Eric MATTEIN Posté le 23 octobre 2019 Share Posté le 23 octobre 2019 moi personnellement fan de course à pied, une douleur récurrente au talon d'Achille qui ma motivé à faire du vélo. découvrant vélo 101 et le défi des 10000 ,je suis en passe de le réaliser cette année.Je ne l'aurais jamais cru..ET VOUS? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Christophe CAPON Posté le 24 octobre 2019 Share Posté le 24 octobre 2019 Ma première expérience avec le velo remonte à mon adolescence durant le tour de France avec mon frère et quelques potes on avait confectionné des maillots distinctifs semblables au tour et on se prenait pour des champions en faisant la course dans le quartier plus de 3 decenies plus tard la passion n est jamais redescendu ma plus belle randonnée reste à ce jour Bordeaux Paris Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eberhard SCHWERDORF Posté le 24 octobre 2019 Share Posté le 24 octobre 2019 Aller au boulot à vélo, réparer soi-même faute d'économies, s'initier à la mécanique, améliorer la machine, et pour finir (ou pour vraiment commencer), l'énorme satisfaction d'un premier col franchi. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eberhard SCHWERDORF Posté le 24 octobre 2019 Share Posté le 24 octobre 2019 Faire comme papa, souffrir, détester souffrir, puis apprendre la souffrance, ensuite la tolérer et enfin aimer souffrir jusqu'à la fringale parfois. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eberhard SCHWERDORF Posté le 24 octobre 2019 Share Posté le 24 octobre 2019 Faire comme papy, laisser le temps au temps, dérouler dans la vallée et planer sur les cimes, comme un oiseau. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge MASSELOT Posté le 24 octobre 2019 Share Posté le 24 octobre 2019 Bjr,Comme plusieurs d'entre vous les "défis " de quartier font partis de mes "premières " courses .En fait j'ai été baigné dans le vélo : mon gd père , ma mère et mon père mais j'ai été le seul de mes 8 frères et sœurs à pratiquer le cyclisme .Ce qui me motive c'est la liberté, le grand air , les défis , le dépassement de soi et la souffrance ( maso) .....je sais autant pratiquer le cyclotourisme que la compétition. A+ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cedric ROUVRAIS Posté le 24 octobre 2019 Share Posté le 24 octobre 2019 Hello ! Moi j’étais un adepte du football quand je me suis gravement blessé au genou à 18 ans. N’ayant pas envie de reprendre, et par ailleurs adorant le tour, je me suis tourné vers le vélo. Seul d’abord, puis avec mon père pendant une dizaine d’années et maintenant au sein d’un club avec une cyclo en montagne comme défi annuel. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eberhard SCHWERDORF Posté le 24 octobre 2019 Share Posté le 24 octobre 2019 Merci, ça me va droit au cœur ! 😢 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bernard MISCHLER Posté le 24 octobre 2019 Share Posté le 24 octobre 2019 Jacques Anquetil et Raymond Poulidor ont bercé ma jeunesse , mon demi course à 14 ans , mais j'ai d'abord fait du basket pendant plus de vingt ans , puis j'ai enchainé avec le cyclotourisme , aujourd'hui je fais plus de rando pédestre que de vélo , sport toujours et à 67 ans j'ai la chance de ne prendre aucun médicament, pourvu que ça dure http://bernard.mischler.free.fr/equacycle/http://bernard.mischler.free.fr/equacycle/mon%201er%20course1.jpg Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bernard VAILLANT1639476554 Posté le 24 octobre 2019 Share Posté le 24 octobre 2019 Il y a plusieurs faits déclencheurs. Mon père était un "grand" cycliste. Véritable cyclotouriste il s'échappait régulièrement pour visiter telle ou telle région de France. Il m'a initié au voyage.Un peu plus jeune j'allais régulièrement chez un cousin en Flandre Occidentale Belge, à vélo (25 km). Il organisait avec ses petits copains Flamands des courses autour du village. Je ne comprenais pas grand chose bien que je sois arrivé à me faire comprendre d'une jolie fille d' un village près d'Ypres, premier flirt qui m'a fait oublier un peu le vélo.Premier voyage seul de Lille à Trêves à moins de 16 ans. J'ai été bouleversé là d'entendre en direct la mort de Simpson (je voyageais avec un "transistor" !). Gros problème d'argent, plus un sou au milieu des Ardennes. Trop long de rentrer à Lille directement. Arrêt à Bruxelles chez la grand-mère de mon célèbre ami qui, lui, était en Espagne. Je jure que le GPS est peu utile lorsqu'on a faim. On trouve !Ajoutons la passion médiatique à suivre les courses de l'époque que je voyais comme très "romantiques" et d'"épopées". Je n'ai jamais cessé de pédaler. Pendant 13 ans à Paris uniquement en urbain. A Dijon uniquement VTT. Retour à Lille, route. Bretagne, route mais j'ai cessé. Les routes, je trouve, y sont incroyablement dangereuses et je trouve magique le bord de la mer, inaccessible en VTT -bien que certains l'oublient au risque d'abimer le GR34-. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean-marie NICOL Posté le 24 octobre 2019 Share Posté le 24 octobre 2019 Eh bien moi j'ai toujours été coureur à pied, pendant environ 34 ans, en passant du semi aux 100 km, courses de 24 h etc etc, mais à force de compétitions répétées, j'ai fini par saturer, et en 2014 pour mes 60 ans ma femme m'a offert un VTT.Mais faire l'andouille sur des bosses, m'a vite saoulé, et mon caractère aventurier est vite revenu à la surface.Je suis allé sur LBC, et j'ai échangé mon VTT contre mon Cobra. Depuis on ne se quitte plus. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel DURY Posté le 24 octobre 2019 Share Posté le 24 octobre 2019 Vers 14 / 15 ans par là, expédition fabuleuse avec montée gigantesque, aventure menée avec succès grâce à deux potes qui n'avaient peur de rien.Distance totale de cet exploit: 9 km. Oui, il n'y a pas d'erreur, neuf petits kilomètres de distilla d'ailleurs et de bout du monde du coin de la rue. J'étais très fier d'en revenir vivant.Bon, après quelques fois, un goût de trop peu, envie de plus (tu m'étonnes!) et la forme aidant, je m'aventure plus loin mais ce ne sera qu'à 18 ans que je m'inscrirai dans un club.La motivation était de sortir de la maison où l'ambiance était horrible, et de goûter ce délicieux parfum de liberté tous les dimanches. Jouer à la coursette avec les copains, s'éclater quoi. Les décennies ont passé et maintenant la motivation qui m'anime est le bien être que ça m'apporte, le maintien de la condition physique et le plaisir de rouler sur du beau matos. C'est parfois dur de s'y mettre, mais quel bonheur une fois les 15 premiers km passés!Et puis, bien entendu, décrocher un 10.000 de temps à autre! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michael RUFFIER Posté le 24 octobre 2019 Share Posté le 24 octobre 2019 Je n'ai pas trop fait de vélo quand j'étais plus jeune. Tout juste un peu de VTT pour aller voir les copains en passant par les chemins.Adulte, je ne possédais qu'un vieux VTT premier prix, puis il y a 10 ans, on m'en a offert un (Giant) un peu plus performant. Je l'ai utilisé quelques fois puis je me suis lassé.Quand il a fallu que j'arrête le foot, le badminton et la course à pied, il m'a fallu quasiment 2 ans pour essayer le vélo de route. J'avais lu quelques articles et posts sur les forums (ici, entre autre) disant que ça n'était pas si mauvais que ça pour le dos, et me suis décidé à investir dans un BH d'un autre temps, en dura ace. 24, puis 35, puis 40 km... Puis, des envies d'encore...C'était il y a 2 ans, et depuis, un peu plus de 14 000 km. Le temps passe... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Christian SOREL Posté le 24 octobre 2019 Share Posté le 24 octobre 2019 J'aime varier mes activités, le vélo en fait parti, mais n'en est pas pour autant le centre du monde !Toutefois, je trouve que cette activité est relativement socialisante, donc bon l'humain et son rapport avec l'autre ..à conseiller sans modération 😃 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Franck PASTOR Posté le 24 octobre 2019 Share Posté le 24 octobre 2019 J'aimais faire des sorties à vélo sur les routes voisines de chez moi à Grenoble, en plaine comme en montagne, mais occasionnellement. Mon père faisait des sorties bien plus régulières, mais moi comme sport je faisais surtout du judo en compétition et de la course à pied pour le plaisir, donc je ne l'accompagnais pas souvent dans ses randonnées.Un genou abîmé par la course à pied puis les frayeurs occasionnées par quelques mauvaises chutes en judo m'ont amené à me consacrer bien plus régulièrement au vélo. J'ai donc pris la relève de mon père dont la pratique cycliste a malheureusement ralenti à peu près à la même période. C'était il y a déjà un quart de siècle... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jacques VANDEWIELE Posté le 24 octobre 2019 Share Posté le 24 octobre 2019 J'ai fait du vélo comme tous les gamins principalement pendant les vacances mais ce n'était pas mon sport.Ce fût le basket qui a baigné toute ma jeunesse et même un peu plus longtemps puisque j'ai joué jusqu'à l'âge de 38 ans. Pendant 10 ans j'ai joué en nationale comme meneur de jeu ( vu ma taille ) mais j'allais vite et je shootais facilement et avec pas mal de réussite. Plusieurs sélections nationales en équipe universitaire.Puis après le basket je me suis mis a courir des semi-marathons et régulièrement des joggings de 15 à 20 kms . Et puis les douleurs aux genoux et surtout aux chevilles sont apparues . Je payais mes 25 années de basket sur des surfaces qui n'étaient pas les planchers actuels et en plus les " baskets " n'étaient pas étudiés comme de nos jours. Je me suis donc alors naturellement tourné vers le vélo. Le VTT que je pratiquais à l'occasion mais en pleine évolution de ma carrière professionnelle le temps dévolu au sport a forcément diminué.Ce n'est qu'en 2007 que j'ai repris sérieusement le VTT en me lançant le défi de rallier Saint Jacques de Compostelle. Ce que j'ai fait en mai 2008. Et ensuite j'ai alterné le VTT et le vélo de route ( 2011).En 2014 , second pèlerinage à Compostelle (VTT) et Rome en 2017 (vélo de route sans bagage , mon épouse transportait ceux-ci dans la voiture).Je fais environ 6000 kms/an et du haut de mes 73 ans j'éprouve énormément de satisfaction à toujours pouvoir être actif sportivement. C'est pour moi un gage de santé.A bientôt, je vais rouler ..... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Olivier MILLIÈS-LACROIX Posté le 24 octobre 2019 Share Posté le 24 octobre 2019 Bonjour,Moi ce sont mes origines alpines qui m'ont conduit à faire du vélo. Dans ma jeunesse je vivais avec mes parents hors de la France, mais les presque trois mois d'été se passaient dans les Alpes, où tous les ans passait le Tour, avec des étapes épiques, parfois tout près de la maison. (Le gamin que j'étais n'a jamais oublié le passage d'Ocaña, puis de Van Impe puis du Groupe de Merckx dans l'étape d'Orcières de 1971). C'est ainsi que le vélo est devenu avec les copains notre passe-temps estival favori et je me rappelle des premiers petits cols montés sur un vélo trois vitesses à guidon plat et roues de 600.Puis j'ai eu à 14 ans mon premier vélo de course (je l'ai encore), mais après un très gros gadin l'année d'après j'ai moins roulé, pour arrêter presque complètement lorsque j'ai commencé mes études à Paris. C'est grâce au vélib que j'ai recommencé à faire du vélo, pour aller au travail. Puis j'en ai eu assez de voir ces pauvres machines vandalisées, j'ai donc voulu avoir mon propre vélo, pour le vélo taf, puis un autre pour le cyclosport, puis encore un autre plus typé montagne, etc....Ce que j'aime dans le vélo, outre le sport, c'est la liberté qu'il donne, et aussi qu'il est le meilleur moyen de découvrir et explorer de beaux endroits : en voiture on est toujours un peu enfermé, on va trop vite, et on ne peut aller partout, et à pied on est trop lent et on ne peut aller loin. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre BOCCHIO Posté le 24 octobre 2019 Share Posté le 24 octobre 2019 Enfance, adolescence, dit Isaac. Oui. A l'adolescence le velo m'a donné la liberté d'aller voir mes copains (quartier excentré...), donc d'en faire souvent sur des distances de plus en plus longues. D'aimer ça et de partir découvrir les villages et paysages alentour. Ne manquait plus qu'au lycée un nouveau copain qui venait de loin et qui avait pratiqué la compétition, pour me dire: "C'est bien, mais il te faut un cuissard, et on va te clouer des cales sous les chaussures". Après, c'est fini, le virus est inoculé. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sylvain KARLE Posté le 24 octobre 2019 Share Posté le 24 octobre 2019 Super a lire tous vos récits !A meme pas 10 ans j'ai lu un bouquin sur Fausto coppi ça m'a ému et j'ai toujours suivi le TDF depuis cet age d'abord a la radio .....ensuite jusqu'a 15 ans avec un demi course je me baladais et faisais déja des 50-60 km , ensuite de 16 a 18 ans en club cyclo ou j'étais le + jeune , mon premiers 100km bien vallonné a 16 ans avec 4 crevaisons et des crampes ! a 17 ans un 200km ( les côtes de Moselle), puis l'armée , un peu les filles et moins de vélo mais toujours un minimum , vers 25 ans une année de compétition histoire d'essayer (un bon souvenir) , maintenant depuis quelques années je tourne a 6000km +/- avec régularité...Le vélo c'est la liberté , le gout de l'effort , les paysages , la nature ..... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre-Yves DESSIMOZ Posté le 24 octobre 2019 Share Posté le 24 octobre 2019 Mon papa était fan de Gino Bartali, dont il vivait à la radio les aventures, puis regardait le TDF à la télé, même quand il n'y voyait plus rien ou presque, ça m'a tjrs surpris qu'à part la politique, rien d'autre ne l'intéressait! Enfant je n'ai eu qu'un seul vélo que j'ai mal choisi, car il devint rapidement trop petit alors que juste à côté dans le magasin il y avait un VDC avec de gros pneus blancs et j'ai tjrs regretté de ne pas l'avoir acheté. Lors de mes études j'ai souhaité un VDC pour me changer les idées, mon père m'en offrit un d'occase, trop grand, trop vieux, avec une selle toute tordue (le gars s'était bien contorsionné dessus…), mais j'ai pu réaliser mes rêves, escalader mon col fétiche le Sanetsch et ses 2251m , et faire un tour de Suisse Allemande avec 2 potes étudiants. Il va sans dire que mon premier salaire servit à en acheter un neuf, tout beau, à ma taille ou presque, mais lors d'une belle semaine de cols chez vous, il a péri écrabouillé par un chauffard! Trente ans plus tard je vais boucler ma 3ème année de challenge : 30000 bornes! Et dire que j'en connaissais un qui faisait ça en 1 année...je ne l'ai jamais plus revu sur un vélo! Ce n'était donc pas un vrai passionné... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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