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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Oui, mais plutôt que de voir l'Ardenne défrichée petit à petit pour accueillir tous ces gens venus d'Anvers, Amsterdam ou même Charleroi à la recherche de plus d'espace vital, j'aimerais bien que ça reste vert, moi ! 🙁
  2. Préparez-vous donc à l'invasion belge… 🆒
  3. Densité de population en Belgique : 350 habitants par kilomètre carré. La plus forte d'Europe après les Pays-Bas. En Flandre, c'est même 480 habitants au kilomètre carré. Alors pas évident de trouver des routes tranquilles hors agglo… Déjà, le concept «hors agglo» n'est pas évident à définir dans cette région! Et pour les VTT, y a pas beaucoup d'espaces verts pour eux. La plus grande forêt de Flandre est la forêt de Soignes, 4300 ha… au sud de Bruxelles, et encore ces 4300 ha sont répartis entre Flandre, Wallonie et Bruxelles!! En fait, beaucoup de cyclistes flamands se ruent en Wallonie pour s'entraîner, quand ils le peuvent. Là bas on trouve encore des routes et espaces verts… pour combien de temps encore d'ailleurs?
  4. Oh, depuis qu'une voie piétonne a été pendant une période limitée à 6 km/h pour les vélos à Bruxelles, plus rien ne m'étonne… 20 km/h c'est royal à côté ! (sarcasme). Blague à part, en Flandre il y a un sérieux mouvement de grogne contre ceux qui sont appelés non plus wielertoeristen (cyclotouristes) mais wielerterroristen (cycloterroristes). Il s'agit en fait de groupes de coureurs/cyclosportifs/cyclotouristes, parfois plusieurs dizaines par groupe, qui roulent sur les voies sur berge de l'Escaut ou de la Dendre à 40 km/h ou plus et qui terrorisent littéralement les piétons et les autres cyclistes en leur gueulant dessus pour les dépasser, voire en les éjectant carrément sur les bas-côtés. Il y a là un vrai problème que certains croient régler en imposant des limitations de vitesse absurdes. Alors qu'à mon avis il faudrait interdire la formation de trop grands groupes sur ces voies étroites, et, faut-il le rappeler, ouvertes à tous, y compris piétons, rollers et cyclistes lents…
  5. Il y a deux ou trois ans, l'Allemand Philipp Walsleben aurait pu jouer les trouble-fêtes, mais depuis il est malheureusement très transparent… 10e à Gavere, peut-être le début de la résurrection?
  6. Ça marcherait pas sur les secteurs trop bombés: le milieu de l'engin raclerait par terre! 😛 Bernard Hinault, lui, conseillait de passer un bon coup de ça: http://bit.ly/2f04ZiV
  7. N'aie pas de regrets, gonfler à 4 ou 5 bars avec des pneus étroits genre 23 ou 25 ç'aurait été risquer la crevaison par pincement à chaque secteur pavé, et tout autre genre de crevaison aussi! C'est vrai que les pros gonflent à 4 ou 5 bars sur Paris-Roubaix, mais avec des pneus ou boyaux de 27 ou 28 de section…
  8. Hé bé… Chapeau pour ce périple, surtout en cette saison! Qu'est-ce que tu avais monté sur ton vélo pour mieux digérer les pavés?
  9. Le problème, outre l'usure plus rapide, est le rendement. Souple ou non, une chaîne tordue rend moins qu'une chaîne droite. Dans la force de traction exercée par la chaîne sur le pignon, seule la composante parallèle au plateau est vraiment utile, le reste n'est que déperdition d'énergie. Le moyeu Rohloff dont je parlais plus haut a beau être plus lourd qu'une transmission classique, la ligne de chaîne (ou de courroie!) est forcément parfaite, et il propose un choix de développements (14) bien supérieur aux mono-plateaux actuels, tout en étant propre à satisfaire les plus exigeants. Pour ne rien gâcher, c'est paraît-il extrêmement fiable, ça ne nécessite quasiment aucun entretien, c'est étanche, ça peut descendre très bas en termes de petits développement… et on peut dire adieu au bris de chaîne et autres déraillements. Mais c'est cher, dans les mille euros je crois rien que pour le moyeu. À noter également son concurrent direct, Pinion, qui lui propose 18 vitesses, mais logées au niveau du pédalier. C'est encore plus lourd (et encore plus cher) mais aussi plus étendu en terme de plage de développement, et plus resserré entre deux développements successifs.
  10. Oui, le mono et sa ligne de chaîne catastrophique… Plus c'est simpl(iste) et mieux ça passe chez le client, même si ça va en dépit du bon sens. Tant qu'à chercher la simplicité de manipulation, à défaut du triple qui reste l'idéal si on veut des (vraiment) petits développements, j'aurais tendance à regarder de ce côté actuellement: http://road.cc/content/review/133605-shand-stoater-road-bike
  11. Un peu plus de 60 km ce matin dans le sud et l'est de Bruxelles, avec entre autres les obstacles habituels de la Flèche brabançonne: Hagaard, Hertstraat, Ijskelderlaan, Schavei, Holstheide, et le Smeysberg comme cerise sur le gâteau. Temps nuageux et froid (de 4° à 6°) mais habillé comme je l'étais c'était parfaitement supportable, et puis il faisait sec. Le seul truc vraiment ch... était les feuilles mortes qui tapissaient les pistes cyclables au point de les recouvrir parfois complètement, surtout dans la forêt de Soignes. Bonjour l'adhérence dans les virages! Les cantonniers brabançons n'ont pas l'air très concernés actuellellement. Du moins pour les pistes cyclables: les routes, elles, sont parfaitement déblayées… 😠
  12. Il y a quelques années on vendait des 53/39 au cyclo lamda, on se rend compte que finalement un 50/34 c'est parfois trôt pour des gens qui roulent à 23-25 de moyenne et font du 7 kmh en montagne. Espérons donc un retour en grâce du triple…
  13. Everybody with Maillet! Grenoble power! Iedereen steunt Maillet, Grenoble boven!
  14. Les problèmes au séant existaient déjà à l'époque où toutes les selles étaient en cuir. Si tu es intéressé, lis une biographie de Louison Bobet: ces problèmes-là ont empoisonné toute sa carrière. Bref, la problématique du confort de notre postérieur va malheureusement bien au-delà du choix de la selle. Et donc, quand on a le séant fragile, on fait feu de tout bois (si j'ose dire) pour combattre ce problème. Entre un cuissard confortable et une selle confortable, j'ai choisi: je prends les deux.
  15. On peut également se trouver bien là où on est si on ne considère pas le vélo, et se dire que finalement le mieux est d'y rester. Il y a une vie hors du vélo, et il me semble même, corrige-moi si je me trompe, que c'est le plus important, cette vie hors vélo… Ce qui n'empêche pas de vouloir changer les choses de l'intérieur et de rendre les choses plus «vivables» pour notre petite reine là où on se trouve. À commencer par la sortir régulièrement et nous avec. En se rendant visibles autant que possible, en râlant quand il faut râler, on montre notre existence et on peut faire évoluer les choses dans le bon sens. Sinon, on peut faire comme tout le monde et fuir à la campagne… mais au final ça reviendra à construire la ville à la campagne, et à déplacer le problème sans le résoudre.
  16. C'est justement parce que je trouve moi aussi son prix délirant que je n'en ai pas parlé… J'ai pas voulu donner l'impression qu'il fallait obligatoirement payer autour de 390 euros (!) pour ce genre d'équipement!
  17. Assos propose également des collants longs déperlants: le Habu pour les températures de début d'hiver, le Mille et le Bonka pour les hivers rigoureux. J'ai le Habu, et son côté déperlant est bien réel. Prévu pour des températures allant de 6° à 14°, mais d'expérience il descend bien jusqu'à 2°. C'est en-dessous qu'il montre vraiment ses limites. Le Bonka et le Mille, eux, sont supposés être adaptés au températures vraiment hivernales: de -4° à 8°. Assos, c'est la «haute couture» du cuissard court ou long, et c'est donc très cher: le Mille, le moins cher des trois, coûte 210 euros… Un investissement à long terme donc. Attention quand même, et c'est valable pour toutes les marques: déperlant n'est pas synonyme d'imperméable. Aucun de ces collants ne résistera à une douche prolongée. Si on souhaite vraiment de l'imperméable, il faudra mettre par dessus le collant un pantalon imperméable de ce type: http://www.hollandbikes.com/pantalon-protection-contre-pluie-pour-hommes-agu-tecco.htm
  18. Oui, monsieur Sapin a toujours eu du mal à admettre qu'il puisse y avoir une autre réalité du vélo que la sienne…
  19. Veinard. Moi ce serait plutôt sur 500 m. Quand je suis sorti de ma ville.
  20. Ben oui je suis aussi sorti ce matin, une courte sortie (impératifs familiaux obligent), mais avec ce p… de vent du nord, ces 4°C et ces routes détrempées et recouvertes de feuilles bien collantes et glissantes, c'était sans doute préférable. En attendant peut-être des chaussures hiver pour la Saint Nicolas 😇, des chaussettes plus épaisses ont été assez efficaces, j'ai eu beaucoup moins froid aux pieds qu'il y a trois jours.
  21. J'aime pas ça du tout. Mais parfois on n'a pas trop le choix si on se souhaite un entraînement à peu près décent et si on ne peux sortir qu'à date et heures fixes, maximum deux fois par semaine. C'était mon lot jusqu'à cette rentrée. En ce moment j'ai un peu plus de possibilités. Mais maintenant le problème est que je ne peux sortir généralement que le matin, bref quand ça caille un max… 🙁
  22. Le vent, maximum 30 km/h ???? Heureusement que tu ne vis pas en Belgique !!!
  23. Ma limite, c'est quand il y a de la neige ou du verglas. Ou quand le vent souffle trop fort. Autrement dit, tout ce qui fait qu'il est impossible de tenir sur son vélo. Etant donné l'humidité habituelle en Belgique, dès que le mercure descend en-dessous de 0° ça implique généralement neige ou verglas sur les routes, voire les deux. Des routes qui ne sont généralement pas dans un état reluisant au départ… Donc je ne sors quasiment jamais en dessous de cette température de 0°. Ce qui me procure habituellement une franche coupure d'une ou deux semaines par an. Ça peut paraître court, mais le froid vraiment intense est (heureusement 😄) peu fréquent en basse et moyenne Belgique, c'est-à-dire grosso modo la Belgique non ardennaise. C'est l'avantage d'un climat océanique.
  24. Quand tu déchausses vers l'intérieur, tu ne peux pas buter sur la manivelle si celle-ci est orientée vers le haut et l'arrière. Or c'est la configuration où je préfère déchausser de l'intérieur. Au pire mon pied peut buter sur le porte-bidon du tube vertical, mais il faut vraiment que j'y aille franco. Quand la manivelle est vers le bas et l'avant, je déchausse alors spontanément talon vers l'extérieur. On n'est tout simplement pas tous faits pareil… Et non, sauf évolution récente qui m'aurait échappé, les Speedplay n'offrent pas de liberté latérale.
  25. Tu confonds liberté latérale et liberté angulaire, non? Dans le premier cas, ce n'est pas que le pied pivote, c'est qu'il s'approche ou s'éloigne de la manivelle dans son ensemble, en gardant la même orientation. Les pédales Time proposent aussi bien une liberté latérale (même trop restreinte à mon goût sur les derniers modèles) qu'une liberté angulaire.
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