Fluoflashfun33

Contrairement à ce qui a été dit, je trouve que les catadioptres sur les pédales ont un rôle très important. Quand tu vois une lumière au loin qui se rapproche, des fois tu peux te demander si il s'agit vraiment d'un vélo (ça peut être une mobylette, un speed bike...). Le mouvement de ces catadioptres font de suite penser au mouvement de pédalage, et donc, tu sais de suite que c'est un vélo.

Merci Serge, désolé pour ma réponse très tardive. Je n'ai pas participé au forum depuis un moment car j'ai pas mal bousculé de choses dans ma vie, enfin, en bien, en très bien même ! Mais ça m'a occupé et n'ayant pas fait beaucoup de grosses sorties je n'ai pas posté de message. Et là je reviens et bim, je me prend la tête avec un des participants du forum en MP 😛 Ce qui a changé, c'est que j'ai finis par acheter un appartement et j'ai déménagé. J'avais ce projet depuis un moment. Je sais que je vais toucher une indemnisation d'assurance et pour éviter de mal l'utiliser, je me suis dit que ce serait mieux de l'utiliser pour investir dans un logement pour ne plus être locataire. Et puis mes proches m'ont un peu motivé pour me lancer dans des recherches sans attendre, ce que j'ai fais, d'autant que j'habitais une résidence qui était entrain de devenir craignos. Depuis le mois de juillet, je suis donc propriétaire d'un petit appartement très cool dans une résidence propre, dans un endroit ultra calme. C'est un petit studio de même pas 26m2, mais c'est un vrai paradis, j'ai l'impression d'être tout le temps en vacances ❤️ J'en ai profité pour m'acheter un vrai sommier et un vrai bon matelas. Un matin j'ai découverts que la CPAM m'avait versé une indemnisation (c'était un accident de trajet/travail) alors plutôt que de l'utiliser n'importe comment j'ai décidé d'investir dans un bon sommier et un bon matelas. Cela peut paraître anodin, mais cela faisait au moins 20 ans que je dormais sur un clic-clac Ikea. Cette nouvelle literie a été un événement dans ma vie, vraiment ! 🙂 Depuis l'accident je me suis séparé de ma voiture, je ne veux plus conduire de voiture. J'ai décidé de n'utiliser plus que le vélo et quand je suis obligé de conduire à cause du boulot ça me fait chier. Je n'ai toujours pas retrouvé la mémoire de ce qu'il s'est passé au moment de l'accident, je crois que ça ne reviendra jamais, alors je n'ai pas trop peur à vélo (même si je suis beaucoup plus vigilant et parfois un peu angoissé), par contre j'ai développé une peur au volant ou quand je suis passager. Surtout quand il fait nuit et qu'il pleut, ça me rappelle quand j'ai repris connaissance étendu sur la route. Là où j'ai trouvé mon appart, c'est dans une petite ville très calme, dans la nature, mais à proximité de Bordeaux. Avant j'avais 12Km pour aller bosser, maintenant j'en ai 22Km. Ce qui m'a plût dans ce logement, c'est aussi sa situation : la résidence est proche de la piste cyclable Roger Labépie, et j'adore cette piste. Je l'ai souvent prise le WE et je me suis souvent dit que je rêverait de la prendre pour aller bosser le matin. Et bien aujourd'hui le rêve est devenu réalité ! J'habite à Fargues Saint-Hilaire, je bosse au centre de Bordeaux. Le trajet le plus court fait 17Km, en passant par Bouliac. Je préfère me rallonger de 5Km car par là où je passe, il n'y a que 3Km de route avant d'arriver sur la piste Roger Labépie. A partir de là, je n'ai que de la piste cyclable séparée jusque sur les quais de Bordeaux. Ces 3Km sont un peu chaud car il y a le fameux "Petit Tourmalet", une descente/côte de 1Km avec plusieurs virages dont un en épingle. Après, une fois sur la piste, c'est totalement sans voiture. Je passe à travers la forêt, puis à côté d'un étang qui ressemble un peu au bayou. Parfois je surprend des animaux, chevreuil, renard, ragondin, canards... c'est super ! Après j'arrive sur les bords de Garonne, toujours séparé de la route, c'est un endroit qui est resté un peu sauvage, puis j'arrive à Bordeaux, je passe sous le pont Simone Weil, et puis les quais et la ville jusqu'au boulot. Je mets environs 1h pour l'aller et 1h pour le retour. Beaucoup me disent que ça fait beaucoup, que ça doit être long, en toute honnêteté je ne me suis jamais ennuyé sur ce trajet ! Physiquement ça peut aller, j'ai des périodes pendant lesquelles j'ai presque toujours mal aux jambes/genoux, là en ce moment ça va. Quand j'ai mal aux jambes/genoux, ce sont d'abord des sensations de gênes, quand je marche longtemps ou que je reste en position debout statique, puis cette sensation de gêne se transforme en douleurs. Le fait de faire du vélo fait disparaître les douleurs et j'ai l'impression que si je passe une période de plusieurs jours sans faire de vélo, les douleurs arrivent plus facilement. J'attends de récupérer mon nouveau vélo, un gravel à assistance électrique, qui me permettra d'assumer les trajets à vélo tous les jours, en me soulageant les jours où j'aurais des coups de mou. Tout ça, je me le permet car je sais que je toucherais une indemnisation d'assurance et plutôt que de l'utiliser n'importe comment, ça me paraît plus judicieux et cohérent de m'en servir pour améliorer mon confort de vie et préserver ma santé. Voilà pour le moment où j'en suis, je trouve que j'arrive à rebondir plutôt bien par rapport à cette grosse galère qui m'est tombée dessus 😉

Ha ça... je suis bien d'accord, que beaucoup de vélos ne sont pas dans les clous. Déjà si on regarde les freins... Mais en cas d'accident, est-ce qu'il n'y a pas un risque que les assurances jouent là-dessus pour ne pas indemniser ? Quand je parle de rouler sécure, c'est aussi dans ce sens là. Sécure du fait que si cet équipement est obligatoire c'est qu'il doit être efficace pour la sécurité du cycliste, mais sécure aussi par rapport à la protection vis à vis des assurances.

Bonjour, je me pose la question de rouler en accord avec la législation en vigueur. https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F34169 J'ai déjà la sonnette et l'éclairage avant et arrière. Concernant les catadioptres sur les roues, j'ai collé des morceau de bandes réfléchissantes mais je pense que ce n'est pas conforme et qu'il vraudrait mieux que j'installe des catadioptres "homologués". Il manque les catadioptres au niveau des pédales. Là c'est compliqué car j'utilise des pédales automatique SPD et il n'y a rien pour mettre des catadioptres. Je mets des brassards réfléchissants aux chevilles mais je pense que ça ne doit pas aller car la loi dit bien "pédales équipées de catadioptres". C'est %@!? mais depuis mon accident je me dis qu'il serait plus sécure que j'utilise les bons équipements. J'ai lu ça sur les réseaux sociaux dans un groupe destiné au vélotaf. "Commentaire entendu d'un cadre technique de la FFC : utiliser un vélo de course sur route, c'est comme rouler avec une Formule 1. Ce n'est pas homologué pour rouler sur route ouverte. Exemple concret avec vos pédales qui n'ont pas de catadioptre." Je pense qu'un vélo de course/route peut rouler sur route ouverte sans être en infraction à partir du moment où possède l'équipement réglementaire. Est-ce qu'il y a une règle de tolérance ? J'ai lu ça aussi, sur le même fil de discussion : "J ai un pote il y a quelques années, c'est fait renverser et gros dégâts corporels. L assurance adversaire à rétorquer : vélo non conforme à la législation (pas de catadioptre) . Heureusement qu'il avait un bon avocat (qui lui a coûté une blinde) sinon rien n était pris en charge même la sécurité sociale s'était retournée contre lui. Voilà un exemple de problèmes qu en plus des dégâts physiques et psychologiques que cela peut entraîner" Alors, à votre avis ?

Ha ok, j'avais associé ça à la caféïne mais maintenant que tu le dis c'était sans doute plutôt le sucre !

Sur ma grosse sortie de 405Km en une journée (22h), c'est mon record, que je n'ai jamais réitéré car j'ai eu une violente lombalgie deux semaines plus tard. Je me rappelle que vers la fin, il devait me rester une vingtaine de Km à faire, j'étais rincé, j'ai pris un coca dans un bar. J'ai clairement ressenti le coup de fouet, ça m'a bien aidé pour terminer le périple. Après il parait que ça redescend vite, mais en tout chez moi ça avait très bien fonctionné.

Sinon tu as aussi le champs d'orties ! Il paraît que ça fait circuler le sang !

Beurck !

Hier, sortie à peu près pareil que dimanche dernier. Fargues Saint-hilaire jusqu'à Mios, puis navigation packraft jusqu'à Biganos et retour à la maison. 120Km de vélo, 10Km de pagaie. Cette fois-ci il ne pleuvait pas, enfin juste un peu dans la matinée, et surtout je n'avais pas oublié les tubes de la double pagaie. Donc pas besoin de faire un aller-retour de 20 bornes comme la dernière fois ! Arrivé à la rivière (Leyre), petite baignade dans le courant. L'eau était bien fraîche, c'était très agréable pour nettoyer un peu la transpi (il faisait lourd). Puis navigation avec le frangin et sa petite famille. Puis retour à vélo, beaucoup de vent de face sur la première moitié du trajet. J'ai voulu utiliser mes prolongateurs mais je me suis aperçu que le repose coude gauche était cassé 😞 c'est %@!?, grosse ligne droite sans dénivelé avec vent de face, c'était le moment de me mettre sur les prolongateurs. Je me suis arrêté sur le côté et j'ai réussi à me débrouiller en tournant le support cassé. J'ai bu comme un trou et je me suis arrêté faire le plein dans un cimetière... interdit aux cyclistes ! Il semble qu'il est plus important d'offrir des fleurs aux morts plutôt que de l'eau dans les gourdes des vivants O_o Enfin, la grosse difficulté : la côte à monter, qu'on appelle "le petit Tourmalet", avec le poids du Packraft je n'en pouvais plus. J'ai monté à pied ! Enfin, arrivé dans la résidence, une douche et piscine pour détendre tout ça. J'étais cramé ce matin au réveil ^^

Hoooo quand j'ai vu la photo je me suis demandé si ce n'était pas Verteuil... J'ai passé mon enfance à Coulgens, pas loin de Verteuil, ce n'est que l'été dernier que j'ai découverts cette ville en passant à vélo. Très chouette coin ❤️

Allez hop ! Le compte-rendu du jour : il risque d'être un peu long, prévoyez les pop-corns ! Je me suis mis au packraft, et au bike-rafting juste avant mon accident. Pour celles et ceux qui ne connaissent pas, il s'agit d'un bateau gonflable qu'on pourrait classer entre le rafting et le canoë-kayak. Il a pour inconvénient d'être plus lent qu'un canoë-kayak sur eau calme (lac, étang...), mais pour avantages d'être léger, très résistant, maniable, confortable, de pouvoir être transporté dans un sac à dos ou sur un vélo et de pouvoir tolérer beaucoup de charge sans perdre sa stabilité. Donc en gros, tu pars à vélo avec le Packraft sur le cintre (cintre droit) ou le porte bagage, avec la pagaie double en 4 morceaux et le gilet de sauvetage. Tu vas au bord de la rivière, tu installe ton vélo à plat, roues démontées, sur l'avant du Packraft, et tu navigue. Une fois sorti de la rivière, tu remonte le vélo, tu dégonfle et tu roule le Packraft et tu repars. Autre avantage, ça se range facilement dans un petit appartement et plus besoin de logistique avec un véhicule en fin de parcours pour ramener le canoë. Pour une idée plus précise de ce à quoi ça ressemble : https://www.youtube.com/watch?v=ujvXrVLpAmM Quand j'ai découverts l'existence de ce truc incroyable, j'ai investi, parce que c'est pas donné si tu veux de la qualité et j'ai pris le top du top, un Packraft "Pablo Whisky Bar" conçu par l'entreprise Mekong. Ils ont leurs ateliers en France, ce sont des passionnés qui pratiquent avec leurs propres Packraft. Niveau qualité c'est vraiment bien, en plus j'ai choisi l'option de la toile renforcée pour être sûr de le garder longtemps. Pas trop loin de chez moi, une soixantaine de Km, il y a une rivière qui s'appelle "La Leyre". J'ai toujours connu cette rivière assez facile à naviguer, mis à part le fait qu'elle soit sauvage et encombrée de branches et de troncs. En saison touristique, plusieurs sociétés louent des kayaks à des personnes novices, et ça se passe très bien. Donc un beau jour, je m'étais rétabli de mon accident, je voulais faire une sortie sur la Leyre, je me disais que l'eau était plus haute que d'habitude, que comme il faisait beau il y aurait sans doute du monde, j'y suis allé. L'eau était effectivement haute, elle était en crue, il n'y avait personne. J'y suis quand même allé. J'aurais vraiment pas dû ! Je vais la faire courte : ça a faillit vraiment très mal se terminer ! Beaucoup de courant, des arbres couchés en plein milieu de la rivière tous les 50m créant des barrages impossibles à passer. La rivière étant sortie de son lit, avec des arbres et des branches partout, ça devenait difficile de ne pas confondre la forêt inondée avec le lit de la rivière. Je me suis retrouvé la-dedans, impossible de faire demi-tour à cause du courant. Obligé de sortir du Packraft et de le faire passer au dessus des troncs pour passer. J'en ai vraiment bavé, le courant m'envoyant dans les branches et les ronces, je me suis vautré plusieurs fois dans l'eau et à la fin je me suis retrouvé perdu dans la forêt inondée. Pas de route, pas de civilisation, les bords marécageux, je me demandais comment j'allais sortir de ça, je n'ai pas paniqué mais je sentais que la situation était très compliquée. Et puis à un moment, j'ai vu un chemin qui s'enfonçait dans l'eau, j'ai pu sortir comme ça. Cette sortie catastrophique m'a servie de leçon, je me suis rendu compte à quel point une rivière pouvait changer du tout au tout et passer de facile à très dangereuse. J'y suis retourné aujourd'hui, mais pas tout seul, et puis nous sommes dans la bonne saison. La rivière a été nettoyée (bon, il reste quand même des branches et des troncs par-ci par-là). J'ai rejoint un groupe dans lequel il y avait une amie, ils louaient des canoës. Nous sommes partis de Salles et avons navigué jusqu'à Biganos. Eux y sont allé en voiture, moi en vélo. Le rendez-vous était fixé à 9h à Salles, j'avais 55Km à faire soit environs 2h40 de route mais j'ai préféré partir très tôt. D'abord, à chaque fois que je me prévois ce genre de sortie, j'ai du mal à dormir, je suis excité de partir. Une fois arrivé sur place il faut gonfler le Packraft, démonter le vélo, l'attacher, ranger les affaires dans des sacs étanches... ça prend du temps et je n'aime pas faire ça dans la précipitation. Et puis j'aime rouler de nuit, parce que moins de voitures, parce que ambiance différente sur les routes. Je suis donc parti à... 4h10 ! J'étais très large ! Il pleuvait, il n'a d'ailleurs pas arrêté de pleuvoir jusqu'à 13h30 ! Je suis descendu par la côte de Bouliac (je ne sais pas comment elle s'appelle, mais elle est assez sympa à descendre). Ensuite je suis passé sur le nouveau pont Simone Veil et puis direction Villenave d'Ornon. Peu après le pont, à un peu plus de 10Km, je me suis rendu compte que j'avais oublié de prendre la pagaie double. Ha c'est %@!?, ça aurait avancé moins bien du coup 😛 Alors demi-tour, re pont Simone Veil, re côte de Bouliac (je ne sais toujours pas comment elle s'appelle mais elle est beaucoup moins sympa à monter). J'arrive chez moi, je récupère la pagaie et je repars. Je devais faire 55Km, je me suis mis 23Km de plus ! J'arrive à Salles, j'ai un peu mal aux jambes, normal vu l'accident que j'ai eu. Il pleut encore et toujours. Je préparer le Packraft, attache le vélo, les affaires, je me change et je vais à la rencontre du groupe. Et c'est parti pour 4h de rivière coupée par une pause pic-nic sous la flotte. C'était une sortie très humide ! Vers 13h30 les nuages ont commencés à se dissipés et à 14h nous pagayons sous le soleil, ENFIN ! Et là c'était agréable (oui parce que pour être honnête, je commençais à en avoir plein le dos de la pluie). Quelques petits rapides vers la fin, pas grand chose mais assez pour être amusant. Et puis le retour, 61Km, qui m'ont donné l'impression de passer relativement vite, sauf les derniers Km où il me tardait vraiment de me poser au chaud et de retrouver mon chat ^^ Je crois aussi que Biganos n'aime pas trop les vélos : le plan de circulation à vélo c'est du gros n'importe quoi ! Des trottoirs utilisés comme "piste cyclables" qui débouchent sur rien, des revêtements absolument dégueulasses, après on va nous reprocher de préférer rouler sur la route... Bilan de la journée : 140Km de vélo en 7h04mn et 21,5Km de pagaie. Je suis rincé 😄 Niveau équipement, mon gravel avec les roues DT Swiss et les pneus Continental GP 4 saisons roule tout seul, c'est très agréable ! Content d'avoir un gravel car je peux transporter du poids sans craindre de casse. Les sandales Shimano sont très utiles pour ce genre d'activité, je n'ai pas peur de les tremper, contrairement à des chaussures qui seraient vite gorgées d'eau. La Packraft est génial, la pagaie double beaucoup moins ! J'ai les mains défoncées par les ampoules. Il va falloir que je me trouve une paire de gant adéquat. Enfin bon, je me suis quand même gâté avec tout ça 🙂

J'ai bien inspecté, je n'ai pas vu de morceau d'alu plantés dans la gomme.

Je crois bien que ce sont ces patins : https://www.xxcycle.fr/12190-patin-de-frein-shimano-tiagra-sora-r50t2.html?gclid=Cj0KCQiA-62tBhDSARIsAO7twbY_Xj3Rerfp8cd__Tsp1TgCAVXTeEAOBakWStlg78j_l8yFmIopg30aAsGVEALw_wcB Edit : ou bien la référence 50T4 Ce serait logique vu que les étriers sont du Tiagra et vu que les patins m'ont été offerts je pense qu'ils ne m'ont pas offert des patins à 30 euros la paire ^^

Bon alors, je les ai nettoyés, passé un coup de papier de verre et réinstallés. J'ai inversé avant et arrière vu que l'arrière s'use plus vite que l'avant. Je verrais ça lundi en repartant au boulot.

Autant les patins avant, il en reste un peu, autant les patins arrière je crois bien que c'est mort.

J'ai retrouvé dans mes affaires des patins achetés pas chers chez Decathlon. Je les ai installé, et je les changerais contre des patins Shimano après l'hiver. Voici l'état des patins usés, après 160Km d'utilisation. Les deux de gauche sont les patins avant, les deux de droite les patins arrière. Sur ceux de devant, il restait 3mm de garniture, à l'arrière presque rien...

Je n'avais pas précisé la présence de sable parce que je n'avais pas percuté que ça pouvait avoir une importance 😉 C'est aussi pour ça que je pose la question, pour comprendre d'où peut venir une usure aussi rapide.

Oui j'emprunte la piste cyclable du pont d'Aquitaine qui est pleine de sable, plus les bords de route. Avant de monter mon vélo en appartement, quand il est sale je vide ma gourde pour le rincer et éliminer une grosse partie des saletés. Ces derniers jours il y avait pas mal de sable.

Hooooo mais c'est que je viens de me rendre compte que j'avais posté mon message dans le forum VTT ! Non c'est sur mon vélo de route qui me sert aussi de vélotaff, mais peu importe, ça ne doit pas changer grand chose...

Je fais entièrement confiance à la technicienne vélo, d'ailleurs je lui en ai parlé et elle m'a dit qu'elle m'en donnerait des neufs en échange. Les freins n'étaient pas en contact, la reprise a été difficile aussi sur mon deuxième vélo, et puis je vois mal la technicienne faire cette bourde et ne pas se rendre compte que le vélo freinait constemment. Par contre j'ai roulé ces dernier jours dans la pluie, j'ai pas mal freiné et il y avait beaucoup de sable dans les projections d'eau. Je vais mettre des neufs ce W.E. et je verrais bien, mis à part un problème de patins, je ne vois pas bien ce que ça peut être d'autre. J'avais regardé les pistes de freinage de mes roues et rien ne m'a choqué.

Ha ok !!! Mais usés en même pas 150Km, alors que ceux d'avant étaient encore très bons au bout d'un an et je ne sais combien de centaines de Km (au moins 1000Km). C'est du délire ! Je les change ce WE, c'est pas pour le prix que ça coûte mais bon...

Petit point vélo : Au début c'était difficile mais le plaisir revient et les "performances" avec. J'ai repris le boulot et j'y vais à vélo, mine de rien ça me fait beaucoup de bien et m'aide à me rétablir. 12Km le matin, 12Km le soir, tous les jours. Hier il pleuvait, je suis arrivé au boulot crépis de boue mais j'ai bien supporté, j'ai même crevé sur la route. Ce matin -3°c, froid sec qui m'a bien réveillé. Je monte de nouveau le pont d'aquitaine sans poser le pied à une allure de 12 à 13Km/h environs.

Bonjour, Mon vélo ayant été accidenté, la technicienne vélo a dû changer les roues. Comme elle a changé les roues (elle a mis des Mavic Aksyum), elle a mis des patins de frein neufs, marque Shimano. Depuis, j'ai fais un peu moins de 150Km, une quarantaine de Km de ballade un WE et 104Km de vélotaff. J'avais remarqué que les freins ne freinaient pas super, mais comme je roulais beaucoup sous la pluie j'ai mis ça sur le compte du temps. J'ai remarqué aussi que les pistes de freinage alu de mes roues étaient noires. Hier en rentrant du boulot, je me suis aperçu que mes patins étaient très usés, presque sur la garniture. Patins autant usés et matière noire sur les pistes de freins de la jante me font penser que les patins se sont désagrégés à vitesse grand V. J'aimerais bien savoir d'où cela peut venir... est-ce à cause de la pluie ? Est-ce un problème venant des patins ? Est-ce que j'aurais fais un truc qui ne va pas ?

Mais pourquoi ???

Bon ça y est, je suis rentré, j'ai douché le vélo, je me suis douché, j'ai douché mon cuissard, j'ai câliné le chat, je peux entreprise le récit circonstancié de mes deux jours. Tout à commencé vendredi lorsque j'ai eu un échange plutôt très positif avec ma belle-soeur : La raclette était prévue pour midi samedi et j'avais 80 bornes que je voulais faire à vélo. Que de la piste cyclable sans dénivelé, la piste Bordeaux-Lacanau que je connais très bien. Un bon repas le soir puis couché tôt puis... impossible de dormir : la voisine qui avait perdue ses clefs et qui, coincée dehors, a dû faire intervenir le serrurier qui a attaqué la porte à coup de meuleuse... il était minuit. Puis Loulou, mon gros loukoum, mon chat, qui aime bien dormir avec moi et s'était installé au milieu du lit, m'obligeant à dormir sur le bord dans une position instable. Levé 5h30 le lendemain matin, puis départ. Dès le début, c'était laborieux. L'impression que mon vélo pesait 3 tonnes, que les roues étaient à plat, je me traînais à 17Km/h et chaque coup de pédale me demandait un effort. Avant mon accident, je n'avais pas de soucis à pédaler, le vélo "avançait tout seul". Il a fallut 30Km pour que je commence à moins forcer. Je dois dire que je n'ai pris aucun plaisir à l'aller, c'était laborieux, j'avais l'impression d'avoir tout perdu avec mon accident. Moralement c'était pas génial et si il n'y avait pas eu la promesse d'une bonne raclette avec la famille, j'aurais sans doute fait demi-tour. Je pensais que j'allais faire le retour l'après midi même mais ma belle-soeur m'a proposé de rester dormir et vu mon état de fatigue, j'ai accepté la proposition. J'ai changé le parcours du retour pour le raccourcir. Au niveau du Porge, j'ai pris la route pour rejoindre Saumos. 9Km de route m'évitant ainsi le double de piste cyclable. Enfin, j'ai pris le tram pour rentrer, ce qui fait qu'au total, je suis passé de 81Km à 56Km. Je me suis senti beaucoup mieux pour le trajet du retour. Toujours obligé de forcer plus qu'avant mais j'ai réussi à retrouver à peu près les mêmes "performances" qu'avant mon accident. Il faisait un peu froid mais il y a eu un peu de soleil, j'ai pris du plaisir et ça m'a beaucoup rassuré. Sur le bout de route j'ai croisé un type qui voyageait à pied, il traînait une sorte de charette et prévoit de rejoindre Faros, au Portugal. Lorsque j'ai repris le vélo, j'avais du mal à me mettre en danseuse, je sentais que ma jambe gauche manquait de force. Maintenant ça va beaucoup mieux et j'ai pu faire des relances qui m'ont permis de prendre pas mal de vitesse. Voilà, bon demain c'est reprise du boulot !