J'adorais Chapatte, même si à la fin, dans les commentaires, il était un peu dépassé. De toute manière, il est parti au bon moment, dans la période Indurain et les folies de l'EPO. La voix de Chapatte, sa gouaille, sons sens de la répartie, resteront à jamais pour moi associés au Tour de mon enfance/adolescence. A cette époque, les coureurs avaient un style, les Roche, Lubberding, De Wolf. Aujourd'hui, ils pédaler tous pareils vous ne trouvez pas ? Je deviens nostalgique, à 44 ans, pas bon signe ça !