Nicolas JOARY

Bien sûr que non ! En tout cas en ce qui me concerne. Un mot au sujet des chambres à air contenant un liquide destiné à colmater les crevaisons : c*ca. De mon expérience, ça ne colmate pas à coup sûr. Donc, si ça ne marche pas, il faut réparer. Le liquide suinte et gêne le collage de la rustine. Et une fois réparée, la chambre est plus encombrante et lourde qu'une chambre ordinaire, alors, la replier en réserve avec le kit de réparation, c'est une calamité. J'ai peu expérimenté avec ça (chambre de chez D4) et ça m'a suffi. Peut-être que d'autres ont eu de meilleurs résultats que moi.

Belle matinée ensoleillée à Nyons. Couvert l'après-midi avec une température qui a atteint les 16°C et un vent faible sans direction précise. Petit parcours vers les petits villages le plus souvent perchés au bout d'une route en cul-de-sac (mais à pied ou avec un VTT, on peut souvent enchaîner sur quelque sentier ou chemin caillouteux). 40 km et 440 D+. Le petit col d'Aubres et sa jolie cascade, à mi-pente ; puis demi-tour vers Curnier et autre demi-tour pour enchaîner avec les 4 km de grimpette (passages à 9-10% dans la seconde moitié) qui mènent à Montaulieu. Cascade d'Aubres Curnier Montaulieu

Indiscutablement.

J'aurais dû mettre la cote. C'est rectifié.

Pas de vélo aujourd'hui, même si j'ai étonnamment bien récupéré de mes 95 km et 1350 D+ d'hier. Balade avec Madame sur les hauteurs de Nyons, dans les oliviers et au soleil. L'occasion d'assister à l'étreinte amoureuse d'un olivier et d'un figuier. (Cote catholique : pour adultes - avec réserves)

La Drôme, j'y suis aussi, mais plus au sud, dans les Baronnies Provençales. Pas de vent ce matin, mais frais avec du brouillard. Balade depuis Nyons vers Curnier et Sainte-Jalle, pour emprunter le Col d'Ey et redescendre ensuite vers Buis-les-Baronnies. Avant Buis, j'ai bifurqué sur la D108 pour remonter en direction de Vercoiran, sur une belle petite route tracée dans la pente qui surplombe la vallée de l'Ouvèze, très encaissée de ce côté. J'ai rejoint la route du Col de Peyruergue via le Chemin des Moures (11%) pour en terminer l'ascension par l'itinéraire classique. Ensuite, direction Bellecombe-Tarendol pour passer le Col Soubeyrand (plus difficile, surtout le dernier kilomètre et demi avec un vent défavorable plutôt frais) et redescendre vers Remuzat, Sahune et Nyons via les Gorges de St-May. Bien qu'en faux plat descendant, les vingt dernières bornes n'ont pas été faciles : vent défavorable et fraîcheur dans les parties des gorges privées de soleil. 95km au total et 1350d+. Les cuisses ont bien chauffé vers la fin, mais quelle magnifique région !

J'espère bien ! 😄

Bien content d'avoir délaissé provisoirement le Pays Noir pour un séjour à Nyons. Il ne fait pas bon (frais, nuageux, averses), mais "pas bon" est toujours relatif. Vent très faible, généreuses éclaircies et l'envie d'être dehors. Demain, une belle journée est annoncée, fraîche mais ensoleillée. De quoi sortir le vélo et m'en aller gravir quelques petits cols. Youpi ! 🤩

Quand les cyclistes roulent en groupe sur des routes comme ça, ils finissent avec ce qu'on appelle chez nous "ène tièsse di Flamin" (une tête de Flamand). Allusion aux courses de début de saison en Flandre, où souvent quand les coureurs enlèvent leurs lunettes on dirait qu'ils en ont encore.

Y en a comme ça. Moi, c'est pareil. Je m'empiffre plus souvent qu'à mon tour et je reste avec un IMC inférieur à 20. On est des privilégiés.

Hahaha. Mais de mon côté, je ne peux pas envisager de faire deux cents bornes sans faire de halte dans une pâtisserie et à l'une ou l'autre terrasse pour boire un pot.

Pour moi c'est 10 heures.

Moi qui n'aime pas le plat, j'imagine... ☹️

Faut demander à Johan. Aux Pays-Bas, il y a même des parcours plats sous le niveau de la mer.

Je suis sorti ce matin, mais il fallait se motiver : vent en rafales, routes mouillées et crades en raison de nombreux chantiers qui n'avancent guère (et ça se comprend) et de la récolte des betteraves sucrières ; et une température à peu près de saison (10°C). Heureusement, il n'a pas plu, mais c'est resté suffisamment menaçant pour que j'évite de beaucoup m'éloigner. Avec 33 km vaillamment parcourus, on devine que l'écurie est restée à portée du cycliste frileux.

C'est peu d'informations. Quelle était ta pratique vélo avant ce VAE, et à présent que tu as le VAE ? Ce n'est pas nécessairement un problème de taille de vélo. Cela peut venir de la position ou de la façon de se tenir en selle, de la position des bras et des épaules, etc. Difficile de trouver la cause de la douleur sans informations plus précises.

Il existe au moins un endroit (j'ai déjà vu des images) où un carrefour à 4 voies a été aménagé avec 4 signaux "stop". Personne n'a donc la priorité et, en cas d'accident, je présume que les torts sont d'office partagés.

Les mauvais aménagements de carrefour sont légion, près de chez moi, transformant de fait le cycliste en usager de troisième zone. Voici deux images très parlantes, indiquant comment les ronds-points sont intelligemment aménagés pour aider les cyclistes : Le cycliste devient, par la grâce de cet aménagement, un usager de troisième zone. - Le piéton a priorité sur tout le monde (excepté les véhicules prioritaires avec sirène et feu lumineux). - L'automobiliste doit céder le passage aux piétons, pas aux cyclistes. - Les cyclistes passent en dernier, sauf s'ils mettent pied à terre et poussent leur vélo, devenant par ce fait piétons empruntant le passage protégé. À noter toutefois que de nombreux automobilistes mettent cycliste et piéton "dans le même sac" et ont tendance à céder le passage d'office. Mais on n'en est jamais sûr quand on est sur son vélo, les pieds sur les pédales... Par comparaison, voici, à Nyons, ce qui me semble un aménagement intelligent, même s'il n'est pas beaucoup plus sécurisant. Il a déjà le mérite de ne pas reléguer le cycliste au dernier rang des usagers : Avec cet aménagement, le cycliste possède sa bande de circulation dans le rond-point et est soumis aux mêmes règles de priorité que l'automobiliste. Par sécurité, lorsque j'y circule, je lève le bras gauche pour indiquer que je continue à tourner : de cette manière, on ne me coupe jamais la route (chose qui arrive très souvent chez moi en Belgique). L'autre point positif est l'aménagement des îlots en entrée et sortie de rond-point, qui empêchent ainsi l'automobiliste de "coincer" le cycliste contre la bordure. Me retrouver coincé de la sorte est aussi un danger très fréquent près de chez moi, en Belgique.

Si tu as un signal "céder le passage" et que tu n'as ni signal lumineux ni policier qui t'indique le contraire, il me semble que tu dois céder le passage. Si l'automobiliste n'a pas respecté un signal lumineux rouge, cela ne change rien, à mon avis, dans la mesure où tu ne bénéficiais pas d'un signal lumineux vert correspondant t'accordant la priorité. Je peux faire erreur, mais cela me semble la logique des choses.

J'imagine aussi l'état du cycliste 😅.

Je suis sorti à peu près sur une durée identique... mais à pied ! Bottines, polaire et coupe-vent, mais en short quand même, histoire de me convaincre de n'être pas encore complètement ramollo.

Moi, je roule plus vite sous la pluie. Il faut dire que je ne sors pas quand il pleut ; et que s'il commence à pleuvoir quand je suis déjà sorti, je me dépêche de rentrer.

Le vent, la pluie, le froid. Un des trois, c'est supportable. Deux, ça devient compliqué. Les trois, reste chez toi.

OK. C'est un peu plus précis. Je te déconseille fortement d'acheter par correspondance. Il vaut mieux te poser physiquement sur le vélo. Un vélo de route et un fx2, c'est quand même très différent question position de conduite. Tu fais évidemment ce que tu veux de ton budget, mais ton argument "... partir directement sur un produit de qualité pour ne pas d'ici 1 ans ou 2 devoir de nouveau changer de vélo..." ne tient pas la route. Ce n'est pas parce que tu vas y mettre plus d'argent (vélo neuf) que tu n'auras pas envie de changer dans un an ou deux. Comme je te l'ai dit, un premier vélo de route, aussi bon soit-il, sera rarement le bon. L'important, c'est qu'il soit à ta taille et fonctionne bien. Si tu mords au vélo de route, dans moins de deux ans tu en voudras un autre que celui que tu as acheté en premier. Et vraiment, si tu as très envie que ce soit tout de suite "le bon", n'achète pas par correspondance ou sur catalogue. Essaie d'abord le vélo en vrai.

C'est pour cela que je suis resté chez moi. J'étais déjà à Fleurus, pas besoin d'y aller.