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Tout ce qui a été posté par Romain BORGET
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ben dis donc les AG2R, niveau tactique, ce n'est pas terrible quand même. Pas foutu de lâcher Landa (quelques fausses tentatives de Peraud, non relayées par Bardet ou Pozzovivo)et ils ne jouent même pas la gagne pour l'étape en laissant partir un homme seul alors qu'ils sont trois dans un petit groupe, et qu'ils auraient du cadenasser le final en roulant fort quitte à en sacrifier deux (Peraud, pozzovivo) pour faire gagner le troisième (Bardet).
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Encore un nouveau sujet sur une paire de roues, certes, mais il s'agit d'une nouveauté dont je n'ai trouvé après recherche rapide aucun test ou retour sur la toile. D'ailleurs, je ne les ais même pas trouvé sur le site de CBT ITALIA qui les distribue. Cette paire de roue alu affiche un poids incroyable, sur le papier tout du moins, de 1480gr pour le prix hallucinant de 275 € seulement (sur certains sites)!!! Quelqu'un a t'il ces roues ou les as t'il déjà testé? Je me serai bien pris de nouvelles roues pour la montagne cet été (après 3 ans ma campa zonda arrière commence à avoir un souci de rayon qui lâche) mais les finances ne sont pas au mieux cette année. Aussi suis je en quête de la bonne affaire. Trop beau pour être vrai?
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Quel pneu resistant et sportif pour "velotaf" ?
Romain BORGET a répondu à un(e) sujet de Phil PEIRIE dans Le matos
As tu essayé les Vittoria Rubino pro tech (en 25)? Tu les trouves à 20 euros sur la toile (30 euros en magasin). J'ai mis cela cet hiver et n'ai pas eu une seule crevaison pour l'instant. (bien qu'ayant roulé plusieurs fois dans du verre) En revanche, après plusieurs années de satisfaction avec les Vittoria Rubino pro III en 23, je constate que la qualité de ce pneu n'est plus aussi bonne qu'avant. Plusieurs crevaisons sur mon second vélo et une usure beaucoup plus rapide. Le prix de ce pneu a d'ailleurs chuté en 2015/2016. Ceci explique peut être cela? Dommage. -
Le Grand Colombier est il ouvert ??
Romain BORGET a répondu à un sujet dans L'entrainement et la santé
tu fais les 4 montées le même jour?😃 -
il semblerait que ce soit ouvert (mais attention à la méteo le jour ou tu vas le faire) http://www.felesducolombier.fr/index.php/accueil
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Debutant recherche club, groupe ds le 13
Romain BORGET a répondu à un(e) sujet de Maxence PAQUIER dans Discussions Route
Déjà tu es loin d'avoir un mauvais niveau compte tenu des chiffres que tu annonces, et si tu veux trouver un club, tu peux utiliser la fonction recherche sur le site de la FFC : http://www.ffc.fr/clubs/ 😉 -
tu m'as fait peur avec ton titre et tes points de suspensions j'ai cru qu'il avait passé l'arme à gauche...😬
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Affaire Gilbert - Vliegen
Romain BORGET a répondu à un(e) sujet de Eric HENNUY dans Discussions Route
triste à dire mais il ne faut pas se faire justice soi même et se contenter de le laisser filer, prendre le numéro de la plaque d'immatriculation et aller porter plainte chez les flics. Un cycliste meurt sur la route, c'est presque normal pour les forces de l'ordre. Mais quand un automobiliste fait le fou et manque de nous envoyer le décor, et qu'on vient porter plainte, les gendarmes et police n'en ont rien à faire....jusqu'à ce qu'il tue un cycliste.😢 -
Après une année 2015 très (trop?) chargée avec les BRM, avec plus de 15000km au compteur, je me fixe un objectif plus raisonnable en 2016 de 10.000km avec 100.000m de dénivelé. Je tiens l'objectif, venant de passer le premier tiers avec 3376km et 27717mD+. Un peu en retrait sur le dénivelé mais les 6 jours de Vars début juillet devraient me permettre de rattraper ce retard.
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C'est ce que j'ai ait. La première (la LEZYNE Macro drive) a tenu les 8 heures annoncées. Quand j'ai voulu mettre la seconde en route (KNOG Blinder) lorsque la première s'est arrêtée, elle n'a pas voulu s'allumer. J'ai donc du mettre la LEZYNE en charge dans la sacoche pendant une demi heure pour pouvoir finir la nuit avec une lumière arrière. La prochaine fois j'en prends une troisième que je mets à l'arrière du casque pour être tranquille.
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ce serait l'idéal, mais je viens de m'acheter un appartement et disons que pour 2016/2017, ce sera difficile d'investir dans le vélo, ayant quelques travaux et des frais d'enménagement qui vont épuiser ciomplètement les finances. Première fois que j'ai un souci de lampe en pleine nuit (arrière seulement). Je l'ai mise à charger pendant une demi heure dans la sacoche avec une batterie externe et ai pu ensuite la remettre pour finir la nuit. A l'avant, j'ai une lampe FEREI avec batterie externe qui permet de tenir facilement toute la nuit, en plus d'une lampe LEZYNE macro drive que j'installe sur le casque pour voir dans les tournants en descente surtout.
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Ce week-end, mon club (CTVS Sceaux) avait décidé de participer à la flèche Vélocio Audax. Le principe : http://www.audax-club-parisien.com/FR/351.html C'est quelque chose que les anciens ont l'habitude de faire régulièrement. C'était ma première participation à une sortie de 24h .Et on m'avait gâté pour cette première avec un programme chargé de 463km. Avec le retour jusqu'à l'hotel ensuite, j'allais flirter avec les 500km...cela me faisait un peu peur, bien qu'ayant réalisé un BRM600 en 2015 (mais en dormant 3 heures après 320km). Notre club était représenté par trois équipes de niveaux différents qui devaient faire 360, 420 et 463km. Les équipes doivent être constituées de 3 membres minimum et 5 membres maximun. La mienne en compte 4. Trois habitués des longues distances ayant tous réussi une fois Paris-Brest-Paris. Faire une telle distance aussi tôt dans la saison avec seulement un BRM 200 deux semaines avant, cela paraissait compliqué. Pour rappel, je n'ai commencé les longues distances (au delà de 250km) que l'an dernier pour me qualifier pour Paris-Brest-Paris (que je n'ai pu finir à cause d'une tendinite). Notre trajet devait débuter à Macon pour finir à Gigondas (près d'Avignon), lieu de la concentration. On avait de se retrouver le vendredi dans un hôtel à Macon. Arrivé le premier sur place en train, et après avoir rejoint l'hôtel en bus avec mon vélo dans la housse, j'espérais avoir le temps d'aller faire un tour de vélo le vendredi après midi, mais après avoir rejoint l'hôtel et remonté le vélo, mis tous les accessoires dessus, je me suis battu deux heures avec la fixation de la sacoche avant qui ne tenait pas, puis qui gênait la lampe avant, puis qui était fixée trop près de la fixation du GPS m'empêchant de le clipser....pour au final, exploser les têtes de vis qui tournaient dans le vide, m'empêchant de serrer correctement (ce qui aura une incidence la nuit venue), mes deux compagnons de club qui devaient arriver tôt ont eu une annulation de leur train et ont du prendre le suivant arrivant bien trop tard pour pouvoir aller rouler. Après un repas léger, on essaie de se coucher tôt, juste à la fin du match de foot, parce que le réveil est prévu à 6h30 et le départ à 8h. On tient les horaires et après une photo de groupe, on part direction Tournus pour notre premier pointage. Ces 36 premiers km vent de dos, sur du plat se font en à peine plus d'une heure, malgré la perte de la carte de notre capitaine de route s'envolant de sa sacoche avant. Le premier des nombreux arrêts imprévus du parcours. Malheureusement, ce vent du sud qui nous porte sur ces premiers km, on va ensuite l'avoir en pleine poire durant les 400km qui arrivent, avec des intensités différentes. Dommage la semaine dernière il y avait un très gros vent de nord à 90km/h, qui aurait grandement facilité notre périple. Alors que la météo annonçait un petit 5°C le matin, il fait déjà 10°C à 9h30! Equipé trop chaudement, on s'arrête pour se débarasser de nos jambières, surchaussures et une couche sur le haut du corps. Un peu de temps perdu nécessaire, mais on était en avance sur notre planning. On maintiendra cette belle avance malgré un petit vent de face jusqu'au repas de midi à Chalamont après 116km, grâce à notre capitaine de route et un de mes camardes qui imposent un bon rythme (29km/h de moyenne). J'avais alors peur que l'on ne se "crame". Je trouvais que ce repas arrivait un peu vite, mais mon camarade de club qui avait fait les trois parcours a réussi à faire en sorte que l'on arrive tous ensemble aux repas de midi et du soir pour une plus grande convivialité. Ce fut le cas, les trois équipes arrivant à 10 minutes seulement les uns des autres, ce malgré une crevaison dans la seconde équipe. Un repas vite expédié grâce à un service efficace et un menu imposé à l'avance (salades, lasagnes, fromage blanc, crème au chocolat) nous permet de reprendre la route avec une demi heure d'avance. Il est 13h30 et le soleil tape si fort que le GPS resté au soleil, indique 27°C!!! Je n'en reviens pas...et doit donc vite trouvé une pharmacie ouverte pour m'acheter de la crème solaire (celle de chalamont étant fermée à cette heure là), ma peau de rouquin ne supportant pas du tout le soleil. On reprend la route lorsque l'un de mes camarades se rend compte qu'il a oublié ses bidons au restaurant après les avoir rempli.Faut dire qu'avec notre barda dans les sacoches, il est facile d'oublier quelque chose si on ne fait pas attention. Demi tour pour aller les chercher, heureusement qu'on n'avait que deux kilomètres. Je trouve une pharmacie ouverte une à Lagnieu pour m'acheter de la crème solaire et du mytosil (ayant déjà les fesses irritées après autant d'heures de selle), une petite ville fort sympathique, et qui le serait encore plus s'il n'y avait pas une énorme centrale nucléaire quelques kilomètres plus loin. L'après midi sera magnifique, un temps splendide, de belles routes, de bonnes jambes, un petit vent de face ou de côté pas trop contraignant, une vue magnifique sur les Alpes enneigées au loin, si on excepte la traversée pénible de Bourgoin-Jallieu, il n'y a rien à redire sur ces 112km qui séparent Chalamont de Beaurepaire, lieu du dîner après 228km. Une magnifique après midi de vélo, dont je me rappelerais longtemps! Arrivé les premiers à 18h30, nous n'avons pas à attendre 10 minutes que les deux autres groupes arrivent simultanément. Le repas était prévu pour 19h, tout le monde a bien respecté les horaires. Une longue pause d'1h30 est prévue pour le dîner et s'habiller pour la nuit. Cette fois, le service un peu long et un incident technique (ma sacoche tombant sur ma lumière, m'obligeant à bouger la fixation en T sur laquelle repose ma lampe) nous fera reprendre la route qu'après un trop long temps de pause à mon goût. J'espérais ne pas avoir à m'arrêter plus d'une heure. On repart donc dans la nuit, chacun sur son circuit, lumières allumées. Un peu de circulation en début de soirée jusqu'au contrôle suivant à Andance au 255km, mais aucun chauffard. Quelques jeunes sortant le samedi soir avec la voiture des parents en profitent pour nous encourager lorsqu'ils nous dépassent; sympa. Durant la cinquantaine de km qui suivent, on ne fait que traverser des villages ayant un nom avec Rhône dedans (Arras sur Rhône, Tournon sur Rhône, Charmes sur Rhône, Voulte sur Rhône), je crois que vous avez saisi quel fleuve on longe alors. Et malheureusement, le vent s'est levé et nous balaie par bourrasques, ce qui complique notre avancée et oblige à bien tenir le vélo,les sacoches prenant fortement le vent latéral. Cela aura pour effet d'installer petit à petit une douleur grandissante dans la nuque et surtout les bras à force de tenir le cintre plus fortement. L'heure avance, la fatigue commence à s'installer, mais pas de douleurs aux membres inférieurs, ni aux jambes, ni aux genoux, et seules mes fesses sont quelques peu endolories. Tout va bien alors. Mais, malheureusement quelques heures plus tard, la nuit avançant, l'envie de dormir que je redoutais tant, arrive vers 2h du matin, juste au moment où l'on change d'heure. J'espérais pourtant que le grand café noir que j'ai ingurgité à la fin du repas, ainsi que la pastille énergisante à la caféine dans le bidon m'aideraient à tenir cette fois, sachant que je ne bois JAMAIS de café. Le dernier que j'avais bu date du mois d'août lors de Paris-Brest-Paris. A partir de ce moment là, je n'ai fait que lutter contre le sommeil. Un de mes camarades de club est à peu près dans le même état. On n'arrive plus à rouler fort et on est relégué à l'arrière tant on zigzague sur la route. Impossible de rouler groupé et de se protéger du vent. On laisse beaucoup de force à lutter contre le vent et le peu d'avance que l'on avait sur notre horaire prévu fond vite. On n'avance plus du tout. Le seul parmi nous qui a encore la forme monte les petites côtes à son rythme est obligé de nous attendre en haut de celles ci tant on se trâine. Il se met donc devant et on essaie de le suivre, mais même en s'abritant on n'arrive plus vraiment à suivre. Pire, deux de nos lumières s'arrêtant soudainement, on est obligé de laisser les deux qui roulaient bien à l'arrière du groupe tandis que je roule devant sans force. J'avais pourtant prévu une seconde lampe de secours, mais la batterie est complètement déchargée, ce que je ne comprends pas l'ayant rechargée la veille. Un arrêt obligatoire est prévu à Viviers pour remplir des bidons à une fontaine potable. On a croisé plein de fontaines dans les villes et villages, mais toutes avec l'inscription non potable! Heureusement qu'un camarade diagonaliste de la troisième équipe du club nous avait bien dit de ne pas la rater celle là, sans quoi on n'aurait pas eu d'eau pour finir la nuit. Cet arrêt nous permet de rencontrer une autre équipe qui effectue la velocio avec un objectif supérieur à 500km. Mais ils avaient une sacrée équipe dérrière eux, avec une voiture suiveuse avec une grosse remorque et donc sans sacoches sur le vélo, ce qui permet de rouler évidemment plus fort. Ils prenaient leur repas au moment ou on arrivait et nous ont gentillement proposé de la soupe. On reprend la route et par je ne sais quel miracle une heure plus tard, entre 4h et 6h du matin, je n'ai plus sommeil, j'arrive à prendre des relais bref, cela va pas trop mal. Si ce n'est que l'on s'est trompée de route par deux fois, la faute à un GPS récalcitrant, ce qui nous oblige à sortir la carte par deux fois pour vérifier comment retrouver notre itinéraire, ce qui nous fait perdre pas mal de temps. Finalement, un bon samaritain, nous voyant perdu après Saint Etienne des des sorts, nous indiquera notre chemin vers la ville de Sorgues. A ce moment là, la fatigue s'est abbatue sur moi, je n'ai presque plus de force et surtout l'envie de dormir est revenue avec une telle force que je manque de m'endormir à plusieurs reprises. Tant et si bien que j'en oublie de boire et de m'alimenter. Arrivé à Sorgues après 423km, épuisé et avec une bonne fringale, je ne me sens plus de continuer jusqu'à Gigondas. Je m'écroule sur une chaise d'un bar. Mes camarades me forcent à boire un café, mais je suis tellement cuit que je décide de les laisser partir pour rejoindre l'hôtel qui se trouve au nord d'avignon à seulement 5km de là. Mais, je suis alors tellement dans le coltard, que je me trompe d'itinéraire, et finirai par faire le tour des remparts d'Avignon avant d'arriver à l'hôtel alors que la grosse pluie attendue s'abbat soudainement. Je rejoins la chambre d'hôtel reservée pour qu'on puisse prendre une douche avant que l'on n'aille reprendre le train. Je manque de m'endormir sous la douche, et m'écroule sur le lit pour une petite sieste réparatrice d'une demi heure avant que mes trois camarades n'arrivent prendre leur douche. Compte tenu de la grosse pluie qui s'abat et un autre ayant flanché, ils ont fait demi tour après être avoir pointé à Monteux, pensant que cela suffirait pour valider notre vélocio. Malheureusement, l'organisation vient de nous la refuser pour 18km, puisque nous n'avons pas apporté les cartons jusqu'à Gigondas. Cela peut paraître idiot de s'arrêter si près du but, mais il faut imaginer que lorsque l'on est à bout, qu'une violente averse s'abat sur vous et qu'après être arrivé à Gigondas, il reste à revenir jusqu'à Avignon (32km), il paraît plus compréhensible d'abandonner si près du but. Surtout lorsque l'on a vu arriver les deux autres équipes, trempés de la tête aux pieds, n'ayant plus le temps de prendre une douche et récupérant seulement leurs housses de vélo et sac pour se rendre directement à la gare afin de prendre leur train vers midi. J'avais prévu bien plus large (15h) et ai donc pu me reposer un peu avant un retour en train toujours aussi chaotique lorsque l'on a un vélo dans une housse dans un train blindé de gamins et de personnes qui essayent de mettre leurs valises sur le vélo alors d'autres compartiments bagages sont vides dans le wagon d'à côté. j'ai eu beau leur expliquer, rien à faire. J'ai donc fini le voyage debout en tenant la housse de vélo droite dans le couloir afin qu'elle ne finisse pas par terre au milieu du couloir à côté des toilettes. Enervant. Bref,comme vous vous en doutez, on a eu la confirmation aujourd'hui que l' on n'a pas validé notre vélocio, au grand dam des anciens des deux autres équipes qui l'ont organisé, (un peu sachant que pour la moitié des équipes, leur parcours ne se finit même pas à Gigondas) mais on est tout de même satisfait de notre belle journée de vélo entre camarades de club. Le kilométrage était sans doute trop important pour une fin mars, avec seulement un seul plus de 200 dans les pattes. L'an dernier avant le BRM400 (464km avec l'aller/retour sceaux/Noisiel), j'avais fait quatres longues sorties de 210, 230, 260, et 340. Bref, on était bien mieux préparé à affronter cela. Dommage. Je leur avais bien dit pourtant que ce serait trop long, mais l'envie de battre mon record de 464km de l'an dernier (sans dormir) me faisait envie. Toutefois, cela m'a permis de comprendre que je ne ferai sans doute plus de nuit complète, sans au moins dormir ne serait ce qu'une demi heure. La troisième équipe composée d'anciens et d'une féminine qui s'essayait pour la première fois à une longue distance, qui n'avait "que" 360km a pris le temps de s'endormir une petite demi heure au milieu de la nuit et ont tous été unanimes pour dire que cela leur a fait le plus grand bien. Je ne sais pas si je ferai d'autres longues distances cette année (au delà de 300km). Je pensais faire une pause là dessus cette année. Mais malgré cette déconvenue, je crains vite de retomber dedans si l'occasion se présente (peut être une flèche Paris-Nantes mi juin) https://www.strava.com/activities/527826940 Au final ; 445km, D+ 2625, 18h roulé,
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Ce samedi/dimanche, j'ai participé à la vélocio. Une première pour moi. Parti de Macon- arrivé à Avignon : 445km, 2625D+, 18h roulé (24h en tout). https://www.strava.com/activities/527826940 Je vais faire un post pour raconter cela.
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Bonne semaine vélo avec 126km de vélotaf de lundi à vendredi (en 10 sorties donc) Samedi, de la bosse en essone, des soucis techniques pour mes camarades de club et un vent glacial : 106km, 4h19, D+1136m https://www.strava.com/activities/521057289 Dimanche sortie en groupe avec des belles accélérations par moment. Content de ma forme malgré la sortie fatiguante de la veille. : 103km, 3h51, D+868m https://www.strava.com/activities/521922307 Samedi prochain ce sera la Velocio entre Macon et Avignon. un bon 500km....j'espère qu'il fera beau!
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VAE dans les pelotons
Romain BORGET a répondu à un(e) sujet de Daniel CLERC dans Les évènements route
J'osais pas le dire mais j'ai des Michelin pro 4 service course ROUGE qui attendent les beaux jours pour être monté sur mon Wilier blanc et rouge. De toute façon je ne fais pas de course et arrive bien loin des premiers lors des cyclosportives.😃 -
si tu as les moyens, tu peux changer ta voiture pour un tesla qui conduit toute seule sur autoroute.😉 https://www.youtube.com/watch?v=9GbpzQHA_5g Dans quelques années, la plupart des constructeurs proposeront cette option d'ailleurs.
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Le "pic de fiabilité" des vélos ?
Romain BORGET a répondu à un(e) sujet de Rémy LORIOT dans Le matos
Si on y fait un peu attention, un vélo carbone moyenne gamme vieillit plutôt très bien. Je vois dans mon club (pratique cyclotourisme/cyclosportif donc moyenne d'âge asez élevée), beaucoup de vélos carbones affichent une bonne dizaine d'années au compteur et la plupart ont plus de 100.000km. Aucune casse de cadre à déplorer malgré des chutes et ce quelque soit la marque (Look, Time, Bianchi, Wilier, Kuota, Lapierre, definitive, cannondale, etc...) Je ne suis pas sur que les produits lights et donc super performants vieillissent aussi bien....mais ce n'est pas la même pratique, pas la même catégorie de vélo... ni le même prix. Mon carbone (Wilier Granturismo) a plus de 3 ans, 35000km, et il n'a pas bougé, malgré deux belles gamelles. Quelques éclats de peinture mais faut mettre le nez dessus pour les voir. Pire, les nouveaux modèles sont, je trouve, moins bien fini, et moins joli que le mien sorti en 2012! Il est équipé en SRAM Force, mais le cadre accepte même un passage en électrique. J'y pensais l'an dernier, mais vu la fiabilité du SRAM Force, finalement, je n'en vois vraiment pas l'utilité. Je pensais le changer à la fin de sa garantie de deux ans. Mais vu le prix à la revente, et comme il convient parfaitement à ma pratique des longues distances, je prefère encore le garder jusqu'à ce qu'il casse. Ce qui, au regarde des autres vélos carbones, ne risque d'arriver que si je me prends une grosse chute ou que je rentre dans une voiture! Et franchement, heureusement, parce que je ne pourrais pas mettre 3000 euros tous les ans pour un nouveau vélo! -
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J'étais dans ce groupe. En dixième position a peu près. Je te confirme que cette soudaine apparition a généré un coup de frein général du groupe qui a bien failli causé une chute collective. Quelques cyclistes se sont percutés mais tout le monde a réussi a rester en selle. Ouf! Heureusement que tu as gueulé bien fort, ça a sans doute permis a ceux qui avaient la tête dans le guidon de freiner de suite et de ne pas percuter ou tout du moins pas trop violemment, ceux devant eux (moi le premier).
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J'ai le même problème depuis le mois de mai dernier suite au BRM400 au cours duquel j'avais mis une grosse sacoche arrière qui, à force de se balader de gauche à droite a sans doute été la caus de la casse d'une tête de rayon, provoquant le voile de la roue. J'ai fait plus de 100km avec une roue complètement voilée pour finir ce BRM, touchant le frein bien qu'ouvert au maximum Depuis, elle a été dévoilée 3 fois et la tête de rayon cassée ne tient pas, s'étant défait du rayon par deux fois déjà. La roue va sur ces trois ans et plus de 30.000km. Je crains que cette roue arrière n'arrive en bout de course. La faute à ce surpoids causé par la sacoche arrière. La roue avant en revanche n'a pas bougé pour l'instant. Je pense que pour mes prochaines longues distances je me ferais faire une roue arrière sur mesure, bien solide avec 32 rayons ligaturés pour être sur que ça tienne le choc du surpoids de la sacoche arrière en plus de mes 80kg.
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ou quand tu te fais une semaine en montagne en roulant tous les jours. J'ai 34/28 pour la montagne. Premier jour, je ne mets même pas le 24, deuxième jour, le 24 est mis assez souvent, troisème jour je commence à mettre le 28, quatrième jour, je ne mets plus que les pignons 24 et 28, et à les deux derniers jours de la semaine je me demande pourquoi je n'ai pas mis un dérailleur chape longue avec une cassette de 32!😆
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Mes dernières sorties ces trois derniers jours : samedi : melange pluie neige le matin, j'attends l'après midi et tente une sortie entre deux averses. raté! Après avoir pris une bonne sauce qui me frigorifie, je rentre au plus vite avant de m'en reprendre une deuxième (qui vient juste au moment ou j'arrive chez moi Ouf!) 57km, D+605, 2h21 https://www.strava.com/activities/509362123 Dimanche : Je me lève trop tard pour participer à la Montrougienne avec le club. Je pars en solo, pensant trouver des connaissances sur le parcours, mais finalement je en retrouve personne, et roule donc en solo dans le vent, qui encore une fois qui souffle bien ce matin. Du soleil, mais petite température, j'aurai même un 0°C dans les bois en vallée de chevreuse. Content de cette sortie de plus de 100km et 1000D+ que je n'avais plus réalisé depuis un bon mois suite à uen douleur au genou. 102km, D+1125, 4h10 https://www.strava.com/activities/510010529 Lundi vélotaf : 10km l'après midi, 24 km le soir. La forme revient petit à petit.😄
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Le LOOK a une sacré gueule quand même! J'espérais qu'il gagne de nouveau cette année. Mon vélociste vend du TIME. Je n'ai malheureusement pas cette marque de vélo (hors budget pour moi), mais il roule avec et plusieurs amis roulent avec des TIME (aussi bien fluidity que Skylon ou Izon, selon leurs pratiques respectives), et franchement, je les trouve vraiment très classe. Ils en sont tous ravis. Je ne comprends pas trop cette polémique...😬
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Combien de kms ce mois ci ?
Romain BORGET a répondu à un(e) sujet de Serge MASSELOT dans L'entrainement et la santé
j'ai fait pire, 434km, la faute à une blessure au genou survenue en CAP lors d'un cross après le premier week end de février, qui m'a tenu éloignée du vélo jusqu'au dernier week end de février.🙁 -
Après trois semaines sans vélo, la faute à un genou douloureux, la reprise ce week end avec ce gros vent a été difficile : Samedi : 92km, 3h28, 825D+ https://www.strava.com/activities/504641140 Dimanche : 87km ,3h36, 792D+ https://www.strava.com/activities/504663183 Des crampes en fin de sorties (bien qu'yant bu deux bidons), une fringale le samedi (bien que m'étant alimenté), des jambes faiblardes le dimanche, la coupure (et surtout le gros vent) m'ont fait très mal ce week end.