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changement de roues?


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Le 21/02/2024 à 09:08, Pierre PLANA a dit :

Si tu veux refaire complètement le débat... globalement les patins ce n'est pas plus mal pour ceux qui n'ont pas besoin de freiner.

Après, prendre l'exemple du changement de patins, c'est le seul mauvais exemple pour la maintenance 🙂 : changer des plaquettes c'est plus rapide.

Le changement de patins tous les ans... effectivement c'est quand tu ne fais pas de montagne, mais c'est à peu près le même rythme que les changements de plaquettes, sauf si tu fais des journées de montagne sous la pluie... là ça m'est arrivé d'user des patins en une journée.

Après... dire que tu freines aussi bien avec les cantilevers qu'avec les FAD... ça me laisse pantois...

 

Sinon, pour le patin :

- maintenance plus facile, besoin de peu d'outillage

- poids

- prix

Pour le disque :

- meilleur freinage en toutes conditions

- possibilité de monter de pneus de grosse section (je ne parle pas de cantilevers)

- meilleur dosage du freinage (je pense que c'est lié aux commandes hydrauliques pas au disques eux-mêmes) 

- pas d'usure, ni d'échauffement des jantes, le freinage se fait sur une pièce d'usure à 60€ pas sur une jante dont le remplacement peut couter 10 fois ce prix...

 

Bah moi je te change aussi vite les patins que les plaquettes, faut débat pour moi.

Je suis en patins pour l'un et disques pour l'autre, sur le sec...maintenant sous la pluie c'est une autre affaire.

 

Ma question est: combiens d'entre vous sortent lorsqu'il pleut?

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Il y a 11 heures, Gérôme BORGER a dit :

Bah moi je te change aussi vite les patins que les plaquettes, faut débat pour moi.

Je suis en patins pour l'un et disques pour l'autre, sur le sec...maintenant sous la pluie c'est une autre affaire.

 

Ma question est: combiens d'entre vous sortent lorsqu'il pleut?

Jérôme, effectivement pas souvent mais j’ai décidé d’essayer les disques suite à une descente du lautaret sous des trombes d’eau : heureusement qu’il n’y a pas de pente dans le Lautaret parce que je n’avais plus du tout de freins. Depuis ça m’est arrivé à nouveau à peu près une fois par été, notamment sur un Lapebie très arrosée durant laquelle le copain « à patins » a eu du mal à finir la journée : en trois descentes il n’avait plus de patins.

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Il y a 1 heure, Pierre PLANA a dit :

Jérôme, effectivement pas souvent mais j’ai décidé d’essayer les disques suite à une descente du lautaret sous des trombes d’eau : heureusement qu’il n’y a pas de pente dans le Lautaret parce que je n’avais plus du tout de freins. Depuis ça m’est arrivé à nouveau à peu près une fois par été, notamment sur un Lapebie très arrosée durant laquelle le copain « à patins » a eu du mal à finir la journée : en trois descentes il n’avait plus de patins.

Des expériences similaires aussi, autant sur le sec chacun peut avoir ses raisons de conserver l'un ou l'autre, autant sur le mouillé, il n'y a pas photo.

Je me fais régulièrement arrosé au cours de parcours : parce que je sais que maintenant quelle que soit la météo, ça me dérange nettement moins, dans la mesure où je sais que je garderai un freinage très efficace. Du coup, je n'hésite pas à aller rouler des cols même si la météo peut virer au mauvais.

L'an dernier sur le Tour des Flandres, je l'ai déjà raconté mais j'y reviens, certains gars ont fini avec les patins morts et ne pouvaient plus freiner tant les conditions de pluie toute la journée avaient usé leur matériel. Alors oui les descentes de monts ne sont pas celles de cols, mais il faut quand même pouvoir s'arrêter rapidement sur routes ouvertes et quand ça roule en groupe.

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Il y a 2 heures, Pierre PLANA a dit :

 en trois descentes il n’avait plus de patins.

Bonjour Pierre,

 

ça fait 40 ans que je fais du vélo et je n'ai jamais été confronté à ce genre de situation.

Maintenant je n'habite pas en montagne, c'est bien vallonné chez moi. Ce que je lis de-ci de-là peut correspondre à des situations auxquelles l'on était confronté il y a plus de 20 ans.

Mais je trouve caricatural la description que vous faites de la qualité des derniers étriers de freins sur jante. 

 

Il  faut par contre après une sortie sous la pluie un nettoyage en profondeur des patins et de la jante pour conserver un freinage efficace. La sortie sous la pluie quand à elle est accompagnée d'un phoque qui me poursuis à chaque freinage😁

.

En bref, je suis satisfait des deux systèmes.

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il y a 21 minutes, Geoffroy CACHAT a dit :

Des expériences similaires aussi, autant sur le sec chacun peut avoir ses raisons de conserver l'un ou l'autre, autant sur le mouillé, il n'y a pas photo.

Je me fais régulièrement arrosé au cours de parcours : parce que je sais que maintenant quelle que soit la météo, ça me dérange nettement moins, dans la mesure où je sais que je garderai un freinage très efficace. Du coup, je n'hésite pas à aller rouler des cols même si la météo peut virer au mauvais.

L'an dernier sur le Tour des Flandres, je l'ai déjà raconté mais j'y reviens, certains gars ont fini avec les patins morts et ne pouvaient plus freiner tant les conditions de pluie toute la journée avaient usé leur matériel. Alors oui les descentes de monts ne sont pas celles de cols, mais il faut quand même pouvoir s'arrêter rapidement sur routes ouvertes et quand ça roule en groupe.

Bonjour Geoffroy,

 

entièrement en accord avec ce que tu écris, dans la mesure ou tu es mode "compétition".

Maintenant lorsque je suis en sortie (seul dans la majorité des cas) en patins et que le temps passe à la pluie, j'adapte ma conduite.

Je ne veux pas dire que je ne préfèrerais être en disques, mais juste que je ne me sens pas en danger parce que je suis en patins.

 

Pour l'anecdote, l'autre jour à l'entrée d'un rond point en légère descente et sous la pluie, une voiture arrive de la gauche et s'engage avant moi m'obligeant à faire un freinage appuyé. Et bien j'ai bloqué la roue arrière qui est partie en glissade. Penses tu que les disques m'auraient apporté un plus? Je ne le crois pas, mais ça c'est tout un débat.

 

Lorsque je lis certains intervenants , ils me donnent l'impression qu'il faut être inconscient pour encore rouler en patins sous la pluie.

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il y a 3 minutes, Gérôme BORGER a dit :

Bonjour Geoffroy,

 

entièrement en accord avec ce que tu écris, dans la mesure ou tu es mode "compétition".

Maintenant lorsque je suis en sortie (seul dans la majorité des cas) en patins et que le temps passe à la pluie, j'adapte ma conduite.

Je ne veux pas dire que je ne préfèrerais être en disques, mais juste que je ne me sens pas en danger parce que je suis en patins.

 

Pour l'anecdote, l'autre jour à l'entrée d'un rond point en légère descente et sous la pluie, une voiture arrive de la gauche et s'engage avant moi m'obligeant à faire un freinage appuyé. Et bien j'ai bloqué la roue arrière qui est partie en glissade. Penses tu que les disques m'auraient apporté un plus? Je ne le crois pas, mais ça c'est tout un débat.

 

Lorsque je lis certains intervenants , ils me donnent l'impression qu'il faut être inconscient pour encore rouler en patins sous la pluie.

Lors de sorties seul, je comprends tout à faire que les patins puissent suffire, surtout en choisissant les circonstances la plupart du temps. Et il m'est arrivé également comme de très nombreux cyclistes passés de patins à disques, de bloquer ma roue AR en freinant fort à patins y compris sur du sec.

A titre personnel, je ne cherche absolument pas à dire qui a tort ou raison, je fais simplement le constat que Pierre (par exemple) a également rapporté plusieurs fois, que lors de longues descentes de cols, le freinage à disques est pour moi bien plus sécurisant et constant que celui à patins, en mouillé évidemment et sur le sec aussi. Mais cela peut aussi dépendre du gabarit du cycliste et de sa capacité à bien descendre ou moins. Et ça c'est un autre "débat".

Et qu'effectivement lors de cyclosportives, cela peut aussi être un plus dans la mesure où on ne roule pas seul et qu'il y a parfois moins la place pour gérer/anticiper ses freinages.

Du reste, chacun choisit bien ce qu'il préfère tant sur les plans efficacité, pratique ou esthétique.

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il y a 47 minutes, Gérôme BORGER a dit :

Lorsque je lis certains intervenants , ils me donnent l'impression qu'il faut être inconscient pour encore rouler en patins sous la pluie.

 

La question n'est pas de savoir si on est inconscient de rouler encore en patins sous la pluie, puisque le système donne satisfaction pour beaucoup de cyclistes. Mais les freins à patins ne fonctionnent REELLEMENT pas dans certains circonstances et ceux qui en témoignent ne sont pas crus, on met invariablement en doute la qualité de leur matériel ou leur compétence de pilotage. D'où une grande incompréhension de part et d'autre.

 

 

Modifié par Thierry GEUMEZ
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il y a une heure, Gérôme BORGER a dit :

Bonjour Pierre,

 

ça fait 40 ans que je fais du vélo et je n'ai jamais été confronté à ce genre de situation.

Maintenant je n'habite pas en montagne, c'est bien vallonné chez moi. Ce que je lis de-ci de-là peut correspondre à des situations auxquelles l'on était confronté il y a plus de 20 ans.

Mais je trouve caricatural la description que vous faites de la qualité des derniers étriers de freins sur jante. 

 

Il  faut par contre après une sortie sous la pluie un nettoyage en profondeur des patins et de la jante pour conserver un freinage efficace. La sortie sous la pluie quand à elle est accompagnée d'un phoque qui me poursuis à chaque freinage😁

.

En bref, je suis satisfait des deux systèmes.

Jérôme, vallonné et montagne c’est assez différent. Quand je fais des sorties de « plat » c’est à peu près avec en moyenne 100m de D+ par tranche de 10km, donc ça correspond à du bien vallonné et généralement sur ces sorties sur 100km, j’ai au pire deux vrais freinages dans la sortie. Donc effectivement le système de freinage importe peu. Par contre, en montagne sur un col tu peux avoir entre 30 et 40 gros freinages dans une descente, ça change vraiment la donne… si tu rajoutes un gros orage, tu peux ne plus avoir de freins, si tu as un col très raide ( du style 10km à 10%) que tu es lourd, que tu as des jantes en carbone, ça se passe parfois pas bien du tout. C’est moins pire dans les deux cas avec des jantes aluminium.

et je fais aussi du vélo depuis fort longtemps : en montagne j’ai fait quelques chutes dues à un enthousiasme trop débordant et j’ai très souvent serré les fesses… avec les FAD j’ai la fesse beaucoup plus détendue 😄

Modifié par Pierre PLANA
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FAD - FAP ....   chacun son programme

 

si je roulais en montagne ce serait FAD

la sur la cote d'azur : toujours du soleil (la pluie?? c'est quoi???....) plat et valloné, les FAP sont suffisants...

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il y a une heure, Pierre PLANA a dit :

Jérôme, vallonné et montagne c’est assez différent. Quand je fais des sorties de « plat » c’est à peu près avec en moyenne 100m de D+ par tranche de 10km, donc ça correspond à du bien vallonné et généralement sur ces sorties sur 100km, j’ai au pire deux vrais freinages dans la sortie. Donc effectivement le système de freinage importe peu. Par contre, en montagne sur un col tu peux avoir entre 30 et 40 gros freinages dans une descente, ça change vraiment la donne… si tu rajoutes un gros orage, tu peux ne plus avoir de freins, si tu as un col très raide ( du style 10km à 10%) que tu es lourd, que tu as des jantes en carbone, ça se passe parfois pas bien du tout. C’est moins pire dans les deux cas avec des jantes aluminium.

et je fais aussi du vélo depuis fort longtemps : en montagne j’ai fait quelques chutes dues à un enthousiasme trop débordant et j’ai très souvent serré les fesses… avec les FAD j’ai la fesse beaucoup plus détendue 😄

Tout à fait Pierre, une descente de col sous une pluie diluvienne change la donne, j'ai connu ça.

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Il y a 1 heure, Thierry GEUMEZ a dit :

 

La question n'est pas de savoir si on est inconscient de rouler encore en patins sous la pluie, puisque le système donne satisfaction pour beaucoup de cyclistes. Mais les freins à patins ne fonctionnent REELLEMENT pas dans certains circonstances et ceux qui en témoignent ne sont pas crus, on met invariablement en doute la qualité de leur matériel ou leur compétence de pilotage. D'où une grande incompréhension de part et d'autre.

 

 

Salut Thierry,

tu reviens sans cesse avec cette argument et tu déformes mes propos.

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