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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR
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Passage à niveau Paris Roubaix
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Yann DERFRE dans Discussions Route
Oui, mais si tu roules seul tu emmerdes nettement moins de gens, elle est là la différence. Il suffit de comparer le nombre de coups de klaxon qu'on se prend si on roule en groupe à un moment et seul à un autre, pour s'en rendre compte. -
Merci. Pour ma part, si je prends le train je n'aurai même pas de sac, juste ma sacoche de selle et un mini porte-gels énergétiques fixée sur le cadre comme bagages. Je serai donc en tenue complète de cycliste dans le train (comme j'ai des chaussures de VTT, ça facilite les choses), et je ne me changerai qu'une fois rentré à la maison. Au retour j'essaierai de rester sur la plateforme, pour ne pas indisposer les autres passagers avec mon odeur de transpiration ! 😃
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On vit une époque formidable : le progrès façon Sram, c'est de réduire le nombre de vitesses au lieu de l'augmenter, avec en plus des lignes de chaîne catastrophiques. Qu'est-ce qu'ils vont encore nous sortir ensuite? Le vrai progrès, pour moi, il est à chercher dans cette direction-là: http://www.patria***/fr/equipement/rohloff-14-vitesses/
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J'en suis, sauf pépin, mais sur le 150. Je n'ai pas encore accumulé assez d'heures de selle pour tenir le 270, c'est trop tôt dans la saison pour moi. L'objectif «longue distance» de cette année, en ce qui me concerne, c'est Tilff-Bastogne-Tilff le 24 mai (250 km). Pas d'appréhension particulière, j'ai déjà fait ce Liège-Bastogne-Liège challenge sur cette distance l'année dernière, avec un niveau de préparation semblable. Pour les passages à 15%-20% de la Redoute et de la Roche-aux-Faucons, j'ai mon habituel braquet de 26/34, c'est dire si les écarts de 3 voire 4 dents entre les grands pignons ne me font pas peur. 🆒 De toutes façons, sur un plateau de 26 dents ça ne représente que des écarts entre développements allant de 25 à 35 cm, ce qui n'est pas énorme. S c'est comme l'année dernière, le 26/34 servira presque exclusivement à la Redoute et à la Roche-aux-faucons, mais y sera bien appréciable vu qu'ils se trouvent en fin de parcours (il n'y a pas le Stockeu sur le 150). Mon seul point d'incertitude, c'est le moyen de transport pour aller sur place à partir de Bruxelles. J'hésite entre le train et la bagnole. Le nouveau lieu de départ n'est pas loin de la gare de Liège-Guillemins, ce qui me fait pencher pour le train, mais je n'ai pas encore une grande expérience des voyages en train avec un vélo comme bagage.
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Comme Eric, j'arpente le balcon de Belledonne en ce moment. Ce matin, c'était mon premier col de (moyenne) montagne de l'année : le col des Mouilles (1020 m), versant Sainte-Agnès. Grosso modo 750 m de dénivelée en un peu moins de 10 km. Les deux premières bornes sont une belle vacherie avec des pentes qui doivent allègrement dépasser les 10% en moyenne et les 15% par endroits. Ensuite ça se calme progressivement, mais on reste toujours «en prise». Au total 56 minutes de grimpette, fréquence de pédalage moyenne de 86 tours/minutes. Comme la sortie précédentes, les sensations étaient très moyennes au début (les gaz d'échappement des camions qui me doublaient n'arrangeant rien…), bien meilleures sur la fin. J'en ai profité pour rallonger un peu jusqu'à Prabert et redescendre sur Brignoud en passant par le chouette village de Laval, quitte à faire patienter un peu la famille qui m'attendait en bas. 😇
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Passage à niveau Paris Roubaix
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Yann DERFRE dans Discussions Route
Bien dit. -
Non, c'était bien l'expandeur. Je lui ai remis une couche de graisse, et plus de couinement. Il ne restait presque plus rien de l'ancienne graisse, qui datait seulement du début de cette année. Les pluies belges ont un sacré pouvoir solvant! 😲 Ta préparation de Liège-Bastogne-Liège suit bien son cours?
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Ça y est je suis à Grenoble, depuis hier soir, et ce matin j'ai enfourché la bécane pour 2 h 30 de mise en jambes dans le balcon de Belledonne. D'abord grimpette à partir de Muriannette jusqu'à La Pérerée, puis les Ferrats et Corps d'Uriage. De là j'ai voulu grimper à Rocharey, mais un panneau « Route barrée à 900 m » m'en a dissuadé. Donc j'ai obliqué vers Revel et sa « côte du cimetière », puis suis monté aux Roussets par l'itinéraire classique. De là j'ai suivi le balcon direction Allevard, jusqu'à Saint-Mury, d'où je suis redescendu pour terminer la balade. Sensations laborieuses jusqu'à Revel, et ensuite, comme si le moteur s'était débloqué, ça tournait tout seul ou presque. De bon augure pour la suite. 😄 Seul bémol, l'avant du vélo qui couine dès que je me mets en danseuse. Peut-être une conséquence de toute la flotte reçue lors de la Flèche brabançonne. Je vais remettre un peu de graisse sur l'expandeur de la potence, et voir si ça résout le problème.
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Paris Roubaix challenge
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Paul MARPAUD dans Les évènements route
Si c'est comme l'année dernière, il n'y aura pas que du bitume sur Liège-Bastogne-Liège. L'épreuve commence carrément par un mur pavé mal commode… emprunté en descente, où j'ai vu plusieurs cyclos complètement à l'arrêt. Et il y a le centre-ville de Stavelot qu'on traverse, qui est fait de gros pavés. Rien de comparable à Paris-Roubaix, bien sûr, mais ça peut surprendre ceux qui ne sont pas prévenus. -
Paris Roubaix challenge
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Paul MARPAUD dans Les évènements route
Dans « Cyclisme sur route » qui date de 1986, Claude Genzling rapporte que Fausto Coppi «affectionnait de rouler avec des boyaux de 32 mm de section, et pas seulement sur Paris-Roubaix, privilégiant ainsi le confort». Ce n'est donc pas tellement une histoire de mode imposée par les fabricants, mais essentiellement un ressenti. Il y a une part de subjectif, c'est sûr, mais une grosse part d'objectif : avec une plus grosse section, la pression peut diminuer et donc le confort global augmente. Plus qu'appréciable sur les secteurs pavés. Je roulais sur du 23 jusqu'en 2010, et je suis passé au 25 parce que j'en avais assez d'être secoué comme un prunier sur les pavés. J'habitais au beau milieu d'une zone pavée à l'époque, à Tournai, pas loin des Ardennes flamandes que j'ai découvertes par la même occasion. La différence s'est fait sentir tout de suite! Je serais passé au 28 sans hésiter si mon cadre le permettait. Tant que je passerai le plus clair de mon temps sur les routes belges, je ne repasserai pas au 23. Si je devais me fixer à nouveau en France, à Grenoble par exemple d'où je suis originaire, je le ferai probablement. -
Paris Roubaix challenge
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Paul MARPAUD dans Les évènements route
Ta galère venait probablement en partie de là: des pneumatiques trop fins pour ce terrain. Les pros eux-mêmes n'hésitaient pas à monter des boyaux de 27 à 32 mm de section, gonflés à 5 bars ou guère plus, d'après Vélo101. Pour ma part, si je devais faire ce «machin», je m'arrangerais pour avoir des pneus de 32… minimum ! Et de toutes façons, comme je l'ai dit, j'évite au maximum les pavés détrempés, donc hier je n'aurais pas osé prendre le départ. Chapeau encore une fois pour avoir terminé. -
Rhââ, ça fait envie ! Mais «plus qu'une fois dormir», comme on dit ici, avant de partir pour Grenoble, pour une semaine! Je pourrai enfin me faire une condition sur les routes du Balcon de Belledonne. 😄 Ça te dirait un de ces jours de venir faire une cyclo en Belgique? Le genre Liège-Bastogne-Liège t'irait comme un gant, je pense. Pour info, j'ai mis comme annoncé le compte-rendu de la Flèche brabançonne d'hier dans la rubrique Cyclosport. Je ne pense pas qu'elle te plaise, cette cyclo-là, par contre. 😉
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Lamiraud recordman français de l'Heure
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Emile ARBES dans Discussions Route
Et encore, Rivière avait crevé au cours de sa tentative. Sans cela il aurait probablement dépassé les 48 km. Ce que Ferdinand Bracke fera, mais en 1967. -
Paris Roubaix challenge
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Paul MARPAUD dans Les évènements route
J'ai souvent pensé à vous quand je faisais ma Flèche brabançonne, avec les mêmes conditions climatiques à une centaine de kilomètres de distance. Moi qui me refuse déjà à rouler sur les pavés des Ardennes flamandes quand il pleut, même pour tout l'or du monde je n'irai pas affronter les champs de ruine de Paris-Roubaix dans ces conditions! Chapeau franchement pour avoir terminé! -
Flèche brabançonne cyclo 2015
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Franck PASTOR dans Les évènements route
Je ne connais pas encore le nombre de participants, mais je dirais qu'on était quand même assez nombreux. Beaucoup moins qu'à un Liège-Bastogne-Liège cyclo par exemple, mais vu le temps qu'il faisait, c'était à mon avis un succès en matière de participation. Le fléchage était correct… si on admettait qu'aux croisements où il n'y avait pas de flèche, il fallait aller tout droit. 🆒 J'ai appliqué cette règle et je ne me suis jamais perdu. Autrement, je n'ai pas eu vraiment affaire à l'organisation, juste pour retirer ma carte de participant, avec numéro et puce incorporée (il paraît qu'on a été filmés dans les principales ascensions grâce à cette puce, qui déclenchait des caméras en bas et en haut des côtes). Vu le nombre énorme de croisements, il était impossible pour eux d'avoir des bénévoles à chaque intersection, mais ils ont fait en sorte que les plus dangereux croisements, aux grands axes, soient sécurisés quand même. Le reste du temps, il convenait d'être vigilant. Tout le monde s'arrêtait aux feux rouges, et pas mal de participants empruntait les pistes cyclables comme moi quand il y en avait, malgré l'état peu reluisant de certaines. Pour rappel, elles sont obligatoires ici, et ceux qui ne le faisaient pas s'exposaient à de belles contredanses si la police les surprenait. 🤐 Je trimballais ma propre nourriture avec moi et je me contentais de remplir mes bidons aux ravitaillements, mais le choix de nourriture aux ravitos était assez vaste, semble-t-il. Bref, c'est plutôt positif côté organisation. -
Un reportage sur Andreï Tchmil
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Franck PASTOR dans Discussions Route
Paris-Roubaix 1994 est probablement ma course pro préférée. J'ai eu la chance de voir l'intégralité de l'échappée de Tchmil à la télé ce jour-là. Quelle épopée! Depuis j'ai suivi la carrière du bonhomme de près. Pas étonnant que ce reportage m'ait plu aussi! 🆒 -
Aujourd'hui, j'ai fait la version cyclo de la Flèche brabançonne. https://bpl.proximuscyclingchallenge.be/fr Deux distances étaient proposées : 70 et 135, et j'ai opté pour cette dernière. https://bpl.proximuscyclingchallenge.be/fr/track/135-km Le départ et l'arrivée, comme pour la vraie Flèche brabançonne qui aura lieu mercredi prochain, étaient situés à Louvain, une vingtaine de km à l'est de Bruxelles où je réside. Comme je suis un peu juste en kilométrage actuellement, j'ai préféré ne pas rajouter une quarantaine de bornes aller-retour à mon périple et je me suis contenté d'aller à vélo, de nuit (j'ai pris le temps de mettre un éclairage la veille) à la gare voisine de Zaventem, à peine distante de 6 km. De là j'ai pris le train de 7h25 destination Louvain. Une fois le train arrivé , il ne restait qu'une borne à faire pour atteindre l'endroit précis du départ de la randonnée, la majestueuse place de la Bibliothèque de la ville. Il est 8 h 15 quand je m'élance : on passe d'abord par la Grand'Place de Louvain avec son magnifique hôtel de ville, lieu de départ officiel de la course pro. Le vent est fort comme le prévoyait la météo, et le ciel est menaçant. Et de fait, j'ai à peine le temps de sortir de Louvain qu'une pluie fine se met à tomber. Elle va accompagner les participants pendant deux bonnes heures. Sur des routes progressivement détrempées, je suis le parcours qui nous fait d'abord nous mesurer avec les bosses et les collines champêtres ouvertes à tous les vents du sud-ouest de Louvain : Bertem, Leefdal, Neerijse… un endroit très agréable à parcourir quand il fait sec. Mais avec la pluie, du fait de la proximité des champs cultivés et de l'imperméabilité totale des routes en béton, ça s'apparente très vite à du cyclo-cross sur chemin boueux et sablonneux. La transmission se gorge de sable et se met à grincer à chaque coup de pédale : pas le choix, faudra supporter ce bruit jusqu'à l'arrivée… Ensuite, on affronte la plus sérieuse pente du jour : le Smeysberg, à Hudenberg : 600 m d'escalade dont 3 hectomètres à respectivement 11, 16 et 13 %, avec une pointe à 18%. Je le connais par cœur et je sais qu'il ne faut pas trop y aller à fond si on ne veut pas se griller pour le reste de la journée. Donc d'emblée tout à gauche, 26/34 (oui, pour ceux qui ne le savent pas, j'ai monté des braquets de VTT sur mon vélo de route), ce qui me permet pourtant de rattraper et de laisser sur place quelques cyclistes un peu trop présomptueux avec leurs braquets, et donc zigzaguants… Mais puisque ce sont de vrais Flahutes contrairement à moi, ils me rattraperont et me largueront sur la zone de plat qui suit. Cette partie plate, c'est la transition vers la zone des collines d'Overijse, le cœur de la course : le parcours de la cyclo emprunte la totalité des bosses du circuit final de la Flèche brabançonne professionnelle, mais se contente d'un tour. Dans l'ordre, on grimpe donc la Ijskelderlaan, au sommet de laquelle se trouve le premier ravito, puis le Schavei, le Hagaard, la Hertstraat et enfin le Hostheide. Toutes passées sans encombre pour ma part, je connais parfaitement le coin. Pendant toute cette partie de la rando, la fine pluie cesse… pour être remplacée par une averse violente. Conséquence imprévue et cocasse : mon compteur se met à débloquer complètement et indique des valeurs surréalistes. Dans les bosses, je suis censé selon lui grimper à 25-35 km/h à des cadences de pédalage 160-250 tours/minutes !!! 😲 Il va continuer comme ça pendant une bonne demi-heure, avant de fonctionner à nouveau normalement. Après le Holstheide, la pluie diminue d'intensité, puis cesse complètement. Un peu plus loin, les parcours du 70 et du 135 se scindent. Pendant que les participants du 70 retournent directement à Louvain, le 135 nous fait obliquer vers le sud et l'est et passer par Sint-Agatha-Rode, Ottenburg, et de là il pénètre en Brabant wallon, à Florival puis Pécrot. Une belle bosse de 500 m à maxi 10% nous fait passer de Pécrot à Nethen, et nous commençons une portion plutôt plate d'une cinquantaine de kilomètres à travers les champs de la Hesbaye brabançonne, dont la majeure partie vent de dos. Le compteur indique des valeurs (cette fois réelles!) de 30 km/h à 40 km/h, c'est assez grisant! 🆒 Passage à Hamme-Mille, Beauvechain, Tourinnes-la-Grosse, à toute berzingue donc malgré l'état peu reluisant des routes, principalement faites de plaques de béton disjointes. Puis on retourne en Brabant flamand, à Hoegaarden, et à partir de là j'entre en terrain inconnu pour mon vélo. Pour dire vrai, je me demande ce qui m'attend. Et bien ce qui m'attend, c'est que le parcours oblique vers l'ouest comme il devait le faire, et je prends maintenant le vent en pleine figure. Ça dégrise très vite ! La vitesse tombe à autour de 15 km/h… sur le plat, nettement moins évidemment dans les côtes, pourtant peu pentues mais qui prennent subitement des allures d'Everest. Les routes ne sont pas en meilleur état qu'en Brabant wallon, et ça n'aide pas à récupérer dans les descentes. De Hoegaarden on passe à Tienen (Tirlemont), on s'arrête au deuxième et dernier ravito, puis on repart vaille que vaille. Des noms jusque là peu familiers défilent, et j'ai tout le temps de me familiariser avec eux tellement mon allure est réduite par le vent de face ou de côté : Opvelp, Boutersem, Bierbeek, Lovenjoel, Kessel-Lo… Oud-Heverlee… Ah tiens, Oud-Heverlee? là je connais, c'est juste au sud de Louvain, c'est donc que la fin du calvaire est proche. Mais pas avant d'avoir grimpé la dernière difficulté du jour, la Korbeekdamstraat, une curieuse côte recouverte de dalles qui monte en paliers assez sévères (à gauche toute pour la couinante chaîne). De là, il reste seulement 4 ou 5 bornes de plat, effectués en toute décontraction, jusqu'à Louvain et le lieu de départ. Au bilan ça m'aura fait presque exactement 6 h de selle, (6 h 30 en comptant les ravitos), soit un moyenne de 22,5 km/h. Pas folichon mais vu mon faible niveau d'entraînement et la nature du parcours je ne m'attendais pas à mieux. C'est même de bon augure pour les randonnées que je prévois de faire plus tard dans les Ardennes d'avoir terminé finalement sans trop de souffrances. C'est donc avec un sentiment de mission accomplie que je file à la gare pour prendre le train du retour vers Zaventem, et de là faire les 6 bornes (vent de face, comme il se doit…) jusqu'à ma maison. 🆒
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Les 135 km de la Flèche brabançonne cyclo aujourd'hui, dont une bonne partie sous la flotte, et avec un fort vent d'ouest soufflant en permanence. Assez mémorable! J'en ferai un compte-rendu plus détaillé dans la section Cyclosport dès que possible.
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Ce reportage date de 2011 et a paru sur Canvas, une chaîne flamande. Les commentaires sont donc en néerlandais, mais Tchmil lui-même parle en français ainsi que plusieurs autres interviewés, notamment Jean-Luc Vandenbroucke, ce qui rend le reportage accessible à ceux qui ne comprennent pas le néerlandais. Et puis, il y a les images d'archive: rien que pour ça, ça vaut le coup d'être vu. Le clou du reportage, c'est évidemment quand ils parlent du fameux Paris-Roubaix de 1994 : les commentaires de Tchmil valent leur pesant d'or! Enjoy!
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Paris Roubaix challenge
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Paul MARPAUD dans Les évènements route
Pendant que tu feras Paris-Roubaix demain, moi je ferai la Flèche brabançonne près de Bruxelles. Quelques petits secteurs pavés au programme, mais c'est de la franche rigolade par rapport à ce qui t'attend. Mais on aura en commun la pluie et le vent, et moi j'aurai en plus les risques liés au trafic, dans cette région qui est la plus densément peuplée de Belgique, déjà un des pays les plus densément peuplés d'Europe. Il y a tellement de routes qu'il est impossible que tous les croisements soient sécurisés, il faudra être particulièrement vigilant… -
Comment faire chier ces putains de cyclistes !
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Hervé FERMIN dans Discussions Route
Comment veux-tu qu'il comprenne ? Il n'a certainement jamais roulé avec des pneus fins et ne peut donc pas réaliser. Pour lui comme la plupart des gens le vélo ce sont des VTT, VTC ou vélos de ville avec des pneus énormes, avec lesquels les pistes cyclables telles qu'elles sont ne posent aucun problème. -
Routes en Wallonie( sud de la Belgique)
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jacques VANDEWIELE dans Discussions Route
Note que la route la plus directe qui va du centre d'Ittre au canal de Bruxelles-Charleroi à hauteur de Virginal-Samme, la bien nommée rue de Virginal, est fermée. Je m'en suis rendu compte lundi dernier en allant sur place. C'était là qu'ont eu lieu les inondations catastrophiques de l'année dernière, et je suppose qu'ils n'ont pas fini de tout remettre en état ! Il doit y avoir moyen de la contourner en passant par les petites routes parallèles qui la surplombent (rue du Masy, rue du Vieux pavé d'Asquempont, etc.), mais je n'ai pas vérifié. -
Routes en Wallonie( sud de la Belgique)
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jacques VANDEWIELE dans Discussions Route
Par Strava, Routeyou ou un truc semblable, tu veux dire? Faudrait que je m'y mette pour cela… Autrement c'est difficile à proposer, tellement les routes se croisent et se recroisent dans ce coin, comme presque partout ailleurs dans les alentours d'ailleurs. Je me proposerais bien comme guide à vélo, mais je suis pris ce week-end (flèche brabançonne) et la semaine suivante je suis dans les Alpes. Tu peux me faire signe éventuellement par message privé si tu es encore intéressé après. -
Routes en Wallonie( sud de la Belgique)
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jacques VANDEWIELE dans Discussions Route
+1, belle région à parcourir. On peut y ajouter le secteur compris entre Hal, Braine-le-Château et Ittre, tout aussi vallonné, mais les routes sont déjà plus dégradées dans ce triangle. Mais j'aime bien y rouler quand même, en raison de la densité et de la difficulté des côtes. Si on ne veut pas prendre la voiture, le meilleur moyen pour accéder à Ronquières à partir de Bruxelles à vélo reste le canal de Bruxelles-Charleroi, si on a la chance d'habiter pas trop loin. L'emprunter alors juste au sud de Bruxelles, à la limite entre Forest et Drogenbos. Facile à repérer grâce à l'énorme cheminée de la centrale thermique qui domine l'endroit… Mais c'est seulement à partir de là que le canal échappe à la pression citadine, et n'est pas en trop mauvais état. Une fois au bord du canal, c'est 1h-1h30 de vélo, selon la force et la direction du vent, sur l'ancien chemin de halage jusqu'à Ronquières. C'est tout plat forcément, mais généralement vent pleine face. Ça met en condition avant les bosses de la petite Ardenne ! -
Finalement je me suis décidé pour les vraies Ardennes pour ma sortie d'aujourd'hui (enfin, d'hier vu l'heure qu'il est). Je suis allé en voiture à Houffalize (Luxembourg belge) et là j'ai sorti le vélo du coffre pour aller grimper quelques solides bosses entre cette commune et La Roche-en-Ardenne : côte de Mormont, Haussire, vieille route de Beausaint, côte d'Ortho, côte de Nadrin… Soit 3 h 30 de vélo biens sportif par un temps idéal, ensoleillé et pas trop venteux. Ç'aurait été une sortie parfaite si encore une fois les routes n'étaient pas en si mauvais état. Particulièrement le tronçon entre Houffalize et la côte de Mormont, tellement plein de stries qu'on se demande parfois si on ne roule pas dans des rails de tram. Des années que c'est comme ça à cet endroit et il n'y a toujours rien de fait pour y remédier! 📢