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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. 256 km à 27,2 km/h de moyenne sur une randonneuse et sans forcer outre mesure… ça me laissera toujours rêveur ! Pour ma part, j'ai conclu le volet cycliste de mes vacances grenobloises par la montée au lac de Freydières (1130 m), par Domène et Saint-Jean-le-Vieux. Quelques kilomètres à 11 % de moyenne et plus, entrecoupés de replats et courtes descentes, le tout en 68 minutes. De l'ordre de 3 minutes de plus que mes meilleurs temps, mais je réalise ceux-ci en été, donc j'ai encore une marge de progression acceptable. 🆒 Fréquence moyenne de pédalage de 86 tours/minute, alors qu'habituellement c'est autour de 90 tours/minute sur cette montée, ça confirme que le coup de pédale montagnard est encore à retrouver. Ce sera pour l'été prochain. Sinon le petit lac de Freydières est toujours aussi agréable, et le temps radieux ne gâchait rien ! 😄
  2. Slt Franck, entre Grenoble et Bxl, il y a bien le nord. Tu parts plus tôt et tu vois la course en live. Avec plein de bagages dans la voiture, une petite fille de huit ans comme passagère, guère intéressée par le vélo de compétition et pressée de rentrer à la maison ? Vaut mieux même pas y penser !
  3. Et pourquoi pas Mathew Hayman pour un doublé ? Je suivrais ça de ma bagnole, comme pour le Tour des Flandres dimanche dernier. C'était le voyage aller alors (Bruxelles-Grenoble), là ce sera le voyage retour. Parfois les plannings de vacances tombent mal. 🙁
  4. Tiens, ça m'aurait intéressé si j'avais été au courant plus tôt. 🙁 Trop tard, maintenant ma journée de demain est planifiée autrement! Bonne rando !
  5. 4 h 30 de sortie environ dans la Chartreuse en compagnie de Daniel Hardy cet après-midi, qui m'a fait découvrir une variante du col de Vence (782 m d'altitude) que je ne connaissais pas, par la «Vierge noire», au-dessus de La Tronche. Pittoresque, étroit, très raide par endroits, surtout la toute fin qui doit largement dépasser les 20% sur plus de 100 m. Vaut le détour pour tous les amateurs de pentes raides munis de braquets adéquats, les autres feront bien mieux de s'abstenir!! Ensuite, descente vers le col de Clémencières et encore un peu plus bas, pour attaquer la montée du col de Palaquit (juste en contrebas du col de Porte) par Sarcenas. 1154 m d'altitude, 7,7 km de montée peu fréquentée à 7,6 % de moyenne, dont deux kilomètres à 9,5 % et un kilomètre à 11 %, selon Altigraph. De quoi également tester ses petits braquets ! Et puis descente sur le Sappey-en-Chartreuse pour finir en beauté par la montée au fort du Saint-Eynard (1328 m d'altitude) et ses 4 km de montée à 9,4 % de moyenne (dont 1 km à 11,5 %), toujours selon Altigraph. Encore une rude montée donc mais avec la récompense d'un panorama incomparable au sommet : Grenoble et sa banlieue observées du haut d'un belvédère les dominant de 1100 m ! Belle vue également sur la chaîne de Belledonne juste en face… et les planeurs survolant le fort juste au-dessus de nos têtes. Dommage, le fort lui-même est encore fermé aux visiteurs à cette période de l'année. http://www.fortsteynard.com Ensuite descente vers Grenoble et retour au bercail pour ma part par la vallée du Grésivaudan, Daniel lui a souhaité continuer la sortie en empruntant les côteaux vallonnés de Chartreuse. Bilan: 64,5 km plus que vallonnés (1500 m de dénivellation d'après Daniel) à la moyenne faramineuse de 16,8 km/h, soit 3 h 50 de vélo effectif (pauses non comptées), par un temps splendide, ni trop chaud ni trop froid. Quoique, la descente du fort était un peu rafraichissante au début! À part ce détail, une sortie idéale à tout point de vue. Merci à Daniel pour la compagnie et pour m'avoir fait découvrir cet accès au col de Vence par la «Vierge Noire» !
  6. … et éventuellement tu démontes la roue avant du vélo, ou les deux roues. Je roule en Citroên C3, de gabarit équivalent, et pour mettre mon vélo dans le coffre je rabats la banquette arrière de la voiture et démonte la roue avant du vélo.
  7. Je connais assez bien le Royans, puisque mes grands-parents habitaient Saint-Just-de-Claix. De là j'ai fait bien des balades dans ma prime jeunesse, vers Pont et Saint-André notamment, à pied comme à vélo. À vélo certaines ascensions purement royannaises ne dépareraient pas en Ardenne, comme celles de Rochechinard au-dessus de Saint-Nazaire, et justement celle de Saint-André par Vermenay et Palois. La route qui rejoint Presles, c'est celle qui prolonge cet accès à Saint-André, je suppose. J'ai pu constater hier que ce prolongement était asphalté maintenant. Ce n'était pas encore le cas quand j'ai quitté le Dauphiné pour la Belgique, ce n'était qu'une piste à l'époque, en 2000.
  8. Cinq heures de sortie aujourd'hui, de 10 h à 15 h environ, à batailler contre un p.... de vent du nord dans le massif du Vercors. Montée de Saint-Nizier à partir de Seyssinet (1 h 13, environ cinq minutes de plus que mes temps habituels, mais ça ne m'a pas surpris vu le vent défavorable dans ces longues lignes droites…), descente sur Lans-en-Vercors, puis col de la Croix-Perrin (avec des rafales suffisamment fortes pour faire du quasi-surplace dans la ligne droite du sommet! 😠), puis descente vers Méaudre enchaînée avec celles des gorges du Méaudret et de la Bourne jusqu'à Pont-en-Royans. Je me suis achevé (faut croire que j'étais d'humeur) en montant à Saint-André-en-Royans par Vermenay-Palois, ascension pas très longue mais très raide par endroit. Un moindre mal puisque j'étais enfin abrité du vent dans cette côte. Moi qui étais content d'échapper pour une semaine au vent perpétuel de Belgique ! 📢
  9. et en effet probablement le néerlandais, qui n'est pas une langue difficile à apprendre pour ceux qui sont de langue maternelle allemande.. J'ai appris le néerlandais et je suis en train de faire de même avec l'allemand. Résultat : ça se ressemble tellement que j'introduis régulièrement du néerlandais dans mon allemand, surtout à l'oral ! Ça fait bien rire mes interlocuteurs germanophones. Une amie allemande trouvait très amusant qu'un Français s'exprime en allemand comme un néerlandais… 😳
  10. Navarrais, plutôt. 😉 Et je voulais pas spécialement dire qu'il était Méditerranéen, mais, disons, «sudiste» (par rapport à Van Avermaet s'entend). 🆒 Ma famille paternelle est pied-noir de souche espagnole, et les caractères taiseux et ombrageux n'y manquent pas. En fait je trouve les Belges plus exubérants, en moyenne!
  11. Enfin, il a un côté ombrageux, taciturne, taiseux du Nord, qui ne correspond pas au Méditerranéen que je suis. Du nord ? On croirait lire une description de Miguel Indurain ! 😛
  12. Les deux. Qu'il soit allé dans les barrières est incontestable, les photos sont là pour le prouver. Mais c'est (apparemment) le fait d'avoir accroché la veste avec son guidon qui a fait tourner vers la gauche et l'a envoyé prendre le pied des barrières. Bref, c'est surtout une maladresse de sa part d'avoir roulé trop près des barrières.
  13. Et Eric a bien répondu à ma place. 😉
  14. Connaitre la langue rend Gilbert sympathique aux Flamands ? Oui, indubitablement. Même si les choses se sont grandement améliorées ces dernières décennies, il y a encore un tel snobisme de certains Belges francophones vis-à-vis du néerlandais (je le constate malheureusement assez souvent à Bruxelles) que de voir Gilbert le parler sans complexe leur fait plaisir. Note qu'il n'est pas le seul, Maxime Monfort le parle tout aussi bien, peut-être mieux encore. Criquielion se débrouillait également bien, ce qui faisait qu'il était également populaire au nord du pays. Et le contraire est valable aussi parce que j'ai ouï dire que les flamands refusent la réciproque . J'ai pas compris. Que veux-tu dire?
  15. Me voilà de retour dans l'agglomération grenobloise, ma région d'origine, pour une semaine de vacances. Cet après-midi, 3 h de sérieuse reprise de contact avec la montagne, dans le Balcon de Belledonne, par un temps ensoleillé et presque chaud. Accès par Murianette, la Pérerée et les Ferrats, puis la très raide route du Rocharey reliant Corps d'Uriage à la Croix de Pinet. Ensuite, suivi de la route du Balcon jusqu'au col des Mouilles, et redescente dans la vallée avant le retour au bercail. Bonnes sensations globales même si je n'ai pas encore retrouvé tout à fait le «coup de pédale» montagnard, cette sensation que les jambes tournent toutes seules malgré la pente lorsque le braquet est adapté. Ça devrait revenir d'ici la fin de la semaine.
  16. Dans les 15 derniers kms il y avait tout un parterre de fanions, pratiquement un tous les mètres, dommage ce nationalisme exacerbé, en tous cas certains ont dû manger leur chapeau de voir que c'est un Wallon qui a raflé la mise Pas beaucoup, je pense, même parmi les nationalistes flamands. Gilbert est populaire en Flandre, le fait qu'il ait appris le néerlandais et n'hésite pas à le parler y joue un rôle important. Je pense moi que ce qui a fait le plus ch.. les nationalistes flamands enragés, c'est que ce soit le maillot national belge qui ait franchi la ligne le premier. Leur hargne est plus dirigée vers l'État belge et Bruxelles (qui le symbolise) que vers la Wallonie et les Wallons à proprement parler.
  17. Malheureusement non, rien de neuf et pour du probant à toi de voir... Ce n'est pas une question d'absolu (Gilbert) mais de relatif... Re-regarde la course et le passage ou Fabian colle 250 à 300 mètres à Tom... Je connais bien le Muur pour l'avoir souvent fait moi-même à vélo, et à l'endroit ou Cancellara lâche Boonen il doit rester à tout casser 200 m à parcourir jusqu'au sommet. Difficile donc à partir de là de prendre 250 à 300 m à Boonen jusqu'au sommet… Tu es victime, comme beaucoup, des illusions d'optique procurées par le film de la course ce jour-là. Il n'y a rien, mais rien de probant dans toute cette polémique, les images où l'on verrait Cancellara actionner le «moteur» montrent simplement qu'il change de braquet (ce que Boonen ne fait pas, lui se met en danseuse) à un endroit où la pente augmente brutalement, jusqu'à 20%. Changement de braquet qui lui permet de produire son démarrage en restant assis, la position qu'il préfère pour démarrer, même au sprint. Juste après ce passage pentu, et avant le très bref «coup de cul» de la chapelle sommitale, la pente diminue fortement pour devenir anodine. Ce passage beaucoup moins pentu augmente énormément l'écart en distance, encore bien plus qu'en temps. Une fois que Boonen arrive au sommet (on n'a pas vu Cancellara y passer sur la retransmission), oui il y a peut-être à ce moment 300 m d'écart, mais rien d'étonnant puisque Cancellara est entretemps passé en descente ! Personne ne peut prouver non plus qu'il n'y a pas de «moteur» dans cette histoire, certes. Qui sait, il y en a eu un peut-être ! Mais les soi-disantes preuves qu'il en a eu un n'en sont absolument pas, et c'est ça qui m'énerve dans cette histoire. On se base sur du vent pour déshonorer quelqu'un. Ce type d'accusation nécessite des éléments plus solides que ça. Ça va peut-être venir, mais entretemps, c'est simple: il n'y a rien de probant.
  18. Les photos de cet article du Laatste Nieuws montrent clairement, comme le dit Maximilien, que Sagan a tout simplement accroché les barrières. http://www.hln.be/hln/nl/2444/Ronde-Van-Vlaanderen/article/detail/3120551/2017/04/02/Ongelooflijk-Sagan-valt-en-neemt-Van-Avermaet-en-Naesen-mee.dhtml Comme quoi ça arrive même aux meilleurs, les fausses manœuvres…
  19. C'est pas Gilbert qui a pris le départ de son dernier Ronde, c'est Boonen. Et puis franchement, pour dire que Gilbert (par ailleurs bon rouleur) n'est pas spécialiste des échappées solitaires, faut vraiment pas connaître le bonhomme. Revoir ses victoires au Het Volk/Het Nieuwsblad, ou encore sa victoire aux trois jours de la Panne cette année.
  20. Il y a du nouveau dans cette histoire de Cancellara 2010? Parce que moi j'attends toujours de voir quelque chose de probant. Quand on sait que Gilbert a grimpé le Mur en 2011 plus vite que Cancellara l'année précédente, et avec tout un groupe de coureurs juste derrière lui, ça permet déjà de relativiser les soupçons (ou de les généraliser, si vous préférez). Ce qui est sûr, c'est que je ne regarderai pas d'images de cette édition 2017 en direct. Je vais être dans la voiture toute la journée. En espérant qu'une station radio voudra bien m'aider à suivre ce qui s'y passe…
  21. Pour leur faire comprendre toute la subtilité de ton jeu de mots, tu aurais pu signaler que kaaskopen, en néerlandais, ça veut dire « têtes de fromage », le surnom désobligeant des Néerlandais en Flandre (où ils ne sont vraiment pas populaires semble-t-il). 😉
  22. … et on (re)met de la graisse sur la tige de selle.
  23. Pas de neige, juste de la flotte, mais ça suffit pour que les cyclistes en bavent sérieusement sur le Koppenberg dans la versio cyclo du Tour des Flandres aujourd'hui. Admirez la galerie-photo: http://www.hln.be/hln/nl/7988/sport/photoalbum/detail/3120131/1588419/0/Wielertoeristen-zwoegen-tijdens-hun-Ronde-op-de-Koppenberg.dhtml
  24. Y'avait aussi un gros navet avec (il me semble) Kevin Costner barbu dans le 1° rôle. Moustachu en fait (pour le vieillir un peu, il était encore tout jeune alors), et pas dans le tout premier rôle, qui était dévolu à l'illustre inconnu David Marshall Grant. C'était dans «American Flyers» de John Badham, «Le prix de l'exploit» en français. J'avais bien aimé ce film, dont le scénario ne cassait pas trois pattes à un canard mais qui se laissait voir quand même. Celui qui était barbu dans ce film, c'était le personnage d'un coureur russe, qui avait vraiment pas le physique de l'emploi ! Du reste, la plupart des acteurs n'étaient pas très crédibles dans la peau de cyclistes, mais j'avais trouvé les scènes de course bien faites. Guest star du film: Eddy Merckx en personne !
  25. Oui mais… comme les vents dominants dans ces contrées sont de secteur ouest, et comme j'habite à l'est de Bruxelles, partir vent de face et revenir vent dans le dos revient à traverser Bruxelles à l'aller comme au retour… Tu comprendras donc que je ne le fais pas à chaque sortie ! 🆒 Mais je le fais quand même assez régulièrement, parce que l'endroit que je préfère parcourir à vélo dans la région, la zone la plus vallonnée du Brabant, est au sud-ouest de Bruxelles : Beersel, Hal, Braine-le-Château, Ittre, Ronquières, Tubize… Pour mes plus longues sorties (> 100 km), c'est donc souvent là que je vais rouler, malgré les inévitables traversées d'agglomération.
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