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Olivier MILLIÈS-LACROIX

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Tout ce qui a été posté par Olivier MILLIÈS-LACROIX

  1. Evenepoel un peu décevant. Il n’a même pas cherché à suivre Pogi. Et il a attendu la descente pour se débarrasser des 2 autres, qui descendent comme des pieds. En 2 mots, il n’a pas couru pour gagner… En Espagne, où je me trouve, on dirait courir comme un “secundeon”. Si lui ne cherche pas à lutter contre Pogi, qui le fera ? (Ceci dit, “Il Lombardia” n’est pas la classique qui lui convient le mieux, moins en tous cas que LBL).
  2. Je suis d’accord, les constructeurs semblent patauger un peu : chez Trek on a alourdi, aérodynamisé et rigidifié l’Émonda au point de le faire disparaître ! Et à côté, on à cherché à alléger le Madone pour en faire un Émonda. En marketing, cela s’appelle de la cannibalisation entre produits . On verra si c’est gagnant, car ici à Majorque sur le marché des loueurs et opérateurs de stages Trek vendait beaucoup d’Emonda et peu de Madone.
  3. Merci pour le tuyau ! (Sans jeu de mots). Je n'avais pas cherché de ce côté là car j'avais un stock de chambres à réduire.... Il y a une autre technique pour alléger ces vélos à disques "lourdingues" : revenir aux boyaux ! (La DA C36 pèse 1150 g !). Je connais 3 cyclos autour de moi qui l'ont fait...
  4. Oui mais toi tu es costaud et puissant ! Il y a de plus petites cylindrées…
  5. Merci ! Je vais recontacter Simon, j’avais développé une petite amitié avec lui en dehors du forum, j’avais assisté à sa soutenance de thèse. Mais imagine toi qu’en pédalant tu fais en permanence des petites accélérations, puisque ta force de pédalage n’est pas constante…
  6. On n’est pas en désaccord , mais il faut reconnaître que les variables dans mon cas ne sont pas complètement indépendantes. Le facteur tubeless/tubetype est lié à la largeur de roues qui elle même résulte des fad. C’est la combinaison de tous ces facteurs qui a résulté en un vélo lourd (et rigide, car indépendamment du cadre les roues à FAD sont plus rigides que leur équivalent à patin, c’était clair Bontrager lorsque le haut de gammes aeolus existait dans les 2 versions, jusqu’il n’y a pas si longtemps.) Mais en effet, c’est le choix des Zipp 303 qui avait alourdi le vélo, car il imposait du TLR et chez Pirelli du 30. Ce qui a son tour imposait plus de préventif que sur du 26 ou du 28. C’est cette cascade que je critique, plus que le Tubeless en soi.
  7. Les roues sont en rotation en sus d’être en translation. Toi tu n’es qu’en translation. Je ne crois pas que les 500 g aient pas le même « prix » en termes d’énergie à dépenser. (Les commentaires des experts sont les bienvenus, moi cela fait 44 ans que je n’ai plus traité de sujet de mécanique du solide et cela ne me manque pas).
  8. Le temps je m'en fous aussi, comme Michel. Mais des roues légères sont plus faciles à emmener, surtout pour des cyclistes faiblards. Mon épouse, peu portée sur le Matos, à la différence de nous, l'avait très bien ressenti lorsque je lui avais monté des Mavic R-Sys (et crois-moi, elle aussi, son temps dans les Cyclos, elle s'en fout, et ayant un super cardio de marathonienne elle en garde toujours beaucoup sous le pied).
  9. Je te fais mon retour dans 15 jours sur les C36 (DA ou Ultegra, ce sera à peu près pareil je pense). Déjà les Zipp avaient amélioré le comportement du vélo par rapport aux Velomann.
  10. L'info qui circule à droite et à gauche sur le poids des Firecrest n'est pas correcte. Il faut aller sur le site de SRAM, et ils donnent clairement 1415 g pour les 303 Firecrest 25mm.( Et j ai pesé une paire jumelle de la mienne chez le vélociste à 1425g). Mes Shimano font bien 1350 g. J'avais accepté les Firecrest justement parce que les C36 étaient alors en rupture, et on m'avait dit qu'elles étaient "aussi dans les 1350", or ce n'est pas vrai. Et en plus on avait oublié de me dire qu'avec les Pirelli P0 Race, à cause des jantes sans crochets il fallait 30 mm minimum (pression 5 bars max, et les 28 mm demandent 5.5 bars min). Je sais, sur ces histoires de pneus on pinaille, mais le jour où on se plante et qu'on fait de gros dégâts, il y aura peut être un assureur qui pinaillera aussi s'il découvre que les pneus ne sont pas listés comme compatibles avec les jantes.
  11. Si on veut détailler les 300g : - Pour les roues Zipp 1425 g pesées + 20 g de valves contre 1355 g pesés pour les Shimano cela fait 90 g. - Pneus : Pirelli P0 Race 30mm Tubeless poids constructeur 333 g, pesées 345 g contre Pirelli P0 Race 26 mm (la même gamme, donc), poids constructeur et pesé 205 g (version 2023, aujourd'hui ils les donnent pour 217g), chambre à air standard Bontrager 20-28 valve 60 mm : 99 g (pesé) . Cela fait 82 g de plus. - Préventif : ce n'est pas moi qui ai fait le montage, mais les Pirelli 30mm (on ne peut pas mettre plus petit sur les Firecrest, qui sont hookless) demandent 40 ml par pneu, et je sais que mon vélociste à la main lourde, comptons 90g pour les 2 pneus. On est déja à 90 +82 + 90 - 262 g. Le reste vient des fonds de jante TLR qui viennent avec lez Zipp. Peut être ne sont ils pas nécessaires, mais je crois bien qu'on me les mis. Je ne sais pas combien ils pèsent, ne les ayant jamais vus. Mais je sais que sur les Bontrager, j'avais pesé le fond de jante plastique Tubeless (qui s'enclenche très bien dans le canal interne des roues Aeolus) à de mémoire 20-25 g alors que le fond de jante Tubetype, simple ruban élastique avait un poids négligeable. On retrouve bien les 300 g que j'ai pesés.
  12. Il lui manquait 40 s en haut de la Bonette pour être avec le groupe de Pogi. Il ne faut pas aller les chercher plus loin que dans le kilo en trop qu'il a du se trimbaler tout le long de la Bonette (qui fait beaucoup plus que 10km). Mais ici on nous répète que le poids n'est pas important...
  13. Il n’y a pas que le chrono, René. Il y a aussi la « fluidité » que donnent des roues légères en montagne. À chrono égal, tu te fatigues moins.
  14. On est d’accord, mais son erreur a été de se mettre dans l’échappée, pas de suivre (dès lors qu’il y était) Pogi. Mais s’il s’est mis dans l’échappée c’est qu’après la chute d’Alaf c’est Bardet que Voeckler avait désigné leader, pas lui (ni Gaudu).
  15. Les français n’avaient pas les jambes. Bardet est en fin de carrière, Gaudu était trop court, Alaf out. Le seul qui avait des cannes, c’était lui Sivakov. S’il n’avait pas été devant, les français auraient dû rouler plus qu’ils ne l’ont fait et le 1er d’entre eux aurait probablement fini encore plus loin que 10ème.
  16. Moi même j’ai pensé dimanche dernier avant même qu’il rejoigne les échappés, qu’outre Tratnik il allait tomber sur des équipiers de marque qui allaient l’aider. Car il n’y avait pas que Sivakov, il y avait aussi Jay Vine (pas un mauvais rouleur!) et aussi Rui Oliveira, qui eux n’ont pas roulé un cm pour lui, ce qui met à mal la théorie du complot d’équipe de marque… Concernant Sivakov, je suis d’accord avec Bernard, ce n’est pas noir et blanc. Un coureur qui décide d’aller devant, s’il peut y rester, que ce soit avec Pogi ou un autre, le choix naturel c’est d’y rester. Sinon pourquoi y être allé ? Et s’il reste devant, il roule au moins un peu, ce qu’il a fait. Question d’image, d’orgueil, de tempérament, de nature… ( il y a des “Valverde “ et des “Van Aert” et Sikavov semble t’il n’est pas un “Valverde”). Et aussi peut être de bonnes relations à plus long terme. Et l’argument “qu’il n’avait aucune chance de gagner” me semble faible car à ce compte là à part les 7 arrivés à une minute c’est tout le peloton, et l’équipe de France en entier qui pouvait bâcher tout de suite. Ceci dit je ne dis pas que s’il avait toujours été chez Ineos comme il y a un an, il n’aurait pas couru différemment. Non, ou peut-être, ou probablement, ou certainement, on ne sait pas, lui seul le sait. Je sais que par principe tu es contre les championnats par équipes nationales. Si ce n’est évidemment pas un système parfait (il n’y en a pas) mon avis est plus mesuré. Dans le football, sport bankable et populaire s’il en est, les 2 systèmes clubs et équipes nationales cohabitent très bien même si les tensions interclubs peuvent aussi nuire à la cohésion d’une équipe nationale (le désastre du France Bulgarie de 1993 était en partie dû aux rivalités OM-PSG à l’intérieur de l’équipe de France). Mais ces mondiaux par équipes nationales servent aussi l’agenda politique de l’UCI qui est de faire de cyclisme un sport mondial. Et c’est un agenda auquel je souscris, l’époque que j’ai connu où le cyclisme pro était l’affaire de coureurs de 5 pays plus quelques individualités exotiques des pays voisins est révolue, et c’est plutôt une bonne chose.
  17. Et nien moi je suis de l’avis exactement opposé : les FAD alourdissent et surtout rigidifient le vélo, en plus de me poser des soucis “opérationnels” (risque de voilage des disques dans les transports, pas mal de temps passés au début à éliminer les frottements après avoir enlevé puis remis une roue, impossibilité de retourner le vélo, nécessité de purge annuelle, etc…). Le Tubeless j’ai fini par m’en débarrasser aussi bien sur mon Émonda (vélo ancien, sur lequel j’ai roulé 2ans en TL) que sur mon Bianchi (vélo moderne), sur ce dernier le changement Zipp 303 + Tubeless contre C36 Dura Ace Tube Type a allégé la paire de roues de 300g, ce n’est pas rien sur des roues, et pour ma dernière crevaison, pas plus tard que dimanche, due à un clou de 4cm le Tubeless eût été inutile, pire il m’aurait mis du préventif partout. Je suis d’accord que mon vélo moderne est plus rapide sur le plat et sur le valloné, mais comme je l’ai déjà écrit si lors de ma dernière cyclo de montagne j’avais pris mon “vélo moderne” (le specialissima) à la place de mon Émonda “ancien” je ne suis pas certain que j’aurais vu la ligne d’arrivée. Le Di2 pour moi n’est pas très utile mais pour des cyclistes moins expérimentés il sert à ne jamais avoir de frottements ni de croisement de chaîne. Donc des 3 innovations si je devais n’en garder qu’une ce serait celle là. Ceci dit tout cela est très subjectif et les sensations et appréciations d’un cycliste n’appartiennent qu’à lui seul et il n’est pas étonnant qu’elles puissent être radicalement différentes d’une personne à l’autre.
  18. En fait j’ai changé 2 fois les roues. Une première fois pour troquer les velomann palladium d’origine (pneus Pirelli P0 race 26 mm à chambre) par des Zipp 303 firecrest (pneus tubeless Pirelli 30mm, plus petit que 30 chez Pirelli ce n’est pas compatible avec la jante qui est sans crochets, “hookless”). J’avais récupéré ces roues du vélo de ma femme, ou je les avais remplacées par des Shimano Dura Ace C36. Avec les Zipp je pensais alléger le vélo, en réalité je l’ai alourdi ! (Pas dû aux jantes mais au Tubeless, les jantes exigent des pneus TLR de 30 minimum, avec le préventif, et plus le pneu est large plus il en faut, le résultat est lourd). Mais malgré le surpoids le comportement du vélo s’est amélioré et je butais moins dessus qu’au début. Est-ce du au changement de roues, à l’amélioration de ma forme ou à ma familiarisation avec le vélo ? Je pense les 3. Le 2ème changement c’est le remplacement des Zipp par également des Shimano DA C36 (avec les Pirelli 26 à chambre cela allège le vélo de 300g !), je les ai montées la semaine dernière, je ferai un retour d’ici 15 jours quand j’aurai un peu roulé avec. Globalement, sur les quelques centaines de km que je l’ai roulé mes sensations sur le Specialissima, sur lequel j’étais complètement planté au début, n’ont cessé de s’améliorer, et s’il est plus exigeant que mes Trek (un Émonda SLR et un Domane SLR gen 2 réglé mou, car l’amortissement du cadre est réglable), il va plus vite sur le plat, je me retrouve sur certaines portions à 40 km/h là ou c’est plutôt 38 avec les autres. J’espère qu’avec les Shimano C36 je pourrai le prendre pour les parcours et cyclos de montagne pour lesquels cet été je suis resté sur l’Emonda.
  19. Oui on est d’accord, nous cyclos perdre une ou même 2 minutes sur un col on s’en fout. Et là où on est d’accord aussi c’est qu’il y a trop d’importance donnée au matos avec des prix trop élevés. C’est pour cela que je garde précieusement mes Trek qui vont vers les 6 ou 7 ans d’âge. Si j’ai acheté le Bianchi c’est parce que c’est peut être mon dernier vélo et que j’ai toujours voulu avoir un Bianchi, une marque qui a une place à part dans l’histoire du cyclisme.
  20. Sur Guillaume Martin, j'ai mentionné les 40s que LUI avait perdu dans la Bonette, pas celles qu'un cyclo lambda perdrait dans un quelconque col, car de cela on est d'accord on s'en fout. Pour Martin, si tu as regardé l'étape, ces 40s lui ont coûté très cher en efforts dans la descente et ensuite dans Isola qu'il a commencé vidé. C'est pour cela qu'il a eu cette réaction sur le poids de son vélo, et je trouve qu'elle était juste et saine. Sur le Bianchi, quelque soit mon état de forme (j'ai pu fin août faire la cyclo du Valais dont des cyclos aguerris sur ce site disent qu'elle n'est pas pour tout le monde, donc ma forme à ce moment là ne devait pas être si mauvaise), le fait est qu'il est plus dur à emmener que mes Trek, l'Emonda comme le Domane. Cela ne veut pas dire que c'est un mauvais vélo, d'ailleurs j'ai finalement décidé de le garder, cela veut dire qu'il est plus exigeant. Il y a plusieurs raisons possibles à cela, évoquées par notre camarade forumeur québécois : la forme du triangle arrière, la fibre, la rigidité, les roues (que j'ai changées), et aussi le poids, qui découle de ce qui précède. Je pense qu'il est honnête de dire que les dernières évolutions des vélos proposées (tubes aéro, triangle arrière réduit, freins à disques, jantes plus large..) a conduit à des vélos quelque part plus performants mais aussi plus exigeants. D'ailleurs, je constate que face à l"aérodynamisation" du Tarmac Specialized maintient son vélo léger Athéos au catalogue, que Trek a considérablement travaillé sur l'allègement du Madone dernière génération, et que d'autres marques vont ressortir bientôt des vélos légers (selon les confidences d'un très bon vélociste de mon coin). Comme disait Colin Chapman, le fondateur de Lotus, "Light is right". Après, le gabarit, le régime alimentaire, le surpoids ou non du cycliste, c'est un autre sujet.
  21. c’est marrant que lorsqu’on parle de matériel vélo, le sujet dévie souvent sur la morphologie, le régime alimentaire, ou je ne sais quoi d’autre. Le matériel c’est un sujet, la forme du cycliste en est un autre, il faudrait éviter de systématiquement traiter de l’un quand la question porte sur l’autre. La question posée est claire :si vous avez plusieurs vélos de poids différents, ressentez (et on parle de ressenti, pas de chrono ou autre) vous une différence ? J’ai répondu oui car mon ressenti est mon ressenti , mon expérience est mon expérience, vécue à divers degrés de forme et d’entraînement , et je crois que cela n’appelle pas de commentaire de ta part. Moi je n’en fais pas sur ta personne, ni sur tes vélos, ni sur rien qui te soit personnel.
  22. La réponse est oui ! J’ai 3 vélos de route, un Émonda SLR de 6,7 kg prêt à rouler (avec portes-bidons et tout le tsoin tsoin), un Domane SLR a 7,3 kg prêt à rouler et un nouveau Specialissima à disque de 7,7 kg. Je confirme, la différence est vraiment sensible. J’ai terminé la sortie Velo101 de mai (114 km) avec le Bianchi plus fatigué qu’après les 174 km de la Mallorca 312 faite 10 jours plus tôt avec le Domane, malgré moins de km, moins de D+, et plus d’entraînement. Et quant à ma dernière cyclo, la Mediofondo du Tour des stations du Valais faite sur l’Emonda (85km et 2900m de D+), j’ai déjà écrit ici qu’avec le Specialissima je n’aurais probablement pas vu la ligne d’arrivée. Pas uniquement ni purement une question de poids, certes, question aussi de rigidité, elle-même dérivant en partie des roues à disques, mais dans les vélos d’aujourd’hui ces effets pénalisants de poids et rigidité sont en grande partie liés. (Le Bianchi a depuis subi une cure d’amaigrissement avec un changement de roues, il est à 7,38 kg maintenant, je ferai un retour de sensations le moment venu). Quant à Guillaume Martin, je lui suis reconnaissant d’avoir été le premier coureur pro à dénoncer l’aberration de devoir se coltiner 1 kg inutile tout le long des cols du dernier Tour. Les 40 secondes qui le séparaient des favoris en haut du col de la Bonnette ne sont pas à chercher plus loin que dans ce kilo inutile.
  23. Il n’a pratiquement jamais eu beaucoup plus que 50 s d’avance. Pendant 103 km ! Et les équipiers belges et NL ayant, hormis le valeureux Mollema, 38ans, disparu très vite, c’était de l’homme à homme avec les 2 autres favoris, i.e. Remco et MVDP. Mais ceux-ci n’ont jamais vraiment pris leurs responsabilités, roulant par à-coups, ou s’énervant inutilement, comme Remco. Même un coureur comme Skuijns, qui n’est jamais leader à la Trek, a pu prendre les devants pendant un long moment. Quant aux autres coureurs qui “avaient la jambe”, Mas, coureur de nature attentiste, n’a pas couru pour gagner, bien qu’ayant longtemps Adria avec lui, les USA (pourtant encore à 3 dans le 2eme groupe à 25 km) et les australiens non plus et Hirschi était trop seul. De plus, dans ce genre de scénario, le coureur devant se focalise sur son rythme, alors que derrière on perd de l’énergie dans les à-coups et dans les relances et aussi à se surveiller mutuellement ou à s’énerver.
  24. Oui, j’avais oublié de citer Mortensen, dont je me souviens. Mais entre lui et un Jorgen Marcussen qu’on voit apparaître sur le podium du Mondial 78 derrière Knetemann et Moser (rien que cela, en plus sur le Nurburgring que tu apprécies), je ne me souviens pas de coureur danois pesant sur une course. Quant à Olé Ritter, le me rappelle qu’il était recordman de l’heure avant Merckx, mais je ne l’ai jamais vu courir, hormis peut être sur piste (mais à cette époque-là, je n’étais en Europe que l’été et le reste de l'année je n’avais pas accès au cyclisme à la TV).
  25. Et quand on compare les époques, on oublie une chose : à l’époque de Merckx, en tous cas celle que je me rappelle (69-77), le cyclisme ne concernait réellement que 5 nations : la Belgique, les PB, la France, l’Espagne et l’Italie, plus quelques individualités comme Agostînho pour le Portugal, les frères Peterson en Suède et quelques autres. Aucun coureur allemand de 1er plan entre Altig et Thurau, curieusement pas de Suisse, pas de danois, pas d’américains, pas de latinos, pas d’australien visible avant Phil Anderson qui apparaît au début des 80s. Je me parle pas bien sûr des coureurs des Pays de l’Est.
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