Franck PASTOR

Der Panzerwagen hat gewonnen!

Ça doit faire vingt-quatre ans que je fais du vélo régulièrement (j'ai bientôt 45 ans), comme cyclotouriste tendance sportive, mais je ne saurais dire quand mes sensations s'étaient fortement améliorées. Je crois que c'est venu très progressivement. Peut-être devrais-tu lever un peu le pied avant de te dégoûter complètement ? Quelle que soit la discipline mieux vaut y aller doucement au début, à mon avis, le temps de s'adapter justement. Donne-toi le temps qu'il faut, la patience est une vertu! Particulièrement à vélo.

C'est bien elle! Une autre fille qui revient de loin, c'est Trixi Worrack (7e), qui a subi l'ablation d'un rein cette année…

Elle n'existe plus (malheureusement), et elle ne faisait pas partie des grandes (les cinq).

Quoiqu'il en soit, je ne trouverais pas scandaleux qu'une grande classique favorise les vrais grimpeurs. Ça manquait jusqu'à présent.

Ouf, tu m'as fait peur, avec ton titre j'ai cru qu'il était mort ! Oui, j'avais appris sa retraite il y a quelque temps. Veel succes in je nieuwe leven Johnny!

Puisque tu dis que ce site te permet de renvoyer la veste (pardon, le maillot manches longues 😉) en cas d'erreur, tu ne risques pas grand'chose! Puisqu'il semble que nous ayons un torse de gabarit équivalent, j'aurais tendance à croire que ce serait la taille S de l'Intermediate qui t'irait le mieux… mais je peux me tromper, hein!

Oui, c'est bien un maillot manches longues comme tu le conçois (je venais juste d'éditer mon message en ce sens). Moi j'appelle ça une veste, mais légère. J'ai essayé l'Intermediate en M aussi, mais ça flottait trop. Contrairement à mon maillot manche courtes Campionissimo de taille M. La coupe fait vraiment une énorme différence…

Le même modèle que le mien en fait (ce que j'ai appellé veste, tu l'appelles mailot à manches longues). Moi je l'ai pris en couleur blanche. D'après mon vélociste ce modèle «Intermediate» disparaîtrait bientôt du catalogue au profit d'une version mise à jour mais à couleur unique, la «Intermediate Profblack». Noire comme son nom l'indique, comme tous les articles de cette nouvelle gamme «Profblack». https://www.assos.com/en/projects/3963/profblack-collection D'ailleurs leur slogan publicitaire pour cette gamme est «Riding under the radar», rouler en passant inaperçu… Exactement ce qu'il ne faut pas faire en cette saison quand on vit en agglomération comme moi!!

NB: je ne sais vraiment pas comment vous pouvez fermer un S, chez moi en Valais les S ne se vendent pas, ou se soldent! Si je remonte cette discussion c'est que je viens juste d'acquérir une veste Assos, le modèle Intermediate… en taille S, et elle me va comme un gant. Comme quoi! 😉

Je reproduis ci-dessous la réponse de Jean Guy qui n'apparaiit pas (chez moi en tout cas) dans le fil de discussion. Elle n'est accessible que si je clique sur «Répondre»… Discussion off avec un responsable d'une grande marque qui a chuté en bas d'une descente de col à cause de disques qui chauffaient. Il m'a dit : "ce n'est pas encore au point leur truc". Et pourtant ils ont dans leur gamme des roues pour disques. Discussion également avec des vététistes sur le Roc d'Azur, qui avouaient avoir eu des problèmes avec le système hydraulique en haute altitude (leviers qui durcissaient). Expérience personnelle avec un vélo neuf après une vingtaine de km : fuite dans le système. Enfin, expérience d'un collègue ce week end avec des freins à disque lors de l'essai d'une nouveauté. Ses freins broutaient, alors que le vélo avait été roulé la veille par un gars de 90 kg. Mais difficile d'en tirer des conclusions définitives, puisqu'à chaque fois ce n'est pas l'ensemble des modèles qui est impacté. Le meilleur freinage que j'ai testé c'est étrier traditionnel sur jantes avec revêtement céramique (et patins idoines bien sûr). Sûr, efficace, doux, puissant et progressif, même sous des trombes d'eau.

Ni non plus pire que de transformer une classique comme le Tour de Lombardie en une étape de haute montagne avec plus de 4400 m de dénivelé positif. Dénivelé positif du même ordre que celui de Liège-Bastogne-Liège, soit dit en passant. 😉

Sur la plus haute marche qui plus est! 😲 Van der Breggen hors du coup, Cordon complètement larguée… 🙁

C'est un mailon mâle ou femelle, pas une paire de maillons. C'est ainsi que Shimano, par exemple, mesure la longueur de ses chaînes: en comptant le nombre de maillons mâles comme femelles. Donc si tu dois retirer 6 maillons, ce sera 3 maillons mâles et 3 maillons femelles.

je crois que Rotor sort un Compact 46x30, couplé avec une K7 11v 12x29 et on passe partout. Ben non… 🙁

Un triple 11 pignons peut parfaitement être utile: selon ce que tu recherches, cela permettrait soit des dentures plus rapprochées, soit des développements plus petits pour les montées et plus grands pour les descentes, par rapport à n'importe quel double ou compact. On ne grimpe pas aux arbres avec un 34/32: certains d'entre nous grimpent aux arbres avec, nuance. Les autres galèrent, et oui ces autres-là sont bien plus nombreux que tu sembles l'imaginer. En fait j'en croise à chaque cyclo à laquelle je participe.

Un compact de ce genre, 42-26, Ce serait la solution la moins mauvaise, un pis-aller: moi je préfèrerais toujours un triple équivalent, genre 42-32-24 avec une cassette 11/26. Moins de trous entre les dentures et un écart entre les plateaux moins désagréable à l'usage. Ou alors, si la cassette 11/28 vous semble convenable, pourquoi ne pas la combiner un 46-36-24? Là on gagne aussi bien en grand développement (46/11 contre 42/11) qu'en petit (24/28 contre 26/28). Bref, les possibilités seraient bien plus nombreuses et étendues. D'autre part, je ne sais pas si vous vous représentez ce que c'est que de passer régulièrement d'un plateau de 42 à un plateau de 26, mais à moi qui ai roulé longtemps avec un 52-42-28 ça ne fait vraiment pas envie. J'avais beaucoup de mal avec cet écart de 14 dents entre le plateau de 42 et celui de 28, alors un écart de 16 dents, non merci !

En guise de reprise après ma chute de lundi, 80 km dans l'est de Bruxelles, en prenant garde à ne jamais «forcer la machine». Aucune douleur en pédalant, même dans la seule côte difficile du parcours (le Smeysberg). Mes adducteurs, encore sensibles, ne protestaient en fait que lorsque je montais et descendais du vélo! 😳 Fallait que je le fasse tout doucement, sans rien brusquer. Une fois dessus, plus aucun problème. Temps splendide, mais froid (12°-15°) avec un vent de nord-est qui n'arrangeait rien. Tenue longue de rigueur désormais!

Autre possibilité à creuser, l'utilisation de manettes à friction sophistiquées comme celles-ci: http://gevenalle.com/product-category/shifters/ Avec ce genre de manettes on pourrait peut-être combiner sur un vélo de route un pédalier triple compatible 11 vitesses comme on en trouve en VTT chez Shimano, avec une cassette 11 pignons à l'arrière. Merci à Jérémie Laplac pour m'avoir suggéré cette piste.

Mon plus petit braquet est 26/34, en triple dix pignons, mais j'ai dû pas mal «bricoler» pour en disposer (voir mon profil, où je détaille mon matos). C'est encore possible donc, mais pour combien de temps? C'est ainsi, le triple sur route n'a plus la cote auprès des équipementiers. Tu n'es pas la première personne à être lésée par ce diktat. Les amoureux des longues pentes à gros pourcentages qui n'aiment pas pédaler en force (comme si tout le monde appréciait de traîner un 34/32 dans les fortes pentes… à supposer qu'on le puisse), ou ceux qui préfèrent une cassette bien étagée aux trous des cassettes à plus de 30 dents maxi, devront se résoudre à sortir des sentiers battus. Soit à chiner de ci-de là comme je l'ai fait, ou à passer au VTT (le triple en 11 pignons s'y trouve chez Shimano) ou VTC. Les moyeux ou boîtiers de pédalier à vitesses intégrées du genre Rohloff ou Pinion sont une alternative possible, mais c'est cher, plus lourd qu'une transmission classique, et pas évident à adapter à un cintre route, bien que possible. https://www.rohloff.de/en/products/speedhub/ http://pinion.eu http://www.cyclingabout.com/rohloff-hubs-with-drop-handlebars/

J'ai une paire de roues avec des jantes de 15 et une autre paire avec des 17, les deux paires sont chaussées des mêmes pneus de 25 de section, et quand je regarde l'espace entre la fourche et le haut du pneu avant, je ne constate pas de différence: dans les deux cas, c'est de l'ordre d'un (petit) centimètre.

Il ne parlait pas de la galère de la crevaison, réelle ou non, mais de la galère de la réparation, une fois rentré chez soi.

Mondenard il fait des bouquins mais n'est pas directement dans le peloton Mondenard était médecin du Tour à l'époque de Merckx… et le bouquin de Willy Voet (grand admirateur de Merckx d'ailleurs, il a couru avec lui) est dans ma bibliothèque depuis sa sortie.

Dommage en effet, Stavelot mérite un détour, pour le touriste comme pour le sportif. Si tu reviens à Monschau et si tu as le goût du risque, essaie le Brandberg, sur la route d'Eupen: la descente vers Eupen est dans un état tellement lamentable que les habitants d'Eupen la surnomme "Highway to Hell"! 😃

Merckx remportait déjà gamin la plupart des courses auxquelles il participait. Et non seulement il était bien plus doué que la moyenne de ses rivaux, mais il s'entraînait et vivait pour son métier bien plus qu'eux, de l'avis même du docteur De Mondenard, pourfendeur du dopage s'il en est. Ce qui expliquait sa domination: selon lui, Merckx n'était ni plus ni moins dopé que ses rivaux, c'était sa classe, sa volonté et son implication totale qui faisaient la différence. Puisqu'on parle d'Anquetil: quand on lui demandait de décrire le coureur idéal, il répondait: Prenez les jambes d'Eddy Merckx, la tête d'Eddy Merckx, les muscles d'Eddy Merckx, le coeur d'Eddy Merckx et l'envie de gagner d'Eddy Merckx. Merckx a été pris trois fois dans des affaires de dopage, relève de Mondenard: à Savone, c'était de toute évidence un coup monté, au Tour de Lombardie en 72 de Mondenard lui accorde le bénéfice du doute car il semblerait que le médecin se soit planté dans sa prescription d'un médicament, mais par contre Merckx est clairement coupable pour son troisième contrôle positif, au Stimul (corticoïde) en 77. D'autant plus clairement que son propre frère, Michel Merckx, avait passé sa thèse de pharmacie sur le même produit… À lire: La grande imposture, par J-P de Mondenard, édition Hugo&Cie, pages 104 à 113.