Georges MAILLET Posté le 24 juin 2020 Share Posté le 24 juin 2020 " ... "quand je suis sur une route bien lisse ou avec vent dans le dos je kiff "Et si jamais tu as route bien lisse ET vent dans le dos, tu ne kiffes plus ??Szalu 😉 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Georges MAILLET Posté le 24 juin 2020 Share Posté le 24 juin 2020 " ... entre la Belgique et la France yapafoto niveau paysages ..."GAFFE SYLVAIN : ce genre d'ortograffe a fait l'objet d'un dépôt auprès du ministère de la Culture, de ma part évidaman - il faut recueillir une autoryzassion auprès de moi pour y recourir.Si accord de ma part, pas de problaime.Si pas accord - ce ki est le k ici -, c'est 10 euros par lettre - donc, 80 € dans ce cas.Beau prince, je laisse picer ojourdui - à partir de demain, coup de gourdin 😲 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sylvain KARLE Posté le 24 juin 2020 Share Posté le 24 juin 2020 je kiff double 😆 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sylvain KARLE Posté le 24 juin 2020 Share Posté le 24 juin 2020 m'en fou j'suis insolvable 😃 4éme jour koncékutif de vélo , 31km de vélotaf .....🆒 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Franck PASTOR Posté le 24 juin 2020 Share Posté le 24 juin 2020 45 km ce soir, du côté de Tervuren, Huldenberg et Overijse cette fois. Pour une fois que je fais deux sorties sur deux jours consécutifs (c'est très rare), c'était quand même bien agréable, avec 27° à l'ombre et peu de vent. Rythme peu élevé à nouveau, sauf dans les deux dernières côtes de la sortie, l'IJskelderlaan et le Schavei à Overijse, où j'ai un peu accéléré. Mes douleurs à la jambe droite ont quasiment disparu, peut-être grâce à deux légers changements dans ma position : j'ai baissé ma selle de 2 mm environ et avancé la cale de ma chaussure droite d'à peu près autant. Le but était de réduire un peu l'extension de ma jambe droite lors du pédalage, qui je pense était trop prononcée, d'où les douleurs (et les crampes?). Apparemment ça a marché… à suivre encore quand même.Je précise que ma cale droite est toujours plus reculée (vers le talon) que la cale gauche, en raison d'une dissymétrie de mes pieds : le métatarse, point de repère de la position de mes cales, est à droite plus proche du talon de 5 mm par rapport à celui de gauche. Après le changement décrit plus haut, la différence de positionnement des cales est moindre, ce qui semble bénéfique… Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Georges MAILLET Posté le 24 juin 2020 Share Posté le 24 juin 2020 "D'après mon expérience, il y a bien plus de gravillons en France, comme je l'ai dit, ..." Kestion "gravillons", j'ai qualité pour parler de ce que je vis chaque année depuis des lustres, soit d'une zone active située au nord-est de Grenoble, appelée "Grésivaudan", qui "court" jusqu'à Chambéry, "capitale de la Savoie". Ce n'est pas une zone mal traitée, elle "englobe" plus de 700 000 habitants entre l'agglo de Grenoble (métropole de 450 000 hab), la vallée du Grésivaudan qui "court" sur une cinquantaine de kms et comprend 100 000 habitants, pour rejoindre l'agglomération chambérienne, plus de 120 000 habitants.Le réseau est dense. Les routes - départementales pour l'essentiel (les "nationales" ont disparu) ou communales - sont en excellent état, je veille évidemment à être objectif. Accessoirement, je relève la grande qualité des signalisations. Pas mal de rond-points, à l'usage ce sont des aménagements intéressants - bien que cette appréciation soit discutée.Et bien, s'agissant des gravillons, c'est une campagne qui dure environ une semaine au début de chaque mois de juin et l'inconvénient - inévitable - ne se fait guère sentir plus d'une dizaine de jours. Il faut ce qu'il faut, n'est-ce-pas ?J'ai la faiblesse d'accroire que cette réalité n'est pas propre à cette zone, je me déplace depuis des lustres en France, le réseau routier dans son ensemble est de très haute kalité, on ne connaît pas notre chance sur nos deux roues.Ugh, c'est dit, geindre sur notre réseau routier révèle une personnalité ... geignarde, qui ne réalise pas dans quel pays on a la chance de vivre 🆒 " ...mais bien moins de nids-de-poules… "Je n'ai pas de souvenir d'en avoir choppé depuis ... je ne sais pas/plus, donc ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jacques VANDEWIELE Posté le 24 juin 2020 Share Posté le 24 juin 2020 Les halages/ravel parcourus lors de ma dernière sortie avaient un revêtement très variable : de l'asphalte en bon état , un asphalte usé et très rugueux, des plaques de béton avec des jointures qui forment des bourrelets qui se soulèvent sur plusieurs cms secouant durement à la fois la monture et le cycliste. Et enfin entre Namur et Yvoir il y a ces fameux pavés disjoints particulièrement piégeurs.Suite aux commentaires que j'ai pu relever ci-dessus , pour avoir parcouru la France dans toute sa longueur de mon domicile (B) à St Jean-Pied-de-Port ce qui me permet d'voir une appréciation non pas sur un mais sur les nombreux départements traversés lors de ce pèlerinage à vélo à Compostelle , je puis affirmer que les routes françaises sont dans un état d'entretien i n c o m p a r a b l e à celui des routes belges.J'ai vécu 4 ans dans le Var , j'ai sillonné la France de long en large depuis que ce pays accueille mes vacances depuis plus de 50 ans , on ne peut faire qu'un seul constat : les routes françaises sont des billards par rapport à ce que nous connaissons en Belgique. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel DURY Posté le 24 juin 2020 Share Posté le 24 juin 2020 La faiblesse d'accroire.... quésako de nouveau... c'est du français, ça? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Franck PASTOR Posté le 24 juin 2020 Share Posté le 24 juin 2020 Kestion "gravillons", j'ai qualité pour parler de ce que je vis chaque année depuis des lustres, soit d'une zone active située au nord-est de Grenoble, appelée "Grésivaudan", qui "court" jusqu'à Chambéry, "capitale de la Savoie". La région où j'ai passé mes 28 premières années. 😄 Si tout va bien, j'y retourne dans une semaine, pour une quinzaine de jours.Et bien, s'agissant des gravillons, c'est une campagne qui dure environ une semaine au début de chaque mois de juin et l'inconvénient - inévitable - ne se fait guère sentir plus d'une dizaine de jours. Il faut ce qu'il faut, n'est-ce-pas ?Apparemment, l'année dernière elle s'est prolongée jusqu'au début juillet : j'étais dans la région à ce moment-là, et plusieurs de mes sorties dans Belledonne ont été gâchées par des gravillons tous frais, dans le col du Luitel (versant Séchilienne) et sur la montée de Freydières notamment. 📢 J'espère que ce ne sera pas le cas cette année…Je n'ai pas de souvenir d'en avoir choppé depuis ... je ne sais pas/plus, donc ...Le seul endroit où je voyais régulièrement des nids-de-poules dans la région est la route du col du Coq, versant Saint-Hugues… Autrement, c'est vrai, c'est aussi rare qu'une poule avec des dents. 😃 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Georges MAILLET Posté le 24 juin 2020 Share Posté le 24 juin 2020 "La faiblesse d'accroire.... quésako de nouveau... c'est du français, ça ?"Voui, Michel, exactement du vieux français ...Bon, c'est un peu pour faire le mariole, je vois que ça marche 😉 Szalu : là, c'est du hongrois revisité ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
benjamin LE BRAS Posté le 25 juin 2020 Share Posté le 25 juin 2020 Bonjour à tous48 kms pour 338m de d+ hier en fin de journée dans une chaleur (33 degrés) qui devient courante l'été en Normandie.J'ai roulé majoritairement dans les forêts qui s’étendent autour de Rouen pour profiter de la fraîcheur apportée par les arbres même si la chaleur ne me dérange pas Une belle bosse inédite escaladée avec de bonnes sensations. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Vincent MATAGNE Posté le 25 juin 2020 Share Posté le 25 juin 2020 Bonjour,un peu de temps libre cet aprem après le boulot et un ciel tout bleu avec 34°. Un peu chaud mais demain orages.Cela donne 29 km et 188 m de d+ dans les campagnes avoisinantes. https://www.strava.com/activities/3669005057 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jérémie LAPLAC Posté le 25 juin 2020 Share Posté le 25 juin 2020 Voui, Michel, exactement du vieux français .J'ai discuté avec une connaissance commune, professeur ordinaire de linguistique de la langue française à l'université de Budapest, attaché culturel à l'ambassade de Hongrie à Paris à ses heures perdues ; un CV long comme ton bras, tu vois le genre. Il me fait remarquer que le verbe accroire est utilisé uniquement à l'infinitif,toujours précédé d'une forme conjuguée du verbe faire ou, plus rarement verbe laisser Faire accoire à quelqu'un = le tromper, lui mentirTon utilisation de ce verbe dans la locution la faiblesse d'accroire est, selon ce type, un hongrissime 😉. Je ne fais que transmettre. Sur ce, je m'en vais éplucher les patates. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 25 juin 2020 Share Posté le 25 juin 2020 Bien répondu Jérémie ! Et belle trouvaille !L'honneur des Belges est sauf 😉Et depuis que je connais ma compagne (qui a pratiqué l'équitation pendant de nombreuses années avant de devenir juge de jumping), hongrois me fait invariablement penser à hongre. Aucun rapport avec Georges, je m'en voudrais de laisser planer le doute... 🤐 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bernard MOREAU Posté le 25 juin 2020 Share Posté le 25 juin 2020 Rien à voir donc avec le Lac de l'Hongrin, "entre" Leysin et Chateau d'Oex, par où je ne suis passé qu'une fois sur mon vélo et qui m'a obligé à sortir ma carte Michelin No 217, plis 14-15.On doit s'y trouver à 1300-1400 m d'altitude.Si ta compagne est juge de jumping, elle a peut-être eu l'occasion de juger quelqu'un dans la famille de mon frère qui rêve toujours de Tokyo 2021.Puisque nous sommes en sortie du jour : autant j'ai été surpris lundi dernier de l'intense circulation sur le col de la Faucille, autant j'ai été surpris aujourd'hui par la situation inverse. Je me serais cru au coeur de l'été. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre-Yves DESSIMOZ Posté le 25 juin 2020 Share Posté le 25 juin 2020 74km ce matin 1701m de DV, je suis près de mon max possible 2000, dure dure la Grande Dixence, l'un des plus haut barrage au monde, la base se situe à2102m, on peut monter un peu plus , 2130m pour moi au Chargeur, et en gravel 2350m environ, jusqu'au couronnement, je l'ai fait une fois avec un vieux vélo acier de 11kg, 7 vit et 42-26, alors que ce matin le 34-28 m'a bien servi pour le mur final 300m de DV +ou-. Je ne sais pas si j'y retournerais un jour, je suis bien cramé et avais une sale gueule tout là-haut! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 25 juin 2020 Share Posté le 25 juin 2020 elle a peut-être eu l'occasion de juger quelqu'un dans la famille de mon frère qui rêve toujours de Tokyo 2021Elle est juge "nationale". Elle n'a donc pu éventuellement le juger que dans des compétitions organisées en Belgique. Tu peux me communiquer son nom en MP. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre-Yves DESSIMOZ Posté le 25 juin 2020 Share Posté le 25 juin 2020 Salut, le point culminant de la route qui borde le lac de Hongrin se situe à 1558m (je viens de regarder ma carte EM "Rochers de Naye") les "Agités", une sorte de col, qui permet de relier le col des MOSSES à Corbérier (une route à fort pourcentage au dessus d'Aigle, que je n'ai empruntée qu'une fois, la dernière car je la trouve trop dure). Mais tu peux grimper, en gravel, au col de la Pierre du Moëllé à 1661m, où se trouve une barraque militaire, je l'ai aussi faite une fois avec un alu qui pèse un âne mort! Pour revenir au Hongrin, on peut descendre le col des MOSSES jusqu'à Montbovon , remonter à la Lécherette et les MOSSES, par la route nord du Hongrin. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Georges MAILLET Posté le 25 juin 2020 Share Posté le 25 juin 2020 "J'ai discuté avec une connaissance commune, professeur ordinaire de linguistique de la langue française à l'université de Budapest, attaché culturel à l'ambassade de Hongrie à Paris à ses heures perdues ; un CV long comme ton bras, tu vois le genre." Oui, Jérémie, je connais bien le professeur Le Merdic qui, comme son patronyme le "trahit", est d'*** bretonne - prénom "Hervé", ascendance bretonne confirmée, sa soeur se prénomme Maryvonne, on en reste là 🆒"Il me fait remarquer que le verbe "accroire" est utilisé uniquement à l'infinitif,toujours précédé d'une forme conjuguée du verbe faire ou, plus rarement verbe laisser. Faire accoire (hum ...) à quelqu'un = le tromper, lui mentir".Wikipedia n'a pas de secret pour toi ... je ne saurais te le reprocher, j'en fais autant (en n'emporte pas le van 📢)."Ton utilisation de ce verbe dans la locution la faiblesse d'accroire est, selon ce type, un hongrissime . Je ne fais que transmettre."Barbarisme hongrissime, pour être précis 😲Je m'arrête là, les carottes que j'ai épluchées sont cuites 🤐Donc, szalu ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean-Pierre FOURNIER Posté le 25 juin 2020 Share Posté le 25 juin 2020 j espère que tu n 'est pas monté comme un Hongre .....je pense que tu sais ce que c 'est 😃 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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