Aller au contenu

Franck PASTOR

Membre
  • Compteur de contenus

    16 253
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    89

Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Si ton mécano habituel n'y arrive pas, peut-être celui du «Moving Store - Cicli Marisa» d'Auderghem y parviendra; il y est en tout cas parvenu sur mon vélo, il y a quelques années. C'est sur la chaussée de Wavre, au 2033, à l'entrée de l'E411 et de la forêt de Soignes. Remarque, mon vélo est en acier. J'avoue ne pas savoir si le serrage du tube du selle d'un cadre carbone se fait de la même façon que sur un cadre acier ou alu.
  2. Ça m'est déjà arrivé quatre ou cinq fois, la dernière fois il y a deux mois environ, j'en avais parlé ici-même je crois. À chaque fois c'était de ma faute : j'ai une fâcheuse tendance à trop forcer avec mes serrages… Mais à chaque fois les vélocistes ont réussi à faire sortir la vis. Courage, ton matos va probablement te revenir ! 😄
  3. Ben moi j'aime pas! J'exècre, même! 📢 Fichu vent, fausseur de performances, gâcheur de randonnée, causeur de chutes et d'accidents! Mais même si Éole soufflait gaillardement aujourd'hui, je me sentais «des jambes», donc j'ai décidé de faire plus long que j'avais prévu, et justement j'ai refait la boucle orange du Tour des Flandres qu'on avait faite ensemble. Donc à nouveau en enfilade la côte de Trieu (Knokteberg), le Vieux Kwaremont, le Kruisberg, le Paterberg, le Koppenberg, le Steenbeekdries, le Spiechtenberg, le Taaienberg, l'Eikenberg et pour finir le Mont de l'Enclus, car j'avais attaqué le circuit par le Knokteberg cette fois. Grosso modo même distance que l'accès par Ruien, mais la petite route que j'ai prise de Tournai à Amougies est plus champêtre et plus variée que la piste cyclable du bord de l'Escaut Cette fois-ci, pas de crampes, les jambes étaient effectivement bonnes, et les 72 bornes de la boucle elle-même plus les 60 km environ pour y aller et en revenir ont été bouclés en 6 h 30, arrêt d'une demi-heure au centre du Tour des Flandres à Audenarde compris. Quand je compare avec les 7 heures que je mets normalement tout seul et les six heures que j'ai passées dans ta roue, je me dis que j'ai fait des progrès et qu'un jour, si on la refait ensemble, je pourrai prendre des relais ! 😉 Rayon anecdote, au début de la sortie je fais un bout de route avec un cycliste de 72 ans, de Renaix, qui me dit faire du vélo malgré une prothèse au genou! Comme je m'y attendais, le retour à Tournai, direction sud-ouest, a été un calvaire puisque le vent soufflait en pleine tronche. J'ai du mal à croire qu'il soufflait à 22 km/h comme l'indique les relevés d'Éric. Si j'en crois mes braquets et ma vitesse, et les arbres qui ployaient, ça devait être bien plus…
  4. C'est vrai que vu mon gabarit de fil-de fer, je suis ultra-sensible au vent, mais de là à dire qu'il n'y en a pratiquement plus en ce moment? Ici aussi dans le Nord? (Tournai est tout près de Lille) Réaction spontanée et immédiate: 😆 Et encore, par rapport aux rafales de la côte… Avant de venir en Belgique, j'avais passé toute ma vie dans la vallée du Grésivaudan, entre Grenoble et Montmélian, une vallée entre deux massif montagneux. De là et de par son orientation elle est bien abritée des vents dominants. Oh, il y a bien du vent dans le Grésivaudan, mais il n'y souffle fort que très rarement. D'où d'ailleurs une chaleur estivale difficilement supportable pour certains : on parle de «cuvette grenobloise». Quel contraste quand je suis venu habiter à Bruxelles, puis à Tournai… Et cette année, j'ai vraiment l'impression qu'Éole souffle en moyenne plus fort que les années précédentes. Je n'ai pas de statistiques, mais j'aimerais bien en avoir pour confirmer. Pour l'anecdote, à l'époque héroïque les coureurs Flamands et Néerlandais s'entraînait à grimper des cols sans quitter leur Plat Pays, faute de moyens… en allant rouler avec les impers déployés.
  5. Le constat de cette sortie est que je me sens mieux dans les cols à l'abri du vent dans les forêts vosgiennes que de rouler sur le plat avec un sale vent dans toutes les directions, sale vent qui me pourrit bien depuis le début de l'année. Bienvenue au club des allergiques au vent!!!
  6. Hier, ma sortie de semaine traditionnelle avec trois ascensions du Mont Saint Aubert à Tournai. Mais j'avais de bonnes jambes, et j'ai fait les deux dernières montées à fond les manettes. Braquets supérieurs à ceux que j'emploie d'habitude + fréquence de pédalage pourtant plus élevée = très bon signe! Côté négatif, il a plu en cours de sortie, avec un vent glacial pour bien corser cette flotte. Le maillot à manches longues et l'imper n'étaient pas de trop!! Et le soir, une heure et demie à nettoyer le tas de crasse qu'était devenu ma bécane. Si ça vous paraît long, dites-vous que je vis en appartement, que mon vélo est stocké dans une cave, elle-même dans un garage souterrain sans eau courante, et que je fais donc tout au chiffon et au dégraissant! Demain, longue sortie de cinq à six heures au programme, le parcours restant à définir. Ce sera dans les Ardennes flamandes en tout cas. Peut-être entre autres une ascension du fameux Koppenberg pour vérifier si la forme est vraiment bien arrivée. Elle se sera fait attendre cette année!
  7. Vous me faites envie avec vos longues distances. Le 12 juin, j'aimerais bien faire « Tilff-Bastogne-Tilff », le Liège-Bastogne-Liège des cyclotouristes. C'est que justement ça fait 240 bornes, et je ne suis pas sûr d'avoir les jambes pour tenir aussi longtemps sur ce genre de randonnée. Pour le moment mes frêles cannes ne sont habituées qu'aux dénivellations modestes (même si raides et brutales) des Ardennes flamandes et des Monts de Frasnes. Rien à voir avec les côtes des véritables Ardennes, souvent aussi pentues et surtout nettement plus longues. Et je n'aurai pas l'occasion de m'entraîner là-bas d'ici là. Éventuellement, il y a un circuit « moyen » de 145 bornes. Mais forcément, il ne reprend pas toutes les difficultés… Va falloir faire un choix cornélien. Dans tous les cas, ça me fera un bon tremplin pour mon séjour estival dans les bonnes vieilles Alpes d'origine!
  8. Hier, j'ai fait la randonnée cyclotouriste Grinta Challenge - La Tournay, dans le pays des collines voisin de Tournai comme son nom l'indique. 151 km truffés de collines (16 répertoriées et au moins autant non répertoriées par l'organisateur), de casse-pattes et de faux-plats, sous le soleil et la chaleur, et malheureusement aussi un fort vent du sud-est. En tout et pour tout, avec les trois arrêts ravitos, ça m'a fait 7 h 30 d'excursion, de quoi attraper un beau coup de soleil sur les bras, tout rouges aujourd'hui ! Ai-je déjà dit que je haïssais le vent ? Sans doute en raison de mon gabarit poids plume (1,78 m, 62 kg). Ce p… d'Éole m'aura gâché une bonne partie du plaisir que j'ai éprouvé pendant cette sortie dans un paysage magnifique. Également très malvenue, une crampe qui s'est déclarée au quadriceps droit en fin de sortie. Heureusement elle n'était pas suffisamment forte pour que je descende de vélo, mais elle m'a obligé à terminer très « en-dedans » la randonnée. D'autant plus qu'on avait le vent pleine face à ce moment-là. Il y avait 4000 participants environ, la plupart roulant en groupe. Ce qui était la meilleure façon d'aborder cette randonnée, avec le vent qu'il y avait. Je m'accrochais de temps en temps à l'un ou l'autre de ces « convois » qui filaient bien plus vite que les cyclos solitaires comme moi. Mais en fin de sortie, avec cette crampe qui menaçait en permanence, j'ai préféré laissé filer. Pas grave, j'ai terminé, pas trop crevé et bien content d'avoir fait cette distance de 151 bornes, la plus grande que j'ai effectuée cette saison.
  9. Tu avais peut-être le vent de face à l'aller et de dos au retour. Même s'il souffle de façon imperceptible, ça suffit pour chambouler les performances. Une des raisons pour lesquelles je n'accorde plus d'importance à mes moyennes.
  10. Berk. S'il y a une chose du Dauphiné qui ne me manque pas à Tournai, c'est bien le Daubé! Même comme coupe-vent, je n'en voudrais pas ! Je vais tout faire pour amener mon spad à Grenoble (normalement fin juillet - début août), et si vraiment je n'y arrive pas, hé bien il me restera toujours l'antique bécane Peugeot que tu connais déjà !
  11. Même temps ici à Tournai, sauf que le vent devenait carrément glacial si on avait fait l'erreur comme moi de sortir en tenue d'été. Heureusement il ne soufflait pas trop fort, ce qui change de ces derniers jours. J'ai vraiment l'impression que le vent souffle plus fort en moyenne cette année que les années précédentes, ici en Belgique. Sinon, c'était ma sortie en semaine habituelle : le tour du Mont Saint-Aubert en deux heures, avec les ascensions de ses trois versants. Rien de remarquable à noter, à part le fait d'être gelé jusqu'au os dans les descentes… Fichu vent !!!
  12. « Saint Martin le Vishnou… » Je la connaissais pas, celle-là ! 😃 Déjà nostalgique de l'Asie, Eric ?
  13. Aujourd'hui, sortie longue distance avec au milieu « la Route des Collines » (90 km) à l'est de Tournai au programme. Soit 140 bornes environ en tout. Mont Saint-Aubert (2 fois), Mont de l'Enclus, Escalette, Mont de Mainvault, côte de La Houppe, une côte injustement inconnue et étonnament longue appelée « Séménil » et quantité de casse-pattes non répertoriés. Pas mal d'arrêt pour lire les descriptions des curiosités touristiques répandues sur le parcours. Sensations moyennes, je finis un peu à la ramasse, mais c'est peut-être normal puisque je m'étais fixé comme objectif d'accélerer un sprint au sommet de chaque côte. Tout ça pour me préparer à la « Grinta-Challenge-La Tournay » de samedi prochain. 150 bornes dans la même région, mais pas le même parcours. Au début de la sortie, au Mont Saint-Aubert, je croise les participants de la « Superklassieker », une combinaison originale des difficultés du tour des Flandres, du Mont Saint-Aubert et de quelques secteurs pavés de Paris-Roubaix. Un truc pour « Flandrien », quoi ! 😉 Vers la fin de la sortie, au Mont de l'Enclus, je croise un jeune Flamand en VTT qui me montre l'arrière de son vélo en me disant qu'il est condamné à rentrer à pied. Forcément : son dérailleur arrière s'est pris dans les rayons de la roue arrière, s'est cassé en deux et une partie s'est retrouvé au niveau de son pédalier… Le gars préférait en rire, mais il a dû avoir une sacrée frousse !
  14. Ce serait pourtant la seule solution pour remédier à cette saccade : pouvoir reculer encore les cales, a priori les deux, au moins celle de ton pied droit (mais il faut se méfier des assymétries de réglage). Ton étude posturale a raison de ce côté. Donc, si tu ne veux pas changer de chaussure, tu devras te satisfaire de cette saccade…
  15. Aujourd'hui, la Ronde van Vlaanderen fietsroute — oranje lus, la boucle « orange » du Tour des Flandres. Un circuit balisé de 72 km reprenant une bonne partie des difficultés du Tour des Flandres dans les Ardennes flamandes. Il y a deux autres circuit balisés typés Tour des Flandres, le « bleu » et le « vert ». Mais c'est ce circuit « orange » qui comprend le plus de côtes, dont certaines célèbres, la plupart pavées : le Mont de l'Enclus alias Kluisberg, la côte de Trieu alias Knokteberg, le Oude Kwaremont ou Vieux Kwaremont, le Kruisberg ou montagne de la Croix, les très raides Paterberg et Koppenberg, le Steenbeekdries, le Spiechtenberg, le Taaienberg et l'Eikenberg. Plus quelques secteur pavés plats ou même descendants, toujours tape-culs à souhait. J'ai fait ce circuit avec Didier Blanguernon, un autre participant du forum. On s'était donné rendez-vous chez moi à Tournai, au pied du beffroi, lui venant de Lille. En plus des 72 km du circuit, il fallait donc ajouter pour moi 60 km pour aller prendre ce circuit et en revenir à partir de Tournai. Pour Didier c'était même 110 bornes, puisque aller de Lille à Tournai, puis en revenir, lui ajoutait encore 50 km. Donc ça m'a fait 130 km environ parcourus aujourd'hui, mon record provisoire de l'année, et lui 180. Mais Didier est un echte Flandrien, un vrai Flandrien même s'il est Breton d'origine : il a déjà fait le Gouden Flandrien (Flandrien d'Or) l'année dernière, soit 260 bornes à travers les Ardennes flamandes, et il a déjà le Tour des Flandres cyclo complet (260 bornes itou) dans les pattes cette année. Bref, autant dire qu'il roule bien plus fort que moi et qu'il a une aisance déconcertante sur les kasseien, ces fichus pavés. Il a dû donc traîner dans sa roue pendant les portions plates du trajet le trop frêle Grenoblois d'origine que je suis, quand il ne le larguait pas purement et simplement dans les côtes. Ça m'apprendra aussi à avoir un peu plus d'entraînement à cette période de l'année et donc à plus rouler l'hiver… Sur la fin du circuit, j'étais au bord des crampes. Il n'y a que sur les portions les plus raides du Paterberg et du Koppenberg que j'ai pu soutenir la comparaison, comme quoi ça peut quand même servir d'être maigre comme une trique, même dans les Ardennes Flamandes, terrain des costauds type Boonen au Cancellara. Grâce à la locomotive Didier, j'ai pu faire ce circuit en six heures, pause d'un quart d'heure comprise, quand j'y mettais sept l'année dernière en solitaire, avec deux pauses, donc au moins une demi-heure de gagnée sur le temps passé à rouler. Didier lui a dû mettre par ma faute nettement plus de temps que d'habitude, puisqu'il avait prévu cinq heures pour partir de Tournai et en revenir… Mais je pense qu'il a pu rentrer à temps quand même chez lui pour voir l'essentiel de Liège-Bastogne-Liège à la télé ! 😉 Pour les intéressés, les infos sur les différentes boucles cyclo balisées ayant pour thème le Tour des Flandres : http://www.crvv.be/fr/tourisme/itineraires Un petit clip pour vous mettre dans l'ambiance des routes du coin, et en musique s'il vous plaît : Et si vous voulez faire un jour le Gouden Flandrien comme Didier Blanguernon : http://www.crvv.be/fr/musee/activites/degoudenflandrien
  16. Ce n'est pas si simple non plus : cette perpendiculaire à l'axe de la pédale passera plus vers l'arrière de ton pied si tu as tendance à pédaler « de la pointe », et plus vers l'avant de ton pied si tu as tendance à pédaler talon abaissé. Donc le réglage devrait être adapté en conséquence. Pour ma part, ayant depuis l'année dernière des chaussures cyclos et donc à semelle à peu près plate, je commence par faire ce réglage (la perpendiculaire à l'axe qui doit passer par le métatarse du gros orteil) avec la chaussure horizontale, puis je recule (légèrement) la cale pour faire avancer mon pied sur la pédale. C'est la façon de faire qui me réussit le mieux. Et ça correspond à mon style puisque j'appuie sur la pédale avec le talon abaissé et la cheville nettement fléchie. Sans parler de la raideur de mes chevilles, qui doit y contribuer aussi.
  17. De plus en plusi intéressant ! 😄 Est-ce que tu sais quel genre de plateaux ils utilisaient pour ces montages ? Des plateaux Campa classiques pour triple 10 vitesses ?
  18. Je pense que cela a plus à voir avec la souplesse articulaire de la cheville qu'avec la vélocité, si par souplesse tu entends vélocité. Mes chevilles sont naturellement raides (plusieurs entorses et foulures dûes à ma pratique du judo n'y sont certainement pas étrangères) et mes cales sont donc plus réglées vers le talon. Cela ne m'empêche pas d'être véloce la plupart du temps, notamment en côte.
  19. Bonne nouvelle ! Ça veut peut-être dire qu'ils en sortiront un à terme, de triple 11 vitesses.
  20. Hier, longue sortie de cinq heures qui aurait dû avoir lieu dimanche, mais ce dernier s'est avéré non libre. Pas cool, j'ai dû subir le trafic des camions, dont l'un m'a dépassé de tellement près que j'ai dû aller rouler dans l'herbe du bas-côté… 🙁 Pendant la sortie, j'ai à nouveau suivi le circuit balisé pour cyclistes (fietsroute) appelé Hermesroute autour de Renaix, en Flandre, avec ses collines aux noms très couleur locale : Spiechtenberg, Kanarieberg, Kraaiberg et Hotondberg, plus un bon nombre de casse-pattes non répertoriés. Comme je commence à être en forme, je l'ai prolongé par deux autres joyeusetés ne figurant pas dans le circuit : d'abord le « Beau-Site » versant sud-ouest, à Saint-Sauveur, un des épouvantails du coin avec son secteur (mal) pavé en pente raide, au moins aussi dur que le mur de Grammont à mon avis ; et en fin de sortie l'habituel compagnon d'entraînement de tout cycliste Tournaisien qui se respecte, le Mont Saint-Aubert, que je ne présente plus. 🆒 Ceux qui n'ont jamais entendu parler du « Beau-Site sud-ouest » à Saint-Sauveur: il est aussi appelé le « Saint-Sauveur », « Les Hauts », ou encore le « Mont Saint-Laurent ». L'Eneco Tour, épreuve professionnelle de fin d'année, y passe régulièrement. Voici son profil : http://www.climbbybike.com/climb.asp?Col=Beau-Site-Sud-Ouest&qryMountainID=137 La zone la plus pentue est marquée en rouge, et comme par hasard c'est celle qui est pavée… Cliquez sur le profil pour vous rendre compte des pourcentages moyens, et admirez les photos de la butte, qui donne une bonne idée de la pente.
  21. Exact, pour ceux qui ont plus de force dans les jambes que moi, le triple permet des dentures plus resserrées, et c'est très appréciable. Mais pour ma part, je combine triple plateau et méga-cassette (11-32). Les mini-développements de type VTT sont ceux qui me conviennent le mieux, que ce soit dans les collines belges où je vis maintenant, ou bien dans mes montagnes grenobloises d'origine. Et j'apprécie d'avoir un plateau suffisamment grand pour descendre confortablement ! 😄
  22. Merci, mais je connaissais. Leur cassette 12-32 m'intéresserait bien quand je passerai au 10 vitesses (j'ai actuellement une cassette 11-32 9 vitesses Shimano venue du VTT) mais que je sache le groupe Apex ne peut pas avoir de petit plateau de 26 dents comme le mien… Grosse différence avec leur 34 dents, il me semble. Pour rappel, la denture minimale permise par un pédalier triple route standard, Shimano ou Campagnolo, c'est 24 dents. Sur un double compact route standard, c'est 33 dents. L'Apex est hors-jeu sur ce coup-là.
  23. Chez TA, les plateaux compatibles Shimano et Campagnolo sont très différenciés. Ci-dessous, la table de compatibilité de leurs plateaux avec les différents pédaliers Campagnolo… http://www.specialites-ta.com/TECH-files/Tableaux%20compatibilites%20Campagnolo.pdf Il serait étonnant qu'il n'en soit pas de même chez Stronglight ?
  24. Tiens, oui, je n'avais pas fait attention au nom, mais maintenant que tu l'as précisé je viens de vérifier sur leur site, c'est bien la rue où je suis allé, la Buissestraat : http://www.jowan.be Le gars qui a pu changer la vis coincée dans le serrage, il est à l'extrême gauche sur la photo de la page d'accueil. Tu as déjà eu affaire à eux, apparemment ?
  25. Aujourd'hui comme prévu au programme : la Eddy Merckxroute, le circuit Eddy Merckx. Officiellement 46 km, la première moitié passée à monter et descendre dans les Ardennes flamandes avec le Mont de l'Enclus, le Vieux Kwaremont, le Paterberg et le Hoogberg-Hotond au programme, la deuxième moitié à sinuer dans la plaine de l'Escaut. Pour les curieux, voici une description en anglais mâtiné de français : http://www.crvv.be/fr/tourisme/itineraires/itinerairesdifficiles/EddyMerckx J'ai mis 2 h 20 pour boucler le circuit !!! Ça m'a surpris de mettre autant de temps. Alors qu'il faisait un temps splendide, qu'il n'y avait pas trop de vent (pour une fois) et que je me sentais des ailes. Peut-être qu'il y avait plus que 46 bornes, mais comme je n'ai pas de compteur… Finalement, faudrait peut-être que je m'en installe un, ça m'éviterait de me poser des questions pour pas grand'chose ! Avec les 70 km environ pour aller (à vélo) au début du circuit et en revenir, en tout ça m'a fait presque six heures de sortie, deux pauses d'une demi-heure comprises. La deuxième pause était prévue, pour prendre un thé dans un bar à la fin du circuit. La première pause était absolument hors-programme : avant de commencer le circuit, au pied du Mont de l'Enclus, je veux remonter légèrement ma selle… et CRAC ! Je casse la vis de serrage de la tige de selle ! 🙁 Heureusement, HEUREUSEMENT, il y a un vélociste pas loin, à Kluisbergen, qui est ouvert le dimanche matin ! Il m'a sorti la vis et me l'a remplacée séance tenante. Un grand merci à lui et un gros ouf de soulagement après coup !
×
×
  • Créer...