Olivier MILLIÈS-LACROIX

Au sujet de ce parcours, il y a quelque chose m’intrigue: - même temps en 2022, 2023 et 2024, même parcours mais puissances moyennes complètement différentes : 120 W de puissance moyenne en 2022, 109 W en 2023 et 137 W aujourd’hui. Même vélo, mêmes roues, même capteur de puissance (shimano DA). Cherchez l’erreur ? Plusieurs hypothèques qu’on peut fermer: le poids, je n’étais pas plus affûté en 2022 et 2023 que cette année, pour le vent ou le revêtement, pas de différences significatives… Pas de ratonnage dans les roues, à part sur quelques km de plat en 2022, qui n’est de tout façon pas l’année où la puissance est la plus basse. Il reste l’hypothèse (peut être) du calibrage du capteur, mais j’en doute; celui-ci ne m’a pas demandé de recalibrage aujourd’hui. D’autres idées ? Accessoirement, ces différences ne font que renforcer ma réserve quant aux comparaisons de puissance faites sur des coureurs différents à 25 ans d’intervalle, sur des puissances calculées et non mesurées comme dans ce cas…

Merci ! On était dernier départ du Châble, à 9h15. Les autres années c’était plus tôt, les jours étant plus longs qu’aujourdhui. Oui on est passé par Fey et Basse Nendaz, effectivement ça pique passé Fey. (Moi aussi j’ai 64 ans).

Sur mes vélos à patins j’ai des Bontrager Aeolus Xxx2 pour grimper (21 mm de largeur interne, hauteur de jante 28 mm, 1200 g) et sur le plat des Aeolus xxx4 (même roue mais hauteur de jantes 45mm). J’en suis très content, beaucoup plus que des Zipp 303 firecrest que j’ai sur mon vélo à disques (jantes hookless qui impose chez Pirelli un pneu de 30 mm minimum, avec le préventif le résultat est un boudin confortable, mais lourd, trop pour la montagne).

En fait sur la partie chronométrée de 74 km c’est le même D+. Soit un coefficient de 3,9 ! Une tuerie. (Les BRM peuvent n’avoir des coeff que de 1,3, il me semble. Une douce rigolade à côté du TdS, et le n’ose pas penser aux épreuves plus longues… Contador lui même avait bâché dans l’Ultrafondo en 2021).

Ma sortie du jour c’était le Tour des Stations, l’épreuve Mediofondo, faite avec mon épouse pour la 4ème année consécutive. Une nouveauté cette année avec une nouvelle date, à la fin août au lieu du début août, pour cause m’a t’on dit de conflit entre épreuves sportives valaisannes. (Pierre-Yves, tu as un avis ?). Le résultat est un plateau un peu plus réduit, et un peu moins international, les vacanciers étrangers étant à cette date pour la plupart retournés chez eux. Un beau temps malgré des risques d’orage, organisation au top comme toujours en Suisse, super ambiance. 3000 partants au départ toutes épreuves confondues. Environ 20% de féminines dans le Mediofondo. Vendredi échanges sympathiques avec Steve Morabito qui disputait le Granfondo (alias Marmotte du Valais) en compagnie de la continentale de la FdJ. Il ne fallait pas chercher à les suivre… De notre côté, ligne d’arrivée atteinte sans problème majeur avec à la minute près le même temps sur le vélo qu’en 2022 et 2023, (malgré des sensations bien différentes chaque fois). Compte tenu de mes à peine 2500 km depuis le 1er janvier et des 2 bons kilos en trop que j’ai du trimbaler, je suis plutôt satisfait, ce n’était pas gagné. Nous avons quand même fait une pause un peu plus longue que d’habitude à Nendaz car la chaleur et le temps lourd aujourd’hui ont rendu la montée depuis la vallée du Rhône jusque Nendaz encore plus pénible que d’habitude (17 km, j’ignore le D+ mais il doit être de l’ordre de 1300 m). Nous retournerons l’année prochaine en essayant d’être un peu mieux préparés. Je posterai des photos ultérieurement.. Bon vélo ! Ps1: j’oubliais : 85 km en comptant les zones neutralisées, et 2850 m de D+. Ps2: épreuve faite comme les années précédentes avec mon Émonda SLR à patins. Sans vouloir rouvrir une polémique, je suis quasiment sûr que si j’avais pris mon Spécialissima à disques, alourdi et bien raide du fait entre autres de ses disques, je n’aurais pas vu la ligne d’arrivée.

Roglic semble s’être refait une santé. Les choses ne se présentent pas très bien pour O’Connor s’il perd près de 40 s juste sur une étape de moyenne montagne, incapable de suivre la plupart des favoris.

Ce matin continuation de l’opération de remise à niveau du cycliste : 48 km sur et autour des routes de la forêt de Rambouillet, en essayant de mettre un peu d’intensité. 48,5 km, 475 m de D+, soit presque un rapport 1, ce qui est bien pour l’Ile de France où il est difficile de faire mieux sauf à refaire les mêmes montées plusieurs fois. Résultat des courses : des temps Strava qui restent encore éloignés de mes records, mais qui s’en rapprochent quand même par rapport ce que je pouvais faire ces derniers mois. Mais hélas, avec le temps le déclin des performances est inéluctable… Bon vélo.

Un coup de chaud pour Tiberi, ai-je lu…

Curieuse cette résurrection d’Adam Yates… Était il vraiment pas au top de sa forme au début de cette Vuelta ou simplement peu motivé pour devoir “larbiner” pour Almeida après avoir du le faire pour Pogi au TdF ? On ne le saura vraisemblablement jamais… Il est normalement moins sur courant alternatif que son frères jumeau. Au vu de cette étape, la première que je regarde, j’aurais tendance à penser comme Michel que Roglic qu’on présentait comme le patron n’est pas si fort que cela.

Bravo !

Pour la velomediane, n’y avait il pas des parcours plus courts que le “grand” de 175 km ?

Merci … Oui je sais que j’ai de la chance de pouvoir rouler en couple. Bien sûr je dois l’attendre un peu, surtout dans les descentes, mais ces sorties ou cyclos qu’on fait à deux sont de très bons moments.

De retour dans les Yvelines, sortie “foncière” en compagnie de mon épouse dans la vallée de Chevreuse, sur les routes souvent empruntées au départ de Paris-Nice, lors de la dernière étape du TdF où plus récemment sur l’épreuve en ligne des JO : cotes de Senlisse, de Garnes, de la Madeleine, 17 Tournants… Au total 107 km et 1100 m de D+. Rentrés juste avant l’averse.

A moi non plus. Et sa saison n’est pas fameuse jusqu’ici, avec un TDF dans un quasi anonymat.

Deux photos de la sortie d'hier au Cap Formentor, avec quelques rencontres sympathiques sur la route.

Aujourd’hui, toujours à Majorque, sortie en famille jusqu’au phare du cap Formentor. 68 km et 1000 m de D+. Un grand classique du cyclisme sur l’île. Je posterai des photos sous peu…

Peut être qu’il s’en fout de ne pas faire le TdF. Qu’aurait t’il à y gagner ? Cette année il n’y était pas et celui lui a t’il manqué tant que cela. Il faudrait le lui demander…

Oui ! La remontée fait 10 km à 7 et qq %. Sergio Henao avait le kom en 25 minutes, peut être l’a t’il toujours.

De passage à Majorque pour quelques jours je n’ai pas oublié que je devais cumuler du D+ en vue de la cyclo du Valais dans 2 semaines. Même début de parcours que la cyclo Mallorca 312, au départ d’Alcudia en direction de Pollensa. Après 21 km la grimpette dans la Sierra commence. Au km 42 virage à droite pour aller chercher le col du Réis et Sa Calobra, haut lieu du cyclisme majorquin, connu pour sa route en tire-bouchons. (Photo) Descente puis remontée puis retour par le même chemin . Au total, 106 km et 1950 m de D+. Je voulais faire 2000 m, il manque 50m. Température moyenne 27°, min 22°, max 33°, la très forte tempête et les fortes pluies de jeudi dernier et un ciel voilé ont rafraîchi l’atmosphère et rendu la sortie agréable. Bon vélo à toutes et tous !

Vacek, ou Vaček, Mathias de son prénom, champion de son pays, la République Tchèque.

Il y a pas mal de coureurs qui doublent TdF/Vuelta, et pas comme simples équipiers (e.g Almeida, G Martin…, je ne cite pas Roglic qui n’a pas terminé le TdF) alors qu’il n’y a que 4 semaines entre les 2 épreuves. Il y a peu de commentaires sur la difficulté de ce doublé contrairement au doublé Giro/Tour que beaucoup estiment « infaisable » avec un objectif de victoire ou de très bonne performance (sauf pour Pogi) alors qu’il y a une semaine de plus (5) entre ces 2 grands tours. A quoi est dû cette incongruité ? Parce qu’on est plus tard dans la saison ? Parce que la Vuelta serait le moins « difficile » des 3 ? Une autre raison ?

Le pays à forte densité de population, dans ce classement, ce sont les PaysBas, juste derrière l’Australie qui en est l’opposé selon ce critère. Ce classement ne relativise rien du tout, je suis d’accord avec Bernard, il n’a aucun sens, le nombre de médaillés ou de médailles étant pour la plupart des pays trop petit pour avoir la moindre signification statistique… Mais le post a quand même un intérêt, celui de montrer que pour ce qui est du comptage de médailles, le dénommé Luyat de France Télévisions a trouvé son maître.

C’est pour cela que je ne reconnaissais pas la route… C’est l’autre sens ! Par où sont elles passées ? J’avais l’impression que cette route vers le Saut du Doubs était un cul de sac… Je vais regarder la carte…

Dans ma (petite) connaissance du néerlandais, ij et y sont deux manières d’écrire le même mot ou nom, mais cela ne doit pas s’appliquer aux noms de personnes ? (On avait eu des échanges sur le forum sur le nom de Lille en flamand, Rysel vs Rijsel).

Oui, quel beau coureur que ce Thibau Nys ! (Je vois souvent son prénom orthographié ainsi, sans l ni t à la fin)