
Imanol ALCANTARA
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Ceux qui font commerce des peurs des autres ont décidément un bel avenir devant eux.
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"Je suis sorti faire du vélo, j'ai vécu l'enfer"
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Bernard VAILLANT1639476554 dans Discussions Route
Si la majorité des Français demande le rétablissement de la peine de mort ou des mesures racistes faudra t-il donc les entendre et leur obéir? je n'insiste pas non plus. -
"Je suis sorti faire du vélo, j'ai vécu l'enfer"
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Bernard VAILLANT1639476554 dans Discussions Route
Mes interventions, sauf quand je crée un sujet, sont des réponses à celles d'autres personnes ou à des questions posées, comme la tienne maintenant. Plus le sujet me semble intéressant plus je m'efforce de répondre de manière argumentée. L'argumentation prend du temps, Je sais que notre époque n'a plus le temps de rien, surtout de réfléchir et de s'intéresser aux autres plus qu'à soi-même, que trois minutes passées à lire les interventions d'un tiers sont trois minutes de perdues, les mêmes personnes pensant de la même façon que trois minutes passées par les autres à les lire sont insuffisantes, ainsi est la vanité humaine. Tu vois par respect pour la peine que tu as pris de me poser une question, même si elle est presque agressive par son ton sec, je te réponds non pas en perdant mon temps mais en te l'offrant. Ceci dit je ne demande à personne de me lire, même si certains comme ci-dessus disent qu'ils ne me lisent pas alors qu' eux et moi savons pertinemment qu'ils le font. Ainsi va la nature humaine, mauvaise, hypocrite et fielleuse. -
"Je suis sorti faire du vélo, j'ai vécu l'enfer"
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Bernard VAILLANT1639476554 dans Discussions Route
Ton point de vue se respecte bien naturellement. Ceci dit quand tu lis un livre tu auras remarqué que bien que "découpés" ils ne sont pas divisés en centaines de paragraphes comme lorsque les gens écrivent sur internet. Cela vient pour moi du propre internet et des fâcheuses habitudes prises par les gens à son utilisation et par le gout de la paresse intellectuelle dont je parlais hier. -
"Je suis sorti faire du vélo, j'ai vécu l'enfer"
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Bernard VAILLANT1639476554 dans Discussions Route
Je ne suis pas Montaigne c'est un fait qui aussi bien coule de source que saute à la vue, j'ai eu le tort sans doute de le lire très tôt dans ma jeunesse et entre autre structure narrative sienne m'être arrêté sur celle-ci. Je l'ai fait mienne pour les raisons données par Mme Fragonard, écrasantes de vérité pour qui veut bien se donner la peine de les analyser, et aussi pour deux raisons. La première est que comme je prends la peine de réfléchir et de répondre aux intervenants je pense que la prendre de me lire de leur côté est un retour d'élégance et d'éducation logique, la seconde est que notre époque internet et l'idiocratie qui en découle nous formate en même temps à l'ultra-rapidité des informations et des choses et à l'ultra-flemme de prendre deux minutes d'efforts pour écouter ou lire son prochain. Tu auras compris depuis que nous communiquons que me conformer au commun n'est pas mon fort, je ne tire aucune gloire à ça, c'est plutôt générateur de litiges, mais ma nature est ainsi et il faut se respecter pour respecter les autres (et le contraire). Et de la même façon que nous ne sommes pas des cyclistes professionnels mais que nous pouvons rouler avec les mêmes vélos et avec leur style sans leur efficacité, je ne suis pas Montaigne ni un autre mais rien ne m'empêche pour la même raison de suivre son chemin, son style sans avoir son efficacité, hélas. -
"Je suis sorti faire du vélo, j'ai vécu l'enfer"
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Bernard VAILLANT1639476554 dans Discussions Route
" ... le texte est imprimé sans alinéa et sans marque délimitant les additions. Cette pratique, fort antipathique à nos habitudes de lecture où chaque paragraphe est supposé retenir une idée, permet justement tous les enchaînements biaisés. La pratique qui consiste à aérer en introduisant des paragraphes, si elle soulage l’œil, crée des découpages artificiels qui bien souvent compliquent la cohérence de la lecture (même sinueuse) en créant des isolats dont on ne voit plus le lien avec le sujet discuté qui peut être énoncé fort loin" (Marie-Madeleine Fragonard. Montaigne - Essais). -
"Je suis sorti faire du vélo, j'ai vécu l'enfer"
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Bernard VAILLANT1639476554 dans Discussions Route
"L'aveuglement consumériste" est décidé et organisé par le système et la société du même nom, mais est fictif, ou non nécessaire. Les besoins de l'homme sont "stabilisables" car l'homme est économe par nature et se contenterait de ce qu'il a s'il n'y avait pas sans cesse et sans arrêt des accélérateurs artificiels (de consommation). Si le besoin n'est pas celui de tel objet mais celui de la différence alors les besoins ne finissent jamais. La consommation n'est pas une jouissance mais un ordre de significations comme peuvent l'être le langage ou la parenté en société primitive. De là l'obligation pour l'homme de consommer sans cesse dans notre société car sinon en se contentant de ce qu'il a il devient asocial. Pour rendre l'homme consommateur plus anomique encore des systèmes comme le crédit ont été inventés. Le crédit à la consommation est un dressage socio-économique de chaque nouvelle génération qui sans lui pourraient échapper, s'extraire de la consommation, le crédit permet, oblige à consommer. Des personnes qui échappent à la consommation deviennent des asociaux car inexploitables comme forces consommatrices. De là aussi tous les moyens modernes de paiement dématérialisé, virtuel, cartes de crédit, paiement online, par téléphone etc. l'argent liquide est le dernier acte de liberté du consommateur, car il ne peut dépenser que ce qu'il a en poche et les commerçants n'ont accès que la somme qu'il a en poche. Avec les cartes de crédit et autres le commerçant a accès à la totalité du compte en banque du commerçant. De là toutes les incitations/obligations de banques et du système et ses soldats précités (entreprises, médias etc.) à l'utilisation des cartes de crédit plutôt que de l'argent liquide. Le crédit est en quelque sorte un processus disciplinaire d'extorsion de l'épargne et de régulation de la demande. Comme le travail salarié a été un processus rationnel d'extorsion de la force de travail et de multiplication de la productivité. De même comme au 19è siècle on a dressé les populations vers le travail industriel on a dressé modernement les populations de la consommation isolée à la consommation organisée par le crédit. On socialise les populations c'est à dire on les contrôle par le travail (industriel) et par la consommation (à crédit). De là les petits épargnants ou consommateurs d'avant guerre libres de consommer ou pas n'ont plus rien à faire dans ce système. Whyte écrivait que "thrift is unamerican" (économiser est anti-américain), c'est à dire que l'individu sert le système non pas en donnant ses économies mais en consommant ses produits, de là, la loi du marché qui simulait un équilibre (fictif) a disparue au profit du monopole. L'Ego dont tu parles et qui flatte ceux qui en ont participe de cet esclavage soumission à la consommation et au système qui en vit, il se résume à vouloir paraitre plus et plus important que les autres. L'ego est une arme du système qui joue sur la simplicité de certaines âmes qui faute de pouvoir démontrer aux autres la beauté de celles-ci préfèrent leur démontrer leur richesse ou supériorité systémique, sorte de grandeur des petits. Note que le système encourage très fortement la recherche d'egos élevés, car elle participe à la consommation (belles voitures, maison avec piscine etc.) en même temps qu'elle participe à la division des hommes (riches/pauvres). La division des hommes est un principe bien connu de gouvernance, diviser pour mieux régner, cela s'applique plus encore en économie qu'en politique, mieux encore, si cette dernière est au service de la première comme c'est le cas. -
"Je suis sorti faire du vélo, j'ai vécu l'enfer"
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Bernard VAILLANT1639476554 dans Discussions Route
Par gauche politique entends-tu "nos" gauches traditionnelles européennes ou le socialisme démocratique des ex républiques socialistes? on peut cependant les mettre ensemble. Le déclin du "socialisme" est moins dû à des difficultés qui lui ont fait perdre la guerre de l'idéologie qu'à une tare sui generis de principe dans sa conception même qui ne pouvait qu'entrainer cette défaite. Le tort du socialisme, l'erreur congénitale est "qu'il" voulait changer les choses, les améliorer, faire autrement dans le sein même du système qu'il combattait. Il voulait changer le capitalisme en utilisant les règles du jeu capitaliste. Plus, le socialisme ne remettait pas en cause la cause du capitalisme et la cause des malheurs qui le nourrissent. L'erreur a été, et les hommes en général commettent la même erreur partout et tous les jours, c'est de penser que le monde tel qu'il est dans sa conception et acception est tel qu'il doit être, qu'il est ainsi et pas autrement, que toute transformation doit se faire en son sein et par rapport à lui. Dit autrement on établit comme chose naturelle et immuable le pouvoir entre les hommes, de certains par rapport aux autres, la loi du plus fort, la circulation des produits, leurs échanges, échanges qui participent à l'établissement d'une hiérarchie humaine. On accepte l'idée de l'injustice naturelle transformée en sociale, après tout le pouvoir du plus riche n'est pas autre chose que la loi du plus fort appliquée aux sociétés humaines, plus forte encore que la loi du muscle, la loi de la possession peut appartenir au plus faible en muscles. L'esprit humain pervers transforme une loi naturelle en loi particulière. On accepte donc l'idée de ce monde inégal par décision, même si certains (ex URSS, socialismes européens etc.) se rendent compte des problèmes qu'il entraine et veulent les corriger. Mais le tort et l'erreur fatale qui a fait que ce monde ne peut pas être changé de cette manière a été d'essayer de le faire donc selon les propres principes de ce monde. Ca ne pouvait pas fonctionner car le système capitaliste a prévu bien des moyens de défense en cas d'attaques externes ou internes. C'est pourquoi le communisme ne vaut pas plus que le capitalisme, les crimes commis aux nom des deux idéologies se ressemblent pour la simple raison que les deux idéologies ont l'argent et le pouvoir comme base de fonctionnement. Le problème n'est pas le nom de l'idéologie ni même ses objectifs, c'est en quelque sorte que les dés sont pipés, le mensonge inné. Le mal et la source des problèmes est l'argent, le pouvoir et la relation entre les deux, tant que le monde tournera avec ces deux forces les problèmes humains, injustices, guerres, terrorismes etc. continueront. Quand il y a un fruit pourri dans le panier à fruits la solution passe moins par le renouvellement des fruits que par le retrait du fruit pourri cause de contamination des autres. Le socialisme (ou autre nom) aurait dû, devrait passer par une autre idée du monde et des rapports entre les hommes. En voulant changer les choses en gardant l'argent et le pouvoir comme principes directeurs il allait, va et ira droit dans le mur, mur qui tombera en novembre 1989. La société actuelle, politique et économique, et plus, philosophique, n'est pas une fatalité, elle n'a pas toujours existé et il n'est écrit nulle part qu'elle doit être comme elle est. Elle est ce que les hommes en font, celle d'aujourd'hui est donc ce que les hommes ont voulu qu'elle soit. De la même manière si les hommes en veulent une autre la décision et le pouvoir de le faire est entre leurs mains. Chose très compliquée (mais pas impossible) tant les habitudes sont prises et les forces fortes pour maintenir ce système. Entre les vrais propriétaires du système (le marché, les politiques à sa botte) ses soldats (les entreprises) ses petits soldats (les entreprises également et tous le petit commerce) ses rabatteurs (presse, médias en général) ses inféodés crédules (qui pensent qu'ils vont profiter du système, que leur chance va arriver) et ses esclaves (tous les gens en général) le système a encore de beaux jours devant lui, ses tragédies, guerres, terrorisme, injustices aussi. -
"Je suis sorti faire du vélo, j'ai vécu l'enfer"
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Bernard VAILLANT1639476554 dans Discussions Route
"On part des besoins et on cherche à y répondre !" belle récitation de la leçon que tu as bien apprise comme un bon soldat du système que tu as été, dans un placard si j'ai bien compris ta situation professionnelle, avant que l'âge ne te rattrape. Les besoins dont tu parles sont avant tout un besoin de se différencier dans la conformité, les objets répondus selon le système (et ses petits soldats dociles ou manipulés) à la demande ont selon Riesman une unique valeur différentielle, aucune de nécessité (de besoin). Contrairement à l'égalité politique la différenciation protège le système et évite que les gens se rebellent contre lui, on fait entrer les gens dans la règle du jeu que tu as défendu durant tes courtes années d'activité professionnelle, ça les dresse. Encore qu'il faille distinguer entre les hommes et les femmes, les hommes dans leurs choix sont agonistiques, les femmes procèdent plus par la "mise en valeur" (concurrence féminine) vis-à-vis des hommes qui sont eux en compétition (se plaire pour mieux plaire donc). A noter ici que pour cela l'homme va choisir sa femme comme ses autres objets, voiture etc. les besoins dont tu parles visent plus des valeurs que des objets, une adhésion à ces objets, il n'y a pas de liberté de choix car celle-ci est annulée (Gervasi). En fait les choix sont imposés par la persuasion, un individu fait partie de tel ou tel groupe et/car il consomme tels biens, et il consomme tels biens car il fait partie de tel groupe. J'ai déjà expliqué ici que le problème du capitalisme contemporain n'est plus la contradiction entre la maximisation du profit et la rationalisation de la production mais entre une productivité virtuellement illimitée et la nécessité d'écouler les produits. Pour ça il faut retirer à l'acheteur le pouvoir de décision et le transférer à l'entreprise. On inverse les rôles donc: ce n'est plus le consommateur qui demande (tu es donc dans l'erreur, mais qui en eut douté?) mais l'entreprise qui contrôle les comportements du consommateur, c'est ce qu'on appelle la filière inversée. Un outil important dans ce but est la publicité et son action anticoagulante qui va empêcher toute stabilisation de la demande. Le choix du consommateur est donc une mystification, on lui impose la liberté de choix. J'ai essayé de te faire un résumé d'un domaine dont tu sembles dépourvu de la plus petite et plus élémentaire notion, ce ne serait pas un défaut en soi, surtout venant de quelqu'un qui comme toi démontre à chaque écrit qu'il sait beaucoup plus rien sur tout que quelque chose sur rien, si cette personne ne tentait pas de convaincre les autres du contraire. A moins que l'unique personne à convaincre soit toi-même? pour finir, je ne sais pas si tu comprendras mon intervention, j'ai de gros doutes, mais si le sujet t'intéresse, ce qui m'étonnerait aussi, le mieux ainsi que je te le disais l'autre jour, est de passer moins de temps ici et plus devant des livres, au moins traitant des sujets dont tu désires parler en public. Comme tu prétends parler de tout et sur tout surtout, tous les efforts à cette fin que tu n'as pas fait dans ta jeunesse et vie d'adulte risquent d'être trop prenants en temps pour quelqu'un qui vu son âge n'en dispose plus tellement. -
"Je suis sorti faire du vélo, j'ai vécu l'enfer"
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Bernard VAILLANT1639476554 dans Discussions Route
Plutôt de celles d'experts en vente qui se sont aperçus il y a bien longtemps que selon l'idée de la mystification de la consommation dans sa liberté annoncée (Galbraith) la peur (comme le bonheur) est un produit comme les autres et source de grands revenus car sentiment facile à faire naitre ou entretenir. Les vêtements flashy, le casque, les lumières, tout l'arsenal de sécurité qu'on nous vend est là pour enrichir ceux qui les vendent. J'ai expliqué antérieurement le principe je n'y reviens pas. -
"Je suis sorti faire du vélo, j'ai vécu l'enfer"
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Bernard VAILLANT1639476554 dans Discussions Route
Culpabiliser les gens est un bon moyen de leur vendre par la suite des objets ou des actions dé-culpabilisants, c'est aussi une méthode de vente aussi connue qu'ancienne enseignée dans les écoles dédiées à cet effet. -
DUMOULIN versus FROOME au Giro 2018
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Michaël BERTHELOT dans Discussions Route
J"ose imaginer que s'il n'est pas suspendu ce sera moins pour son argent que pour son innocence, de fait avoir de l'argent n'épargne pas les condamnations, heureusement. En cyclisme il y a un célèbre précédent qui gagna sept Tours de France que tout son argent ne lui a pas permis de conserver. -
DUMOULIN versus FROOME au Giro 2018
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Michaël BERTHELOT dans Discussions Route
Justement, Michaël dans son sujet est dans la réalité, toi dans l'imagination. A l'heure où nous parlons Froome est en activité et se prépare pour le doublé Giro/Tour de France. Michaël est donc à jour. -
"Je suis sorti faire du vélo, j'ai vécu l'enfer"
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Bernard VAILLANT1639476554 dans Discussions Route
Je suis bien de cet avis. Mais les vendeurs de vêtements flashy ou de lumières ou de casques qui savent qu'ils vendent des illusions de sécurité ont de beaux jours de bénéfices devant eux car la peur est un produit comme un autre. La filière dite inversée est simple et connue en marketing: on crée ou profite d'un fait, ici la sécurité routière des cyclistes, pour cela on relaie tous les accidents, les gens prennent peur, et une fois la peur installée on propose des produits censés faire disparaitre cette peur en faisant disparaitre ses causes. Un peu comme le vitrier de Chaplin qui envoyait un gamin casser les vitres des voisins et ensuite arrivait comme par hasard Chaplin en criant "vitrier"! ce comportement est vieux comme le monde et le négoce mais il fonctionne toujours, la preuve ici. -
"Je suis sorti faire du vélo, j'ai vécu l'enfer"
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Bernard VAILLANT1639476554 dans Discussions Route
C'est évident, mais comme le dit Jérémie en extrapolant son idée s'il me permet, une fois que tu auras mis des lumières partout sur ton vélo qui éclairent à des kilomètres, que tu rouleras bien reposé, les sens en éveil, en faisant bien attention à tout, en anticipant les erreurs possibles des autres, en étant humble sur la route, respectant toutes les signalisations etc. si une voiture doit te rentrer dedans car le conducteur s'est endormi, a été ébloui par le soleil, distrait par quelque chose etc. comme le dit encore une fois Jérémie, et bien c'est fait. Conclusion mienne? que ce qui doit arriver arrive, le meilleur comme le pire, personne ne peut rien contre le destin, et croire le contraire est mentir et se mentir à soi-même. -
"Je suis sorti faire du vélo, j'ai vécu l'enfer"
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Bernard VAILLANT1639476554 dans Discussions Route
"Mais une attitude aussi prudente soit-elle sur le vélo ne garantit en rien une sécurité absolue. Il suffit d'un conducteur distrait ou irresponsable et c'est fait." C'est exactement ce que je pense. -
Encore un accident fatal pour un jeune pro...
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Michel GERAUD dans Discussions Route
Nous ne connaissons pas, en tout cas moi je ne les connais pas et merci de me les indiquer si vous oui les circonstances de cet accident occasionnant cette bien triste nouvelle. Violence routière ou violence cycliste? Véhicule ou cycliste responsable, ou simple et triste fatalité? -
AMSTRONG:la rumeur
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Claude CARRIES dans Discussions Route
Il nous donne rendez-vous sur le Tour des Flandres donc. Il a bonne mine, en peu remplumé: https://www.rtbf.be/auvio/detail_lance-armstrong-de-retour-au-tour-des-flandres?id=2289240 -
AMSTRONG:la rumeur
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Claude CARRIES dans Discussions Route
Lance Armstrong a toujours la même allure sur son vélo. A noter les disques, un cadre générique? une potence relativement courte et haute. Et la sacoche sous la selle, signe des pros ou ex pros à l'entrainement: https://www.youtube.com/watch?v=dXoWuRbmSJE -
"Je suis sorti faire du vélo, j'ai vécu l'enfer"
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Bernard VAILLANT1639476554 dans Discussions Route
Les vendeurs de peurs ont intérêt à ce qu'elle devienne ainsi et font tout pour qu'elle le devienne, elle se sert pour ce faire en effet de la formidable machine de propagande qu'est internet. Pain béni pour ces vendeurs de peurs car des personnes de bonne foi prennent le relai des équipes marketing à moindre frais. La peur est un sentiment communicatif, effrayer deux personnes revient à en effrayer deux mille peu après. Il n'y a qu'à lire ce sujet, beaucoup parlent déjà d'acheter de nouvelles lampes pour leurs vélos etc. Je pense aussi que la peur est accidentogène, sortir à vélo avec la peur au ventre multiplies les risques d'avoir un accident. Beaucoup de cyclos retraités sortant avec la peur au ventre et les lumières au vélo ont semble t-il des accidents alors que la plupart des jeunes cyclistes, parfois fous ou inconscients, tel que je le fus adolescent, et tous mes copains d"époque sortent sans appréhension aucune et leurs sorties se passent sans problèmes. La peur de la chose entraine la chose souvent, c'est irrationnel mais c'est ainsi. Et de la même manière que certains d'entre vous je ne m'imagine pas faire du vélo ou quoi que ce soit d'autre avec peur, si le jour se présente où la peur de l'accident l'emporte sur le plaisir de pédaler, et bien j'arrêterai de pédaler. -
"Je suis sorti faire du vélo, j'ai vécu l'enfer"
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Bernard VAILLANT1639476554 dans Discussions Route
Ciao Davide, ce texte dans sa forme et dans son objectif de lectorat est le produit de notre époque, un écrit adapté aux temps d'internet, un fond vide dans une forme populiste. Comme il y a des reality shows ou télé-poubelle visant un public facile par des ficelles émotives autant faciles, il y a des écrits poubelles. Je compatis avec l'infortune de ce cycliste et lui souhaite le meilleur, ce qui n'enlève rien au fait que pour moi son texte surement sincère relève plus d'une chanson de Johnny que d'une Pensée de Pascal. Surement intéressant à lire à des adolescents sans culture littéraire mais guère plus. -
"Je suis sorti faire du vélo, j'ai vécu l'enfer"
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Bernard VAILLANT1639476554 dans Discussions Route
Ton tort est de trop parler (ou écrire) et de ne pas assez réfléchir (ou lire), passer moins de temps sur le forum et plus à lire Baudrillard ou Boorstin (entre autres) te permettrait je crois si tu t'en donnes la peine, de te raviser et d'éviter d'écrire de telles choses si dénuées de fondement et de vérité. -
"Je suis sorti faire du vélo, j'ai vécu l'enfer"
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Bernard VAILLANT1639476554 dans Discussions Route
Je pense que tu trouveras réponses à tes questions élémentaires dans l'étude plus que sur un forum, de vélo qui plus est. Puisque tu abordes le sujet si peu discouru de la mort, Jack London dans Martin Eden a écrit de mon humble avis les plus justes, belles, littéraires paroles la concernant et le passage y menant, tu les trouveras en fin de roman, elles le clôturent, et de quelle manière. -
"Je suis sorti faire du vélo, j'ai vécu l'enfer"
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Bernard VAILLANT1639476554 dans Discussions Route
Je pense la même chose, par définition et toute logique des choses un automobiliste renverse un cycliste car il ne l'a pas vu, s'il l'avait vu il ne l'aurait pas renversé comme dirait Lapalisse. Et il ne l'a pas vu, moins car le cycliste était peu visible que parce que l'automobiliste était dans l'incapacité de le voir, occupé comme tu dis à se servir de son smartphone ou l'attention détournée par quelque motif que ce soit. Se déguiser en guirlande de Noël, c'est l'époque, mais l'automobiliste les yeux sur son smartphone ou sur les cuisses de son accompagnatrice ne les aura pas davantage sur la route et les éventuels cyclistes qui peuvent y être présents. En résumé s'enguirlander de mille feux ne sert à rien pour la sécurité des cyclistes ça sert à satisfaire les attentes financières des nombreux vendeurs de peurs qui n'ont jamais plus qu'aujourd'hui trouvé de clients prêts à leur rendre ce service. -
"Je suis sorti faire du vélo, j'ai vécu l'enfer"
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Bernard VAILLANT1639476554 dans Discussions Route
Montaigne le dit déjà dans ses Essais lors de sa chute à cheval ou Ovide dans ses Métamorphoses, enfin l'idée et la réflexion ne sont pas nouvelles.