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Patrick ROUBAUD

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Tout ce qui a été posté par Patrick ROUBAUD

  1. Ici en Ufolep (Côte d'Or) tout le monde est classé. Bon les pelotons font rarement plus de 30 coureurs, ça doit aider^^
  2. C'est la puissance moyenne. C'est pertinent sur les segments en pente surtout. Par contre concernant le site en question je pense qu'il faut voir ça au second degré. Le titre du site et son logo veulent tout dire! S'il se voulait vraiment sérieux, il ferait plus dans la sobriété. Je peux pas imaginer une seule seconde que certains aient même seulement l'idée de vouloir truquer leurs perfs sur strava. Le vélo c'est quand même un sport où, si l'on s’intéresse un peu à la performance, l'on se rend vite compte qu'il a toujours bien plus fort que soit, donc bon vouloir truquer ses perfs sur un truc virtuel ce serait quand même le summum du glauque...
  3. C'est vrai que c'est un peu bizarre les équivalences. Ici en côte d'or il y a des 2 Ufolep qui courent avec les D3/D4, par contre quand je prend une carte journée FFC, bien que je soit en 3 Ufolep, je dois courir avec les D1/D2! A priori il ne se basent que sur l'age...
  4. Pareil pour moi concernant les braquets ^^ Mon premier col (et le seul, puisque après j'ai bougé dans des régions plus plates) était le Ventoux, je devais avoir 15 ou 16 ans au milieu des années 90, je l'avais monté sur un vélo de récup en 42x23, en t-shirt et basquettes ! Je me demande encore comment j'ai réussi à le monter, alors que je devais faire 1000 bornes par an à l'époque...
  5. Salut, je suis également très haut en FC en course: entre 167 et 176 de moyenne pour un maxi de 196 (soit 85/90%). J'ai même fait une fois 180 de moyenne (près de 92%!). Ma fc min est très fluctuante, souvent autour de 43/47, avec un plus bas à 37. Par contre c'est sur des petites courses Ufolep de moins de 2 heures. Sur des cyclos un peu plus longues je suis un poil plus bas, autour de 165/167. Au début je trouvais ça énorme, mais si tu regardes l'échelle esie de Grappe, c'est tout à fait normal. Comme toi je ne sais pas vraiment 'rouler' comme il le faudrait dans un peloton de course (je suis peu à l'aise au sein du peloton, je me place toujours soit sur un côté soit en tête, et ça m'arrive souvent de trainer 10 mètres derrière). Et puis je cours comme un cadet en arrêtant pas d'attaquer, mais c'est comme ça que je me fais plaisir! Patrick
  6. +1 il ne faut jamais s'arrêter ou presque pour progresser, le corps se désentraine très vite. Quand je me suis remis au vélo il y a presque 3 ans, je n'arrivais jamais à passer les hivers (ça me faisait chier de rouler dans le froid, et on perd vite l'habitude de rouler quand les beaux jours reviennent), et je coupais la moitié de l'année comme toi: pas de miracle je repartais à chaque fois de zéro ou pas loin. Je n'ai commencé à progresser que cette année, parce que je roule maintenant sans discontinuer depuis un plus d'un an. Bon j'ai quand même un peu progressé aussi l'an dernier, mais j'ai beaucoup roulé (1000 bornes par mois), et j'ai commencé à faire des sorties de groupe et des rando cyclos (ça booste forcément la motivation et la condition, de s'accrocher dans des roues, surtout sur des parcours un peu vallonnés). Ce que je faisais lors de mes reprises, c'est 2 semaines à rouler 'aux sensations', sans m'occuper du cardio (si j'avais du respecter les plages d'endurance j'aurais du rouler à 10 km/h...). Le tout en faisant 3 à 4 sorties par semaines de 2 heures. Puis lorsque je voyais que le cardio ne s'affolait plus à la moindre difficulté, je me forçais à faire au moins une des sorties en me limitant à 75% de fcmax. Ainsi j'arrivais peu à peu à faire baisser les pulses moyennes. Mais ça été très long! Si je n'avais pas eu un passé cycliste 10 ans auparavant, j'aurais laissé tombé le vélo car je ne me pensais par être fait pour ce sport tellement mon niveau était faible! Tout comme toi j'ai longtemps ramé à 24/25 km/h sur le plat à plus de 80% de ma fcmax, et étais scotché à 10km/h à la moindre bosse. Lors ma première cyclo l'an dernier j'ai finis en pleur et j'étais à deux doigts de raccrocher le vélo, tellement j'en avais chié tout en finissant pas loin de la dernière place. Et cette année je joue le top25 en prenant énormément de plaisir, donc accroche toi ça finira par venir! Mais la condition c'est de rouler beaucoup même si le temps est pourri (je déteste la pluie comme tout le monde mais cette année par le choix, donc sortie en mode guerrier), mais surtout de ne pas couper autant chaque année! Bon courage!
  7. Oui les prévisions ont évoluées, plus de pluie prévue mais du vent. Et de la fraîcheur, mais quoi de plus 'normal' en cette année bizarre!
  8. Le politiquement correct à deux balles encore... beurk! On devient pas un ange parce qu’on meurt...
  9. Non je ne pense pas, j'ai toujours eu un petit bide, même avant ma prise puis perte de poids. A confirmer lors d'une mesure de masse grasse, mais je doute que 10kg progressivement perdus en 3 ans laissent de la peau flasque comme pour les ex obèses.
  10. C'est un peu le 'drame' des gens qui sont naturellement maigres, comme moi. Je fais 58kg pour 176 cm, et quand je dis que j'ai encore 1 ou 2 kg à perdre on me regarde avec des yeux ronds. Pourtant mon taux de masse grasse (qui est effectivement plus important que l'IMC pour déterminer l'affûtage ) est au dessus des 10%. C'est mesuré avec une balance alors ça vaut ce que ça vaut, mais j'arrive à tirer des gros bourrelets de mes hanches et de mon bide avec chaque main, donc c'est sans doute proche de la réalité vu que c'est de cette manière qu'on mesure les plis. Quand je vois que je suis censé peser 65kg avec la formule donné plus haut, je me dis qu'il y a encore des progrès à faire dans les formules 'toute faites' qui ne prennent pas en compte la graisse abdominale (qui est la plus néfaste). J'ai atteins une fois 68/69 kg pour 176 cm, ce qui est mon poids idéal d'après certaines formules. Hé bien j'étais pas loin d'être en obésité abdominale pour ce poids .
  11. On s'y fait à force à la pluie :p Même moi qui détestais ça, j'ai fini par y prendre goût (pas le choix, au bout de plusieurs mois à ce régime là ^^), bon à condition que ce ne soit pas le déluge et qu'il fasse plus de 10° quand même! Reste la corvée du lavage de vélo...
  12. Personne ça ne m'étonne pas du tout, surtout sur moins de 10 minutes et sur une pente relativement forte. Hé oui le niveau en Pass n'est si ridicule que ça (par chez moi c'est eux qui font la course pas très loin de la tête sur les cyclos). Faut voir aussi que certains d'entre eux sont des anciens 3/2 voir elite. Pareil en Ufolep. La VAM dépend aussi bcp du temps et de la pente. Même moi qui suis un modeste Ufolep 3, j'arrive parfois à taquiner les 1200/1300 m/h, mais sur moins de 10' évidemment.
  13. Sur les cyclos du trophée de Bourgogne on peut toujours s’inscrire sur place et c'est seulement 2/3 € de plus. Je fais toujours comme ça, car vu le temps auquel on a droit depuis des mois j'ai pas envie de lâcher 30€ à l'avance pour m'apercevoir qu'un déluge est attendu le jour J.
  14. En plus les difficultés ont été gommées, c'est devenue quasiment une course de plaine. Je compte quand même la faire, mais je sens bien le départ bordélique à 50 à l'heure avec chutes en pagailles. Par contre pour répondre au msg du dessus, même si officiellement ce n'est pas une course (comme toutes les cyclos), beaucoup viennent pour 'courir', car si c'est pour la faire en solo autant charger le tracé GPS dans son compteur et la faire en solo un autre jour, et économiser 30 euros par la même occasion ^^
  15. Patrick ROUBAUD

    Laver son vélo

    Pour moi c'est un coup de chiffon vite fait (+ nettoyage/lubrification chaîne), et la station de lavage après quelques sorties sous la flotte, car pas la patience de démonter et nettoyer, il me faudrait des heures. Pourtant en roulant souvent sous la flotte sur des routes de tracteurs, il faudrait en théorie que je fasse un lavage complet après chaque sortie. Mais il faut avoir soit un garage/pièce dédiée, soit un jardin pour pouvoir laver avec éponge/seau comme dans la vidéo.
  16. Présent sur le 107 aussi. J'ai trouvé un peu dangereux certains passages, les petites routes du début en mauvais état et inondées où ça frottait (j'ai évité une chute de peu) et les mares qu'on du traverser (pas de bol pour les organisateurs^^). A un moment je pense qu'on était plus prés des 30 cm d'eau que des 10 :D (y avait de l'eau quasiment jusqu'à l'axe de la roue!) Par contre le départ mélangé décidé à la dernière seconde ça été une belle arnaque, j'étais en queue de peloton pensant me replacer après le départ des 155, du coup j'ai pas revu la tête de course avant plusieurs km et j'ai du me taper tous les trous à boucher dans les premières bosses (ce que j'ai finis par payer je pense)...
  17. Faut aussi prendre en compte le syndrome 'blouse blanche' qui fait élever la tension et les pulses lors d'une visite médicale, notamment chez les personne émotives. Par exemple dans mon cas, si je suis à 60/70 pulses chez le doc, c'est déjà pas mal, alors que chez moi je suis entre 40 et 50. Idem pour la tension, d'ailleurs c'est tellement rependu qu'on considère souvent que tension réelle = tension médecin - 1 à 2 point.
  18. Oui voila, tout le monde le fait inconsciemment (c'est assez flagrant quand on assiste à une course en tant que spectateur), c'est pour ça aussi qu'on en retrouve peu de trace dans les articles qui expliquent la manière de virer, alors que c'est primordial pour les gens hyper maladroit (comme je l'étais), qui ne le font pas instinctivement. @Albert: en ligne droite (sur une route sûre et dégagé!) et à faible vitesse, essai de tirer vers toi de manière brève/brusque le guidon avec la main droite . Tu va voir que le vélo va ensuite partir de lui même sur la gauche. Idem dans l'autre sens. Quand tu commences à bien ressentir cet effet, tu fais pareil dans des virages ou des croisements dégagés. Tu va sentir le vélo prendre tout seul le bon angle et la bonne inclinaison, permettant de prendre le virage sans freiner. Ensuite cela devient tellement instinctif que le plus souvent on a pas à penser à le faire. Dans mon cas, cela m'a en plus fait prendre conscience que l'on pouvait incliner très largement le vélo dans les courbes sans risquer de glisser (ce que je n'osais pas faire, donc j'étais presque droit avant quand je tournai, ce qui me faisait tracer tout droit souvent). Sans mes essais de contre braquage à l'entrainement, j'en aurais jamais prit conscience car je n'aurais jamais osé me pencher autant dans les courbes.
  19. J'ai été longtemps dans ce cas, parfois j'avais même l'impression de monter plus vite dans les virages que je les descendais! Je traçais des bouts droits dans les courbes, incapable de prendre des trajectoires. J'étais sans doute le plus mauvais descendeur/vireur au monde! J'ai dû laisser filer pas mal de courses à cause de ça. Et puis j'ai découvert le contre braquage (j'en parle dans un autre sujet) qui consiste à donner un petit coup de guidon dans la direction opposé au virage, ce qui fait virer/pencher le vélo tout seul ensuite (s’exercer d'abord sur le plat pour bien sentir le phénomène physique). Depuis, j'ai du mal à y croire, mais je prend mon pied dans les descentes, et en course je sens que j'arrive même à faire mal aux gars dans la roue dans des portions où je me faisait à chaque fois distancer! (maintenant c'est moi qui doit parfois freiner parce que les gars prennent pas les virages assez vite, un truc de fou pour moi!). Je suis pas encore à 100% sûr de moi (notamment quand il y du gravier/de la pluie), mais je suis déjà sur une autre planète quand je me compare à il y a quelques semaine en arrière.
  20. Je peux pas dire que je maîtrise vraiment le truc, mais le simple fait de l'avoir expérimenté quelque fois (en tournant 2/3 fois autour du pâté de maison en basquettes pour enlever le stress de la chute sans avoir le temps de déchausser) m'a permis de rapidement l'utiliser sans soucis sur mes petites descentes/virages habituels. Après c'est pas dit que je m'en sorte aussi bien sur des descentes très rapides et/ou très techniques, surtout au sein d'un peloton, mais déjà quel plaisir de pouvoir prendre les virages parfois même sans devoir freiner! Je n'ai pas non plus assez de recul pour vraiment chiffrer mes gains, mais sur la dernière course où je m'étais fait lâché, j'avais viré à moins de 30km/h sur un virage à angle droit situé en bas d'une descente ( virage avec graviers en plus...). Sur celle de dimanche, j'ai passé le virage que j'estimais dangereux (situé en bas d'une descente rapide, ce que je crains le plus) entre 40 et 45km/h selon les tours. Je n'ai pas de vraies descentes chez moi pour me tester, mais sur mes petites descentes de 2 km, je gagne entre 2 et 3 km/h de moyenne. Ça parait peu mais c'était justement ces 2 ou 3 km/h qui me manquaient pour accrocher les bon wagons sur ma dernière cyclo. Prochain test lors de la Bourguignonne dans 10 jours^^
  21. Bon suite à ma course d'il y a 15 jours (record battu, lâché au bout de 4 km dès le premier virage en descente alors que c'était un de mes objectifs de saison), je suis allé voir ce que proposaient les américains et j'ai trouvé un truc qui pourra aider d'autres personnes ^^ J'ai trouvé ça, http://www.flammerouge.je/content/3_factsheets/2006/descend.htm , notamment le paragraphe 'secret ingrédient', que j'ai mis un peu de temps à piger: le contre braquage. Ça consiste à donner un coup de guidon dans la direction inverse au virage: ensuite le vélo tourne tout seul dans la direction opposée. J'ai expérimenté à l'entrainement, et effectivement c'est magique, car le coup de guidon permet de faire un braquage serré très facilement en prenant appui sur le côté du pneu. Je me suis surpris à prendre du plaisir à virer! Dans la foulée j'ai même battu mon meilleur temps sur ma descente habituelle. Restait à tester en situation de course, chose faite cet aprem: petite descente rapide avec un virage à angle droit. Non seulement je n'ai pas été lâché, mais j'ai même réussit pour la première fois à gagner 1 ou 2 places dans un virage en descente, et j'ai presque aimé ça :D Après je ne sais pas si c'est dû au contre braquage en lui même, ou bien si le fait d'avoir fait du contre braquage à l'entrainement m'a permis de prendre conscience qu'on pouvait largement prendre appui sur les côtés des pneus sans risquer de glisser (au lieu de virer presque droit). Bon j'ai toujours peur surtout en peloton, et je suis encore loin d'être un bon descendeur, car il reste à confirmer et à tester sur des vraies descentes, mais c'est déjà un gros soucis en moins à devoir gérer en course...
  22. Hello, j'ai commandé une chaîne Shimano 5701 sur le net, livrée sans goupille à casser, mais avec par contre un rivet pré-monté (comme en bas à gauche sur cette photo http://pmcdn.priceminister.com/photo/chaine-route-shimano-dura-ace-7900-10v-materiel-de-sport-881339258_ML.jpg ). C'est normal? D'autant que la notice ne parle que de goupille, pas d'autre système. Il me semble que c'est comme ça que se fixaient les chaines il y a quelques années, mais je suis étonné de voir ça sur une chaîne actuelle. En plus le rivet en question me parait petit en longueur, une fois en place on ne le sens presque pas sur les côtés en raclant avec l'ongle, du coup ça me fait un peu peur, moi qui ai souvent des soucis de matos ^^ Patrick
  23. Pour moi c'est toutes les descentes, de toute manière j'ai jamais descendu de col de ma vie (à part le Ventoux dans ma jeunesse), mais je dirais que ce sont les virages en général, puisque j'ai beaucoup de mal à de suivre les pelotons dans les virages un peu serrés même sur du plat. C'est jamais la descente ou la vitesse en elle même (en ligne droite ça peut m'arriver de rattraper des gars et de faire quelques pointes de vitesse), mais c'est les virages qui demeurent un gros mystère pour moi. Dès le premier virage d'une descente je vois filer les groupes sans rien pouvoir faire.
  24. Merci de vos réponses! Je note pour les stages de vélo, je n'y avais carrément pas pensé! Au niveau région je suis en Bourgogne, moins vallonnée que le Var mais quand même bien bosselée. Sur les quelques descentes qui sont sur Strava je suis en général bon dernier :/ Même sur une descente près de chez moi que je fais pourtant à quasiment chaque sortie, je me prend 20 à 30 secondes en 1.8 km! (46 de moyenne contre 50 à 58 pour les premiers!)
  25. J'avoue que j'ai du mal à savoir comment je tiens mon guidon, j'ai l'impression d'être relativement détendu, mais j'ai une mauvaise vision de mon comportement puisque j'ai aussi l'impression de freiner en souplesse alors qu'un des gars m'a dit que je pilais ^^ Fraudais peut être que je me filme pour prendre conscience de ma façon de descendre. Autant avant lorsque je ne courrais pas ça me faisait presque sourire, mais là je viens d’enchaîner une course Ufo à devoir sprinter tous les tours après la descente pour combler 100m de retard, une FFC que j'ai du lâcher au bout de 10 bornes dès les premiers virages, et enfin cette cyclo... Je vais essayer d’enchaîner la même descente des dizaines de fois d'affilé à l'entrainement, pour voir si je peux 'sentir' mieux les virages et améliorer mes temps, mais bon je suis assez pessimiste :(
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