si, sinon ils n'auraient pas mentionné ce montage…
  5. On va dire alors : s'agissant du 11 vitesses, Campagnolo ferme les yeux sur ces deux points. C'est mieux comme ça ? 🆒
  6. Problème : les manettes VTT, on ne peut pas les mettre sur le guidon d'un vélo de route. 😉 Et de toutes façons, ce n'est pas la transmission d'un VTT qui va proposer un étagement semblable à celle d'un triple en 50-40-30 et 13-29, pour ceux qui cherche un meilleur étagement… J'utilise pour ma part un groupe Shimano Tiagra 9 vitesses combiné avec un pédalier Spécialités TA en 46-36-24 et un dérailleur VTT Shimano Deore XT, pour une cassette (Shimano) VTT 11-32. Le tout panaché à mes frais, bien sûr. Ça marche, mais c'est en 9 vitesses. Pas sûr que ce genre de panachage marche en 10 vitesses. D'ailleurs, je ne demande pas qu'on me propose un groupe avec en standard un 26/32. Je souhaite simplement qu'on me propose une offre acceptable en triple route standard : bref, un pédalier triple, les dérailleurs avant et arrière adaptés et surtout les manettes au guidon compatible triple. Le reste, i.e. mes braquets particuliers, ce sera alors accessible et je m'en charge. Mais on dirait qu'il n'y a que Shimano qui reste accessible à cette simple demande…
  7. Ah ben moi si, je reproche à Sram de ne pas faire de triple ! Il est sûr ainsi de ne pas avoir ma clientèle. Pour mémoire, mon plus petit braquet est 26/32, et mon plus grand un 46/11. Citez-moi un groupe de Sram, même bricolé, qui me permettraient ces braquets ? 😃 Du côté Campa : il n'y pas d'incompatibilité entre triple et 11 vitesses. Un triple ça s'utilise pour deux choses, séparément ou simultanément : 1) Avoir de plus petits braquets. Quel que soit le nombre de pignons, un 30/29 sera toujours plus petit qu'un 34/29 (pour rappel les cassettes Campa 11 vitesses ne dépassent pas le 29 dents). 2) Un meilleur étagement. Un triple 50-40-30 combiné avec une cassette 11 vitesses 13-26 aurait toujours un meileur étagement qu'un compact 50-34 avec une cassette 13-29, même si celle-ci a aussi 11 pignons. Mais on dirait que Campagnolo « oublie » ces deux points…
  8. Facile, Cancellara ? Pourtant, quand on le voit en plein effort comme dans le Grand Prix E3, on le voit souvent grimacer. Faut quand même pas exagérer… Il est supérieur aux autres (trop pour que ce soit honnête, peut-être), mais il se fait visiblement « mal à la gueule » pour s'imposer.
  9. Aujourd'hui comme prévu j'ai fait la Hermesroute, circuit vallonné de 40 km environ autour de Renaix dans les Ardennes flamandes et le pays des Collines hennuyer, sur des routes étroites et tortueuses (et en mauvais état, mais c'est la Belgique, après tout…). Avec les 60 km environ à parcourir pour y aller et en revenir, en tout une centaine de bornes en un peu moins de cinq heures, soit un poil plus de 20 à l'heure de moyenne (tu vois, Sylvain, tu n'as pas à rougir 😉). Rythme cool donc, et pour cause, je n'éprouve encore aucune envie de me « rentrer dedans ». C'était une belle balade que je commence à bien connaître. En cours de route je croise des participants à une randonnée qui roulent dans l'autre sens. Ça devait être la E3 pour cyclotouristes dont parlait Didier Blanguernon, le Grand Prix E3 - Harelbeke passait par là hier. Incroyable, certains groupes de cyclos n'hésitait pas à occuper toute la largeur de la chaussée, pourtant non réservée à cette rando ! J'ai cru que certains allaient me rentrer dedans. J'aurais aimé leur crier que la vraie course, c'était hier… Quand je pense que des tracteurs circulaient aussi sur ces routes, ces cinglés jouaient avec leur vie !
  10. OK pour Haussler, il s'est mis minable pour essayer de rattaper le Monstre (comme Terpstra et Tankink l'ont essayé aussi), mais Ivanov, je ne l'ai vu attaquer qu'à la fin, alors que Cancellara était déjà à une minute devant ou presque. Ivanov n'est pas assez bon rouleur pour rattraper Cancellara, surtout avec un retard pareil. On aurait dit qu'il courait pour la deuxième place…
  11. Les routes, le matériel, l'aérodynamisme du cycliste et, disons, son « entraînement », n'étaient pas vraiment les mêmes (euphémisme). Ceci dit, quelle que soit l'époque, résister seul à tout un peloton fermement décidé à te rejoindre, et contenant le gratin des cyclistes de l'époque, ça reste le même type d'exploit : invraisemblable, surnaturel. C'est ce que Koblet a fait entre Brive et Agen. On n'a donc pas attendu Cancellara pour assister à des exploits extraordinaires. Dans vingt, trente ans, on verra probablement des exploits surnaturels qui seront du « jamais vu » selon les commentateurs. On parie ? 😉
  12. Joliment dit :) Je trouve quand même qu'on exagère le côté extra-terrestre de Cancellara. Des performances extraordinaires, l'histoire du vélo en est pleine : du solo victorieux d'Hugo Koblet en 51 entre Brive et Agen face à tout un peloton composé entre autres de Coppi, Bobet, Bartali, Geminiani, etc. aux chevauchées victorieuses d'un Armstrong en montagne, en passant par les victoires surhumaines de Merckx comme au Tour des Flandres 69, et l'étape Luchon-Mourenx du tour de la même année… Des exploits qui sentaient parfois le soufre aussi, certes, mais je veux rappeler que des exploits surhumains façon Cancellara, il y en a eu bien d'autres avant. La différence, c'est qu'avant tout le monde s'extasiait, et maintenant tout le monde est suspicieux… Hé, une certaine affaire Festina est passée par là entre-temps…
  13. Il est justement parti dans les 20 derniers kilomètres, et juste avant il s'était fait tirer pendant une dizaine de bornes par O'Grady. Je le répète, c'est ce dernier qui m'a le plus surpris…
  14. À propos du changement de vélo : j'ai suivi la course sur une chaîne flamande, et les commentateurs pensaient que Cancellara avait eu des problèmes avec un dérailleur électrique. Leur hypothèse était qu'il avait alors changé pour un vélo avec un dérailleur mécanique.
  15. Moi je n'en déduis qu'une chose : il est au-dessus du lot. Je pars du principe qu'il roule avec plus ou moins les mêmes armes que ses petits camarades, qui eux aussi sont tout sauf des petits anges. Difficile de croire que sa « soupe à la grimace » de l'arrivée était du cinoche. On le voyait bien grimacer pendant toute son échappée. Pour être précis, le compteur de la moto avait l'aiguille sur le 55 km/h, ce qui n'est pas forcément extraordinaire s'il roulait sur un faux-plat descendant. Mais c'est un sacré numéro, c'est sûr… Vous savez qui m'a le plus surpris, moi ? Ce n'est pas lui, c'est son co-équipier O'Grady. C'est un vétéran de 37 ans, qui était échappé depuis longtemps dans la course, mais il trouve la force d'amener son leader dans la roue des autres échappés (lui procurant ainsi un répit sans doute très bienvenu), et il finit pas loin derrière lui…
  16. Seulement voilà, l'allure que tu considères « tranquille » est sûrement inaccessible à la plupart des cyclos que tu croises, à moins qu'ils prennent ta roue. Ceux qui le font ne résistent probablement pas à l'idée d'augmenter leur moyenne grâce à toi, même si c'est en trichant avec eux-mêmes. Les compteurs de ces sournois ne tiendront pas compte du fait qu'ils ont roulé à l'abri derrière toi… Et ce que disent leur compteurs, c'est sûrement ça qui compte le plus pour eux ! 😃
  17. Parfait pour moi, le pied du beffroi, c'est quasi littéralement la porte à côté de chez moi. Prépare-toi à affronter les pavés du centre-ville pour y aller, par contre… Mais c'est vrai, tu es habitué aux pavés, toi 😉 On pourra éventuellement corser le parcours de la route Hermès pour mieux se préparer à la Grinta qui arrive, si ça te convient aussi. Ce ne sont pas les possibilités de meubler qui manquent, comme tu le sais probablement : la route Hermès croise la route Eddy Merckx, le circuit orange du Tour des Flandres, la Route des Collines… Et puis, last but not least, on peut faire Mont Saint-Aubert en partant ou en revenant de Tournai. Pour rappel, je ne suis quasi jamais libre les samedi (j'ai pu me libérer celui de la Grinta Challenge à grand-peine, toutefois), il faudra prévoir un dimanche.
  18. Trois heures de vélo aujourd'hui au nord de Tournai avec le mont Saint Aubert (deux fois par deux versants différents), le Knokteberg alias côte de Trieu et le Horlitin, trois des belles bosses du coin. Je commence à m'habituer à ma nouvelle selle. Au sommet du mont Saint-Aubert, j'ai vu les autobus et camions des équipes pros FDF et Katusha. Renseignement pris auprès d'une employée, ces équipes logent leurs coureurs ici en attendant de participer demain à la semi-classique « À travers les Flandres » (Dwars door Vlaanderen). Mais je n'ai pas croisé de coureurs. Ils étaient partis s'entraîner, je suppose. Le Knokteberg/côte de Trieu sera sur le parcours, en tout cas, comme septième difficulté, d'après la banderole que j'y ai vue au sommet. Sommet qui se trouve pile poil sur la frontière linguistique Flandre/Wallonie, d'où la double dénomination de la côte…
  19. Ces derniers temps, trois courtes sorties de 2 h 30 maxi sans rien de particulier, juste pour m'habituer à ma nouvelle selle et retrouver mes repères positionnels. C'est fou comme changer de selle chamboule votre position ! Pourtant j'ai remplacé une Turbomatic par une… Turbomatic, j'ai réglé à la même hauteur moins quelques millimètres pour tenir compte de la souplesse de l'ancienne due à son usure, le recul est le même… Mais non, rien à faire, j'ai dû m'arrêter quatre fois pendant la première sortie pour rectifier la position (chaque fois pour la baisser), un arrêt la deuxième sortie, et aujourd'hui, ouf, aucune fois, bien que je la trouve maintenant un peu trop basse ! Comprenne qui pourra… Et puis, Dieu qu'elle me paraît dure !
  20. Ça fait du bien de voir que je suis pas le seul à qui ce genre de trucs arrive ! 😃
  21. Pareil, je m'en fous royalement quand ça m'arrive. En plus, ça m'arrive rarement, parce que je n'ai rien d'un TGV sur le plat, donc il n'y a pas grand monde qui trouve intérêt à rester dans ma roue. Et puis, mon gabarit de fil-de-fer n'offre pas vraiment l'abri idéal ! Je dois être un solitaire encore plus acharné que Steve : moi, quand quelqu'un me double, je ne cherche jamais à prendre sa roue, j'ai mon propre rythme et mon propre petit programme de sortie à suivre. Seule exception : les cyclosportives et randonnées cyclotouristes, là j'essaie d'accrocher un wagon et je prends les relais quand c'est mon tour.
  22. Aujourd'hui pas de sortie. Pourtant j'avais bien prévu de faire ma traditionnelle triple ou quadruple ascension hebdomadaire du Mont Saint-Aubert. Malheureusement (ou plutôt heureusement) j'ai voulu procéder au changement de ma selle juste avant la sortie. Ma Turbomatic 3 bien usée, remplacée par une… Turbomatic Team Edition neuve avec rails carbones. Soit dit en passant, c'est la première fois que j'ai du carbone sur mon vélo ! Mais ce n'était pas le problème. En changeant de selle donc, j'ai constaté que la machoîre supérieure du serrage de la selle était fendue ! Elle risquait de se rompre à tout moment… Dare-dare je suis passé chez le vélociste qui m'avait vendu la selle pour acquérir une nouvelle tige de selle. Après tout, l'ancienne tige avait presque dix ans d'âge. Mais le vélociste pense que la fissure est surtout due aux pavés que je suis obligé de me farcir régulièrement depuis les deux ans et demi que j'habite le centre-ville de Tournai, trop généreusement pavé… Et en passant, il m'a flanqué une belle frousse rétrospective en me racontant que le dernier client dont le serrage de selle s'était cassé s'était retrouvé à l'hosto avec les deux poignets dans le plâtre. Entre-temps, la possibilité de faire ma sortie s'était envolée. Mais bon, entre une sortie annulée et avoir les deux poignets cassés, vous choisiriez quoi, vous ? 😛 Moralité : si vous devez rouler sur des pavés régulièrement, vérifiez votre matériel, dans les moindres détails, tout aussi régulièrement !!! En particulier votre serrage de selle… Et puis, tant qu'à faire, diminuez votre consommation de pavés autant que possible. Pour ma part, j'avais déjà prévu de quitter le centre-ville dès octobre prochain, à la fin de mon bail ! Et depuis un mois, je me suis concocté un nouvel itinéraire pour quitter le centre, plus long mais bien moins pavé. Mais qui sait, peut-être que le serrage était déjà fendu à l'époque…
  23. Sans compter qu'à braquet minimum égal, les dentures des pignons d'un grouple triple seront toujours mieux étagées que celles d'un compact. Un 34/29 est équivalent à un 30/26, mais pour le confort il n'y a pas photo entre une cassette 13-26 et une 13-29 de même nombre de pignons. 🆒 Et si on cherche les plus petits braquets, rien à faire, un 30/29 sera toujours plus petit qu'un 34/29 ! Ce qui fausse un peu le débat, dans cette problématique de l'étagement d'une cassette (ça ne change rien en revanche sur le problème du développement minimal, le triple est toujours loin devant), c'est la décision plus que discutable de Campagnolo de ne pas proposer de triple 11 vitesses. Vivement qu'ils changent d'avis… Je pourrais alors envisager de passer à Campagnolo, un pignon supplémentaire étant toujours bon à prendre.
  24. Idem pour un ancien montage du vélo de mon père. En fait, il semblerait que la chape courte ne soit problématique que pour les combinaisons extrêmes : grand plateau-grands pignons ou petit plateau - petits pignons. Si un spécialiste pouvait confirmer ?
  25. Aujourd'hui, 4h20 de vélo sur un terrain plat comme la main, avec en cours de sortie les 40 km de la «Spierevalleiroute», le circuit du val de l'Espierres, dont j'avais déjà parlé il y a deux semaines ici. Je voulais voir ce qu'il en était de ce circuit dans des conditions climatiques plutôt favorables cette fois-ci : magnifique soleil, pas de pluie depuis des jours, et malheureusement aussi un fort vent d'est très désagréable. Mais les passages en terre battue de ce circuit étaient secs cette fois-ci, dont parfaitement roulants, ce qui a rendu l'excursion beaucoup plus agréable ! Le reste du temps, flânerie le long de l'Escaut. L'objectif sportif assigné était encore de faire du foncier, et de bien tourner les jambes pendant la sortie. Ce qui m'a amené parfois à mettre le 36/24 quand ce p… de vent soufflait en pleine figure !
×
×
  • Créer...