Pour une fois aucune restriction. C'est un bagage SPéCIAL comme un autre, les compagnies aériennes donnent les détails sur leurs sites. Spécial par la taille, comme des skis le seraient. Les conditions varient selon les compagnies. Les bagagistes n'en ont rien à faire que les roues soient fragiles et ne mettent pas forcément correctement les vélos en soute. Mais KLM m'a remboursé mes frais (enfin, à 85%) pour la réparation de mes roues endommagées entre Genève et Lima en 2017. (Evidemment, il faut vérifier le matériel dès l'arrivée avant de sortir de l'aérogare, pas toujours évident). J'avais utilisé un carton de vélo, plus facile à manipuler qu'une valise rigide. Peut-être voir s'il ne serait pas moins problématique de louer sur place (selon l'endroit bien sûr). Ce n'est pas donné pour un vélo haut de gamme (bien plus cher qu'en Espagne par exemple), mais a-t-il besoin d'un tel vélo s'il ne s'agit que de s'entraîner? Si le vol transatlantique ne mène pas à la destination finale, se souvenir qu'on passe la douane à l'entrée dans les USA, pas à la destination finale.