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Tout ce qui a été posté par Rémy LORIOT
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Du vin pour les tannins, et de la bière pour la levure. (Mais beaucoup !) 😃 En ce moment c'est tout.
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220 km , 10500 m de dénivelé sur le ventoux
Rémy LORIOT a répondu à un(e) sujet de Jean-Pascal ROUX dans Discussions Route
Ouf !!! Rien que d'y penser, j'en ai mal aux jambes ! Et puis maintenant, en fin de saison... ça va être d'autant plus dur ! -
220 km , 10500 m de dénivelé sur le ventoux
Rémy LORIOT a répondu à un(e) sujet de Jean-Pascal ROUX dans Discussions Route
Oui, d'accord, mais c'est pas fun quand même... Comme je disais, chacun voit midi à sa porte. Moi, c'est pas mon trip', c'est tout, et je me demande si c'est pas un peu chiant. C'est tout. -
220 km , 10500 m de dénivelé sur le ventoux
Rémy LORIOT a répondu à un(e) sujet de Jean-Pascal ROUX dans Discussions Route
Oui, d'accord, mais quand même... Par ailleurs, dans le cas qui nous occupe, concernant la montée du Ventoux entre St Estève et le Chalet Reynard, dans la forêt donc, tu conviendras sans doute que le panorama est quelque peu limité. -
220 km , 10500 m de dénivelé sur le ventoux
Rémy LORIOT a répondu à un(e) sujet de Jean-Pascal ROUX dans Discussions Route
C'est pas un peu chiant ce genre de "challenge" ? Pour moi, le vélo, hors des courses, c'est avant tout pour "profiter du pays". Alors faire tout le temps des allers-retours sur le même parcours... Rouler à Longchamps me gonflait un peu à cause de ça, même si d'un point de vue entrainement et ambiance, c'était cool. Mais bon, chacun voit midi à sa porte. -
Désigner Rémy Faure Caution Morale du cyclisme amateur ?!? C'est à peu près aussi opportun que nommer Marc Dutroux directeur de maternelle...
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Bien content pour Sagan ! La classe. Le plus beau champion du monde depuis Gilbert.
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Bonjour, votre avis (celui de spécialiste encore mieux) me serait précieux au sujet de l'intérêt de 2 types d'exercies en bosse : - est-ce intéressant de grimper façon Chris Froome sur des bosses de 1km, voire plus (combien ?) ? Exercice qui me semble utile, mais qui fait monter le coeur très haut très vite, et est du coup dur à tenir (perso, un max de 3km à 6/7%). - est-ce intéressant de grimper en "sous-maximal", (80-85% FCmax maximum) ? A ce sujet, pas mal de doutes. J'ai un peu peur que ça diésélise, mais en même temps, quand on analyse les temps des très bons grimpeurs, on s'aperçoit qu'ils grimpent souvent dans cette fourchette cardiaque.
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Bonjour, nouveau venu dans le Landernau des capteurs de puissance, c'est un modèle un peu genre Garmin Vector, avec possibilité d'avoir un capteur sur chaque pédale, ou sur une seule. - Quelqu'un connait (ou mieux, a essayé) ? - Si oui, quel est votre retour ? merci d'avance...
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Un repreneur pour Europcar
Rémy LORIOT a répondu à un(e) sujet de Olivier LEBOEUF dans Discussions Route
Ben justement, s'ils sont un peu plus "justes", financer une équipe pro de vélo, ça revient une bonne campagne de pub', avec une belle exposition médiatique pour le seul tour de France... à pas cher comparé au coût de l'équivalent en spots pub TV/radios etc... Pour ce qui est du financement World tour, je ne sais pas, (il y aura peut-être un co-sponsor ?), mais de toutes façons, ce n'est pas en regardant le résultat "net" qu'on peut présager de la capacité de l'entreprise à financer l'équipe. Ce financement rentrera dans le bilan comptable avant résultat. -
Nan, pas le temps... J'étais attendu sur St Jean de Luz vers 17h...
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2° du tour de l'Ain ? Sans doute pour ça non ? ça montre qu'il n'est pas cramé... Bon, en effet, je ne sais pas si ça sera suffisant... Mais c'est sans doute la raison.
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Ben j'aurais tendance à voir ça comme ça en effet.
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Bon, je ne poste pas beaucoup ici, mais pour une fois... Hier, à Laruns pour la journée "on s'y col" organisée par le CG64, FFC et FFCT. Fermeture pour l'occasion de l'Aubisque depuis la patte d'oie du Pourtalet. Après une bonne nuit dans mon van, échauffement matinal dans la vallée d'Ossau, par une météo qui, si elle n'était pas magnifique, était très correcte (nuages, mais plafond haut, un peu de vent, mais T° douces). Départ de Laruns initialement prévu à 8h30, mais en réel vers 8h50. On s'arrête un peu après l'embranchement, et on pose le pied pour attendre tout le monde, et que les photographes remplissent leur office. Départ vers 9h pour l'ascension du géant Ossalois. Je pars à un bon train, accompagné d'un coéquipier . On en laisse filer quelques uns devant nous, et on prend un bon rythme. On se fait la pancarte des Eaux-Bonnes pour rigoler, et là, je dis à mon accompagnateur que je vais devoir lever un peu le pied... En effet, les quelques 2,5 kg repris depuis le 15 août et l'allègement de mes règles d'hygiène de vie se font sentir... Je monte donc au train jusqu'en haut. Même si ce n'est pas une course, j'essaie de garder un bon rythme, et le participant que je vois revenir progressivement sur moi depuis le paravalanche de Gourette m'incite à maintenir l'allure. Je lutte, mais dois abdiquer à 1km du sommet, où je me fait doubler... 2,5kg de trop, c'est 5 bidons en plus si j'en crois le "mentor" du club... Bref, pour l'anecdote, le pote franchit la "ligne" en 1°, et moi, 5 mn plus tard, en 5° place, pour 1h02. J'espérais passer sous l'heure, mais en vélo, il n'y a pas de miracle... Super ravito au sommet avant le demi tour vers Laruns. Merci aux organisateurs. Avec route fermée, un régal (même s'il faut rester prudent en descente, avec du coup des cyclistes partout sur la chaussée dans le sens de la montée) ! Et comme je n'en avais pas assez, j'ai été me rajouter Marie-Blanque par Bielle.Que j'ai trouvé beaucou plus difficile que ce qui s'en dit. Les premiers km à la sortie du village sont vraiment difficiles, et le replat du Bénou (quel paysage grandiose !) s'il permet de reprendre son souffle et d'accélérer, ne gomme pas les pourcentages franchis, ni ceux qui restent à passer juste après dans ce km assassin qui conduit au replat vers le sommet.Ensuite, demi-tour, et retour à Laruns, pour une bonne petite crèperie avant le retour. Bref, une belle journée de vélo, avec 2 nouveaux versants de cols accrochés à la liste !
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Ben je sais pas. Déjà, Romain Sicard a toujours été un bon rouleur. Et puis, comme le sélectionneur mise un peu plus il me semble sur la "jeune génération", sur l'avenir tout au moins, ça permet en quelque sorte de récompenser un coureur qui, s'il n'est pas le choix le plus évident sur la course en ligne, mérite sa sélection aux vues de ce qu'il a fait cette année (tour et vuelta spécialement). Il pourra aussi faire un bon remplaçant si nécessaire...
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En même temps, 190m en 3 ans... encore heureux que tu n'aies pas eu de soucis...
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Attention, quand tout le monde est déjà "habitué", comme le sont les pros, il y a toujours des conditions climatiques qui favorisent (ou desservent) tel ou tel coureur. Mais là, je parle, à notre humble niveau, de s'habituer à supporter la chaleur pour celui qui ne l'est pas.
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Bien sûr, mais rouler sous le cagnard, ça s'apprend quand même. Le corps assimile. Un cycliste habitué à rouler en Sud Espagne (par exemple) sera bien moins handicapé par une forte chaleur qu'un Belge ou un Breton (par exemple aussi...) non rompu à l'exercice. Parce qu'il y sera habitué. Donc, ce que je dis, c'est que pour moins souffrir de la chaleur, et ben, faut sortir rouler quand il fait chaud pour habituer l'organisme. Moyennant quelques précautions, c'est tout à fait faisable. L'autre solution est de ne jamais faire de vélo passé une certaine limite...
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Ben la chaleur, c'est comme tout, ça s'apprend et ça se gère. En dehors des compètes, où on fait "comme on peut", il faut peut-être éviter de trop se rentrer dedans quand il fait trop chaud. Quand je dis trop chaud, je pense au delà de 35°C. En dessous, ça ne pose pas de réel problème. Juste bien s'hydrater, et si on peut, s'arroser de temps en temps. Ca s'apprivoise en somme. Et plus tu roules dans le cagnard, plus tu es apte à le faire. C'est comme le froid en fin de compte. Apprivoisable sans réel soucis jusqu'à 4/5°C.
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Aucun intérêt pour ce qui me concerne. Je trouve ces dérailleurs moches. De plus, l'hydraulique, c'est une maintenance plus compliquée, pour un "gain" hypothétique. Si en plus c'est plus cher...
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Si tu t'en souviens bien, je t'en ai parlé le jour de la Marcel Queheille Joachim. Faite l'an dernier, j'ai adoré. Même si j'étais pas au top, en retour d'une tendinite contractée lors de la semaine de l'Oisans... Tu verras si tu y vas, Issarbe, c'est encore plus dur à grimper par Lannes en Barétous. Et c'est en descendant par là où on est monté lors de la Queheille que j'avais tapé du 90 km/h. Tu sais, là où il n'y a presque pas de virages, et où il y a vraiment de la pente. D'ailleurs, à cet endroit, en montant à la Marcel Queheille, j'étais entre 7,5 et 10 km/h...
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Merci !
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Duathlon des ventes de bourses
Rémy LORIOT a répondu à un(e) sujet de Olivier LETELLIER dans Les évènements route
Des ventes de bourses ?!? Je garde les miennes personnellement... -
Presque la Larra-Larrau en quelque sorte.
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Votre pente la plus raide
Rémy LORIOT a répondu à un(e) sujet de Franck PASTOR dans Discussions Route
Salut Michel ! Alors Errozate, je ne l'ai fait que partiellement, puisque grimpé Arthaburu par Esterençuby, puis j'ai pris vers Sourzay pour aller vers le laquet d'Iraty et redescendre. Bon, l'essentiel était fait, d'autant que le même jour, j'avais grimpé Elhursaro par Arneguy avant... Je me rappelle d'un gros chantier, et d'avoir été planté en plein cagnard sur des km complets à plus de 15% de moyenne. Bref, une horreur... Mais pour comparer avec l'Artzamendi, difficile. Si Arthaburu (et donc Errozate) peut être qualifié de Zoncolan Basque, je dirais que l'Artzamendi est l'Angliru local... En fait, la différence se fait surtout sur le déroulé de la grimpée. Artzamendi, sur les 10/11 km de la montée, commence par une portion de 6/7 km où s'enchaînent les pentes très dures et de très courtes descentes, avant d'aborder un final infernal à presque 14% de moyenne sur 3,5 km environ, pendant lequel on est très souvent à plus de 20%. Cette portion rappelle ce qu'on rencontre sur l'Arthaburu pendant les premiers km après la bifurcation. En plus court, mais en plus dur. Voilà pour mon ressenti. Ensuite, les classer me semble difficile. Après avoir gravi l'été dernier Arthaburu, je m'étais dis que c'était le col la montée la plus difficile que j'avais effectué. Après avoir grimpé l'Artzamendi jeudi dernier, j'en suis moins sûr...