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Sérieux ?


Franck Steinel

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Le sujet est en première page du site. Il n'y aurait pas eu suffisamment de force de police pour assurer la sécurité de  l'événement, suite à des manifestations d'agriculteurs. 

Les deux premières étapes auront été supprimés, et les deux dernières également. Seul le contre la montre de 5 km, aura pu avoir lieu. D'où le kilométrage étonnant pour un tour cycliste d'une semaine. 

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il y a une heure, Bernard MOREAU a dit :

Bien sûr, mais y avait-il d'autres solutions à part transformer ce Tour en une course sur routes de terre ?
Il n'y a pas bcp de routes asphaltées en Andalousie (ce n'est pas la Belgique).

Des fois, en Belgique, on a aussi l'impression qu'il n'y a pas beaucoup de routes asphaltées 😁.

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Il y a 2 heures, Bernard MOREAU a dit :

Bien sûr, mais y avait-il d'autres solutions à part transformer ce Tour en une course sur routes de terre ?
Il n'y a pas bcp de routes asphaltées en Andalousie (ce n'est pas la Belgique).

 

Il y a pourtant un point commun entre les routes de ces deux contrées : beaucoup sont bétonnées plutôt qu'asphaltées… 😎

 

Modifié par Franck PASTOR
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Il y a 1 heure, Franck PASTOR a dit :

 

Il y a pourtant un point commun entre les routes de ces deux contrées : beaucoup sont bétonnées plutôt qu'asphaltées… 😎

 

Je parlais de l'Andalousie. Pour y être allé avec le vélo, j'avais été frappé par la faible densité du réseau routier.
Le béton résiste peut-être mieux à la chaleur que l'asphalte.
Pourtant, l'autoroute en béton Washington- Baltimore, la 1ère construite aux US, avait très mal vieilli. L'espace entre les plaques (prévu pour la dilatation je suppose) s'effrite et les voitures sont alors soumises à un traitement de chocs répétés.
Quand ils ont dû se résoudre à la réparer, 40 ans après, ils sont passés à l'asphalte.
Mais le béton a peut-être fait des progrès depuis l'époque.

Toutefois, en Andalousie, je ne me souviens pas avoir roulé sur du béton (pas fait bcp de km sur autoroute là-bas)

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Il y a 10 heures, Bernard MOREAU a dit :

Je parlais de l'Andalousie. Pour y être allé avec le vélo, j'avais été frappé par la faible densité du réseau routier.
Le béton résiste peut-être mieux à la chaleur que l'asphalte.
Pourtant, l'autoroute en béton Washington- Baltimore, la 1ère construite aux US, avait très mal vieilli. L'espace entre les plaques (prévu pour la dilatation je suppose) s'effrite et les voitures sont alors soumises à un traitement de chocs répétés.
Quand ils ont dû se résoudre à la réparer, 40 ans après, ils sont passés à l'asphalte.
Mais le béton a peut-être fait des progrès depuis l'époque.

Toutefois, en Andalousie, je ne me souviens pas avoir roulé sur du béton (pas fait bcp de km sur autoroute là-bas)

 

C'est exactement la même chose en Belgique pour l'usure des routes. Les chocs répétés dont tu parles sont parfaitement sensibles même à vélo sur les vieilles routes et pistes bétonnées belges (j'ai réussi à crever par pincement en descente à cause d'un de ces chocs).

 

Ceux qui ont roulé sur les routes du Tour des Flandres auront rencontré ces vieilles routes bétonnées bien plus souvent que les pavés, et si c'est moins désagréable que les kasseien, c'est quand même assez pénible de se prendre un choc tous les cinq mètres ! Ajoutes-y un autre danger pour les pelotons de cyclistes : il y a souvent une large fissure longitudinale au milieu de ces routes entre les deux rangées de dalles, et c'est facile pour une roue de vélo de venir s'y coincer.

 

Ceci dit, ce sont surtout les routes du réseau secondaire qui restent bétonnées, les autres le sont, comme en Espagne, de moins en moins. Le problème est que cette rénovation est ultra-lente…

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