Bernard MOREAU

Tu connais " Alice et bob " sur Google ,un drôle de truc scientifique. Larry Page et Sergey Brin - les fondateurs de Google - n'étaient pas nés quand : Stephen Wiesner (en) a émis pour la première fois, au début des années 1970, l'idée de pouvoir utiliser les phénomènes quantiques dans des applications liées à la sécurité. et donc de créer la cryptographie quantique fondée sur l'intrication quantique et les idées d'Einstein, Podolsky et Rosen émises en 1935. Donc Google n'a rien à voir avec la création d'Alice et Bob dont ils (Page et Brin) espèrent bien un jour tirer profit.

A mon avis cet herpès (Bardet est loin d'être le seul affecté, euh, pardon, impacté) est une conséquence qui survient quand il a trop tiré sur la corde et non pas une cause qui lui couperait les pattes. Mais c'est toi le toubib 💋

Un coup de lime 😉😃

Tu ne crois pas ceux (dont Franck et moi) qui se plaignent d'un manque de puissance des patins sous la pluie et tu rappelles ton anecdote avec les freins CLB. Il semble en effet difficile d'imaginer des expériences qui contredisent les nôtres. Tu n'as donc pas lu ce message où je disais que j'avais abandonné une course à Crest parce que ces mêmes freins CLB étaient tellement insuffisants sous une pluie diluvienne, nettement moins efficaces que ceux des autres concurrents. Combinaison roues/freins excellente sur le sec, abominable sous la pluie. PS /voirsujet/velo-andre-sabliere--45832

Je n'ai rien contre les freins à disque si ce n'est leur poids, leur prix et leur inutilité pour ma pratique du vélo 😃. Freins à patins faiblards. Une autre fois j'ai raconté comment, surpris par l'arrivée rapide ds un mini rond-point d'une voiture rapide j'ai dû freiner d'urgence et même avec mes CLB maigrichons j'ai bloqué ma roue avant, mais sentant ma roue arrière se soulever, j'ai relâché le frein avant de culbuter. Freins à disques. Je ne les ai utilisés qu'en 2014 sur un VTT que j'avais acheté pour aller en Bolivie faire l'épreuve d'ascension Yolosa-La Cumbre (1229 m à 4657 m). J'ai été surpris au 1er coup de frein, mais il ne m'a guère fallu de temps pour apprendre à doser. Au cours de mes sorties d'accoutumance à ce vélo en France puis d'entraînement en Bolivie je n'ai jamais eu à faire de freinage d'urgence. Pas de freins du tout : j'ai aussi eu l'occasion de raconter comment j'avais terminé une course après avoir cassé mes câbles de freins avant et arrière au premier tour dans le seul virage vraiment difficile du circuit. J'avais anticipé et en quelques rares occasions fait du freinage à la Robic (mon avatar actuel) en utilisant les cales en aluminium de mes godasses cyclistes frottant sur la route. J'avais réussi à boucher le trou chaque fois que j'avais dû laisser partir le peloton et à m'échapper de celui-ci ds le dernier tour pour aller chercher une place (11e si je me souviens bien). C'était ma 1ère course de la saison l'année où j'étais monté en 1ère caté. et je n'avais pas encore fait l'entretien du vélo avec le changement des câbles de freins.

... Cadel Evans n'est pas beaucoup plus grand que Caleb Ewan 5,5% plus grand 174 cm contre 165 selon wiki.

Agrégée de lettres de formation. Y'en a des comme toi ds ma famille 😃 et même une, retraitée, qui s'est cassé l'humérus au printemps en perdant l'équilibre dans son garage et en tombant SUR son vélo 😲. J'ai bien aimé ton idoine macédoine du jour. PS : il te reste une grosse 1/2 h pour corriger ta faute d'orthographe ds le sprint final 😉

C'est ce qu'on appelle se jouer de ses adversaires. Ahurissant ce qu'a fait Ewan!

Dans ma jeunesse j'ai tenté 2 fois l'expérience de freiner sur du verglas, juste pour voir. Je dois dire que la 1ère fois (vers mes 20 ans) j'ai été très surpris, je m'attendais bien sûr à une expérience négative, mais c'est la rapidité des conséquences qui m'avait surpris : j'avais à peine effleuré la poignée de frein que j'étais au sol. Sans mal heureusement. 10 ans plus tard les conditions me semblaient propices, avec de meilleurs freins et un dosage encore plus fin, pour retenter l'expérience. Le résultat fut identique, chute immédiate. Tout est bien sûr une question d'adhérence caoutchouc sur glace ou surface huileuse. Elle n'est guère meilleure dans le second cas que dans le 1er. La seule technique susceptible de donner un résultat sans chuter serait (peut-être) de sortir les petites roues, c-à-d de laisser glisser les pieds sur le sol assis sur le cadre.

Vive l'anarchie !

Je viens de me rendre compte que la montée de la Colmiane, c'est le col de Saint-Martin, C'est l'info que je cherchais ! (Une année j'avais laissé la voiture au pied du col de Vars et dormi à St-Martin-Vésubie en passant par la Bonnette à l'aller et par la Cayolle (sauvage et magnifique versant Nord) au retour le lendemain.

Un beau petit arc en sol. Tu veux dire un aspect moiré

Michel, comme tu habites un pays où il pleut tout le temps, je comprends bien que tu n'as jamais eu l'occasion de rouler/courir sur des routes telles que celles d'hier dans l'arrière-pays niçois : 1ère pluie après 2 mois parfaitement secs. Il est permis de penser que Van Aert est au moins aussi adroit sur un vélo que ton idole Eddy Merckx, pourtant il a chuté hier en sachant qu'il allait chuter : il s'est trouvé obligé de freiner, donc de tomber, il n'a pas expliqué pourquoi il n'avait pas "sorti" les pieds pour se stabiliser. En Russie on court sur de la glace, mais avec des pneus à clous. Aucune des équipes hier n'était équipée de boyaux à clous. Pour Degenkolb, je suis d'accord : incohérent, élimination pour 3 mn ds ces conditions c'est de la déconnade totale. ------- Plus bas tu as répondu à Guillaume : Bien sûr que si que j'ai compris que c'était un verglas d'été. Mais quand on courait sous la neige, c'était un verglas d'hiver tout aussi dangereux. Tu as compris, mais tu n'as expérimenté la chose. J'ai suffisamment roulé sous la neige pour savoir que ce n'est pas du tout aussi dangereux. Quand il neige dans nos contrées, il est rare que l'on ait en même temps du verglas.

... certains sont mêmes culs nus Si on en voit malgré tout en 2020, on saura que les culs nuls ne sont pas des anglais en vacances mais des anglais résidant en France 😃.

Merci! Je ne suis pas toute l'actualité, manque de bravitude de ma part 😳

Il va vite pour en finir plus vite et ne pas entendre les bêtises de Ségo sur le vélo Probablement pas pire que sur V101 les commentaires sur la politique 😆😆😆 (poitevine ou charentaise). (je n'ai rien entendu des dites bêtises, étant chez des amis cet ap-m.)

Bon, je me suis trompé de belge 😲😆. Enlève ça quand tu lis mon message de 11h02 et garde le reste 😉. Maintenant que ma vitesse cycliste est indiquée par GPS, je ne la connais plus vraiment, mais je sais bien que sur route sèche je prenais toujours les virages de mes descentes habituelles à la même vitesse quand j'avais un vrai compteur et 5 km/h moins vite (+ ou -) pendant les 2 années où j'ai eu de la ferraille dans le fémur.

Une vitesse "max raisonnable", ça veut dire quoi ? Une conduite en bon père de famille ? Si je me souviens bien, tu nous avais dit que tu ne savais pas descendre, donc je comprends que tu ne ... comprennes pas mon idée. (C'est à plus de 40 ans que je me suis rendu compte en course que je me débrouillais plutôt bien dans cet exercice). Aurais-tu par hasard vu cette descente de Jonathan Hivert dans le Giro, y'a 3-4 ans où ayant pris un zig ou un zag un poil trop vite il n'avait dû son salut qu'à une providentielle entrée de garage d'une propriété privée où il avait pu quitter la route en sécurité ? Eh ben voilà : il avait juste dépassé la vitesse max. et ça se voyait pour le téléspectateur que j'étais. 3 ou 4 fois ds des cyclosportives je me suis aperçu que je dépassais ma vitesse max en entrée de virage et j'ai utilisé l'espace disponible pour freiner à fond en restant en ligne droite, quitte à rouler dans l'herbe, pour ensuite virer et reprendre ma course.

... mais il y a déjà des signaleurs lors des passages dangereux , Mais c'est très sommaire puisqu'on n'a que 2 catégories : dangereux/ non dangereux. Je propose une gradation du danger.

Et pour les descentes de cols ... on préconise quoi ? ...il n'y a pas de solution . Je ne parle pas pour ON mais à titre personnel j'ai une préconisation pour les descentes de col. Il me semble possible d'évaluer assez précisément la vitesse max raisonnable pour des pros ds les descentes de cols. Des panneaux en carton pourraient en informer les coureurs. Avec l'expérience ils verraient ce qu'il en est de ces préconisations et évalueraient s'ils estiment avoir une marge supplémentaire ou au contraire s'ils doivent rester en deçà. Comment établir cette vitesse max? Par les coureurs eux-mêmes dans leurs reconnaissances des cols par temps sec. (On peut en faire de même pour temps pluvieux). Au fil des ans on aurait des estimations de plus en plus précises.

On t'a connu plus sérieux Karl 🙄

... même la barbe est blanche Ben, écris un conte pour enfants appelé Barbeblanche pour faire oublier Barberousse. Et sur le vélo, ce n'est pas la période pour essayer de te surpasser. Courage.

Pas de la faute des organisateurs qui ne peuvent pas prévoir ce geste de taré.. Et faire une arrivée d'étape destinée à se terminer avec un peloton groupé ce ne serait pas un acte encore plus criminel? Presque de la préméditation car ce n'était pas la 1ère qu'ils faisaient cette arrivée sur le Tour de Pologne. Et tu as vu de quoi étaient faites les barrières dont des morceaux ont volé vers la route? Je suggérerais la suspension pour 3 ans du Tour de Pologne.

Non, pas très jolie, juste ordinaire et entre 2 âges, mais courant à l'évidence vers le 4e âge. La dame qui m'a aidé dimanche quand je me suis trouvé en difficulté sur ma route de retour de Bretagne était nettement plus attrayante et bien sûr super-sympa, y-a-t-il une corrélation?

J'avais l'impression d'être parti tranquille pour un menu assez copieux avec pas mal d'incertitude sur le vent. Pour le dénivelé j'avais prévu le Marchairuz (1449m) avec retour par la Givrine (1128m). Au final c'est bien ce que j'ai fait, avec vent favorable léger sur pas mal de secteurs du Marchairuz, mais je roule trop lentement pour que ça fasse une différence notable. Temps parfait : 27° et sec vers 400 m d'altitude et dans les 19° au Marchairuz. Les nuages ne sont arrivés qu'à la fin de la sortie : j'ai eu ma dose de vitamine D. Entre le Brassus (en bas de la descente du Marchairuz) et la frontière française, le vent m'a bien ralenti. C'est le moment où juste avant la douane, j'ai vu ce muret d'une hauteur idéale pour une pause afin de bien boire et de manger un peu. 2 huskys m'ont accueilli comme il se doit, mais en moins d'une minute ils se sont calmés. J'avais presque fini ma collation quand une grosse voiture est arrivée conduite par une dame qui m'a demandé de déguerpir au prétexte qu'il y avait une plaque sur la clôture voisine marquée "privé". J'ai juste ramené mes jambes plus près du mur et après être descendue de la voiture pour me faire ses remontrances pendant plus d'une minute (au risque de se faire emboutir car elle était sur la route), la dame est rentrée se garer dans l'espace libre. Je ne gênais absolument pas. Mais à l'évidence j'étais chez elle et elle n'aime pas ça. Tiens, pas plus tard qu'il y a 8 jours, une quinzaine de cyclistes s'est arrêtée là, des français bien sûr. Et moi, étais-je français? Il y en a même qui pissent sur le côté. Je l'ai rassurée : ses préjugés tiennent la route : je suis français. Je ne me suis pas pressé, j'ai fini ma collation et je suis parti content de ne pas être aux US car elle aurait sûrement sorti un flingue. Après la frontière le vent était moins gênant. Au final une sortie de 104 Km avec presque 1600 m de D+ effectuée en 4h56. Une moyenne de vieillard bien sûr, mais une sortie que j'ai terminée bien entamé. D'ailleurs mon compteur POLAR M460 est du même avis. Moralité : si vous roulez depuis le Brassus vers les Bois d'Amont/ Les Rousses, arrêtez-vous vous asseoir sur ce muret idéal juste avant le poste de douane. Vous serez bien accueillis. La dame n'est pas rousse, elle rouspète.