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Le critérium du Dauphiné : le parcours


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Il y a 14 heures, Franck PASTOR a dit :

Et pour en revenir au Dauphiné, l'étape d'aujourd'hui a montré qu'Evenepoel n'avait effectivement pas course gagnée… Roglic a pris le pouvoir au Collet d'Allevard. Evenepoel s'est-il ressenti de sa chute d'hier ?

 

Et comme je le redoutais (voir mon descriptif de la 6e étape en première page de ce fil), on a eu droit à une belle cabriole dans la descente du Granier par Chapareillan. Je l'avais dit plus haut, cette descente est particulièrement piégeuse (ce que Saugrain, encore lui, ne semble pas savoir — mais c'est vrai que lui n'est pas originaire du coin et ne le connait probablement pas bien), et cela vient de sa rapidité extrême combinée à des virages aveugles et/ou irréguliers.

 

https://www.rtbf.be/article/criterium-du-dauphine-deconcentres-guernalec-et-hollyman-font-un-salto-dans-la-descente-du-col-du-granier-11385546

 

Je me rappelle que lors du Tour 1998, deux coureurs (Teteriuk et Verbrugghe) avaient fait une belle cabriole dans la même descente, et les deux au même endroit, l'un après l'autre. Si ça se trouve, Guernalec et Hollyman sont tombés aussi à ce même endroit !

 

Tu as une dent contre Saugrain ?

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il y a 25 minutes, Jacques VANDEWIELE a dit :

Tu as une dent contre Saugrain 

 

Non. Mais je ne me prive pas de le contredire quand je pense qu’il dit une bêtise dont il semble très convaincu. Il n’en est pas à sa première attaque gratuite sur les freins à disque, à la longue ça agace. En attente de la prochaine…. Dans le cas du Granier, il trouvait la descente techniquement facile, ce que tout cycliste qui l’a descendu vers Chapareillan doit avoir eu du mal à entendre. :-)) En particulier les quatre coureurs que j’ai cités qui y ont effectué de splendides cabrioles à 26 ans d’intervalles.

Modifié par Franck PASTOR
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Il y a 3 heures, Sylvain KARLE a dit :

On parle d'eau pas de glace et sur une route humide pas inondé comme c'était le cas. ..

Il y a des pneus qui adhèrent mieux que d'autres sur du mouillé, quand on regarde des courses de F1 ou moto c'est assez évident je ne vois pas pourquoi en vélo c'est différent.....

Une section + grande et un pneu sculpté avec une gomme scepcifique serait mieux sur du mouillé et même sur le sec , on privilégie trop le rendement au détriment de la sécurité.

Oui, il y a des pneus pluie qui adhèrent mieux par temps de pluie, mais quand même les mécanos se cassent la figure en sortant des bagnoles, difficile d’imaginer un pneu vélo qui tienne dans ces circonstances.

Modifié par Franck PASTOR
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il y a 5 minutes, veracruz a dit :

Perso ça ne m agace pas quand on a le courage de dire  des vérités , mais ça agace peut être ceux qui sont à  juste titre certainement satisfaits de leur matos, avec un tant soit peu de clairvoyance on devrait réaliser que ces options techniques ont un effet redoutable sur la sécu des coureurs en peloton. Et pas que, voire les graves coupures de Sanne Cant dans PR 2023 et pratiquement rien dans les médias bien sûr il ne faut surtout pas embêter les riches sponsors......


Et la critique de Sanne Cant était parfaitement justifiée : qu’il existe encore des disques tranchants est un scandale. 

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il y a 16 minutes, veracruz a dit :

Déclaration typique du cycliste qui n' a jamais participé à une course en peloton, où on est a 10/20cms les uns des autres et où il faut se battre pour garder sa place, avec en plus un DS qui hurle des instructions dans la radio. Quand ça freine fort devant qui est capable de "freiner en douceur". Faut quand même éviter les comparaisons inadéquates

J’ai déjà roulé en peloton… qu’est ce qu’un type de freinage différent, à fortiori moins puissant, va changer à l’équation chute en peloton = merde intégrale ? Et si quelqu’un freine fort devant , c’est qu’il en avait besoin, sinon il se ramasse quand même… S’il y a un type de freins avec lequel on peut aisément doser son freinage , c’est l’hydraulique.

 

Bon, j’arrête là : j’ai déjà dit tout ça, donc ça tourne en rond et c’est hors- sujet en plus.

Modifié par Franck PASTOR
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Il y a 3 heures, Franck PASTOR a dit :

J’ai déjà roulé en peloton… qu’est ce qu’un type de freinage différent, à fortiori moins puissant, va changer à l’équation chute en peloton = merde intégrale ? Et si quelqu’un freine fort devant , c’est qu’il en avait besoin, sinon il se ramasse quand même… S’il y a un type de freins avec lequel on peut aisément doser son freinage , c’est l’hydraulique.

 

Bon, j’arrête là : j’ai déjà dit tout ça, donc ça tourne en rond et c’est hors- sujet en plus.

Hier, Rodrigo Beenkens et Cyril Saugrain ont donné une explication supplémentaire, qu'un spécialiste des revêtements routiers (dont c'est le métier) leur avait transmise. Dans le cas présent, et d'après ce spécialiste, le revêtement avait été refait et revêtu ensuite de fins gravillons, comme ça se fait généralement. Or, il avait fait très chaud les jours précédents. Dans ce cas, le goudron fond et remonte en surface (au-dessus des gravillons). Avec la pluie, on a alors une surface huileuse, très dangereuse. On voyait bien que la partie gauche de la chaussée était plus brillante que la partie droite (où moins de coureurs ont chuté).

Modifié par Michel ROTH
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Il y a 4 heures, Sylvain KARLE a dit :

Remco n'est pas non plus a 10mn il a bien limité les dégâts et sa chute la veille l'a peu être diminué .....

 

Oui, il a bien limité les dégâts, mais c'est sur une seule montée. Aujourd'hui l'étape est nettement plus corsée. Avec la Ramaz et Samoens 1600 en final. Une région que je connais bien à cause de plusieurs séjours de vacances à Samoens. 

 

Mon circuit préféré était alors : départ : Samoens. Puis:  Col de Joux Plane - Morzine - Les Gets - Col de la Ramaz - Mieussy- Taninges - Samoens - Sixt Fer à Cheval - Montée vers la cascade du Rouget, puis retour à Samoens (en sens inverse par Sixt-Fer à Cheval). Dans ce Dauphiné, le col de la Ramaz sera fait dans le sens inverse que celui que je faisais.

 

Samoens 1600 (c'est une station de ski), je ne l'ai jamais fait à vélo, mais bien en voiture. Le col de Joux Plane me semble plus raide (mais en voiture, le ressenti peut être trompeur).

Modifié par Michel ROTH
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il y a une heure, Michel ROTH a dit :

Hier, Rodrigo Beenkens et Cyril Saugrain ont donné une explication supplémentaire, qu'un spécialiste des revêtements routiers (dont c'est le métier) leur avait transmis. Dans le cas présent, et d'après ce spécialiste, le revêtement avait été refait et revêtu ensuite de fins gravillons, comme ça se fait généralement. Or, il avait fait très chaud les jours précédents. Dans ce cas, le goudron fond et remonte en surface (au-dessus des gravillons). Avec la pluie, on a alors une surface huileuse, très dangereuse. On voyait bien que la partie gauche de la chaussée était plus brillante que la partie droite (où moins de coureurs ont chuté).

Quels assassins ces goudronneurs! il semblait bien d'après la vidéo que le freinage n'était pas en cause. Autrefois, par ex du temps de Merckx, n'as tu pas l'impression que les pelotons étaient moins compacts dans les descentes?

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il y a 25 minutes, Pierre-Yves DESSIMOZ a dit :

Quels assassins ces goudronneurs! il semblait bien d'après la vidéo que le freinage n'était pas en cause. Autrefois, par ex du temps de Merckx, n'as tu pas l'impression que les pelotons étaient moins compacts dans les descentes?

Du temps de Merckx ? Il me semble que les équipes se battaient moins pour être devant dans une descente, pour être ensuite bien placées au pied de la montée qui suit. Il me semble qu'il y avait tout de même beaucoup moins de grosses chutes collectives. On retient surtout la chute d'Ocana au tour 1971, qui était dans une descente de col et provoquée d'abord par une chute de Zoetemelk. Merckx était tombé également, mais avait pu repartir. Si je me souviens bien, Ocana avait heurté Zoetememelk encore au sol et n'avait pas pu repartir. Mais cette chute ne concernait que les premiers qui effectuaient la descente sous un orage, pas un gros peloton, celui-ci étant plutôt assez dispersé.

 

Merckx était aussi très un bon comme descendeur, comme l'étaient, plus près de nous, des coureurs comme Savoldelli et Nibali.  On se souvient de l'étape d'Orcières Merlette vers Marseille (toujours lors du Tour 1971), quand Merckx et son équipe avait attaqué dès la descente de départ et avait d'ailleurs mis l'équipe Espagnole Kas (qui collaborait avec Ocana) hors délais (mais repêchée par les organisateurs). Mais malgré la vitesse en descente, il y avait moins de chutes qu'actuellement (c'est mon ressenti, mais je peux me tromper).

 

Il est possible que le peloton à l'époque était moins compact, car plutôt divisé en plusieurs morceaux.

Modifié par Michel ROTH
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Il y a 3 heures, Franck PASTOR a dit :

J’ai déjà roulé en peloton… qu’est ce qu’un type de freinage différent, à fortiori moins puissant, va changer à l’équation chute en peloton = merde intégrale ? Et si quelqu’un freine fort devant , c’est qu’il en avait besoin, sinon il se ramasse quand même… S’il y a un type de freins avec lequel on peut aisément doser son freinage , c’est l’hydraulique.

 

Bon, j’arrête là : j’ai déjà dit tout ça, donc ça tourne en rond et c’est hors- sujet en plus.

le fait d'avoir un freinage puissant comme les FAD tu freine + tard tu roule + vite surtout sous la pluie , avec des freins moins puissants tu est obligé d'anticiper de rouler un peu moins vite ce qui explique peu être qu'il y a  + de chutes enfin j'ai cette impression , je n'ai pas la solution mais cela devient pénible on a jamais vu autant de coureurs si fréquemment au tapis avant ....

Revenons a la course une magnifique étape aujourd'hui avec une arrivée corsé  il va avoir de gros écarts ! 

 

" L'arrivée sera inédite à Samoëns 1600, autre montée classée hors catégorie (10 km à 9,3 %) que les locaux, selon Christian Prudhomme, le directeur du Tour de France, compare à celle, voisine, de Joux-Plane, mais en encore plus ardue. Elle pourrait couronner le vainqueur du Dauphiné 2024.

 

 

 

 

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Il y a 1 heure, Michel ROTH a dit :

Du temps de Merckx ? Il me semble que les équipes se battaient moins pour être devant dans une descente, pour être ensuite bien placées au pied de la montée qui suit. Il me semble qu'il y avait tout de même beaucoup moins de grosses chutes collectives. On retient surtout la chute d'Ocana au tour 1971, qui était dans une descente de col et provoquée d'abord par une chute de Zoetemelk. Merckx était tombé également, mais avait pu repartir. Si je me souviens bien, Ocana avait heurté Zoetememelk encore au sol et n'avait pas pu repartir. Mais cette chute ne concernait que les premiers qui effectuaient la descente sous un orage, pas un gros peloton, celui-ci étant plutôt assez dispersé.

 

Merckx était aussi très un bon comme descendeur, comme l'étaient, plus près de nous, des coureurs comme Savoldelli et Nibali.  On se souvient de l'étape d'Orcières Merlette vers Marseille (toujours lors du Tour 1971), quand Merckx et son équipe avait attaqué dès la descente de départ et avait d'ailleurs mis l'équipe Espagnole Kas (qui collaborait avec Ocana) hors délais (mais repêchée par les organisateurs). Mais malgré la vitesse en descente, il y avait moins de chutes qu'actuellement (c'est mon ressenti, mais je peux me tromper).

 

Il est possible que le peloton à l'époque était moins compact, car plutôt divisé en plusieurs morceaux.

En 1971, dans le col de Menté, dans des conditions météo dantesques (je pense qu’aujourdhui on ne courrait pas), le premier à tomber fut… Merckx, qui avait été à l’attaque toute la journée, descentes comprises, pour essayer de distancer Ocaña. Ocaña qui était juste derrière est tombé lui aussi. C’est lorsqu’il s’est relevé que Zoetemelk lui est rentré dedans…

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Il y a 1 heure, Olivier MILLIÈS-LACROIX a dit :

En 1971, dans le col de Menté, dans des conditions météo dantesques (je pense qu’aujourdhui on ne courrait pas), le premier à tomber fut… Merckx, qui avait été à l’attaque toute la journée, descentes comprises, pour essayer de distancer Ocaña. Ocaña qui était juste derrière est tombé lui aussi. C’est lorsqu’il s’est relevé que Zoetemelk lui est rentré dedans…

Oui c'est juste. Merci d'avoir rectifié. Je me souvenais que Zoetemelk était indirectement responsable de l'abandon de Luis Ocana. Comme Merckx était tombé le premier il a pu repartir avant que Zoetemelk n'arrive.

 

Modifié par Michel ROTH
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Roglic confirme qu'il ne peut pas perdre ce Dauphiné (sauf surprise).

Un très bon Jorgenson et un Laurens De Plus très bon également. Il avait été présenté comme un très bon espoir il y a quelques années sans vraiment confirmer.

Evenepoel a monté à son rythme en reprenant plusieurs coureurs. Je pense qu'il doit être content à ce stade de revalidation. En fait, il n'est pas encore capable de répondre aux accélérations. Il semblait moins marqué que hier.

On verra demain s'il parvient encore à limiter les dégâts. S'il était au top il devrait être au moins aussi fort que De Plus et Jorgenson. Landa a dû lâcher prise dans le dernier km. Je me demande quelle équipe QS va aligner pour le TDF face aux grosses armadas UAE, INEOS, voire Bohra ? Evenepoel semble bien isolé.

Gaudu qui envisage un top 5 au Tour de France, voire un podium est assez décevant. A ce stade, même Evenepoel termine devant lui. C'est difficile de croire qu'il puisse réaliser son objectif (mais on ne sait jamais. C'est la glorieuse incertitude du sport).

 

 

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J'oubliais aussi dans les bonnes surprises les excellents Derek Gee (qui avait déjà bien limité les écarts dans le chrono) et Lazkano que je ne m'attendais pas à voir aussi bon en montagne. Avec De Plus, Ciccone et Gee, on a trois coureurs qui pourraient passer devant Evenepoel demain au CG reléguant alors Remco à la 9eme place si ce dernier venait à perdre encore du terrain.

Modifié par Michel ROTH
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Belle course aujourd’hui sur des routes que c’est sympa de reconnaître…. 
La dernière montée était trop raide pour que Soler puisse aller au bout. Terminer victorieusement 45 km d’échappée solo en montagne sur des raidards à 12% face aux cadors du peloton et leurs super équipiers relève du quasi impossible. Mais chapeau à lui. Et très classe le geste de Remco qui le congratule amicalement lorsqu’il le reprend en vue de l’arrivée.

A propos de Remco, je pense comme Michel qu’il a quelques kilos à perdre. Pour ces athlètes qui montent les cols à plus de 6W par kilo, une surcharge pondérale de 4 ou 5 kg équivaut à un déficit d’environ 30W, suffisant pour expliquer son retard du jour..

Ciccone est à un super niveau, mais on l’a déjà vu avec plus de giclette. Aujourd’hui encore plus qu’ hier, il reste un peu planté lorsque Roglic lance son sprint.

Comme l’an dernier le niveau de Gaudu est décevant. Pas sûr que ces stages en altitude en mai lui soient bénéfiques.

Demain sera peut être le jour des échappés ou de Vlasov à qui Roglic voudra peut être renvoyer l’ascenseur si les circonstances de course le permettent.

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Et bien ce n’était pas le jour des échappés, ni celui de Vlasov, et il s’en est fallu de peu pour que ce ne soit pas non plus le jour de Roglic !
Jorgenson n’est pas passé loin, il est sympa d’avoir laissé l’étape à Rodriguez qui ne l’a pas beaucoup aidé dans le final. Il l’a peut être fait pour remercier Ineos pour l’ensemble de son œuvre, car c’est Laurens de Plus qui fait exploser la Bora.

Remco finit la montée à une dizaine ou quinzaine de secondes derrière Roglic. Il se pourrait bien qu’au Tour il soit devant.

A part cela, Mads Pedersen encore monstrueux dans la vallée, reprenant 2 minutes 30 à lui tout seul entre les 2 dernières ascensions.

Modifié par Olivier MILLIÈS-LACROIX
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Un Roglic pas encore transcendant remporte ce Dauphiné, grâce à  une équipe Bora-Hansgrohe déjà très performante.

Une équipe Ineos bien homogène et offensive. 

Gaudu dans le dur,Evenepoel limite bien la casse après sa terrible chute.

Jorgenson solide,Kuss inquiète. 

Le TOUR s'annonce indécis pour les places d'honneur derrière Pogacar grandissime favori. 

 

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tu as bien résumé la fin de ce Dauphiné 

il y a 16 minutes, Olivier MILLIÈS-LACROIX a dit :

Et bien ce n’était pas le jour des échappés, ni celui de Vlasov, et il s’en est fallu de peu pour que ce ne soit pas non plus le jour de Roglic !
Jorgenson n’est pas passé loin, il est sympa d’avoir laissé l’étape à Rodriguez qui ne l’a pas beaucoup aidé dans le final. Il l’a peut être fait pour remercier Ineos pour l’ensemble de son œuvre, car c’est Laurens de Plus qui fait exploser la Bora.

Remco finit la montée à une dizaine ou quinzaine de secondes derrière Roglic. Il se pourrait bien qu’au Tour il soit devant.

A part cela, Mads Pedersen encore monstrueux dans la vallée, reprenant 2 minutes 30 à lui tout seul entre les 2 dernières ascensions.

tu as bien résumé ce dauphiné qui fut indécis avec cette dernier étape et l'attaque INEOS ,nos français sont timides voir très timides le 1er Gaudu a 10 mm ....................

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