Aller au contenu

Messages recommandés

Posté
il y a 31 minutes, Thierry GEUMEZ a dit :

J'ai expliqué que je prenais seulement le cadre. Je resterais en Campa (Chorus pour son rapport qualité/prix), précisément en raison de l'ergonomie des cocottes 105 méca.

 

Pour le cintre, tu parles du combo R8 ou du cintre R1 ? Le R8 correspond mieux a priori à mes cotes actuelles mais j'attendrai de mesurer le cadre dès sa réception avant de décider, les tableaux des géométries des constructeurs ne sont pas toujours exacts.

 

Tu me suggères les roues Mavic SLR32 (elles sont fiables ? j'ai l'habitude de garder mon matos pendant des années) alors que tu fais par ailleurs la louange des Fulcrum Speed 25. Les Bora WTO 35 sont également dans ma short list parce que je suis satisfait des roues Campa depuis très longtemps mais leur tarif est un peu plus élevé. Je passerais en pneus tubeless 28 mm (peut-être même 30 mm pour la roue arrière, les sections différenciées ne pénaliseraient pas l'aéro... et me rappelleraient mon passé de motard 🤣).

 

Le bleu pacifique est effectivement joli. Merci de me le rappeler.  Je l'avais retenu puis écarté bêtement parce qu'il fait "jeune" (est-on vraiment obligé de ressembler à un vieux parce qu'on est vieux ?). Ce serait un moyen facile et économique de perdre quelques années 😎.

Je n'avais pas compris que tu ne prendrais que le kit cadre. Dans ce cas, tu oublies mes commentaires sur les cocottes et tu prends le cintre qui te permet de retomber sur tes pieds au mieux.

D'un point de vue du montage, ce sera peut-être plus simple avec la potence qu'avec le combo...

Pour les SLT32, ce sont de bonnes roues, je te les ai recommandées car c'était celles qui étaient dans le configurateur Origine. Sinon, si le choix est libre --> les Speed 25 sans hésiter (d'autant plus qu'avec le moyeux Campa, il y en a sur Bike24 à un tarif très attrayant). Malgré une hauteur plus faible, elles sont plus efficaces sur le plat que les Mavic. Pourquoi ? je ne sais pas l'expliquer...

  • Merci 1
Posté
Il y a 4 heures, Michel DURY a dit :

D'accord, Pierre, mais tu parles de performances là, et je place le débat à un autre niveau, qui est plutôt celui du plaisir et du bien être. Thierry tout comme moi roule en général seul, il n'est pas inclus dans un groupe dont il faut "tenir" l'allure parfois en galérant, donc qu'il "gagne" 1 ou 2 kmh, quelle est l'importance?

 

C'est là où je me demande ce que l'on gagne avec un vélo aéro. Je ne nie pas l'effet placebo qui, comme tu le mentionnes justement, risque de très vite s'estomper, et en définitive au bout de quelques séances ne finit-on pas par nous retrouver dans les mêmes zones de performances que précédemment avec notre ancien vélo? Ou bascule-t-on définitivement dans une autre dimension qui transforme notre façon de rouler et augmente de fait nos performances sans nous en rendre compte et sans que ça ait un impact sur notre dépense énergétique? Je ne sais pas, je pose la question...

 

Bien entendu, je peux aussi comprendre qu'en club c'est différent. Je le vois bien dans le mien où ils ont tous des grosses cuisses et des aéros et bourrent dedans comme des co... comme des fous, au point que le plaisir semble totalement absent de leur pratique débile.

quelle intolérance  Michel  ! si cela leur fait plaisir de bourinner keske cela peu te foutre .....

  • Like 1
Posté
Il y a 4 heures, Nicolas JOARY a dit :

À noter aussi que, dans l'article, l'ingénieur donne l'importance relative des points d'aérodynamisme qu'on peut améliorer. Le premier serait la position, le second les roues. Le vélo lui-même (cadre) arriverait bien après le cintre, le casque et probablement aussi les vêtements.

merci enfin quelqu'un de logique .....

c'est l'aéro qui a permis en grande parti les gains de vitesses actuels et a condition de rouler très vite.....

j'avais déjà mis un lien d'un testeur qui disait bien que l'on gagnait autant avec un bon casque aéro a 200€ qu'avec une paires de roues aéro qui coute beaucoup beaucoup + cher ....... 

Posté (modifié)
il y a une heure, Nicolas JOARY a dit :

À mon avis, relativement bonnes. Je ne "tape dedans" que très rarement, ce qui ne veut pas dire que j'en suis incapable ; mais quand on roule seul, on a tendance à prendre les choses à son aise.

Avec le groupe, j'ai "tapé dedans" ; et la moyenne était, sur un parcours du genre de ceux que j'emprunte habituellement, 5 km/h plus rapide qu'à mon ordinaire.

C'est en descente, sur le plat et le faux plat que j'ai roulé beaucoup plus rapidement. Les côtes, je les connais bien, je ne les ai pas grimpées plus vite. Et même moins vite, pour les dernières, mais j'étais loin d'être le plus lent.

Et dans ces sorties groupe, tu utilises quelles roues?

Pour abonder dans l'intérêt de rouler régulièrement avec un groupe assez fort (pas trop quand même), ces sorties vont faire travailler la capacité à rouler plus vite, avec des braquets plus longs donc. Je remarque que les gars qui arrivent dans le GR1 en venant du 2, galèrent un peu pendant plusieurs sorties, mais sont beaucoup plus à l'aise ensuite. De plus une sortie à intensité par semaine ne va certainement pas "cramer" la machine bien au contraire. Deux ou trois par contre certainement.  ll faut s'habituer également à profiter de l'aspiration du groupe et donc du placement, un gars mal placé va dépenser plus d'énergie et au bout d'un certain kilométrage il n'aura plus grand chose dans les chaussettes.  Il faut aussi éviter de rester trop longtemps en queue de groupe, on prend plein pot ttes les relances et ce n'est pas top psychologiquement.  

Modifié par Marquez
  • Like 2
Posté
il y a 23 minutes, Sylvain KARLE a dit :

quelle intolérance  Michel  ! si cela leur fait plaisir de bourinner keske cela peu te foutre .....

Bin non justement, la majorité des mecs râlent et en ont marre, je les entends gromeller derrière mais ils n'osent rien dire pour ne pas passer pour des tafiottes, il n'y a que moi qui ai fait la remarque à haute et intelligible voix. Bien entendu je passe pour le fouteur de merde alors que le cahier de charge du groupe 2 est pourtant clair, et qu'on l'explose à tous les coups.

 

Si tu me dis que la moyenne doit être entre 25 et 27 mais qu'on est entre 27 et 29, ce n'est plus du tout la même chose. Et 29 par chez moi, je peux te dire que ce n'est pas un cadeau. Les meneurs pourraient aller au groupe 1 mais là c'est eux qui sont largués, donc ils viennent jouer à Monsieur Muscle au 2 et déstructurent tout. C'est comme si j'allais faire le kéké au groupe 3, tu vois, c'est facile.

 

J'ai déjà essayé 4 clubs ici, c'est partout pareil, la guerre à celui qui a la plus longue, une véritable assemblée d'andouilles. Mais ils évitent soigneusement les montées où ils sont largués par les crevettes, c'est drôle non?

  • Triste 1
Posté (modifié)
il y a 21 minutes, Michel DURY a dit :

Bin non justement, la majorité des mecs râlent et en ont marre, je les entends gromeller derrière mais ils n'osent rien dire pour ne pas passer pour des tafiottes, il n'y a que moi qui ai fait la remarque à haute et intelligible voix. Bien entendu je passe pour le fouteur de merde alors que le cahier de charge du groupe 2 est pourtant clair, et qu'on l'explose à tous les coups.

 

Si tu me dis que la moyenne doit être entre 25 et 27 mais qu'on est entre 27 et 29, ce n'est plus du tout la même chose. Et 29 par chez moi, je peux te dire que ce n'est pas un cadeau. Les meneurs pourraient aller au groupe 1 mais là c'est eux qui sont largués, donc ils viennent jouer à Monsieur Muscle au 2 et déstructurent tout. C'est comme si j'allais faire le kéké au groupe 3, tu vois, c'est facile.

 

J'ai déjà essayé 4 clubs ici, c'est partout pareil, la guerre à celui qui a la plus longue, une véritable assemblée d'andouilles. Mais ils évitent soigneusement les montées où ils sont largués par les crevettes, c'est drôle non?

"Mais ils évitent soigneusement les montées où ils sont largués par les crevettes, c'est drôle non?"

 

Non, ils sont juste intelligents. Il n'y a que des imbéciles comme moi qui se cognent 100.000 de D+ par an avec 85kg sur le porte-bagage ! 🤪

Je te dis pas comment il souffle (souffre) le type quand il faut faire une ascension avec des grimpeurs. Demandez à André MASSOL. Quand on a fait une ascension tous les deux, lui sifflotait et moi je faisais autant de bruit que la chaudière du Titanic ! (je me suis rattrapé dans la descente).

Modifié par Pierre PLANA
Posté
il y a 4 minutes, Pierre PLANA a dit :

"Mais ils évitent soigneusement les montées où ils sont largués par les crevettes, c'est drôle non?"

 

Non, ils sont juste intelligents. Il n'y a que des imbéciles comme moi qui se cognent 100.000 de D+ par an avec 85kg sur le porte-bagage ! 🤪

Je te dis pas comment il souffle (souffre) le type quand il faut faire une ascension avec des grimpeurs. Demandez à André MASSOL. Quand on a fait une ascension tous les deux, lui sifflotait et moi je faisais autant de bruit que la chaudière du Titanic ! (je me suis rattrapé dans la descente).

Pierre, je t'aime beaucoup, mais tu comprendras que je n'ai aucune pitié pour les grosses cuisses (-:

En plus s'ils ont un Orbea bleu, laisse tomber.

Posté
il y a 22 minutes, Pierre PLANA a dit :

"Mais ils évitent soigneusement les montées où ils sont largués par les crevettes, c'est drôle non?"

 

Non, ils sont juste intelligents. Il n'y a que des imbéciles comme moi qui se cognent 100.000 de D+ par an avec 85kg sur le porte-bagage ! 🤪

Je te dis pas comment il souffle (souffre) le type quand il faut faire une ascension avec des grimpeurs. Demandez à André MASSOL. Quand on a fait une ascension tous les deux, lui sifflotait et moi je faisais autant de bruit que la chaudière du Titanic ! (je me suis rattrapé dans la descente).

Bah, tu t'es consolé en roulant avec moi ! 😎

 

On rencontre toujours des plus forts et des plus faibles que soi... le plus important est de s'amuser.

Posté
il y a 21 minutes, Michel DURY a dit :

En plus s'ils ont un Orbea bleu, laisse tomber.

Contrairement à ce qu'on a toujours voulu me faire croire, le bleu va plus vite que le rouge. Mon prochain vélo sera bleu 😜

Posté

Les règles de base à appliquer en club pour que tous prennent du plaisir à rouler sont assez simples.

Former des groupes de niveau assez homogènes.

Ne jamais laisser un ou plusieurs membres en rade dans la nature

Respecter les niveaux moyens de chaque groupe.

Si un ou plusieurs trouvent que ces règles ne sont pas respectées ,  il faut le signaler immédiatement: vitesse trop élevée par rapport au groupe par exemple.   Bien sur si personne ne dit rien, rien ne change.

Quand un gars prend un relai trop appuyé, aucun souci on le laisse partir et on continue derrière à la vitesse voulue, tout seul devant,  il va vite comprendre. Les dirigeants ont un rôle primordial à jouer dans cet equilibre en rappelant régulièrement les bons principes.

Dans les gros clubs c'est bien sur plus facile de former des groupes homogènes. Sinon, les comportements persos désagréables sont souvent le fait de gars peu habitués à rouler en groupe et à l'importance de l'esprit d'équipe.

On peut aussi faire les remarques là dessus très aimablement et sans pousser une gueulante, ça passera bien bien mieux.  

Posté
il y a une heure, Marquez a dit :

Et dans ces sorties groupe, tu utilises quelles roues?

Pour abonder dans l'intérêt de rouler régulièrement avec un groupe assez fort (pas trop quand même), ces sorties vont faire travailler la capacité à rouler plus vite, avec des braquets plus longs donc. Je remarque que les gars qui arrivent dans le GR1 en venant du 2, galèrent un peu pendant plusieurs sorties, mais sont beaucoup plus à l'aise ensuite. De plus une sortie à intensité par semaine ne va certainement pas "cramer" la machine bien au contraire. Deux ou trois par contre certainement.  ll faut s'habituer également à profiter de l'aspiration du groupe et donc du placement, un gars mal placé va dépenser plus d'énergie et au bout d'un certain kilométrage il n'aura plus grand chose dans les chaussettes.  Il faut aussi éviter de rester trop longtemps en queue de groupe, on prend plein pot ttes les relances et ce n'est pas top psychologiquement.  

Je crois que le primordial c'est le placement... Je l'ai vu au bol d'or... dans les groupes qui roulaient vraiment vite j'avais du mal à suivre, j'étais tt le temps dans le vent. Mais bon, c'était des très gros groupes et ça fait plusieurs années que je n'avais pas vraiment roulé en peloton, donc j'avais à moitié les chocottes de rouler près... à LBL, Tour des Flandre, Paris-Roubaix, comme c'est horaire de départ libre, finalement, ça roulait par petits groupe de 5-10 cyclistes.

Posté
il y a 8 minutes, Marquez a dit :

Les règles de base à appliquer en club pour que tous prennent du plaisir à rouler sont assez simples.

 

Les bonnes intentions ne suffisent pas toujours et il est difficile d'éteindre complètement l'esprit de compétition somme toute assez naturel qui sommeille au fond de beaucoup d'entre nous. A moins d'être un pur contemplatif, ce qui ne pousse pas à rechercher l'inconfort d'un vélo de course.

 

Prenons Michel, par exemple. Il râle contre les grosses cuisses qui le font souffrir sur le plat mais il largue ses copains sans le moindre scrupule dans les côtes. Comme je suis beau joueur, je le laisse faire sans rien dire, mais bon... 😇

Posté
il y a une heure, Marquez a dit :

Et dans ces sorties groupe, tu utilises quelles roues?

Pour abonder dans l'intérêt de rouler régulièrement avec un groupe assez fort (pas trop quand même), ces sorties vont faire travailler la capacité à rouler plus vite, avec des braquets plus longs donc. Je remarque que les gars qui arrivent dans le GR1 en venant du 2, galèrent un peu pendant plusieurs sorties, mais sont beaucoup plus à l'aise ensuite. De plus une sortie à intensité par semaine ne va certainement pas "cramer" la machine bien au contraire. Deux ou trois par contre certainement.  ll faut s'habituer également à profiter de l'aspiration du groupe et donc du placement, un gars mal placé va dépenser plus d'énergie et au bout d'un certain kilométrage il n'aura plus grand chose dans les chaussettes.  Il faut aussi éviter de rester trop longtemps en queue de groupe, on prend plein pot ttes les relances et ce n'est pas top psychologiquement.  

J'ai toujours mes Zonda C17 à FAP.

J'ai vraiment peu d'expérience des sorties en groupe, mon problème a été, comme tu en parles, le placement.

Je me suis mis en queue de groupe, "pour ne pas gêner" ceux qui ont l'habitude et aussi parce que je n'étais pas sûr de pouvoir tenir le rythme. On m'avait dit 25-26 de moyenne (ici, il y a du d+), soit facilement 5 de plus que mes habitudes "père peinard" sur les mêmes parcours.

Évidemment, en queue de groupe (on etait une quinzaine), tu subis les à-coups avec un fichu temps de retard.

Je me suis laissé surprendre plusieurs fois, mais j'ai à chaque fois (sauf la dernière) bouché le trou sans problème. 

J'ai aussi attaqué les montées en queue de groupe. Là, ça change pour moi, je suis plus à l'aise ; mais, le temps de passer outre les plus lents, les plus véloces ont déjà pris le large.

Donc règle 1 : veiller au placement.

Règle 2 : réagir plus vite.

Cela dit, on ne fait pas la course, on se regroupe régulièrement ; mais c'est fatigant, au final, de faire des efforts pour boucher les trous.

Dans la "liaison" avant la dernière côte, j'étais distrait au mauvais moment, j'ai laissé un trou que je ne parvenais pas à combler. J'avais le groupe en point de mire, une dizaine de secondes à refaire sans doute, mais à 40-45 km/h tout seul, en fin de sortie, les crampes menaçaient.

Je me suis relevé et là, je me suis dit "ce groupe est trop rapide pour moi". J'ai attaqué les 3km de la côte de St-Maurice avec un retard probable de deux minutes sur le groupe. Fatigué, j'ai grimpé moins vite que de coutume, mais en gérant bien (c'est un de mes terrains d'entraînement) je suis revenu dans la montée et j'ai attendu les derniers (bien cramés eux aussi) tout en haut. 

Leçon apprise, donc. Restera à la mettre en pratique 😁, ce qui sera moins simple.

Posté
il y a 22 minutes, Thierry GEUMEZ a dit :

Les bonnes intentions ne suffisent pas toujours et il est difficile d'éteindre complètement l'esprit de compétition somme toute assez naturel qui sommeille au fond de beaucoup d'entre nous. A moins d'être un pur contemplatif, ce qui ne pousse pas à rechercher l'inconfort d'un vélo de course.

 

Prenons Michel, par exemple. Il râle contre les grosses cuisses qui le font souffrir sur le plat mais il largue ses copains sans le moindre scrupule dans les côtes. Comme je suis beau joueur, je le laisse faire sans rien dire, mais bon... 😇

Quand j'étais jeune et fort, je roulais dans un club près de Toulouse. J'avais un autre copain avec des caractéristiques proche des miennes. Les jours de bon vent d'autan (Sud-Est assez violent dans la région), on se mettait devant (il nous appelaient l'attelage de boeufs 🙂) et on abritait tout le monde sur des kilomètres.

Néanmoins à la première bosse raide, il y en avait toujours un ou deux qui sortaient en fin de bosse pour nous mettre une mine 🙂. A l'époque, je répondais, maintenant, quand ça m'arrive, je laisse filer.

Mais oui, l'esprit de compétition règne quand même (y compris chez les vieux cyclos), y compris chez Michel : dans le mur de Huy, il avait pris un peu d'avance au pied, il ne s'est jamais relevé 🙂. En représailles, on l'a racketté !!! 

  • Haha 1
Posté
il y a une heure, Nicolas JOARY a dit :

J'ai toujours mes Zonda C17 à FAP.

J'ai vraiment peu d'expérience des sorties en groupe, mon problème a été, comme tu en parles, le placement.

Je me suis mis en queue de groupe, "pour ne pas gêner" ceux qui ont l'habitude et aussi parce que je n'étais pas sûr de pouvoir tenir le rythme. On m'avait dit 25-26 de moyenne (ici, il y a du d+), soit facilement 5 de plus que mes habitudes "père peinard" sur les mêmes parcours.

Évidemment, en queue de groupe (on etait une quinzaine), tu subis les à-coups avec un fichu temps de retard.

Je me suis laissé surprendre plusieurs fois, mais j'ai à chaque fois (sauf la dernière) bouché le trou sans problème. 

J'ai aussi attaqué les montées en queue de groupe. Là, ça change pour moi, je suis plus à l'aise ; mais, le temps de passer outre les plus lents, les plus véloces ont déjà pris le large.

Donc règle 1 : veiller au placement.

Règle 2 : réagir plus vite.

Cela dit, on ne fait pas la course, on se regroupe régulièrement ; mais c'est fatigant, au final, de faire des efforts pour boucher les trous.

Dans la "liaison" avant la dernière côte, j'étais distrait au mauvais moment, j'ai laissé un trou que je ne parvenais pas à combler. J'avais le groupe en point de mire, une dizaine de secondes à refaire sans doute, mais à 40-45 km/h tout seul, en fin de sortie, les crampes menaçaient.

Je me suis relevé et là, je me suis dit "ce groupe est trop rapide pour moi". J'ai attaqué les 3km de la côte de St-Maurice avec un retard probable de deux minutes sur le groupe. Fatigué, j'ai grimpé moins vite que de coutume, mais en gérant bien (c'est un de mes terrains d'entraînement) je suis revenu dans la montée et j'ai attendu les derniers (bien cramés eux aussi) tout en haut. 

Leçon apprise, donc. Restera à la mettre en pratique 😁, ce qui sera moins simple.

Ah c'est génial cette lucidité, bien joué en utilisant les bosses pour revenir. Concernant 10 sec à boucher quand ça roule vite , c'est  très très consommateur d'énergie et pas toujours possible même si on a le niveau moyen du groupe.

Pour les roues les Zonda sont très bien, mais ne favorisent pas le déplacement à bonne vitesse. Dès 35 kmh des 38 ou 40mm pas lourdes (1,400grs la paire  max) solliciteront moins le pilote, ça c'est une certitude. De plus vu leur poids (inférieur aux Zonda) elles ne seront pas du tout pénalisantes en bosses.  Bon c'est un investissement mais il y a moyen de se débrouiller pour pas trop cher.

Mais continuer avec les Zonda ne présente quand même pas un handicap insurmontable. Le tout est de sentir une progression et peut être aussi de participer humblement aux relais du groupe de temps en temps pour s'y accoutumer 

  • Merci 1
Posté
il y a une heure, Nicolas JOARY a dit :

Un peu d'émulation, quand ça reste dans un bon esprit de camaraderie, je trouve que c'est sain. Et ça aide certainement à repousser un peu ses propres limites.

Certainement, et je ne suis pas le dernier à faire l'andouille de temps en temps comme le rappellent les copains, mais quand ça devient systématique et malsain de façon à casser les autres je ne suis plus d'accord. Or c'est ce que je constate dans le club, et c'est la raison pour laquelle je n'y vais plus, du moins très peu.

 

Je suis d'ailleurs un des seuls qui attends les retardataires et qui ramène les largués quand je ne le suis pas moi même. 

 

Pour revenir au sujet, heureusement que j'ai mes bonnes vieilles RZero qui permettent de rouler bien comme il faut sur nos routes défoncées, purée ce qu'elles encaissent... incroyable. Vos roues là à 2.000 euros, je n'oserais pas les monter dans ma région, mais vraiment. Ici il faut du costaud.

Posté
il y a une heure, Nicolas JOARY a dit :

J'ai toujours mes Zonda C17 à FAP.

J'ai vraiment peu d'expérience des sorties en groupe, mon problème a été, comme tu en parles, le placement.

Je me suis mis en queue de groupe, "pour ne pas gêner" ceux qui ont l'habitude et aussi parce que je n'étais pas sûr de pouvoir tenir le rythme. On m'avait dit 25-26 de moyenne (ici, il y a du d+), soit facilement 5 de plus que mes habitudes "père peinard" sur les mêmes parcours.

Évidemment, en queue de groupe (on etait une quinzaine), tu subis les à-coups avec un fichu temps de retard.

Je me suis laissé surprendre plusieurs fois, mais j'ai à chaque fois (sauf la dernière) bouché le trou sans problème. 

J'ai aussi attaqué les montées en queue de groupe. Là, ça change pour moi, je suis plus à l'aise ; mais, le temps de passer outre les plus lents, les plus véloces ont déjà pris le large.

Donc règle 1 : veiller au placement.

Règle 2 : réagir plus vite.

Cela dit, on ne fait pas la course, on se regroupe régulièrement ; mais c'est fatigant, au final, de faire des efforts pour boucher les trous.

Dans la "liaison" avant la dernière côte, j'étais distrait au mauvais moment, j'ai laissé un trou que je ne parvenais pas à combler. J'avais le groupe en point de mire, une dizaine de secondes à refaire sans doute, mais à 40-45 km/h tout seul, en fin de sortie, les crampes menaçaient.

Je me suis relevé et là, je me suis dit "ce groupe est trop rapide pour moi". J'ai attaqué les 3km de la côte de St-Maurice avec un retard probable de deux minutes sur le groupe. Fatigué, j'ai grimpé moins vite que de coutume, mais en gérant bien (c'est un de mes terrains d'entraînement) je suis revenu dans la montée et j'ai attendu les derniers (bien cramés eux aussi) tout en haut. 

Leçon apprise, donc. Restera à la mettre en pratique 😁, ce qui sera moins simple.

Nicolas, si tu étais à 40-45km/h tout seul en fin de sortie, tu n'as pas à rougir de ton niveau. Tu vas t'habituer au groupe et ça va le faire.

C'est quand même plus sympa et plus rassurant de rouler en groupe que tout seul quand on a trouvé le bon groupe.

Posté
il y a 2 minutes, Michel DURY a dit :

Certainement, et je ne suis pas le dernier à faire l'andouille de temps en temps comme le rappellent les copains, mais quand ça devient systématique et malsain de façon à casser les autres je ne suis plus d'accord. Or c'est ce que je constate dans le club, et c'est la raison pour laquelle je n'y vais plus, du moins très peu.

 

Je suis d'ailleurs un des seuls qui attends les retardataires et qui ramène les largués quand je ne le suis pas moi même. 

 

Pour revenir au sujet, heureusement que j'ai mes bonnes vieilles RZero qui permettent de rouler bien comme il faut sur nos routes défoncées, purée ce qu'elles encaissent... incroyable. Vos roues là à 2.000 euros, je n'oserais pas les monter dans ma région, mais vraiment. Ici il faut du costaud.

Ha,ha, paradoxalement, hormis sur freinage, je n'ai jamais cassé une jante en carbone. Alors que j'ai bien endommagé une Zonda, dérouillé des Mavic en Alu, et défoncé les bords des jantes Syncros sur Paris-Roubaix. Bon les jantes alu (surtout à disques), ça ne pose pas de problème de le redresser délicatement avec une pince plate.

De plus, avec les gros pneus (28mm et plus) en tubeless tu as quand même un bon tampon entre la jante et la route.

Posté
il y a 4 minutes, Pierre PLANA a dit :

Ha,ha, paradoxalement, hormis sur freinage, je n'ai jamais cassé une jante en carbone. Alors que j'ai bien endommagé une Zonda, dérouillé des Mavic en Alu, et défoncé les bords des jantes Syncros sur Paris-Roubaix. Bon les jantes alu (surtout à disques), ça ne pose pas de problème de le redresser délicatement avec une pince plate.

De plus, avec les gros pneus (28mm et plus) en tubeless tu as quand même un bon tampon entre la jante et la route.

Des 28 je ne peux pas, déjà les 25 passent limite, il me reste deux mm de chaque coté, le vélo était conçu à l'époque pour des 23, il date de 2010.





×
×
  • Créer...