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Messages recommandés

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il y a 24 minutes, Nicolas JOARY a dit :

L'organisateur propose, les coureurs et leurs DS disposent. Le parcours peut être plus sélectif et, malgré cela, ne pas voir s'opérer de grosse sélection. À l'inverse, une étape prétendument pour R/S peut voir les échappés aller au bout. Ce n'est pas facile.

Mais c'est clair que les fins d'étapes avec des pelotons qui déboulent à 70 km/h, c'est plutôt dangereux, compte tenu entre autres du niveau global des équipes qui a évolué très à la hausse avec la mondialisation, les moyens financiers accrus et une concurrence impitoyable.

Je me demande si la règle des trois kilomètres ne devrait pas être adaptée et portée à dix kilomètres pour certaines finales.

Si cette règle des trois kilomètre était tout simplement abrogée? Nous aurions de fait des courses plus ouvertes. La vitesse est de la seule responsabilité du coureur. En effet c'est lui et lui seul qui tient le guidon, qui appuie sur les pédales qui freine ou pas.

Modifié par Gérard CRESPO
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il y a 12 minutes, Gérard CRESPO a dit :

La vitesse est de la seule responsabilité du coureur. En effet c'est lui et lui seul qui tient le guidon, qui appuie sur les pédales qui freine ou pas.

Un sprinteur qui évite de frotter et réduit sa vitesse dans les zones dangereuses est un coureur qui ne gagne pas. Compétition et prudence sont souvent incompatibles. Et les spectacles sans danger intéressent peu les spectateurs. Regarderais-tu encore les courses si on imposait une distance minimale de 10 mètres entre les coureurs pour réduire significativement le risque de chute ?

 

 

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Le principal danger me semble venir du fait que trop de coureurs veulent se placer : le sprinter et ses équipiers qui l'emmènent avant le dernier coup de reins, mais aussi les leaders et les équipiers qui les protègent, tant les chutes sont redoutées et les secondes perdues difficiles à rattraper.

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il y a 1 minute, Nicolas JOARY a dit :

Le principal danger me semble venir du fait que trop de coureurs veulent se placer : le sprinter et ses équipiers qui l'emmènent avant le dernier coup de reins, mais aussi les leaders et les équipiers qui les protègent, tant les chutes sont redoutées et les secondes perdues difficiles à rattraper.

On autorise en course des comportements formellement prohibés dans la vie de tous les jours. Les compétitions sportives constituent-elles des soupapes utiles pour maintenir l'ordre dans la société ?

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il y a 23 minutes, Thierry GEUMEZ a dit :

On autorise en course des comportements formellement prohibés dans la vie de tous les jours. Les compétitions sportives constituent-elles des soupapes utiles pour maintenir l'ordre dans la société ?

ayé tu nous fait du Franck Steinel 😁

  • Haha 1
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Si l'on compare le cyclisme des années 1960 et celui d'aujourd'hui, le peloton était peut-être un peu plus réduit à l'époque et les coureurs roulaient moins vite dans la finale. En outre, les aménagements routiers n'existaient pas dans les villes (rétrécissements, casse-vitesses, rond points,..). La règle des 3 km n'existait pas. A l'époque, elle ne se justifiait pas vraiment. Elle a été introduite pour éviter de pénaliser les coureurs retardés par une chute collective dans les 3 derniers km.

 

On dit que le public veut du spectacle, mais a-t-on déjà pensé que si des favoris pour le général d'un Grand Tour sont éliminés sur chute dans les 3 derniers km d'une étape plate, le spectacle sera moindre dans les étapes de cols. Donc, supprimer la règle des 3 km serait une arme à double tranchant. Car le spectacle est avant tout en montagne. Et des étapes de montagne sans les favoris seraient moins attractives. Si cette Vuelta retient tant l'attention médiatique c'est parce que tout le gratin des grimpeurs (excepté Pogacar) est représenté. Si certains d'entre eux venaient à devoir abandonner à cause d'une chute dans les 3 derniers km d'une étape réservée aux sprinters, les spectateurs seraient moins nombreux à suivre la suite de l'épreuve. La règle des 3 km est un bon compromis.

Modifié par Michel ROTH
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Il y a 15 heures, Gérard CRESPO a dit :

Buitrago et Coquard ne sont pas concernés par la règle des 3 km puisqu'ils sont tombés à 5 km de la ligne d'arrivée.

Malheureusement Coquard n'a pas pris le départ aujourd'hui. Probablement une fracture de la clavicule suite à sa chute de hier.

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il y a 2 minutes, Michel ROTH a dit :

Malheureusement Coquard n'a pas pris le départ aujourd'hui. Probablement une fracture de la clavicule suite à sa chute de hier.

Il l'avait presenti après l'arrivée, évoquant une probable lésion sur l'omoplate.

Posté
Il y a 2 heures, Thierry GEUMEZ a dit :

Et sur le fond, t'en penses quoi ? 😉

j'en pense que le fric, le cul , le pouvoir domine le monde depuis toujours , le reste n'est que littérature 😉

Pour ce qui est du sprint et ses danger en vélo il n'y a aucunes solutions idéales on peu juste limité la casse en faisant des arrivées bien larges ..... 

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il y a 32 minutes, Sylvain KARLE a dit :

j'en pense que le fric, le cul , le pouvoir domine le monde depuis toujours , le reste n'est que littérature 😉

Tu as déjà raconté tout ça à ta femme, entre deux "je t'aime" ? 😇

Modifié par Thierry GEUMEZ
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Abandon d'Eddie Dunbar présenté au départ de cette Vuelta comme un outsider pour le classement général, après sa 7eme place au Giro. Le grimpeur australien a chuté dans la zone de neutralisation de l'étape et n'a pas pu repartir.

 

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Rien vu de l'étape, mais Groves a remis le couvert. Il est bien le meilleur des sprinters présents.

Attentif, Evenepoel a évité les ennuis (dont une chute dans les trois derniers kilomètres) et s'est offert le luxe de prendre six secondes de bonification au nez et à la barbe de ses rivaux. J'ignore comment ça s'est passé, si les autres ont essayé ou laissé faire, mais ce qui est pris n'est plus à prendre, dans ces courses à étapes où les secondes finissent par créer des minutes, donc bien vu de sa part !

Si quelqu'un a vu l'étape, il pourra peut-être préciser...

Posté
il y a 22 minutes, Nicolas JOARY a dit :

Rien vu de l'étape, mais Groves a remis le couvert. Il est bien le meilleur des sprinters présents.

Attentif, Evenepoel a évité les ennuis (dont une chute dans les trois derniers kilomètres) et s'est offert le luxe de prendre six secondes de bonification au nez et à la barbe de ses rivaux. J'ignore comment ça s'est passé, si les autres ont essayé ou laissé faire, mais ce qui est pris n'est plus à prendre, dans ces courses à étapes où les secondes finissent par créer des minutes, donc bien vu de sa part !

Si quelqu'un a vu l'étape, il pourra peut-être préciser...

Groves a bien failli se faire piéger par P.Ganna qui a fait un sprint de toute beauté en partant de derrière il est battu de très peu !

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il y a une heure, Didier SALEMBIER a dit :

Que va nous faire Lenny MARTINEZ 59 kg, 3ième du CG à 12 secondes d'Evenepoel ?

 

Lenny Martinez est à 17 secondes !

Selon les commentateurs de Sporza il pourrait être un des candidats à la reprise du maillot rouge et l'équipe de M.Madiot pourrait supporter le poids de la course jusqu'à la troisième semaine. Mais qu'en est-il de sa capacité à supporter une course à étapes en WT ?

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À  17 secondes en effet.Il sera sans doute avec les meilleurs encore aujourd'hui----mais va-t-il tenir physiquement et mentalement durant 3 semaines ? Un test grandeur nature pour ce jeune coureur de 20 ans excellent grimpeur.

La FDJ GROUPAMA a une moyenne d'âge de 23 ans,elle mise tout sur l'avenir------la formation continentale est une sacrée belle réussite,des pépites en sortent chaque année 😇.





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