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Romain BORGET

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Tout ce qui a été posté par Romain BORGET

  1. Peu de sommeil, 4 heures de flotte pour commencer, hypothermie, chute et montée du Koppenberg à pied : c'était pas la joie ce Tour des Flandres dis donc!😬 Bravo pour l'avoir fini. Encore une dont tu te souviendras longtemps.😉
  2. Petite sortie d'une centaine de km en 3h30 ce matin pour 940D+. ça me fait bizzare de faire une sortie aussi courte un week end après avoir fait trois grosses sorties de 217, 232 et 264 km les trois derniers week end. Un peu l'impression de n'avoir pas fait grand chose. Du coup, j'ai fait du qualitatif dans les bosses surtout avec des grosses accélérations sur la plaque et le coeur qui monte à 190. Ca faisait un bon mois que je ne m'étais pas permis de tels fractionnés. Un petit mal aux pattes quand même à la fin de la sortie.
  3. Etonnant de cette différence de pointure. Surtout que je croyais que cette marque chaussait petit. J'ai deux paires de chaussures Gaerne. Le première acheté 80 euros il y a 5 ans chez le vélociste avec mon premier vélo. J'ai du prendre du 46 alors que je fais du 44 en chaussure de ville et 45 en tennis/basket. Mais j'ai suivi les conseils du vélociste qui m'avait dit de prendre la taille au dessus, sans cela je serai trop sérré en 45. J'avais essayé les chaussures avec des chaussettes de tennis aussi. 3 ans plus tard, j'ai voulu me prendre une nouvelle paire, restant chez Gaerne mais montant en gamme pour une paire à 200 euros, j'ai tenté la taille 45 que je trouve plus confortable avec des socquettes fines l'été. Par contre difficile de les mettre l'hiver avec des chaussettes épaisses. Du coup, les premiers je les utilise automne./hiver, et les secondes au printemps/été. L'idéal pour moi serait du 45,5 que je pourrais utiliser toute l'année. Pour l'instant aucun souci. Usure normale. Content de mes chaussures donc. Même si elles ne sont en rien comparables avec le modèle haut de gamme que tu viens de commander évidemment.
  4. J'en ai essayé plusieurs et je n'ai eu aucun souci avec ceux là : Ekoi pour l'habillement, probikeshop (pneus, chaines outils),matériel vélo (roues), cybervélo (GPS, roues, pneus, matériel d'entretien), acycles (un home trainer), Bikester (une veste thermique), chainreaction (un vélo, des chaussures, de l'habillement), Wiggle (un vélo et des accessoires vélo), rue du vélo (chaussures vélo, bidons). J'en oublie peut être un. Je fais fonctionner la concurrence, je prends celui chez qui le produit que j'ai sélectionné est le moins cher. Pour l'instant, j'a toujours tout reçu, sans aucun souci de livraison, et en bon état.
  5. Premier mois de l'année où je dépasse les 1000km. D'habitude, il faut que j'attende le mois de mai pour cela. Mais avec trois sorties longuers de 230, 264 et 217 sur ce mois de mars, c'est tout de suite plus facile d'atteindre les 4 chiffres au compteur à la fin du mois.
  6. le mulet ne coute pas plusieurs milliers d'euros généralement. Il ne coûte pas très cher, est lourd, souvent en alu ou acier, et sort par tous les temps. Il est souvent maltraité. Il sort l'hiver par temps pourri, avec des routes boueuses, verglacé et salées. J'ai un mulet alu, équipé en ultegra parce que je l'ai acheté en solde en 2011 à 1000 euros au lieu de 1600 euros. Je lui ai juste rajouté une paire de ksyrium équipe parce que j'ai cassé la roue arrière EASTON premier prix fourni avec au bout d'un an. Ca me fait un vélo pour aller au boulot, faire des petites sorties sous la pluie, faire des sorties où on martyrise le vélo en roulant en force, mais surtout pour rouler l'hiver sans abîmer le carbone qui coûte trois fois plus cher et comme il ne fait pas les longues distances, il y a peu d'entretien, hormis le nettoyage, souvent trop rapide : Un seul changement de pneus après 5000km, un seul changement de chaîne. Je n'ai même pas encore changé la cassette (une 105), un seul démontage/graissage de pédalier par le vélociste. Coût de l'entretien en 4 ans : 70 euros. Le vélo ne doit avoir que 8000km au compteur en 4 ans. le carbone acheté 1 ans après en a déjà plus du double. Ca dépanne bien quand même un vélo dont n'a pas grand chose à faire. Je fais souvent plus l'idiot avec le mulet à l'entrainement qu'avec le carbone. La preuve : je suis tombé déjà trois fois avec le mulet ces 4 dernières années en roulant trop fort dans des virages et ronds points, ce que je ne fais jamais avec le carbone, ne faisant pas de course.😉
  7. Tout l'inverse pour moi. J'associe le vélo au départ au petit matin, comme quand je le faisais ado en Italie l'été pour éviter la grosse chaleur. On démarrait à 6h et j'adorais rouler les deux premières heures à la fraîche avec le soleil qui se lève. Le retour à 12h avec le dernier col à monter sous 35°C, inévitable pour retourner à la maison après 100km de montagne, c'est pénible! Obligé de m'arroser de la tête aux pieds pour garder un peu de frâicheur! Sinon, l'heure d'été, j'aime bien, ça permet de rouler sans les lumières avant ou après le boulot.😄
  8. Au début ce genre de déboires quand je les vivais, je me demandais aussi ce que je foutais sur le vélo, et plusieurs fois j'ai failli appeler un de mes frères ou parents pour venir me chercher, mais je ne l'ai jamais fait; puis une fois fini, j'étais comme toi fier de l'avoir terminé et des années après, ça fait de beaux souvenirs. Les belles sorties, je ne m'en rappelle pas ou si peu, alors que ces sorties pourries, elles restent bien ancrées dans ma mémoire. Bizarre, non? Là tu dis que tu ne n'as pris aucun plaisir, mais tu verras que plus tu feras des sorties "pourries" comme celle là, plus tu prendras du plaisir sur le moment, et pas seulement à la fin de l'épreuve en étant fier de l'avoir fini. Parfois, j'en viens même à les chercher, comme cet hiver avec de longues sorties par températures négatives (ce que je n'avais jamais fait avant) 😉
  9. C'est le week end des sorties longues sur vélo101. Bravo Aurélien pour ton premier 200. Isabelle c'est ton 312ème 200? Troisième sortie longue en trois week end avec la Boulogne - chateauneuf en thymerais - Boulogne. Départ à 7h, sous la flotte, je m'attendais à plusieurs défections mais les 8 inscrits du club sont bien au rendez vous. Après une bonne heure à se tremper en sortant des villes de la région parisienne, en faisant gaffe à ne pas glisser dans les ronds points sur cette chaussée humide, on peut enfin rouler une fois arrivé en vallée de chevreuse. Mais comme on essaie de rester groupé jusqu'au premier ravito, ça n'avance guère. Après celui là on emprunte les bois, ou la route est étroite et bien sale (que de crevaisons, mais on a eu de la chance, on est passé au travers), j'accélère le rythme dans cette route toboggan, tout le monde arrive à suivre. Mais une fois sorti de là, ce n'est plus le même topo, avec un TRES GROS VENT en pleine poire jusqu'au ravito de midi. Avec un collègue, on se porte en tête d'un groupe qu'on a rejoint, les autres du club n'arrivent pas ou ne veulent pas suivre le rythme, on se fait plaisir en luttant contre le vent, mais malheuresement, on n'est que 3 à prendre des relais, tandis que les autres de ce groupe, non content de tout faire pour s'abriter, désorganisent nos relais en s'intercalant. A ce moment là, le vent est si fort qu'on n'arrive pas à tenir le 30 de moyenne en se relayant. Après une trop longue pause d'une demi heure, on reprend la route et là le gros vent est enfin dans notre dos. Et ça fait du bien de voir le compteur afficher en permanence des vitesses au dessus de 40km/h pendant une bonne heure. Seuls les traversées de village et quelques rares feux rouges ou stop ralentissent notre forte progression. ( De mémoire, je ne crois pas avoir fait une heure de vélo aussi rapide)🆒 Après un retour dans les bois pour le troisième ravito (identique au premier), on a les jambes qui commencent à donner des signes de fatigue, on n'est plus que 4 et 2 affichent une nette baisse de forme. On lève un peu le pied pour les soutenir et surtout les protéger du vent qui n'est plus favorable et on finit tranquillement en profitant du soleil qui pointe enfin le bout de son nez. On a trop chaud, il faut s'arrêter enlever une couche de vêtement. Finalement, on ne retourne pas jusqu'à Boulogne tant le trafic de voitures est dense en ce samedi après midi, et on rentre directement chez nous : 217km en 8h12 de vélo (près de 9h en temps réel avec les pauses ravitos) Prochaine étape : un brevet de 300km mi avril.
  10. Vu ton budget élevé pour une paire de roues alu, en plus des mavic que tu as retenues, tu as le choix entre : - Fulcrum racing zero - Campagnolo Shamal - Shimano dura ace 9000-C24 Quelque soit le choix que tu fasses, tu es dans le haut de gamme de la roue alu et tu verras une GROSSE différence avec les DT SWISS R1650, surtout sur tes parcours vallonés.😉
  11. si tu les fais à 350 euros, je te les prends!😃
  12. Parce qu'elles ne rentrent pas dans son budget de 350 euros.😉 Il pourrait avoir les mavic ksyrium equipe dans son budget, mais pour les avoir ainsi que des campa zonda, je préfère largement les campa zonda, plus dynamique et plus rigide.
  13. si tu optes pour ces roues Shimano RS81, je les ais vu en promo chez ROSE BIKES. (70 euros de moins que sur les autres sites)😉
  14. J'en vois que beaucoup mettent des choses dures dans leur poche de maillot (pompe, recharge CO2, multi outil, téléphone portable). Je faisais cela aussi...avant que je ne fasse une grosse chute en descente de col et que je ne tombe sur le dos, avec la mini pompe à gaz dans le maillot (poche de droite). Je me suis retrouvé avec un énorme hématome (tellement énorme qu'ils m'ont fait passer deux échographie à plusieurs heures d'intervalle pour voir si je n'avais pas d'hémoragie interne et voir si le rein droit n'était pas touché), et heureusement que c'était la poche de droite, comme l'a dit le médecin urgentiste, parce que si la pompe avait été la poche centrale et le choc sur le bas de la colonne vertébrale, je m'en serai sans doute pas sorti aussi bien ( juste 1 mois sans pouvoir faire de vélo en l'occurence...) Bref, si je peux vous donner un conseil, ne mettez rien de dur dans les poches arrière. Maintenant je ne mets que les pates de fruits, kway, gants, bonnet, mouchoir et c'est tout.
  15. Le problème de ce genre de grosse sacoche : l'arrière des cuisses touche à chaque coup de pédale. Même pas besoin qu'elles soient aussi grosses d'ailleurs, je touchais déjà une sacoche de selle taille L à chaque coup de pédale. Insupportable, je l'ai viré et remis une plus petite. C'est pour cela que j'ai opté pour le système de Topeak ci dessus. Après si ça ne te gêne pas, tant mieux pour toi. Un petit conseil : recouvre le en cas de pluie (si tu n'as pas de garde boue) sinon tes affaires seront mouillés et ta sacoche de selle bien déguelasse (et c'est difficile à bien nettoyer)😉
  16. Sincèrement désolé pour toi Christian. J'espère que tu es bien assuré vu les beaux vélos que tu avais.🙁 J'ai eu la chance de surprendre un voleur dans ma cave l'an dernier ou je laisse mes deux vélos de course (un alu, un carbone) et un vieux VTT. Depuis ce jour, j'ai décidé d'attacher mes vélos de course avec deux antivols (dont un en U); seul le vieux VTT n'est pas attaché. Quitte à me faire voler un vélo, je préfère que ce soit un VTT à 300 euros que le carbone à 3000 euros. Sinon je suppose que tu as déposé plainte. Si oui, as tu fourni à la police les numéros de série de tes vélos?(si tu as pensé à les relever). Je te dis ça parce que j'ai lu qu'en 2014, près de 400.000 vélos ont été volés en france et près de 100.000 ont été retrouvés par la police, mais beaucoup n'ont pu être remis à leur propriétaire faute d'indication précise.
  17. j'avais prévu une sortie d'une heure ce midi avant de retourner au travail mais la pluie a commencé à tomber juste au moment de sortir le vélo. Si ça ne m'embête pas de me faire surprendre par la pluie lors d'une sortie longue, faire une sortie courte avec du spécifique sous la pluie me rebute. A la place, j'ai bouffé une pizza.😃
  18. http://www.probikeshop.fr/topeak-sacoche-dynapack-dx/91878.html
  19. Ah le grand Jean Louis et son fameux Trek qui a explosé en vol lors d'un Versailles-Chambord (la faute au dérailleur et non au cadre). L'histoire s'est bien terminé puisqu'il a eu un nouveau cadre TREK, mais il était bien dépité ce jour là (et il a de le chance de ne pas se faire mal aussi). Malheureusement, on ne roule que très peu avec lui, je ne le vois jamais le week end et ne le croise que sur des randos comme Levallois-Honfleur, Versailles-Chambord ou le rallye du club. Peu de chance que je vienne malheureusement sur ce 300 de Gif ou alors ce sera sur un coup de tête au dernier moment mais merci pour la proposition.😄
  20. Il s'agit du club de Sceaux (92). Perso, pour une question d'agenda, j'aurais préféré aller à Gif. Peu de chances que j'aille à celui de Noisiel (trop loin pour y aller et revenir en vélo) et celui du 18 avril ne me convient pas niveau date. il est possible que j'aille faire celui de Gif en solo si je ne peux pas faire celui de Noisiel, ni celui de Longjumeau.
  21. il y a des test sur certains sites : http://www.velo101.com/magazine/article/test-du-bianchi-oltre--3070 en anglais : http://road.cc/content/review/109775-bianchi-oltre-xr2-road-bike http://www.cyclingweekly.co.uk/reviews/road-bikes/bianchi-oltre-xr en italien ; http://www.bdc-mag.com/test-bianchi-oltre-xr-2-dura-ace/ Il ressort de ces test que c'est un vélo de course haut de gamme très rigide. Si tu fais de la competition, il est tout indiqué, mais faut avoir la forme pour enmener un tel vélo. Et ne t'attends pas à avoir un grand confort sur un tel vélo. Pas vraiment fait pour de la longue distance.
  22. Normalement non. Les deux dates retenues pour le 300 au club sont celui du samedi 11 avril à Noisiel ou celui du 18 avril à Longjumeau.
  23. sur ce site tu as de nombreux liens : https://www.procyclinglive.com/livestream/#
  24. Hier 264km en 10h de vélo pour un peu plus de 2000 de dénivelé (pas les chiffres exacts le GPS n'avait plus de batterie à la fin, va falloir que je prenne une batterie externe pour les longues sorties!). Le long résumé de cette sortie dans le post "votre 200"
  25. Deuxième longue sortie après le brevet de longjumeau la semaine dernière, j'ai fait celui de noisiel hier. La journée avait mal débuté : couché à minuit, levé à 2h30 à cause de bruits provenant de l'escalier, impossible de me rendormir, je décide de me lever à 4h pour prendre un bon petit dejeuner en regardant quel temps qu'il va faire sur météo france : bonne nouvelle, les températures sont annoncées à la hausse 7°c le matin, 12°c l'après midi avec du soleil! Je change mes plans et décide de partir avec le maillot long et le coupe vent réfléchissant plutôt que la veste thermique. Quelle erreur! Parti à 5h20 rejoindre mes deux compagnons de club et on décolle de Sceaux à 5h30 direction Noisiel. Les 32km de ville se passent bien à l'aller, peu de voitures, on arrive à Noisiel à 6h45. Le temps de prendre les cartons puis de se placer dans la queue des départs, il faut attendre notre tour pour le départ qui n'est pas libre : 20 personnes toutes les 7 minutes si j'ai bien compris. On prend froid durant cette attente, on est délivré à 7h15 et je tente de me réchauffer en attaquant la première côte presque à bloc. Mes deux compagnons de route, qui ont presque le double de mon âge, ont eux aussi envie de se réchauffer et me suivent dans mon délire, on se retrouve à 4 dans la brume matinale de seine et marne, qui mettra plusieurs heures à se lever, et une température beaucoup plus fraîche que prévue : 1°C! Merci méteo France... J'ai assez froid aux bras, aux mains, mais après les températures négatives de cet hiver, ce n'est pas cela qui va me gêner. Après une heure de route on rattrape un groupe d'une douzaine de cyclos parti 7 minutes avant nous. Comme cela ne roule pas trop fort, on décide de les doubler de suite mais ceux-ci s'accrochent à nos roues et on se retrouve avec un bon peloton. Avec ce vent de face, ça ne peut qu'être salutaire pensais je, mais malheureusement, personne ne veut prendre de relais : le petit jeu , c'est à qui se cachera le mieux; on reste donc à deux de front devant avec un collègue aussi grand que moi, et les autres restent sagement dans les roues. Après une bonne vingtaine de km ainsi, changement de direction, on a enfin le vent de dos, et comme par hasard, là ça commence à doubler et à se tirer la bourre dans tous les sens...Un peu fatigué de cette attitude, on décide d'une pause pipi commune afin de pouvoir rouler entre nous ensuite, mes deux collègues avaient bien compris que tout ce cirque m'énervait. Habitués à cela, ils essaient de me calmer et me dire que c'est une pratique courante, qu'ils leur arrivent d'avoir des gars qui attendent volontairement pour se placer dans une roue sur de longs BRM et que je devrais aussi apprendre à m'économiser en me laissant glisser dans le peloton afin de me mettre à l'abri. Après seulement 70km, cela me paraît juste inconcevable... Le vrai problème de ce matin, c'est qu'avec le froid, je n'arrive pas du tout à boire et pourtant j'ai tout le temps envie de pisser et je ne suis pas le seul! Je n'ai bu que deux bidons de 60cl en 170km et j'ai presque tout le temps eu envie de pisser!!! Bien la première fois que je bois si peu et que j'ai autant envie de pisser. Au ravito de midi, on se pose une bonne demi-heure le temps d'un sandwich pour les uns, d'une assiette de buffet froid pour les autres, on remplit les bidons, on retrouve un autre compagnon de club parti 15 minutes après nous et qui n'a pas réussi à nous rattraper. La moyenne est alors de 27km/h depuis le départ, avec le vent de face et la longue traversée des villes ce matin, et ces bitume assez mauvais, je suis assez satisfait. L'heure qui a suivi le repas est évidemment lente. La digestion est difficile, on n'a pas envie de lutter contre le vent, on laisse filer pendant une bonne heure avant de reprendre un rythme un peu plus élevé, en parlant des diagonales et flèches que mes trois compagnons de clubs aiment se faire, souvent en solo. Un vient de finir Menton - Hendaye la semaine dernière, alors qu'un autre va se lancer dans un Strasbourg-Perpignan en trois jours/trois nuits en solo. Je trouve que c'est la classe de pouvoir rouler aussi longtemps! Pas pour rien que ces deux là ont réussi à faire paris-pékin à vélo! La fin de ce BRM se passe mieux une fois la digestion effectuée. un groupe d'avions de chasse nous dépasse à 20km de l'arrivée. Dans ce groupe pas de sacoche de guidon, ni même de selle, de vrais de vélo de course et pas des vélos confort ou de randonneuse, bref, des coursiers en puissance. Deux des mes compagnons arrivent à prendre leurs roues, je les laisse filer pour voir qu'ils se sont tous trompés de route, hormis mes deux amis. On pense alors qu'ils ne faisaient pas le BRM et que c'était le club du coin à l'entraînement, mais il n'en est rien; ils arriveront en même temps que nous à l'arrivée en ayant sans doute bien rallongé le parcours final. Sur la fin, je me permets quelques accélérations à plus de 40 en fin de parcours avec le vent de dos. temps réel : 8h35 pour faire les 200km, mais seulement 7h25 de vélo, 1h10 de pause entre le repas de midi, le premier ravito et trois pauses pipi, ça fait un peu beaucoup je trouve, mais c'est aussi ça le plaisir des BRM : prendre son temps si on en a envie. Mais ce n'est pas fini, il faut rentrer à la maison : 32km de villes et là ce n'est pas du tout agréable : grosse circulation et grosse pollution, on met 1h45 pour faire les 32km!!! Insupportable! Au prochain BRM de Noisiel, soit je rentre en RER, soit je fais un gros détour de 30km pour éviter de traverses toutes ces grosses villes se succédant les autres! J'arrive à 17h30 chez moi. En temps réel 12 heures pour faire 264km. Le compteur n'affiche pourtant que 10 heures de vélo pour un peu plus de 2000 de dénivelé. Aujourd'hui, pas de grosses douleurs aux jambes qui restent néanmoins assez lourdes, surtout dans la montée des escaliers. Il s'agit là de ma deuxième plus grosse sortie jamais faite après les 270km lors de la monticyclo de juin 2013. Une distance qui devrait être vite battue si je continue les brevets randonneurs. Le fait de n'avoir dormi que deux heures la nuit précédente m'a rassuré sur les épreuves à venir, j'avais très peur de m'endormir sur le vélo en cas de manque de sommeil, mais ça n'a pas été le cas sur ce BRM. Je me suis en revanche couché à 20h, ai dormi jusqu'à minuit, diné à 1h du mat' et recouché ensuite jusqu'à 7h ce matin, avec un grosse sensation de fatigue jusqu'à midi. Ca m'a quand bien marqué cette longue sortie. La semaine prochaine, si des compagnons de clubs s'y rendent je ferai le 220km de Boulogne-billancourt. Avec un aller/retour à vélo, ça devrait me faire un 242km.
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