Franck PASTOR

C'est vrai, autant pour moi, mais comme c'est le maillot le plus ancien du catalogue actuel, il sera probablement le prochain à en disparaître. J'ai d'ailleurs un maillot Campionissimo très semblable au Cento question style. La principale différence que je note, outre la coupe «racing fit» bien plus proche du corps que le «comfort fit» du Cento, est que la poche zippée est au centre. Il m'avait été proposé au prix du Cento de l'époque, justement. 170 euros au lieu de 200, de mémoire. Ce qui reste élevé, mais je ne le regrette pas, ce maillot est parfait à tout point de vue… sauf sa dominante noire, surtout sur le devant. Qui fait que je le réserve aux jours de grande visibilité. Ceux qui sont quand même intéressés feraient bien d'en profiter, Assos cherche visiblement à écouler les stocks et le propose à un prix significativement réduit (140 euros au lieu de 200). https://www.assos.com/ss-campionissimojersey-evo7?quantity=1&g=ss-campionissimojersey-evo7_National%20Red-1-M.jpg&color=143

Demain, je compte participer à la randonnée cyclosportive (sans classement) « les Géants des Ardennes », dont le départ et l'arrivée se situent sur le site universitaire de Sart-Tilman, dans la banlieue sud de Liège. http://www.sport.be/geantsdesardennes/2018/fr/ Trois distances sont proposées : 80, 112 et 153 km. Cette dernière avec 2150 m de dénivellation, ce qui n'est pas rien. Les côtes répertoriées ne sont pas forcément connues du grand public cycliste, mais certaines ne sont pas piquées des vers : Dolembreux, Chambralles, Niaster, Bru-Chevron, Strivay… Et attention aux nombreuses côtes non répertoriées, pas forcément plus faciles que certaines répertoriées. Une tradition bien belge, ces côtes non mentionnées sur le parcours ! Certains Belges, ou non-Belges résidents en Belgique comme moi, ou pas loin de la Belgique, seraient-ils intéressés sur ce forum ? Quelle que soit la distance choisie, attendez-vous à des paysages très plaisants, à un très fort contingent néerlandais et flamand, à une ambiance très sportive malgré l'absence de classement, et d'après mes expériences précédentes, à une organisation sans faille pour la signalétique et les ravitaillements. Pour ma part, je me suis inscrit sur le grand parcours de 153 km. Je vois cela comme une bonne préparation pour mon objectif de fin d'été : la Vélomédiane - Claude Criquielion du samedi 25 août.

Mes freins ne répondent plus, mais c'est pas grave, le précipice est encore à deux mètres, jusqu'ici tout va bien. /voirsujet/freins-inneficaces-sous-la-pluie--23419

Jérémie, certains, dont moi, comprennent parfaitement ce que tu veux dire Oh que oui…

Grimper le Ventoux en 2 heures sur un 34x28 signifie qu'on pédale en moyenne à 69 tr/min… Seuls les vieux croûtons ont le droit de pédaler plus vite Comme à 46 ans je suis déjà un vieux croûton par rapport à certains, je peux considérer avoir ce droit ? 😇 Parce que 69 tours/minutes, c'est déjà bas pour moi, mais comme c'est une moyenne, qu'est-ce que ça doit donner dans les passages les plus pentus ? Au secours ! 😬 (À force de vous entendre parler sans arrêt du Ventoux par ci et du Ventoux par là, je vais finir par sortir de mon pré carré grenoblois et venir m'y mesurer pour de bon un de ces jours.)

J'espère qu'à 26 ans notre ami n'aura pas besoin d'un 34/30 comme tous les vieux croûtons que nous sommes, sinon je n'ose imaginer ce qu'il fera à 50 ans!? J'ai 46 ans et déjà 24/34 comme plus petit braquet. Il y a deux semaines, j'ai grimpé Chamrousse versant Prémol et ses 1340 m de dénivellation à 7,1 % de pourcentage moyen, en 100 minutes avec 48-36-24 à l'avant et une cassette 11-34 à l'arrière, en m'économisant (sauf sur les deux derniers km, pour être précis, où je me suis permis de «lâcher les chevaux». Certes, je n'ai pas souvent mis «tout à gauche» dans cette ascension, sérieuse mais pas extraordinairement pentue (contrairement à sa variante par Séchilienne…) mais il y avait quelques passages à plus de 10 % sur lequel passer au 24/34 m'a permis de garder mon rythme de pédalage habituel, c'est-à-dire élevé, généralement entre 85 et 90 tours/min. En faisant un bête calcul de proportion, le Ventoux par Bédoin faisant 1620 m de dénivellation pour une pente moyenne équivalente à celle de Chamrousse, le même rythme économique me permettrait de le grimper en 2 h. Si je me «rentrais dedans», je pense qu'un temps de 1 h 50 min me serait accessible. D'après ce que j'ai lu sur vos ascensions du Ventoux avec des braquets bien plus gros que les miens, je ne serais pas si ridicule que ça. 😇

Et s'ils n'acceptent pas, je propose qu'on leur écrive en néerlandais. 😃

En tout cas, je n'en ai jamais vu plus d'une seule sur un maillot été, et seulement chez Assos (qui n'en propose donc plus). J'en ai par contre deux sur ma veste semi-hivernale Assos Habu. Chacune en complément des deux poches latérales. En plus de la poche centrale, ça fait donc cinq poches en tout, quel luxe !

Devant, oui, ça s'est «colorié» récemment. Mais regarde l'arrière des maillots Assos actuels. TOUS ont au minimum les poches entièrement noires, quand ce n'est pas l'entièreté du dos du maillot, même si le devant est lui de couleur claire. C'est-à-dire, ce qu'un conducteur de voiture est censé voir (?) de nous quand il vient derrière nous et qu'on est en position de recherche de vitesse. Dans une descente par exemple.

… qui d'ailleurs n'en propose plus sur ses nouveaux maillots. 🙁 Entre ça et leur propension à mettre du noir un peu partout, je vais finir par voir ailleurs.

À l'arrière non, de préférence ! 😃 Sérieusement, j'ai connu quelqu'un devenu paraplégique pour être tombé sur le dos pendant une randonnée pédestre en montagne. Pour son malheur il avait un objet en fer dans son sac à dos. Vertèbres amochées, paralysé des jambes pour le reste de sa vie.

Ben dis donc, ta conception particulière de la laideur risque de te causer quelques soucis en cas de crevaison. Rassure-moi, tu ne mets quand même pas cette cartouche dans ta poche ? Jamais rien de rigide dans une poche de maillot cycliste, ça devrait être un principe. Peu respecté je sais, mais il devrait l'être. (Par ailleurs les fixations sur porte-bidon peuvent aussi servir à transporter… une cartouche de CO2. OK je sors… 😃)

Il me semble que les pneus de 25 se sont généralisés sur route avant l'arrivée des freins à disques. C'est plutôt la section 28 qui est en train de gagner une « popularité » sur route contemporaine à celle des disques. De là à y voir un lien de cause à effet, il n'y a qu'un pas, vite franchi par certains.

Certains l'ont déjà exprimé, sur le TDF les descendeurs les plus rapides étaient en étriers. Et ceux qui expriment ça en pensant à Alaphilippe oublient au passage (volontairement ?) que sur nombre des descentes qu'il a effectuées en tête, il était accompagné voire précédé de Mühlberger (Bora-Hansgrohe) qui lui avait des freins à disques. J'avais fait la remarque sur le sujet-fleuve consacré aux disques et c'est curieux, personne n'avait relevé. 😇

On n'est pas dans le «vrai» monde mais sur une page web, où on ne sait généralement rien de la personne avec laquelle on discute, où on n'est pas en face d'elle, et où on peut bien plus difficilement deviner ce qu'elle pense vraiment. Et facteur aggravant, ce qu'on y écrit peut être lu non pas par une mais pas des dizaines, voire des centaines ou des milliers de personnes, qui sont quasiment tous de parfaits inconnus et qui n'ont donc forcément pas tous la même sensibilité. Or une autre excellente maxime que tu devrais méditer est qu'on peut rire de tout, mais pas avec tout le monde. il serait donc temps que tu apprennes à être un peu plus sélectif dans que tu transmets par ton clavier, si tu penses être un grand incompris.

Se moquer d'une personne dépressive est soit complètement inefficace, la personne en question ne réagissant plus à rien dans les plus graves, soit un facteur aggravant si une part d'elle-même cherche encore un soutien chez les autres. Et même si tu ne te moques pas d'eux devant eux, ça reste typiquement l'attitude de quelqu'un qui ne prend pas cette maladie au sérieux quand elle devrait l'être. Bref, soit tu donnes un coup d'épée dans l'eau, soit tu appuies sur la tête de quelqu'un qui est sous l'eau.

De qualité sportive, indubitablement. On n'appuie jamais sur la tête de quelqu'un qui est sous l'eau. Voilà une excellente maxime que tu ferais bien d'appliquer toi-même, étant donné le mépris que tu affiches pour les personnes dépressives. Disposer d'un soutien psychiatrique pour qui en a besoin est une excellente façon de maintenir la tête hors de l'eau. Voire la seule dans les cas les plus graves.

Jan Ullrich a surtout besoin d'un soutien psychiatrique. Et peut-être aussi l'homme de qualité (…), d'ailleurs.

Je répète : une excellente alternative belge à la montagne, c'est l'Ardenne, et c'est un montagnard de naissance qui te l'affirme. Tu peux tenter le «Géants des Ardennes» ce samedi, par exemple. Je compte bien y aller pour ma part.

De quel participant parles-tu ? J'ai certainement loupé quelque chose.

La neutralité est réduite à la portion congrue dans ce débat : quasiment tout le monde a choisi un camp, semble-t-il. Et je suis prêt à parier que tous les participants aux débats «disques versus patins» se croient, en toute bonne foi, aussi objectifs que tu penses l'être. 😉 (À part bien sûr un ou deux spécialistes de la mauvaise foi bien connus sur ce forum. 😕)

Il n'y a que l'embarras du choix, entre tous les cols de Chartreuse, de Belledonne, des Bauges, et le mont du Chat…

Tout le monde n'a pas la chance (?) d'avoir des points de vue tranchés et définitifs. 🆒

67 km cet après-midi, le lendemain de mon retour à Bruxelles. Trajet effectué dans le nord-est de la région-capitale, essentiellement plat, du côté de Vilvorde, Grimbergen et Zemst. Pour me souhaiter un bon retour, les routes et les pistes cyclables défoncées étaient bien là, mon bon ami le vent aussi, et quelques gouttes de pluie étaient aussi de la partie (merci à la météo qui prévoyait un temps sec…). 😕 Coupe-vent de rigueur pendant toute la sortie. Quelques accélérations sur la fin. Samedi, si pas d'imprévu, j'aimerais bien faire le «Géants des Ardennes», une semaine avant la Vélomédiane. http://www.sport.be/geantsdesardennes/2018/fr/

Je suis dans la même expectative. Aucun des inconvénients les plus souvent cités par les détracteurs du disque (poids supplémentaire, temps de dépannage, (aérodynamisme moindre?)…) ne me gêne vraiment, mais il semble que la technologie du freins à disque sur vélo de route soit perfectible. Je pense attendre qu'un standard fiable se dégage pour adopter ce système.