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Rémy LORIOT

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Tout ce qui a été posté par Rémy LORIOT

  1. Bon, pour apporter ma pierre à l'édifice, voilà mon avis : a rapport égal, petit plateau : meilleure combinaison si la qualité principale du cycliste est la vélocité. grand plateau : meilleure combinaison si la qualité principale du cycliste est la force. Ce qui semble corroboré par le ressenti d'Alain. Alors on me rétorquera que à vitesse égale, sur un rapport équivalent, la cadence de pédalage sera peu ou prou la même. Certes. Mais je suis convaincu qu'avec un plus grand plateau, on passe plus de couple, ce qui convient mieux aux "forceux".
  2. La suite donc : Le lendemain, après une bonne nuit de sommeil qui a suivi un bon repas arrosé au vin local, direction Bédoin pour le départ de la montée chrono. Là encore, même si je suis légèrement rassuré par mon expérience de la veille, j'appréhende la grimpée par Bédoin, réputée la plus difficile. Petit échauffement, et go ! Sur la ligne. Ca part très fort, dans la roue d'un concurrent en tong ! ça visse jusqu'à St Estève. Personnellement, je me relèverai un petit km avant ce lacet "stratégique" pour ne pas arriver pendu dans la pente. Je grimpe avec mon pote qui m'a accompagné l'essentiel de la cyclo de la veille. Il connaît les lieux comme sa poche, et me sera d'une aide précieuse pour parfois modérer mes ardeurs. Jusqu'au Chalet Reynard, c'est quand même copieux, il faut l'avouer. Même si il n'y a aucune pente insurmontable, on est toujours en prise, et c'est constamment exigeant. Et long. 9km à 9% il me semble. J'alterne les passages assis et en danseuse pour "répartir" l'effort sur les chaînes musculaires le mieux possible. Au Chalet Reynard, je me suis relativement épargné, et je me sens bien. Je propose donc à mon pote de durcir un peu l'allure. Il décline mon invitation et continue à monter à son rythme. Pour ma part, je relance dans les virages et les replats pour "gérer" les pentes les plus corsées. Je me sens bien, et je me régale. Un petit coup de moins bien dans le dernier km, qui est tout de même très costaud, mais je passe la ligne en ayant l'impression d'avoir tout donné, et sans avoir fini la montée "arrêté" pour autant. 1h17. Autour de la 20° place. Satisfait. Je visais là encore 1h20. Encore une fois, et sans faire le mariole, car, comme tout le monde, j'ai beaucoup souffert dans ces pentes parfois interminables, je m'attendais à pire. Heureux donc à l'issue de ce week-end. Le sentiment d'avoir réalisé un de mes plus beaux rêves de cycliste. Et littéralement converti à la "religion du Ventoux".
  3. 39x27, avec une cassette 10v en 12/27. pour moi, le bon étagement. Avant, j'avais une 11/28, beaucoup moins bien adaptée selon moi. Quand c'est dur, assis avec le 27, ou en danseuse avec le 24, c'est tout simplement parfait je trouve.
  4. Bonjour, non, rien à voir avec Moussorgski, il s'agit ici de relater mon week end passé autour (et sur) le Ventoux, à l'occasion de la Ventoux Beaumes de Venise et de la montée par Bédoin qui ont eu lieu les 6 et 7 juin derniers. Samedi matin, donc, départ à "la fraiche", enfin, si on veut, pour Beaumes de Venise et les 132 km de réjouissances qui nous attendent, avec en point d'orgue la montée du géant de Provence par Malaucène. J'avoue être dubitatif, et un tantinet crispé, tant on a en a entendu sur cette ascension. Départ donc, pas trop rapide, mais à bon rythme. Rapidement, les choses se corsent, et nous voilà dans une succession de petites ascensions casse-pâtes qui nous amèneront jusqu'à Malaucène. A Suzette, conscient de ce qui m'attend, je n'insiste pas pour rester dans le premier groupe, qui grimpe la bosse à vive allure. Je me fais rejoindre par un petit groupe, et c'est en comité restreint mais vaillant que nous abordons la montée du Ventoux. Je m'attends à l'enfer. En fin de compte, je gère plutôt bien, et passe le sommet encore relativement frais. Un copain avec qui nous avons effectué la grimpée a chronométré. 1h18 d'ascension. J'espérais le 1h20. Je suis donc satisfait. Si ce n'était jamais facile, ce n'était jamais infernal non plus. Et avec une bonne hydratation, régulière, je n'ai pas trop souffert de la chaleur. Mais j'imagine qu'en pleine après midi au mois de juillet, ça doit être autre chose. Sur la fin de la montée, nous avons repris un petit groupe qui a été lâché de devant, et c'est donc à une petite dizaine que nous attaquons la descente vers Saux et la traversée de la vallée qui suit. Les paysages sont magnifiques, et je suis émerveillé tout au long de la balade. La chaleur commence à augmenter notablement, et tout le groupe s'arrête au dernier ravito pour refaire les stocks. La suite se déroule à bon rythme, toujours à travers des paysages superbes. Au col de Veaux, alors que ça fait quelques bonnes et longues minutes que je prend les relais (je n'ai pas été feignant jusqu'alors, mais là, nous sommes encore moins nombreux à prendre le vent), quelques concurrents, dont certains discrets jusque là, prennent la poudre d'escampette. Je comprend que ça va être difficile de les suivre, et abdique. Un peu plus loin, lors de l'ascension du col de la Chaîne, accompagné d'un concurrent Belge avec qui nous avons beaucoup roulé, nous durcissons un peu l'allure, et nous extirpons de ce qu'il reste de notre groupe. On s'entend bien, et une fois passé cette dernière difficulté, collaborons dans la descente et la portion finale. Comble de malchance, mon compagnon perce son boyau arrière à 2 km du but... Je termine donc seul, et arrive à Beaumes de Venise sous un sacré cagnard pour une placette proche des 20... Content et crevé, finalement pas si massacré que ça par le Ventoux... J'ai adoré !!! La suite tout à l'heure...
  5. 500 kcal de différence par jour, ça me semble énorme. C'est presque 25% de la ration d'un sportif moyen !
  6. Pas tout à fait d'accord. Dire que le sport ne fait pas forcément perdre de poids, ok. Dire que pour maigrir efficacement, il faut en premier lieu manger correctement, ok aussi. Mais augmenter (ou démarrer) le sport (régulièrement, évidemment) permet toujours au corps de se muscler, et par voie de conséquence de maigrir (dans le sens "faire du maigre"). Pas forcément de perdre du poids. Quand Guillaume raconte qu'il n'a pas pris un gramme après un arrêt forcé suite à hospitalisation, c'est bien normal. Mais il a sans nul doute perdu du muscle, et donc "fait du gras"... Le sport est donc bien efficace, non pour perdre du poids, mais pour perdre (ou en diminuer la proportion) du gras. Ce qui est bien le plus intéressant en fin de compte.
  7. Oui, en plus, quand tu rentres d'une sortie en fractionné, ou d'une course, tu bouffes des calories pendant les 2 heures qui suivent (il me semble).
  8. En fait, quand tu es dans la fourchette 70% FC max, tu puises tes calories en majorité dans les Lipides. Quand tu es dans les tranches supérieures, tu puises partout. Dans le glyco, le lactique éventuellement, et toujours du lipide. Et tu crames beaucoup plus de calories. Donc, quand tu fais du fractionné, ou que tu travailles tes seuils, tu ne crames pas que du lipide, mais comme tu crames beaucoup plus de calorie, tu crames quand même plus de lipides qu'à sortie égale à 70%. D'ailleurs, ce n'est pas un hasard si on fait souvent amalgame entre affûtage et amaigrissement. Comme l'affûtage découle du travail du rythme, que c'est souvent à ce moment de la préparation qu'on sèche et qu'on perd les derniers kilos, ceci explique cela.
  9. Rémy LORIOT

    Alejandro

    Oui, oui, et encore oui. Sur la Doyenne, alors que les Katusha avaient parfaitement joué le coup, et que Rodriguez n'avait qu'à "cueillir" la victoire, c'est lui qui va chercher Moreno et calme tout le monde. Une leçon de vélo.
  10. En hockey sur glace, Gordie Howe doit au total avoisiner les 30 saisons pro. Martin Brodeur vient de terminer sa 25° saison il me semble.
  11. On est bien d'accord. Pour ce qui te concerne, ne t'inquiètes pas. A ton âge, comme je te le disais plus haut, tu es bien loin d'avoir atteint ton max. Déjà, à 18 ans, tu verras, ça sera plus parlant. Et comme ton niveau n'est pas dégueulasse, c'est encourageant pour la suite. Pour ce qui est de ton "soucis" de vélocité, ben ça se travaille sur des montées en faisant des exercices ad hoc. Ceci dit, qu'entends-tu par manque de vélocité ? Parce qu'en montée, il ne faut pas trop espérer faire du 120 rpm. 90 rpm, c'est déjà bien !
  12. Pour appuyer un peu mon raisonnement, en prenant tes paramètres en compte, tu dois monter en environ 1h22. Ce qui à ton âge est pas mal du tout en effet. Si je me fie à mes paramètres de "cyclo-coursier" moyen, plutôt grimpeur, je pense réalisable (en forme) de m'acquitter de la tâche en approchant 1h15/17. Pourtant, je ne suis pas un des tous meilleurs grimpeurs de mon coin en 2/3 FFC. Loin s'en faut. J'aurais la réponse à mon estimation lors de la Ventoux Beaumes de Venise. Tout ça pour illustrer mon propos (en prenant un exemple que je connais bien (le mien) et que je sais situer dans le niveau cycliste amateur) qui est de dire que tu ne peux pas te baser sur tes paramètres pour comparer avec des cycliste adultes. D'autant plus si on parle d'amateurs de haut niveau. Et même si 22 km/h, ok, c'est hallucinant, dis toi qu'il y a des amateurs comme Polveroni, Gallego, Ruffaut et autres qui sont capables de grimper le géant de Provence en à peine plus d' 1h/1h05.
  13. Oui, enfin, même si 22 km/h, c'est évidemment du niveau des meilleurs mondiaux, tu ne peux pas comparer avec des performances de cadet. Parce qu'à 16 ans, tu es très très loin du niveau maximum que tu peux espérer atteindre en grimpée. Même si tu est léger.
  14. Bon, à la lecture du fil, que je trouve intéressant, je vous livre mon avis. Il y a 2 type de fatigue. La fatigue "d'adaptation", quand on rallonge les entrainements, qu'on commence à travailler un type d'effort "nouveau", type fractionné, montées de cols etc... Cette fatigue là, même si elle fait mal aux jambes, voire tendons et ligaments, on en récupère bien. Il y a la fatigue de type "surentrainement" qui est différente. Même si au début, ça ressemble à l'autre. Là, la problématique est différente, car ça peut conduire à une régression du niveau sportif, mais aussi à d'autres pathologies (fractures de fatigue, dépressions...). Par rapport à l'autre fatigue, il s'accompagne d'une baisse d'envie, voire de motivation en général, de libido, perte d'appétit, problèmes de sommeil, irritabilité etc... Là, il est déjà presque trop tard, et une diminution drastique de la charge d'entrainement, voire une coupure complète sur plusieurs jours (jusqu'à plusieurs semaines) s'avère nécessaire. Pour se prémunir de ce soucis, il faut être à l'écoute de ses sensations. Ne pas "taper dedans" quand on est déjà crevé. ce qui ne veut pas dire qu'il est interdit d'enchaîner les entrainements s'il y a un peu de fatigue. Et surtout, garder à l'esprit que l'entrainement doit s'intensifier et augmenter en volume progressivement. Comme vu plus haut, on fonctionne par mésocycle, où on va augmenter par tranche de 10% par semaine pendant 3/4 semaine, faire une semaine à 70% de la charge de la semaine précédente, puis démarrer un autre mésocycle où la charge de la 1° semaine sera de 10/15% supérieure à celle de la 1° semaine du mésocycle précédent. Le tout en travaillant les qualités fondamentales, puis en intégrant progressivement les intensités. Et ainsi de suite jusqu'à atteindre le rythme de "croisière", avec un travail "optimal" du qualitatif. Faire des intensités ne pose pas de problème si c'est amené correctement. Sachant qu'une séance intense n'excèdera pas 2h. On récupère même bien souvent mieux de ces séances que des longues séances de fond, surtout si on y place des cols. Ensuite, on gère, et parfois on diminue même de façon non négligeable la charge à l'approche des objectifs (en conservant l'intensité). C'est l'affûtage. Vouloir progresser constamment est illusoire. Et impossible. Le corps passe par des paliers d'adaptation. C'est pourquoi il est important de prévoir une semaine plus légère régulièrement, qui marque la fin du mésocycle, et même un ou autre micro coupure, pour marque la fin des macrocycles. L'organisme profite de ces phases pour récupérer physiquement, mais aussi psychologiquement, et s'adapter. D'où également l'importance de la coupure de fin de saison (qu'elle soit totale ou qu'elle se traduise par une diversification/allègement n'est pas le sujet).
  15. Ben comme dit plus haut, on ne peut pas tout avoir. Une dévaluation de l'euro rend les produits importés plus chers, donc moins compétitifs. Mais, comme on l'a aussi vu, les marges sont souvent énormes. Ce qui laisse à certaines entreprise le loisir de baisser leurs marge si elles veulent conserver leurs parts de marché (voir même en profiter pour en conquérir face aux entreprises bénéficiant de moins de marge de manoeuvre). Alors, ça risque de bénéficier à l'activité économique du secteur industriel pour ce qu'il en reste, aux exportations agricoles et au tourisme. Donc ça peut aider à la création d'emploi. D'un autre côté, ceux qui bénéficient d'un revenu fixe vont voir leur pouvoir d'achat en produit importés hors UE décroître, ainsi que leur pouvoir d'achat lors de séjours à l'étranger. Donc, qui "râle" : les retraités, qui vont devoir payer plus cher pour acheter un séjour en Turquie ou en Thailande, ou payer plus cher leurs vélos et cannes à pêche. Et dans une moindre mesure ceux qui bénéficient d'emplois stables relativement bien rémunérés. L'augmentation des prix qui va résulter de cette baisse va en plus limiter la vague légèrement déflationniste actuelle qui inquiète tant. En fin de compte, si ça permet de réduire la consommation de marchandises merdiques à bas coûts de production, et à fort impact environnemental, ça sera toujours ça de gagné d'un pont de vue écologique. S'il faut en compensation que certains voyagent un peu moins ou changent de vélo tous le 4 ans au lieu de tous les 3 ans, perso, je ne vois pas où est le mal...
  16. Oui, moi ça me fait bien rire aussi. Mais ch'uis déçu qu'il ne me réponde pas.
  17. Et je pense que les exemples sont légion. Maroquinerie bas de gamme, textiles etc... tout doit être à l'avenant.
  18. Merci. Ceci dit, même si je suis content, je ne sais pas si j'aurais la chance d'avoir une autre occasion de gagner cette saison. Alors sur le fond, je suis quand même un peu déçu...
  19. En faisant une recherche, tu vas trouver un fil titré "sorties au départ d'hendaye" ou "vacances hendaye" ou un truc comme ça. Tout ce qui y est proposé est adaptable au départ de Ciboure.
  20. Dis toi que 1/3, par rapport à d'autres secteurs, c'est finalement pas tellement énorme comme marge. Par exemple, pour les chaussures de "sport" ou pour être plus précis, pour les chaussures des marques de sport, le prix arrivée au port (Europe) est d'environ 1/15 à 1/20 du prix de vente ttc... ça laisse rêveur...
  21. Oh je pense que tu as encore une belle marge de progression. Par exemple, en travaillant lors de montées de longs cols, des séries de PMA en bosse sur, mettons 6 répétitions de 6' à PMA, avec récup' de 3' entre chaque répétition, le tout avec 6 bouteilles d'eau de 1,5l (ou des briques) dans un sac à dos, tu devrais booster tes capacités naturelles, qui, je trouve, sont moyennasses voire médiocres. Ca devrait te permettre d'atteindre la vitesse raisonnablement moyenne pour tout cyclo qui se respecte de 25 km/h sur la montée du Ventoux. Soit un bon 19km/h sur la grimpée du Zoncolan. C'est quand même un minimum comme objectif je trouve.
  22. Ok, merci à vous pour vos précisions. Sinon, en effet, ça me semble très différent selon les comités... Pour certains, si tu es descendu de 3°, dès la 1° victoire ou à partir de 10 points, hop ! Tu remontes ! Certains comités comme en IDF te font monter en 3 dès 5 pts au classement FFC, d'autres tolèrent jusque 20 pts... En IDF toujours, une place dans les 5 au niveau sup' te fait monter d'office, pas partout... Etc... etc...
  23. Salut ! Hier, 1° course en Pass de l'année pour moi. Petit peloton, circuit de 3,3 km à parcourir 20 fois. Départ en faux plat montant sur 300 m, légère et courte descente, puis coup de cul à 6/7% sur 300 m, virage à droite, plat, virage à droite, descente un peu sinueuse mais pas trop pentue, relance sur le plat, et la ligne. Ca met 3 ou 4 tours pour sortir. Je tente quelques fois ma chance, et je saute systématiquement dans les roues jusqu'à ce que ça parte. Ca finit par marcher ! Nous voilà donc partis à 6 pour plus de 50 km d'échappée, bien organisés. J'avais prévu de flinguer à 2 tours de l'arrivée, en haut du coup de cul, mais je me fais prendre de vitesse dans la partie le plus dure de la bosse, juste au moment ou je passais mon relais... Le gars sort en costaud, et le temps qu'on s'organise, l'animal avait pris pas mal d'avance. Du coup, les relais de certains étant trop appuyés pour que la poursuite soit efficace, empêchant d'autres de prendre les leurs, ça ne revient pas, et au final, ça tergiverse. A 1km de la ligne, sur le plat, voyant ça, je tente le tout pour le tout et je mine. Je n'arriver pas à reprendre le fuyard qui va gagner seul. Je finis 2 détaché. Content mais déçu à la fois... Y'avait la place... Ceci dit, ça fait quand même du bien de courir à un niveau plus accessible que les 2/3/J de d'habitude...
  24. Bonjour, je me pose une question : Les points du barème de courses Pass Cyclisme sont-ils pris en compte pour le classement FFC en fin d'année ? Parce que j'ai peut-être mal cherché, mais grosso modo, je m'arrête à ça : 6 points pour le 1°, 4 points pour le 2° etc, 3 points pour le 3°, 2 points pour le 5° et 1 point pour le 6° si je ne m'abuse. Ca, c'est le fameux barème. Au bout de 25 points de ce barème, montée de caté (D2 à D1, D1 à 3° etc...). Et en fin de saison, (ça dépend des comités, mais grosso modo c'est ça) 20 points ou plus au classement FFC => 3° caté ou plus en fonction du barème. Mais je n'arrive pas à trouver de texte qui précise si les points du barème Pass sont pris en compte (ou pas) pour le classement FFC. Si quelqu'un peut éclairer ma lanterne, merci d'avance.
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