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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Bien sûr que je connais ! Et même par cœur. Rappelle-toi notre randonnée à Saint-Nizier, je redescendais ensuite sur la région de Pont-en-Royans pour rejoindre une maison familiale. Dans mes plus jeunes années, elle a été la base d'un nombre incalculables d'excursions cyclistes Pastoriennes en Vercors, cette maison ! Je crois qu'il n'y a aucune route du Vercors, de Montaud au col du Rousset, qui n'ait pas vu un jour mes roues défiler dessus. D'ailleurs, l'année dernière à la même époque, j'avais (re)fait la montée de Presles par Pont-en-Royans sur un vieux vélo Peugeot à 6 vitesses. Tu ne t'en souviens apparemment pas, mais on en avait parlé. C'était dans le sujet « Votre sortie du jour » version 2010. J'avais également grimpé la route menant à Chatelus (qu'on devine sur une de tes photos), de l'autre côté des gorges de la Bourne, vis-à-vis des falaises de Presles. Courte montée, mais raide, et un magnifique panorama sur les falaises de Presles et les gorges de la Bourne sous un angle inusité. Si tu aimes les « randonnées du vertige » en vélo, voici une idée de sortie, qui ressemble à la tienne mais en plus corsé : Grenoble - Saint-Gervais - col de Romeyère - col du Mont noir - Malleval - gorges de Malleval - Cognin - Izeron - Saint-Pierre de Chérennes - le Faz - col du Mont noir (bis) - col de Romeyère (bis) - Rencurel - col de Pra l'Étang - Presles - falaises de Presles - Choranche-les-Bains - Gorges de la Bourne - Villard de Lans - Lans en Vercors - Saint-Nizier - Grenoble. Tout pour plaire : panoramas, frissons (de vertige), longueur et dénivelée !
  2. Faut pas généraliser ! Mes posts, tous sur la haute montagne??? 😃 Quand je ne suis pas à Grenoble chez mes parents, c'est-à-dire 340 jours par an, l'altitude maximale de mes sorties, c'est 150 m (Mont du Hotond, près de Renaix, pour être précis). Quant au Mont Saint-Aubert que je grimpe à quasi chacune de mes sorties, il culmine à 145 m…
  3. Aujourd'hui, horaire resserré à la dernière minute, donc sortie d'1h30 seulement, ce qui m'a contraint à faire deux ascensions du Mont Saint-Aubert tournaisien au lieu des trois prévus. À part ça, il faisait beau, presque chaud, il y avait peu de vent, j'avais de bonnes jambes… Un agréable moment sur le vélo, mais trop court !
  4. Puis col des Mouilles, Le Mas Julien, Corps d'Uriage, Le Rossin, le tous entièrement sur la plaque (50-23) , exercices de puissance en me mettant bien dans le rouge. Hé ben… Tous ces casse-pattes sur la plaque jusqu'au 50/23… T'avais pas peur de casser la chaîne? 😬 Pour ma part, aujourd'hui c'était ma première reprise de contact cycliste avec les Ardennes flamandes et le Pays des collines. 3 h 30 de sortie avec ascensions du Mont-de-l'Enclus, du Knokteberg et du Mont-Saint-Aubert. Mon petit séjour grenoblois m'ayant filé de très bonnes jambes, j'ai pu grimper ces trois collines nettement plus vite que d'habitude. Vent assez fort (comme d'hab 😕), mais pour le reste temps idéal, ni chaud ni froid, beau soleil, à peine quelques nuages. Un monde dingue au Mont-de-l'Enclus et au Mont-Saint-Aubert, cyclos, randonneurs, motards, voitures…pour profiter de cette première journée de beau temps depuis longtemps !
  5. Moi non plus, dans ce sens. Par contre l'autre versant de la Cluse, en venant des Egaux je l'ai fait plusieurs fois : il a un curieux profil d'escalier. Ça doit être idéal pour travailler son changement de rythme !!
  6. Peut-être qu'on peut monter un 30/30 avec l'Ultegra. En tout cas c'est prévu en standard avec le 105. 30/30, c'est le tour de roue, soit 2,1 m de développement (avec des pneus de 23), plus petit de toutes façons qu'un 34/32. Si on veut même descendre en dessous du 30/30, c'est simple avec un triple, il suffit de monter des plateaux à la carte. Pour rappel, on peut descendre jusqu'à 24 dents comme petit plateau de triple standard de route. Spécialités TA, par exemple, fournit ce genre de plateaux, et je peux témoigner que ça marche très bien. Avec un compact de route, on est limité à 33 dents pour la petite denture. 34/32, ça te suffit peut-être largement aujourd'hui, mais plus tard ? Et sur d'autres pentes ? 34/32, c'est le braquet utilisé dans le Zoncolan et le Plan de Corones par… Alberto Contador. Avec le compact, il faut tenir compte du fait qu'on a nettement moins de marge d'évolution dans les braquets. Ce n'est même pas un débat compact-triple alors, c'est juste un constat mathématique: avec trois plateaux on aura toujours plus de choix qu'avec deux. Il faut juste déterminer quelle plage de développements nous est nécessaire et choisir en conséquence. Après tout, certains cyclistes (pistards, fixies) n'ont besoin que d'un développement pour leur usage !
  7. Si j'étais capable d'emmener un 34/32 correctement dans les pentes les plus raides que je parcoure, je me laisserais tenter aussi… Mais alors j'ajouterai un plateau médian de 42 ! Et je ne plaisante même pas : 16 dents d'écart entre les plateaux, je ne pourrais pas supporter. Mais bon, la question ne se pose même pas : 34/32, c'est beaucoup trop gros pour moi. Vive mon 26/32.
  8. Hier, sortie « Chartreuse » à nouveau. J'ai finalement choisi de faire l'enchaînement col du Coq - col de Porte que je n'avais pas pu faire la veille dans l'autre sens. Ça m'a donné l'occasion de me tester à nouveau dans le col du Coq versant Saint-Nazaire. Verdict : 1h16. Encore une minute, et des poussières, de gagnée, mais ça montre que les progrès sont lents… Après ce test, descente par l'autre versant, sur une route étroite, en mauvais état et très irrégulière, avec en particulier 1,5 km de remontée après 2 km de descente, après quoi on redescend à nouveau mais à 16 % sur près d'une borne. À ce moment j'ai croisé quelques cyclistes véritablement pendus sur des développements trop grands. Pourtant ce mur est un grand classique du coin, les gens devraient être prévenus… Puis ça continue plus calmement jusqu'à Saint-Hugues de Chartreuse, où j'ai tourné à gauche pour une brève montée direction Cherlieu, re-redescente (courte), re-remontée (courte également) et attaque des 4 km restants pour arriver au col de Porte par son versant nord. Je n'ai jamais aimé ce versant, pourtant assez peu pentu, le trouvant toujours un peu sinistre avec sa route hyper-large et les énormes sapins et épicéas qui la bordent. Mais bon, il se digère bien, j'arrive au sommet, et là comme la veille je m'en donne à cœur joie dans la descente sur Grenoble. C'était ma dernière sortie montagnarde de l'année… Aujourd'hui, je suis de retour dans le Plat Pays… 😢
  9. @ Eric : Hier, je suis quand même sorti, mais ç'a été avorté en raison du mauvais temps, justement. J'avais finalement en projet l'enchaînement col de Porte par La Tronche - col du Coq par Saint-Hughes. Mais les fortes rafales de vent à l'entrée du Sappey, au point de faillir perdre le contrôle du vélo, et les nuages menaçants m'ont fait me limiter au col de Porte (temps : 1h25) et redescendre du même côté. Pour varier, dans la descente j'ai emprunté à Corenc le chemin de Rochasson, qui slalome étroit et pentu au milieu des habitations, mais qui me rapprochait de chez moi. @Bruno : merci du renseignement, je vais donc éviter le col de Marcieu quel que soit mon choix final pour la rando de demain ! @ Gwen : j'avais fait le mont du Chat par le versant Bourget en 99 (ça date). Braquet de l'époque : 28/28, et bien content de l'avoir. Aujourd'hui je suis sûr que mon 26/32 actuel serait mis à contribution dans les 9/10 de la montée ! Aujourd'hui, repos dominical :-) Et demain, jour de rab de vacances, je vais voir si je peux retenter l'enchaînement ou bien faire le balcon de Belledonne dans le sens Allevard - Uriage.
  10. Ce matin, rebelote une semaine plus tard avec le col du Coq versant Saint-Nazaire, dans les mêmes conditions à part une température nettement plus élevée. 41 mn jusqu'à la bifurcation Saint-Pancrasse - Col du Coq, puis 36 mn jusqu'au col, soit en tout 77 minutes d'ascension, et un progrès d'une minute seulement par rapport à la semaine dernière. J'ai assez souffert de la chaleur, surtout au début, ce qui explique peut-être le peu de progrès enregistré. Pourtant le mercure était loin de battre des records pour la saison et l'endroit. Moi qui adorais la chaleur grenobloise avant de partir en Gelbique… il faut croire que je me suis vraiment trop adapté au nord !! Demain ou après-demain, je vais essayer de me concocter une grande et belle balade en montagne pour clore en beauté la saison. Je pensais au Vercors et la forêt des Coulmes, mais maintenant j'hésite. Il y a aussi le Balcon de Belledonne à faire dans l'autre sens, ou alors la trilogie Granier - Cucheron - Porte en Chartreuse. On va voir !
  11. Mais ça va bien. Encore deux sorties au programme, au col du Coq demain matin probablement et quelque part en Vercors ce dimanche (Mont noir ?), et puis je repars à Tournai lundi… Au col des Mouilles, la seule grimpette où je me suis chronométré, j'ai mis 20 mn quasiment tout rond avec braquets oscillant entre 26/18 et 26/32 (sur un bref passage raide), mais c'était principalement le 26/24. Toujours avec une fréquence oscillant entre 80 et 90 tours/minutes. Au col du Barioz, c'était à peu près une demi-heure d'escalade sur les mêmes braquets et la même cadence, mais 26/24 et 26/28 à parts à peu près égales cette fois. Comme quoi on peut dire que je grimpe environ 1/3 moins vite que toi ! Au milieu de la côte, j'ai pris mal au genou gauche, douleur qui a disparu sur la fin, mais le genou est sensible aujourd'hui, deux jours après. Hier pourtant je ne sentais rien. Je serai attentif à ce genou quand j'irai au col du Coq demain…
  12. Dès que je rentre dans mes fonds, je m'achète un vrai vélo pour déplacements citadins et utilitaires. Porte-bagages, éclairage, sacoches, gros pneus et développements de VTT. Avec un 22/32 ou 24/36 comme braquet minimal, je ne vois quelle côte pourrait alors me résister. Sauf la Bastille de Grenoble, si je la grimpe avec des sacoches, et encore. Donc, pas besoin du vélo électrique.
  13. Ce matin, départ aux aurores dans le Grésivaudan au nord-est de Grenoble pour faire une grande classique du coin : le balcon de Belledonne. Celle-là aussi, ça faisait un bail que je ne l'avais pas faite. Pour faire bonne mesure, je l'ai faite dans le sens Uriage-Allevard, comme ça j'étais quasiment sûr d'avoir le vent dans le dos lors du fastidieux retour final dans la vallée. Hé bien, j'ai constaté quelque chose que je n'avais jamais remarqué avant, alors que j'étais pourtant Grenoblois et habitué à cette sortie : il y a bien plus de cyclistes qui font le balcon dans l'autre sens, Allevard - Uriage ! Je n'ai rattrapé ni ne me suis fait rattraper par aucun cycliste, mais par contre j'en ai croisé un paquet ! Question à ceux qui habitent encore dans le coin : comment ça se fait ? Pour le reste, j'étais dans le mode balade : aucune envie de faire le matamore, j'ai grimpé et descendu la succession de côtes du Balcon à mon rythme. Quatre cols officiels : Mouilles (4,5 km), Lautaret (pas le grand, un autre! 1,5 km), Ayes (même pas 1 km en venant de ce côté) et Barioz (6 km), et une floppée d'autres montées et descentes sans nom. Magnifiques paysages, comme de juste : sur ma gauche, vue quasi constante sur la vallée du Grésivaudan en contrebas et la Chartreuse de l'autre côté, et sur ma droite la chaîne de Belledonne et ses pics granitiques frôlant pour certains les 3000 m… C'est toujours une splendeur, j'avais presque oublié combien c'était beau. Une fois redescendu dans la vallée, à Goncelin, j'avais bien le vent dans le dos comme prévu, mais j'ai aussi rencontré un tas de feux de signalisation et de travaux sur la voie. Bon, je ne devrais pas me plaindre, car certains de ces travaux c'était pour faire une piste cyclable, mais je me demandais à un moment si je n'allais pas passer plus de temps dans la vallée que dans le Balcon ! Au final, 5 h de vélo avec un temps splendide et la chaleur qui revient. Le bonheur !
  14. Je suis bien arrivé vivant à destination après une bien chouette balade en compagnie d'Éric! On a donc grimpé la côte de Saint-Nizier ensemble soit 15 km à 6, 7% de moyenne pour arriver à 1168 m d'altitude. Éric est bien meilleur escaladeur que moi mais il a quand même tenu à ralentir suffisamment pour suivre mon rythme pendant toute la grimpette, qui a duré 1h10 environ, comme je l'avais prévu. On a fait toute la côte en bavardant, si bien que je n'ai pas vu passer les kilomètres ! 😄 Après Saint-Nizier, pendant qu'Éric replongeait sur Grenoble je descendais moi de l'autre côté, vers le fond du plateau, à Lans-en-Vercors, pour escalader ensuite les 4 km à 6% du col de la Croix-Perrin. Je me suis amusé à le franchir ce petit col à très haute cadence, plus de 100 tours/minutes sur le 26/18 et le 26/21, mais sans puiser dans mes réserves, donc un petit exercice de vélocité pure en montée. Puis plongée sur le village de Méaudre, où le centre était fermé en raison de la pittoresque « Fête du Bleu » : http://www.parc-du-vercors.fr/fetedubleu/fete.html Ça m'a forcé à faire un détour vallonné dans les alpages avant de rejoindre la route principale en faux plat descendant jusqu'à l'entrée des Gorges de la Bourne. La route de ces Gorges est l'une des plus spectaculaires et vertigineuses du Vercors, et probablement de France. Je l'ai descendue dans son intégralité jusqu'à Pont-en-Royans. Bien qu'on soit encore en Isère, on y sent déjà la Provence, jusqu'au chant des cigales ! http://www.les4montagnes.com/royans_gorge_bourne_goulets_grottes_choranche_coulmes-rubrique-166-ETE-FR.html Il me restait encore sept bornes à faire, dont l'escalade d'une butte d'un kilomètre vers le hameau du Bel, à environ 8%. Là j'ai décidé de lâcher les chevaux : encore le 26/21 puis 26/18 à plus de 100 tours/minutes mais à fond la caisse cette fois. Puis récupération active, arrivée suivie d'un bon repas bien mérité !
  15. Merci pour l'adresse, je vais y fouiner ces prochains jours. Réconfortant de voir que de mettre 1 h 15 pour grimper au col y est qualifié de « bonne performance » 😄
  16. C'est Bruno qui souhaitait connaître ton chrono. Mais là au moins on sait à quoi m'en tenir pour Saint-Nizier : faudra que tu sois patient ! Je m'attends à mettre 65 - 70 minutes demain pour grimper la côte (record perso : 58 minutes). Si j'extrapole sur ta performance du Coq, toi tu mettras 40-45 minutes. Les grands esprits se rencontrent : je n'ai pas de compteur non plus. Je mesure ma vitesse selon les bornes du parcours et ma cadence avec ma montre en comptant mes tours de pédalier. Pour ta nouvelle bécane : le titane est certainement le meilleur métal qui soit pour le vélo, si un jour j'en ai les moyens je me paie un cadre dans ce matériau. Par contre, ta selle, très peu pour moi. À moins de mettre un garde-boue, elle te garantit une séance de bidet dès que la route est détrempée.
  17. Chargé avec les deux (grands) bidons et la sacoche de selle, mon vélo doit approcher les 12 kg… mais il y a dix ans, c'était pareil. Donc le poids n'est pas une excuse valable pour moi. Par contre, que je n'aie pas encore assez de dénivelé dans les jambes, c'est fort possible. Mais je ne le saurai jamais avec certitude, puisqu'il ne me reste que neuf jours à passer ici. Tant pis pour dimanche, mais on pourra peut-être se voir la semaine prochaine, sur les pentes du Balcon de Belledonne par exemple. Apparemment tu te rétablis à la vitesse de l'éclair et tu grimpes déjà presque aussi vite que moi actuellement. Si ça trouve, c'est toi qui me montreras ta roue arrière !
  18. Bien vrai que le Coq n'est pas l'endroit où l'on croise le plus de cyclos venus d'ailleurs. Ceux-là préfèrent sans doute se ruer sur l'Alpe d'Huez. Exception à la règle, un jour côté Saint-Hugues j'avais rattrapé un jeune Flamand qui avait mis pied à terre et qui s'étonnait de la rudesse de la pente. Dois-je préciser qu'il avait un 42/24 comme plus petit braquet… Par contre, le col du Coq vraiment très couru par… les randonneurs pédestres. Si soleil il y a, la foule en délire se précipite au col du Coq… en voiture, pour s'y garer et ensuite se faire rôtir la couenne en grimpant sur les sentiers menant vers la Dent de Crolles voisine (les Isérois savent tout ça, bien sûr, mais j'explique à ceux qui ne connaissent pas le coin). Raison pourquoi il peut être plus intéressant pour les cyclistes de grimper au col du Coq quand le temps est gris : il y a alors moins de randonneurs pédestres et donc beaucoup moins de voitures 😃 Sinon, j'aurais bien prolongé la balade, mais j'étais attendu pour le déjeuner 😛
  19. Je vais vérifier ça dès septembre (si les dérailleurs Shimano triple sont compatibles 32 dents), je compte en effet passer en 10 v à ce moment-là. Si non, je testerai à nouveau un dérailleur arrière VTT sur mon vélo de route.
  20. Étant originaire du Grésivaudan, j'ai bien plus souvent grimpé le col du Coq par Saint-Nazaire, mais je l'ai aussi grimpée pas mal de fois par Saint-Hugues. En général en ayant grimpé le col de Porte avant, ou bien le Granier et le Cucheron dans l'ordre. Mais je n'aime pas beaucoup le versant Saint-Hugues du col du Coq, à cause de son irrégularité. J'ai un faible pour les montées longues, pentues mais régulières, le versant Saint-Nazaire me convient donc beaucoup mieux ! 😄
  21. Mais pour les VTTistes, comme je l'ai dit. De mémoire les groupes VTT Sram actuels sont en double 42-28, il fallait donc bien un 36 dents à l'arrière pour avoir un déveioppement minimal acceptable pour un VTT, soit 28/36. Mais bon, là aussi c'est la même histoire qu'avec la route : avec un 24/34 d'un triple Shimano VTT (42-32-24 actuellement) combiné avec cassette 11-34, on a plus petit encore qu'un 28/36, un plus grand développement maximal (44/11 contre 42-12) et une cassette plus resserrée. Et pour ceux qui veulent encore plus petit, Shimano propose aussi une cassette 11-36… Il est peut-être possible de l'utiliser cette cassette Sram 12-36 sur route, mais pour cela il faudra sûrement monter un dérailleur arrière VTT. Le problème est de savoir si ce dernier est compatible avec la manette Sram route. La manip a peut-être déjà été essayée. J'ai moi-même un dérailleur arrière VTT Shimano (Deore XT) pour encaisser ma cassette 9 pignons 11-32, elle aussi issue du VTT. Et ça fonctionne très bien avec ma manette Shimano Tiagra (9 vitesses bien sûr).
  22. ? Sram propose des cassettes VTT allant jusqu'à 36 dents (comme Shimano) mais le dérailleur arrière Apex a pour capacité maximale 32 dents, selon mes infos. Si je me trompe, merci de me l'indiquer. Mais ça ne change rien au cœur du problème, à savoir que le pédalier Sram Apex, même compact, ne peut pas descendre en-deçà de 34 dents, au mieux 33 si on met un plateau TA.
  23. Oui, ils sont à axe carré (est-ce vraiment un inconvénient ?). Aucun problème pour les monter en BSC, ç'a été mon cas, il suffit de le préciser au moment de la commande. Quant au poids, je ne m'en suis jamais préoccupé. Si j'en crois le site, le boîtier pèse 220 g en 103 mm si l'axe est en acier, 145 g s'il est en titane. Je n'ai pas trouvé d'indication sur le poids des manivelles et des plateaux. Pour les avoir eu en main sans les avoir pesées, je peux certifier que les manivelles Carmina plus l'étoile sont nettement plus légères que les manivelles Shimano 105 de 2001 que j'avais avant. Pour les Vega, je ne sais pas.
  24. À vol d'oiseau, on n'était vraiment pas loin l'un de l'autre ce matin ! 😆
  25. J'espère que tu trouveras ce vieux pédalier Ultegra, que je trouvais aussi très esthétique, mais si tu n'y arrives pas, et si tu trouves le Carmina cher, n'hésite pas à considérer le Vega quand même. Les facilités sont les mêmes pour les dentures, il y a juste un peu moins de choix pour les longueurs de manivelles par rapport au Carmina. Une animation sympa pour te confectionner un pédalier Vega triple sur-mesure avec déco : http://www.specialites-ta.com/FLASH-Pedaliers/960/vega-960.html Et il y a encore d'autres marques à considérer : Stronglight, Sugino, FSA…
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