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Jean GUY

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Tout ce qui a été posté par Jean GUY

  1. Je peux m'occuper du parcours et leur concocter quelque chose qui ressemblerait à l'Amstel Gold Race 🆒
  2. En fait je n'ai pas remarqué ça sur les plusieurs vélos à disque que j'ai essayés, d'abord parce que je le répète : il y a cette nécessité de mettre des pneus plus gros (ce qui compense). Pour le dernier (F8 à disque), il était en boyau de 25 mm, donc pas évident de vraiment comparer. Néanmoins, je ne crois pas que la différence de confort soit si sensible.
  3. Bel exemple de mauvaise foi quand tu sais que ce vélo est équipé de sacoches Bah en fait non, j'en sais rien, et quand bien même tu transporterais ta maison avec toi pendant tes sorties, n'attends pas que tous les cyclistes pratiquants en fassent de même. Surtout qu'il ne me semble pas que tu voyages en vélo. Marrant que tu parles de mauvaise foi, alors que tu es un menteur patenté, qui pendant des mois a affirmé que Yves Martinez était ton admirateur 😃 Enfin ! Heureusement que je suis présent pour meubler ta morne existence. Rêve pas trop quand même.
  4. Le mot "humilité" te convient bien, toi qui a besoin de t'inventer un ami virtuel pour glorifier tes sorties de cyclotouriste... 20, 21, 22 kg ? Faudrait savoir... C'est le poids d'un vélo électrique.
  5. Je ne pense pas que ceux que tu nommes les "anti-disques" essaient de rallier qui que ce soit à leur point de vue. Pour un vélo de course, le but a toujours été d'aller le plus vite possible, pas de freiner dans les meilleures conditions possibles. Et tu remarqueras d'ailleurs que le freinage à disque n'est pas optimal dans les longues descentes de col. La supériorité dans ces conditions n'est pas démontrée compte tenu des choses qui sont encore à améliorer. Ensuite, tu as ceux comme Jérémie qui font du Gravel ou des longues randonnées sur terrain varié, qui plus est dans une région souvent humide. Je comprends son point de vue, et l'intérêt qu'il trouve dans les disques. J'ai deux vélos, et si je devais en avoir un troisième, il serait à disque. Parce qu'en troisième vélo je voudrais une machine pour me balader sur routes et chemins, dans les graviers, la boue, la neige ou simplement sur des pistes cyclables. Mais ce n'est pas la même pratique que lorsque je roule avec mes potes compétiteurs, dont certains sont pros ou quand je fais en solo mes sorties à 34 de moyenne. L'incompréhension vient du fait qu'on nous sort des vélos de course à disque. Et c'est d'ailleurs exactement le sens de l'interrogation au départ de David. Les "anti-disques" comme tu les nommes affirment à juste titre qu'un vélo rapide et qu'un vélo à disque ne forment pas la meilleure combinaison possible. C'est aussi simple que ça.
  6. A la différence tout de même que ceux qui ne sont pas favorables aux disques pour leur pratique ne sont pas les mêmes que ceux qui ne voyaient pas d'intérêt aux 11 vitesses ou au Di2. Moi ce qui m'étonne dans le discours des "pro-disques", c'est toujours cette conclusion qui se veut indiscutable : "vous verrez, vous n'aurez pas le choix, on vous l'imposera de gré ou de force." Et ceci sans argument technique pour contredire les arguments contre l'utilisation de disques sur un vélo de route.
  7. Le choix d'un vélo est toujours une histoire de compromis.
  8. Ils en sont tellement enchantés que Kittel par exemple n'a pas pris son vélo à disque pour les étapes de montagne (là où il en aurait le plus besoin - même chose pour Matthews). D'ailleurs si aujourd'hui les trois équipementiers principaux proposent des disques, peux-tu me dire ce qui empêche un seul coureur d'une seule équipe de rouler avec des disques en compétition s'il le souhaite? J'ai discuté il n'y a pas plus tard que mercredi avec le patron d'une marque prestigieuse qui équipe la plus grande équipe du monde, spécialisée dans le "marginal gain. Les coureurs ont le choix, ils ont les modèles de vélos qu'ils veulent à leur disposition. Ils ont testé. Et pour eux ça va moins vite, tout simplement.
  9. Jean GUY

    Stade 2

    L exemple le plus flagrant le pauvre Vino quand il se fait chopper pour transfusion alors qu il fait un tour formidable et qu il menace Lance comme par hasard ils ont le méme doc Fuentes et comme par hasard il refile une mauvaise poche de sang a Vino pas le siens , grossière erreur le pauvre se fait attraper et armstrong s envole vers la victoire , ah la la magouille et compagnie et pour les moteurs et les vélos trafiqués ils ont bien du en profiter avant que tout ne soit révélé. Le genre d'intervention qui décrédibilise totalement son auteur.
  10. Normalement, la sanction est de deux ans. Si seulement une sanction de six mois a été retenue, c'est qu'il a été considéré des circonstances atténuantes. Ne pas se présenter à un contrôle (à ne pas confondre avec un No Show qui concerne les contrôles inopinés) est une faute mais certaines circonstances peuvent expliquer ce manquement aux règles antidopage. Par exemple si l'athlète n'est pas prévenu dans les règles, s'il abandonne la course et qu'il quitte le lieu de l'épreuve (cas le plus fréquent), si son entourage ne s'est pas renseigné des coureurs tirés au sort, etc. En gros, cela peut arriver à tout le monde, du moins à tous ceux qui ne prennent pas la peine de vérifier à la fin d'une course (même s'ils ont abandonné) s'il y a un contrôle, s'ils sont tirés au sort. Et ce, dans toutes les catégories.
  11. Oui, ce sont des jantes carbone, avec surface de freinage en alu et traitement exalight. Bon, comme tu ne t'en sors pas avec tes problèmes de freinage 😃, saches quand même que ce traitement peut être assez bruyant (si patins mal réglés) et assez gourmand en gomme.
  12. Relis mes interventions, et sa première réponse notamment. Je ne lui ai jamais déconseillé "par principe" les disques, mais lui ai expliqué quels en étaient les inconvénients.
  13. Pas ENCORE de vélo à disque, on en discute dans 1 ou 2 ans. Vu que Pinarello propose son vélo haut de gamme à patins ET à disque, et que les coureurs de l'équipe Sky ont le choix de leur matériel, il n'existe que trois solutions : - Soit l'UCI impose ce système de freinage à tous les coureurs, même ceux qui ne le choisissent pas de gaité de coeur. - Soit la pression des équipementiers est trop forte (pour que le quidam se sente has been et renouvelle son matériel), mais ce n'est pas ce qui se passe chez Pinarello. - Soit les systèmes actuels ne sont pas au point et on attend une amélioration. Mais dans ce cas ça sous-entend qu'il est surtout urgent d'attendre, que le choix de David est précipité, et que ceux qui sont équipés aujourd'hui le sont avec un système qui n'est pas parfait. Dans tous les cas, ce ne sont pas de bonnes raisons.
  14. Froome fait bien ce qu'il veut et ce qu'il juge le meilleur pour lui. D'ailleurs, comment se fait-il qu'il n'utilise pas de vélo à disque?
  15. Franchement, je ne vois pas où tu vois les "beaucoup qui en font une question de principe". Si tu prends le cas des arguments de Christian, ils sont cohérents et sont ceux des cyclistes assidus qui ont plusieurs paires de roues, dont souvent au moins une paire de roues chère et légère pour les grandes occasions. Ensuite tu as ceux qui renouvellent peu leur matériel, et préfèrent rester en terrain de connaissance. Mais ce sont les mêmes qui peuvent rechigner à passer au Di2. Tu as aussi ceux qui font leur maintenance eux mêmes, ou encore qui se baladent souvent avec leur vélo dans le coffre de la voiture avec les deux roues démontées. Ils savent que remonter les roues sans frottement avec des disques, c'est le bazarre, avec le système qui se dérègle. Par exemple, l'étrier peut bouger dans le transport, le disque peut se voiler, ou on peut activer par inadvertance le levier dans le vide, ce qui dérègle tout le système. Enfin il a ceux qui ont effectivement un objectif de performance, soit parce qu'ils courent, soit parce qu'ils sont d'anciens coureurs (comme moi) et qui voient dans le vélo aussi bien un dépassement de soi qu'un plaisir lié à la vitesse et au rendement. Ceux-là sentent très bien la différence entre un vélo à 7 kg et un autre à 8 kg, à la différence de rendement entre un peu de 25 gonflé à 8 bars et un pneu de 28 gonflé à 6 bar. Puisque tu parles plus haut de la différence de rendement dans une montée disque vs. patins, elle n'est curieusement jamais mesurée parce que en France les marques refusent de nous prêter deux vélos pour ce type de test. Pourtant, ce serait assez facile à réaliser avec un capteur de puissance (mais il faut pour cela deux vélos à la taille et aux accessoires identiques). Cela dit, sur la montée du Pordoï, il ne fait aucun doute pour moi que je gagne plus avec un vélo à patins que les 8 secondes perdues dans la descente mouillée. J'entends très bien que pour certains utilisateurs, le disque répond à leur besoin. Mais le but de ce topic est d'aider David à faire son choix, ce qui semble difficile au départ quand on ne connait pas son profil.
  16. Je connaissais cette vidéo, mais je n'appelle pas ça une supériorité écrasante dans des conditions normales d'utilisation. Si tu compares deux voitures d'un même poids et de même gamme, la différence peut-être la même.
  17. Je ne sais pas si tu as eu la curiosité de regarder la vidéo de CGN. Donc, descente du Pordoï, avec vélo à patins vs. vélo à disque. Un coup sur le sec, un coup sur le mouillé. Résultat : 2 secondes de gagnées sur la totalité de la descente sur le sec pour les disques, et 8 secondes sur le mouillé. Ce qui interpelle aussi, c'est qu'il y a bien plus de différence sec vs. mouillé que patins vs. disque. Cela montre que d'une part la supériorité des disques dans une descente n'est pas écrasante, et que d'autre part ce sera toujours l'adhérence des pneus qui limitera la puissance du freinage, et a fortiori la vitesse de passage en courbe. Et quant à ton expérience du freinage avec des freins sur jante, quand tu dis dans un autre message que le temps de latence te parait toujours trop long, je pense que tu devrais essayer jantes alu (mais ça tu connais) avec des patins appropriés. Par exemple avec des Dark Pads, ou encore jantes avec un revêtement céramique et patins spéciaux. Sérieusement, je ne vois dans ce cas aucune différence de freinage avec du disque sur le mouillé (ce qui n'est pas le cas avec des jantes carbone, je te l'accorde), en tout cas avec mon poids léger et ma manière de piloter, sans doute moins agressive et plus coulée que la tienne, mais pas moins rapide, ça j'en suis presque certain.
  18. il faut vendre, le seul but, C'est bien le problème soulevé ici concernant l'intérêt ou non des disques. Merckx que tu aimes prendre en référence n'avait pas de disques et il s'en portait très bien. Les freins à disque sur un vélo de route sont clairement poussés par les marques qui veulent créer un nouveau besoin pour que les consommateurs renouvellent leur matériel. Je n'ai rien contre la technologie, et particulièrement celle-ci, si elle apporte vraiment quelque chose. Clairement, le freinage à disque est une belle avancée pour le VTT, le Cyclo-cross, le gravel, et pourquoi pas pour le cycliste occasionnel en balade qui ne sait pas bien maîtriser son vélo et que ça rassure d'avoir un super freinage, même si ça le handicape sur autre chose. Mais pour le cycliste sportif, qui plus est expérimenté, ce n'est pas utile. C'est payer plus cher pour un vélo moins performant. Après, tant que nous conservons le choix, chacun fait ce qu'il veut, et c'est tant mieux.
  19. Personnellement, vu que je n'ai pas de poids en trop, ce qui m'intéresse c'est "combien il pèse MON vélo". Ce que pèse le tien m'est totalement égal. Comme celui de Merckx d'ailleurs.
  20. Tss tss... N'importe quoi ! D'abord David pose la question en préambule : "je veux changer de vélo, j'hésite entre un vélo à patins et un vélo à disque. Votre avis sur la question." Il ne dit pas qu'il roule en mode touriste, puisqu'il parle d'un canyon Ultimate, ou pire d'un Aeroad. Là on est très loin d'un vélo cyclo. Je n'interviens seulement qu'en quatrième page afin qu'il se pose les bonnes questions, et notamment concernant les roues alu. Car oui un vélo à disque est plus lourd, moins dynamique et plus cher que son équivalent à patins. C'est juste factuel. Que ça freine mieux, ça reste encore à vérifier selon les circonstances, et à condition de savoir se servir des freins sur un vélo bien entendu. Et pour finir, il fait bien ce qu'il veut. Cela m'est totalement égal.🆒
  21. J'imagine que tu parles du Super Six Evo HM Disc en Ultegra Di2? Si c'est le cas, le poids est effectivement le bon. Par contre les pneus ont été mesurés à 28 mm de section sur les roues Hollowgram, même s'il est indiqué 25 mm sur le flanc. Et quand bien même on déciderait de monter du 19, ce qu'il faut comprendre c'est que compte tenu de la puissance du freinage et en fonction du poids du cycliste, il est nécessaire de monter une grosse section pour ne pas bloquer la roue, de manière à conserver de l'adhérence au freinage. Pour mon cas, ça le fait avec tous les freins à disque. Avec de vrais 25, je bloque la roue sans sentir la limite d'adhérence (sur le sec). Avec 28, pas de problème.
  22. L'Aeroad à patins est un très bon vélo, qui freine comme ont toujours freiné les vélos, avec des étriers qui actionnent des patins qui eux mêmes entrent en contact avec une surface de freinage sur une jante. La fragilité de la jante est un fantasme. Avec une jante en alu, tu peux compter plusieurs dizaines de milliers de kilomètres avant que la surface de freinage commence à se creuser à cause du contact avec le patin. Je parie qu'avant d'arriver à ce stade, tu auras dû effectuer plusieurs purges de ton système de freinage à disque, changer plusieurs paires de plaquettes et plusieurs fois tes disques. Avec le carbone, cela dépend du traitement de la bande de freinage. Chez certaines marques (par exemple : Campa/Fulcrum, Mavic, Zipp...), ça freine très fort, c'est très endurant et il n'y a pas de risques de surchauffe si on ne fait pas une descente de 20 km les mains sur les freins. Après tu as aussi des roues carbone moins bonnes, où certains tests ont montré que la réalisation n'était pas très sérieuse. Dans les descentes mouillées, le freinage est de toute façon moins bon que sur de l'alu, moins agressif. Mais je pense aussi que comme il n'y a pas d'avantage de poids avec une roue carbone à pneu avec une jante basse par rapport à de l'alu, la solution la plus fiable est de rouler en montagne avec des roues basses en alu, et de réserver le carbone (jantes aéro) pour le plat ou le vallonné.
  23. L'histoire du poids en dessous de la limite UCI, c'est aussi une affaire de marketing. Quand tu prends n'importe quel vélo de pro, même avec un cadre léger, tu te rends compte que si tu ajoutes deux porte-bidons, un compteur et des pédales, tu es déjà tout près des 6,8 kg. Quand on parle de lest, cela permet simplement aux coureurs de monter par exemple une selle un peu lourde mais qui respecte leur confort, à la place d'une selle minimaliste de 120 g qui les blesse sur de longues distances. Cela leur permet aussi d'adopter des accessoires fiables comme un cintre ou une potence en alu. J'ai entendu parler de vélos haut de gamme à disque à 6,5 kg, mais honnêtement je ne les ai encore jamais vus ni testés. Pour l'instant, j'ai testé des vélos très haut de gamme à disque autour de 8 kg complets près à rouler, mais qui se vendent à plus de 10 000 €. J'ai aussi testé des vélos d'entrée et de milieu de gamme à disque, et là c'est la catastrophe, car on est plus près des 9 kg. Et puis les pneus de 28 c'est bien gentil pour le confort et la tenue de route, mais ça commence quand même à faire balourd dans le comportement du vélo. Comme tu dis, il y a des gammes endurance (qui se confondent d'ailleurs de plus en plus avec le gravel, ce type de cadre pouvant faire les deux) qui ne sont proposées qu'à disque. C'est le cas d'un Roubaix ou d'un Synapse. C'est un parti-pris qui se défend si on considère que ce type de clientèle préfère la sécurité à la performance, et se fout du poids et de l'aéro. C'est d'ailleurs très bien que ce choix existe. Ce qui me dérange, c'est plus le mélange des genres.
  24. Il y a des vélos à disque qui marchent bien, comme le Venge Vias de Kittel. Seulement son vélo fait plus de 8 kg et coûte près de 12 000 €. Kittel a une armée de mécanos avec lui, et un vélo de rechange par voiture suivante de son équipe. S'il crève sur une étape de plat, il change de vélo. Au contraire en montagne, s'il crève dans le gruppetto, il a le droit à une roue d'une voiture neutre, qui ne correspond pas exactement au réglage de son vélo. Voir Boonen en début de saison sur les classiques, qui a abandonné les disques. Certains gars reçoivent un gros chèque pour rouler autant que possible avec les disques. Kittel les met quand il n'a pas besoin de freiner. Un comble ! On revient à la discussion initiée par Simon plus haut. Je n'ai rien contre les disques dans l'absolu. Si je devais me monter un gravel par exemple, il serait à disque. Mais quand on se pose la question du rapport prix-performance-poids, ça ne vaut pas le coup pour un vélo de route.
  25. Epargne-moi ta tirade, nous ne sommes manifestement pas les mêmes cyclistes. J'ai essayé les disques, et même sans doute sur plus de vélos que tout le monde ici. Un vélo à disque pèse entre 700 et 800 g de plus que son équivalent à patins. Le freinage est meilleur dans certaines circonstances, mais encore pas toujours. La quasi obligation de monter des pneus de 28 mm (pour mon cas) pour ce type de freinage limite encore plus le dynamisme du cadre. Le freinage à disque fait du bruit dès qu'il est fortement sollicité (longue descente par exemple), et je ne te parle pas des disques qui frottent. Chez les pros, Kittel gagne cinq étapes du Tour avec des disques, mais remet les patins quand il arrive en montagne, malgré ses 80 kg. Pose-toi la question pourquoi. Mais tu peux toujours choisir un vélo à disque si ça t'amuse d'avoir un vélo plus lourd, moins dynamique, plus cher et moins aéro que son équivalent à patins.
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