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Michel ROTH

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Tout ce qui a été posté par Michel ROTH

  1. Le barème actuel peut être résumé comme suit: F1 F2 F3 1er 12 8 6 2ème 5 5 4 3ème 3 2 3 Où le nombre de points se lit comme suit : choisir une colonne de F entre F1 et F3 (par exemple F2) et une ligne de résultat : entre 1er et 3ème (par exemple 3ème): on obtient 2 points à l’intersection de la colonne et de la ligne (dans cet exemple, qui peut se lire 'votre F2 termine 3ème, vous avez 2 points'). Il y a 3x3 combinaisons possibles. F1 F2 F3 F4 F5 1er 12 8 6 ?? ?? 2ème 5 5 4 ?? ?? 3ème 3 2 3 ?? ?? 4ème ?? ?? ?? ?? ?? 5ème ?? ?? ?? ?? ?? En appliquant un système identique pour 5 coureurs on obtiendrait 5x5 = 25 combinaisons de points. Attention !! Cela est beaucoup plus compliqué qu'avec 3 coureurs. D'abord il faut remplir les 16 cases vides supplémentaires (celles marquées d'un ??) et probablement modifier le barème actuel (basé sur seulement 9 entrées) On peut essayer de trouver autre chose qu'un tableau à 25 entrées, mais c'est changer complètement la philosophie du jeu en introduisant une autre façon de calculer les points. Ce ne serait plus le même jeu ! Il faut rappeler que les F4 et F5 ne servent qu’à départager les ex-aequo. En cas de la prise en compte de 5 joueurs, il faudrait une nouvelle manière de départager les ex-aequo (le premier qui a pronostiqué parmi les ex-aequo est classé 1er ?? ) Personnellement je suis pour ne rien changer au barème si ce n'est de comptabiliser les bonifications hors coefficients. Donc accorder 3, 2, 1 points quelle que soit la course.
  2. J'ai corrigé le lien. Il doit marcher maintenant.
  3. Interview d'Andy Schleck dans le week-end sportif hier sur la RTBF. L'interview commence à partir de +/- 9 minutes. http://www.rtbf.be/video/detail_week-end-sportif?id=1962705
  4. Merci à Guillaume (sans oublier Laurent Guilcher pour son interim) pour avoir assumé les classements et pris en charge l'organisation de ce petit jeu. Félicitations au vainqueur, Pierre, qui réalise un beau doublé: saisons 2013 et 2014 ! @+
  5. Bonjour, Prono envoyé en MP à 9h46. @+
  6. Belle rétrospective Guillaume. Bravo. Une partie de sa conférence presse dans la vidéo présente sur le lien ci-dessous. http://www.rtbf.be/sport/cyclisme/detail_schleck-decu-de-mettre-fin-a-ma-carriere-de-cette-maniere?id=8374007 On lui souhaite bonne chance dans sa reconversion
  7. C'est oublier qu'il se préparait aussi pour les classiques ardennaises. Il a d'ailleurs remporté LBL avec panache et compte plusieurs podiums sur ce genre de courses. Comparer avec Pinot me semble hors propos.
  8. retraite sportive Quel sport ????????????????? Voilà pour te rappeler de quel sport il s'agit puisqu'il semble que ce soit toi qui semble souffrir de la maladie d'Alzheimer (qui s'écrit avec un h et un A)
  9. Michel ROTH

    Stybar

    Je ne sais pas s'il participe à Paris-Tours ? Je n'ai pas trouvé de liste complète des participants. Terpstra y sera par contre. D'après ce que je me souviens de son interview, Stybar termine en effet sa saison par des cyclo-cross car il veut courir avec son maillot de champion du monde
  10. Michel ROTH

    Stybar

    😆 Amitiés également cher Isaac.
  11. Superbe victoire de Zdenek Stybar dans Binche-Chimay-Binche. Bien sûr ce n'est pas une course WT, mais il dépose tous les sprinters dans le final sur route pavée. Même Degenkolb n'a rien su faire ! C'était en direct sur la RTBF. http://www.rtbf.be/video/detail_stybar-remporte-binche-chimay-binche?id=1961481 Dommage qu'il ait chuté lourdement dans l'Eneco Tour car il aurait été un outsider sérieux aux mondiaux. A l'interview, il confiait qu'il n'était pas encore revenu à 100 % après sa terrible chute. Il bat tout de même des ténors comme Degenkolb, Vanmarcke, Van Avermaet,...
  12. Bonsoir, Prono envoyé en MP ce samedi à 20h06 @+ Michel Roth
  13. Bonjour Gérard, C'était une rando que j'avais organisée le 15 août 2006 et à laquelle j'avais mis au programme la célèbre trilogie de Liège-Bastogne-Liège (Wanne, Stockeu et Haute Levée) avec, pour point d'orgue, un passage dans la belle région germanophone du pays, en passant d'abord par le toit de la Belgique (au signal de Botrange). C'est à cette occasion que j'ai fait, pour la première fois, la connaissance du sympathique Serge Delesalle. C'est dommage, mais je n'étais pas à la rando que tu évoques, celle de Bruno du 1er mai 2006. Mais j'ai fait plusieurs randos de Bruno à partir de 2007. Lors de ma première participation à la rando de Bruno (en 2007), j'avais pris le départ malade. Un début de gastro-entérite m'avait empêché de m'alimenter et de boire suffisamment. Ce fut un calvaire durant les 20 derniers km et c'est François Perrin et un ami de Bruno qui m'ont remorqué et encouragé jusque l'arrivée. Nous étions tous solidaires et je leur en suis encore reconnaissant. J'ai fait d'autres randos de Bruno après 2007 dans de bien meilleurs conditions physiques pour moi. C'est lors de ces randos, qu'outre Serge Delesalle que je connaissais déjà depuis le 15 août 2006, j'ai rencontré d'autres amis cyclos français: comme Jean-Daniel Lotovic, Isaac Stene, Jean-Louis Castel, François Perrin, ... et peut-être d'autres dont j'ai oublié le nom (je m'en excuse auprès d'eux). Je ne vois plus souvent Wilfried et Bruno, mais si l'occasion se présente je ne manquerai pas de leur transmettre toute ton amitié. Michel
  14. Bonjour Daniel, Oui, il fut un temps où le forum permettait de faire de belles rencontres. Voici un autre récit d'une rando de 2006. Le texte est de Serge Delesalle. Désolé c'est aussi un peu long, mais rappelle de bons souvenirs. -------- 15 août au matin. Comme le chantait BREL: avec un ciel si bas qu'un canard s'est perdu, la Belgique ardennaise, somptueuse mais humide, se réveille. Et oui, il faut que je m'y fasse: ma seconde rando belge sera humide comme la précédente, la ZOÉ de Namur/Huy !!!! 20 mai nonante six. Je vous passe les préparatifs: nous avons tous à peu près les mêmes figures imposées. Moi, c'est le bordel en plus ... Je suis prêt. Pas d'excuses. Faut y aller. Dans la cour de l'hôtel, je bichonne mon vélo. Le sol est mouillé, mais il ne pleut pas. Et si le ROI EDDY que nous sommes venus honorer nous avait preparé un bon de sortie Soleil ? En moins de temps qu'il ne m'en faut pour l'écrire en pianotant d'un seul doigt, je suis au point de rendez-vous face à une église et une stèle erigée en mémoire des victimes de la folie des hommes pendant la dernière guerre mondiale. Le premier randonneur que je vois, c'est PATRICK, collègue de HUY et voisin de pasta-party. Puis arrive MICHEL que je connais depuis la veille quand, interpellant un cycliste que je croisais afin qu'il m'indique la direction de STOCKEU, nous nous étions présentés et amusés de la situation. Nous avions d'ailleurs passé une bonne partie de l'après-midi ensemble! la convivialité belge.... Arrive ensuite le RENAUD: celui que j'appelle affectueusement mon mat de cocagne. Puis, je fais connaissance de quatre autres randonneurs: PIERRE et son pinarello; FABRICE et son tarmac; et mes deux minots de 23 ans, le RÉGIS et son pote VINCENT, casaque bleue tous les deux. C'est parti. Vu les gabarits des quatre derniers, je me fais la promesse de ne pas déconner. Seul représentant FRANÇAIS, j'ai des responsabilités de représentation. Les premiers kilomètres sont en descente. Le sol est humide, mais il ne pleut pas. C'est toujours cela de pris. Arrive une église; tout le monde vire à droite; je fais pareil et... oh la vache! LA CÔTE DE WANNE: impressionnant! Hormis les 2 minots, cette côte en 2 étapes, nous l'avons grimpée presque groupés. Mais je respire mal, j'ai chaud, je transpire sous ma veste manches longues. Je ne dois pas être le seul car, en haut, plusieurs tombent les k-way. Et moi ma veste, je l'enlève et me l'attache autour du cou! Le groupe est reformé. Nous attaquons la descente, très pentue de mémoire, puis 2 ou 3 relances coup de cul dont je rafole. Et je ne suis pas le seul: les RÉGIS, VINCENT, FABRICE et PIERRE aussi. La connivence cycliste s'installe petit à petit. On ne se jauge plus, on roule ensemble. À la sortie d'un virage, et sous nos yeux, en contrebas dans son écrin de verdure, la ville de STAVELOT est charmante. Une descente vicieuse avec des trous nous y conduit. Le STOCKEU qui me fait rêver depuis 1 mois est là sur la droite. Et là, mes amis, on ne rigole plus! Mythique, ils l'ont écrit! Ils avaient raison. Les deux jeunots démarrent arc-boutés comme pour un sprint, tellement à fond qu'ils ont failli écraser un chat. Sur les photos prises en haut de STOCKEU, ils sprintaient encore..., tranquillement, avec la sagesse de ceux qui savent. Le RENAUD s'échappe, moulinette activée; l'écart ne se creuse pas trop. Il est gentil aujourd'hui ! Au passage des 21%, j'ai failli envoyer PIERRE dans l'herbe avec mes zigzags. Tout de suite derrière nous, l'élégant FABRICE et son Tarmac carbone superbe. Suivent nos 2 co-responsables de nos souffrances actuelles, qu'on sublimera plus tard: PATRICK et MICHEL. Pour parler comme à Paris, j'en ai chié, mais c'était jouissif la côte de STOCKEU. Et le regard de bronze du roi des belges MR EDDY himself sur sa stèle. Photos obligatoires, et faites par le beau-frère de MICHEL ROTH >). PARIS-ROUBAIX, je m'y crois. La traversée de STAVELOT: que des pavés! Et je commets ma première bêtise: j'oublie mes bonnes résolutions. Comme je n'aime pas être secoué, tout à droite à deux pignons près, le cul levé de la selle, je décide d'abréger ma souffrance et me voilà parti à fond. C'est vrai que je ne suis plus chahuté, mais c'est long la traversée d'une ville et je m'épuise (n'est pas DE VLAEMINCK qui veut). Quand le RENAUD me passe (il me passe toujours lui), accompagné des deux jeunots et de toute la bande, je comprends mon erreur. Honnêtement ému par STOCKEU, j'avais tellement eu la trouille de m'y vautrer que j'ai mis un certain temps à refaire surface. Et ce fut dans un raidard très long, LA HAUTE LEVÉE, en direction de FRANCORCHAMPS. Nos deux duettistes y ont fait leur numéro habituel: relance sur relance, avec un sourire à désarmer un CRS. Trop forts, ces deux là (j'ai cru comprendre qu'ils avaient été espoir VTT en Belgique !!!). Le monstre de STOCKEU ayant été négocié, plus rien ne pouvait m'arriver. Petit à petit, je retrouvais mes cannes, et quelques petites accélérations me faisaient du bien. Un vrai cadet (ma licence D3 comme le jubilador). Mais je crois que, pour tout le monde, le passage à la stèle avait fait du bien. Nous cheminions en haut de la HAUTE LEVÉE lorsque, j'ai LU de mes YEUX LU, un panneau SKI ALPIN. J'ai cru à une blague, une histoire belge, mais renseignement pris auprès de RENAUD et de RÉGIS, puis de PATRICK, le ski alpin cela existe en Belgique, puisqu'il y a de la neige et que les skis sont les mêmes qu'ailleurs !! L'albertibonarien que je suis confondait ski alpin et ski dans les Alpes. À ce moment de notre rando, le soleil est au rendez-vous, et pour les impatients, il le restera jusqu'...(non faudra aller au bout; moi je tape bien tout ceci avec un seul doigt!). Dans l'endroit où nous sommes, nous croisons pas mal de groupes de cyclos. Pas un dans notre sens; cela me revient maintenant: à croire que MICHEL, natif du coin, et initiateur du circuit, ne voulait pas faire comme les autres, ce en quoi il a eu raison. Nous sommes dans le parc naturel des Hautes Fagnes. Un faux plat montant qui n'en finit pas. PIERRE se joint aux deux pistolleros et tous les trois s'éloignent irrémediablement. FABRICE et RENAUD font cause commune. Je suis à distance. Nos amis PATRICK et MICHEL roulent de concert. La route est superbe et degagée, mais le vent est de face; et je le sens ce mur invisible qui m'empêche d'avancer. Je préfère une vraie côte. On peut se débattre, lutter, mais le vent de face c'est pas mon pote sur ce que j'ai vu. C'est surtout la specialité de PIERRE Après ce tres long faux plat usant où, un moment, j'avais tenté sans succès de lacher RENAUD et FABRICE (le RENAUD m'a mis dans le vent comme d'habitude! FABRICE aussi, soyons honnête), nous nous sommes arrêtés devant une baraque à frites (pas de la Mc D..., non de la binjte, de la patate, de la kartoffel BELGE et sa mayo!) À ce moment, en commandant piteusement, et presque gêné, deux cocas, j'ai regretté pour un instant, mais un instant seulement (formule de J. BREL), d'être cycliste RANDOPATHE. Que ceux qui ne connaissent pas la frite belge me jettent la mayo... Pendant ces agapes olfactives, le groupe des huit s'est reformé. J'avale un coca; d'autres du jus d'orange; certains rien que de l'eau; MICHEL se prend in the pocket une barre de céréales; PATRICK, une banane; les minots, pâte de fruit - mais pas sûr! Moi, je ne prends rien. Il me faut éliminer mes excès rabelaisiens de ma dinette et soifette de la veille au soir à l'eau de mélisse. Ce coin de Belgique, BARAQUE MICHEL, semble être le rendez-vous des cyclistes. Ils y arrivent par groupes entiers. Le temps se couvre, et avec ma tenue manches courtes, je frissonne. D'ailleurs, je suis le seul en tenue estivale. Ma mère aurait vu ça, je me serais fait engueuler. MICHEL donne le signal du départ. Frisquets les premiers kilomètres, je me surprends à lorgner sur l'imper plié dans la poche arrière de celui qui me précède! Et puis zut, pour se réchauffer, faut mettre le feu: vieille recette, mais toujours d'actualité. Profitant d'un faux plat DESCENDANT (courageux, mais pas téméraire, le parisien), je me lance dans une fuite en avant, espérant un bon de sortie de ces trois lascars: les deux minots et le PIERRE. Que nenni! Ils me collent au train. Je les sens derrière moi et, tout à coup, hop les voilà devant. Ils m'en remettent une couche et nous voilà partis pour une avalanche de relances et tentatives d'echappées dignes d'une course de cadets. Je prends un plaisir énorme à ce jeu, mais je dois, à la verité, de dire que nos tournes en rond à certains ronds-points pour attendre nos collègues m'ont permis de reprendre mon souffle, bien court par moments, et je les ai appreciés ... Cette partie de la Belgique, aujourd'hui verte et superbe, fut le théâtre d'une hécatombe humaine, d'un déluge de fer et de feu. Et malgré nos jeux cyclopédiques, le passage devant le mémorial americain de BAUGNÉ dédié aux PRISONNIERS GI'S massacrés par une SS panzer division, ne laisse pas indifférent. Sérieusement, je n'étais pas venu en Belgique pour voir cela, mais en suis reparti instruit de l'avoir vu! Au fait, même pas un pont d'autoroute, je n'ai pu le passer en tête. Le RENAUD ne s'en mêlait pas. Il est gentil mon mat de cocagne. Son copain de PARIS-NICE, FABRICE, aussi. Non, ce sont ces deux pistolleros, et l'homme tracteur MICHEL; lui, plus le vent est de face, plus il va vite! Même mon JUBILADOR ne ferait pas cela. Et pourtant, nous rentrons maintenant dans la BELGIQUE germanophone. Je ne connaissais pas, jusqu'à ma reconnaissance de la veille, cette particularité. On se croirait en Suisse. La route serpente entres les monts d'un vert foncé, rappelant le massif vosgien. Parfois aussi, tous en file indienne derrière PIERRE, véritable découpeur de vent. Gare à celui qui prend dix mètres. Il recule sous la rafale. Cela m'est arrivé, et c'est une virile et amicale poussette de l'un des deux dynamiteros en bleu qui m'a sauvé la mise. J'aimerais bien savoir lequel des deux car, sur le moment, j'ai seulement pensé a sucer sans vergogne la roue de devant... J'assume, il n'y a pas de honte a souffler un peu! Voyant le panneau directionnel de la ville d'arrivée, un relâchement s'opère, et c'est là que le MICHEL a été fort. Virage à droite au panneau MONT-LE-SOIE, et c'est reparti du 36X25 ou 23. M'en fout quand cela grimpe. J'aime cela. Le problème, c'est que nos Boonen des bosses, à un embranchement, se sont trompés, et tels les moutons de Panurge, nous les avons suivis dans leur cul-de-sac en s'arrachant de la pente. En plus, lorsque de concert, nos collègues MICHEL et PATRICK nous rapellent à la raison et sur le bon chemin - moralité - ils nous précèdent. Et en haut de ce MONT-LE-SOIE, hormis les deux furieux, nous basculons groupés - pour le moins très proches. La descente sur GRAND-HALLEUX est un régal. Je suis en fin de groupe et regarde les trajectoires afin de les imiter. Le sol, bien qu'en sous-bois, est sec. Une bien belle descente! Arrivé en bas, on tourne à gauche pour remonter les cinq bornes de la première descente du matin. Grand plateau et, bizarre, pas trop fatigué (elle viendra plus tard en bagnole). Je suis incapable de vous donner des moyennes et autres chiffres, mais je peux seulement essayer de vous faire comprendre que le vélo c'est aussi des gens d'horizons divers qui, par le truchement d'un forum, se donnent rendez-vous rien que pour du BONHEUR, sans oublier la déconne et le SACRO-SAINT POT de L'AMITIÉ. Il y a quand même des règles au jeu des cyclistes! Mon 15 août fut BELGE et j'en suis HEUREUX (si le prochain coup, il y en a qui veulent venir, ma voiture les acheminera avec plaisir!) ps 1: j'ai mal au doigt, mais c'est pas grave. ps 2: maintenant, je peux bien vous le dire, nous venions de commander nos boissons à ce pot, lorsqu'il s'est mis à pleuvoir. Le ROI EDDY avait calculé au plus juste son bon de sortie, mais il reste celui qui décide en son royaume de BELGIQUE. Récit par Serge Delesalle (Paris, août 2006) ------ Puis il y a eu les célèbres randos de Bruno où j'ai rencontré outre Bruno, Serge, Patrick, Régis et Renaud, d'autres cyclos venus de France comme Isaac Stene, Jean-Daniel Lotovic, François Perrin, Jean-Louis Castel,...
  15. Boonen était probablement déjà cuit de toute façon. En plus Boonen et Kwiatkowski sont deux OPQS.
  16. Oui c'est une explication qui tient la route, mais ils ils ont joué au poker menteur et ont perdu. Ils ont parié que Gilbert boucherait le trou alors que visiblement à lui tout seul on voyait que cela devenait mission impossible contre Kwiatkowski. En agissant de la sorte, ces coureurs s'avouaient battus et ne jouaient donc plus que pour la seconde place.
  17. Très belle victoire de Kwiatkowski et beau championnat dans les 3 derniers tours avec des attaques et contre-attaques successives. Kwiatkowski mérite d'autant plus la victoire qu'il a sacrifié une grande partie de son équipe à poursuivre les 4 échappés matinaux pendant plus de 100 km. Je trouve que les Belges ont bien couru tactiquement. En effet, on a vu Van Marcke et Tim Wellens dans les attaques. Puis, dans la phase finale, Gilbert a fait tout le boulot derrière le Polonais mais n'a reçu aucune aide de Valverde, ni de Gerrans. C'est vrai que c'est une habitude pour ces deux coureurs. Je me souviens que quand Gerrans gagne Milan San Remo, il ne relaie pas Cancellara une seule fois. Van Avermaert aurait dû être sur le podium pour une médaille d'argent ou de bronze si Valverde avait gardé sa ligne dans le sprint pour la deuxième place. C'était même à la limite de la faute quand il empêche Van Avermaet de le dépasser par la gauche. Dommage que Greg ait eu peur de frotter. A l'interview la tactique de l'équipe belge était la suivante. Tout pour Boonen en cas d'arrivée avec un gros groupe de coureurs. En tout petit comité, la tactique était de jouer la carte de Van Avermaet qui possède un bon sprint dans de telles conditions. Cela aurait pu réussir si Valverde et Gerrans avaient collaboré avec Gilbert. Mais Kwiatkowski fait de toute façon un très beau et méritant vainqueur. Au moins l'audace a payé contre l'attentisme de certains.
  18. Bonjour Emile, Tu as raison. Voici une autre vidéo:
  19. Victoire de Pino lors de Paris-Roubaix 1960: http://www.ina.fr/video/RCC01004326/victoire-cerami-dans-le-58eme-paris-roubaix-video.html Et celle à Pau lors de la 9ème étape du TDF 1963 (cliquer sur 1ère vidéo RTBF) http://www.rtbf.be/sport/cyclisme/detail_l-ex-coureur-cycliste-pino-cerami-est-decede?id=8360016
  20. Bonjour Clement, il détent toujours le record du coureur le plus agé vainqueur d'une étape du tour il avait plus de 40 ans! Tu m'avais devancé. Désolé je n'avais pas vu.
  21. Oui, on l'aimait bien Pino et tous les amateurs de vélo le connaissaient bien en Belgique. Né en 1922, il est d'origine italienne, mais sera naturalisé belge en 1956. Il détient toujours le record du coureur le plus âgé vainqueur d'une étape du Tour de France Vainqueur à Pau en 1963 à plus de 41 ans devant Darrigade et Groussard. Il était aussi l'invité chaque soir de l'émission télévisée d'après Tour durant le Tour 1969 d'Eddy Merckx, commentant avec verve les exploits du cannibale. Il fit une longue carrière: Pro de 1947 à 1963. Il connut les plus grands. Il fut équipier de Bartali, Stan Ockers, Walkowiak, Jean Brankart, Raymond Impanis, Rik Van Steenbergen, Fred De Bruyne, Ferdinand Bracke, Charly Gaul, Tom Simpson,...Il termina sa carrière chez Peugeot avec le célèbre maillot à damiers. Equipier modèle. Il aida notamment Van Looy à devenir champion du monde en 1960 en contrôlant Darrigade (1: Van Looy; 2: Darrigade; 3: Cerami). Une autre époque....
  22. Je m'en souviens. En plus, lors de cette étape, il avait écopé d'une pénalité en temps, pour soi-disant s'être accroché à la voiture du mécano pendant le réglage du vélo.
  23. Attention à Spartacus. Il rate rarement ses RDVs. Il s'est préparé spécifiquement pour.
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