Franck PASTOR

Des photos spectaculaires de la course dans cet article: http://sporza.be/cm/sporza/wielrennen/1.2283681 Mention spéciale aux photos montrant Rüdiger Selig!

Le super costaud s'appelle donc Jelle Wallays! Pas un inconnu, il avait déjà gagné Paris-Tours l'année dernière.

Cet après-midi, sortie de récupération (?) de 2 h sous une pluie fine constante, et avec des courbatures un peu partout suite à la sortie de lundi. Des douleurs diffuses à l'arrière de la jambe droite et surtout à la cheville gauche, qui se sont estompées après quelques kilomètres, j'espère que ce ne sont que de fausses alertes. À suivre de près… De retour chez moi à temps pour voir les trois derniers kilomètres de Dwars door Vlaanderen, À travers les Flandres. J'ai bien aimé la façon dont Jelle Wallays a surpris ses compagnons d'échappée dans la dernière borne pour gagner la course! 😃

Si je ne devais pas sortir à chaque fois qu'il pleut, ce serait à peu près la moitié de mes sorties qui seraient annulées. En cette saison ce serait même trois ou quatre sorties sur cinq. Donc je sors tout-à-l'heure, et comme je reçois chez moi juste après (des gens pas du tout intéressés par le vélo), pas question de regarder un éventuel enregistrement. Je ne pourrais le voir que demain, et ça va être difficile de ne pas apprendre les résultats d'ici là! 🙁

Je connais tous les bergs et secteurs pavés que tu cites, sans exception, les ayant faits chacun au moins une fois, bien plus pour certains. Ça me fait bizarre de constater que moi, le frêle Grenoblois amoureux des montagnes, je sois devenu un Flandrien aussi assidu… Forcément, j'aimerais bien regarder la course demain, mais c'est ça ou sortir à vélo moi-même, et je préfère encore la deuxième solution 😄

Aujourd'hui, journée libre et sortie d'un peu plus de 4 h dans l'est de Bruxelles, entre Louvain et Overijse, et les bosses de la Flèche brabançonne au programme. La version cyclo est à mon programme le 11 avril (135 bornes), ce serait bien que j'arrive à couvrir au moins 5 h dans la région en une sortie d'ici là, à un bon rythme et sans trop de fatigue. L'anecdote du jour : alors que je m'apprête à grimper le Smeysberg, un mur de 400 m à 18% maxi à Huldenberg, un énorme camion me dépasse et s'attaque à la pente. Présomptueux de la part du chauffeur, que je me dis, vu la taille du poids-lourd et les pourcentages ! Et ce que je voyais arriver arriva, le mastodonte a calé pile dans la portion la plus raide. Il est parvenu à repartir juste au moment où j'allais le rejoindre, et jusqu'au sommet du talus il n'a pas pu me prendre un mètre, alors que mon compteur affichait un bon… 9 km/h. Je me demande ce qui a pris au chauffeur de vouloir passer par là, alors qu'il y avait une route certes plus longue, mais tout aussi large et bien moins pentue qui débutait à peine 500 m plus tôt dans l'accès et arrivait exactement au même point. Encore une histoire de confiance aveugle accordée au GPS, probablement. 😃

Manu Thoreau est mort un peu avant que j'arrive en Belgique, donc je n'ai pas eu droit à son heure de gloire. Mais j'ai quand même vu quelques sketches de «Faux-contact». Puis-je avouer, malgré le risque de lapidation de la part de tous ses nombreux fans, qu'il ne me fait vraiment pas rire? 😳 Moi, ce qui me fait rire dans ce domaine, c'est ça: 😃

Oui, quasiment immédiatement après être arrivé à Bruxelles. La ville est officiellement bilingue français-néerlandais, avec certes le français comme langue prédominante mais les inscriptions, pubs, revues, institutions néerlandophones pullulent et ça m'a donné envie d'apprendre. C'est assez frustrant de constater après coup que les Flamands ne parlent pas en général cette langue entre eux-mêmes. Pour vraiment communiquer avec eux dans leur idiome, apprendre le néerlandais standard n'est que le premier pas, le dialecte local doit venir ensuite: pour cela il faut vraiment s'immerger dans leur monde, et ça je n'ai pas eu à le faire (vivant à Bruxelles même, où l'ancien patois local, un brabançon truffé de mots français, a quasiment disparu). En attendant le néerlandais standard me donne déjà accès aux retransmissions cyclistes télévisées de la télé flamande, de haute qualité à tout point de vue, et là je comprends quasiment tout ce qui se dit! 🆒

Ik ben het er volkomen mee eens! (je suis entièrement d'accord) 😃 On ne sait jamais, si Aurélien est vraiment intéressé : pour apprendre de façon autonome et à son rythme: http://fr.assimil.com/methodes/le-neerlandais Notez que la langue officielle de la Flandre, le néerlandais, est surtout la langue de l'enseignement, de la culture et des médias. Dans la vie de tous les jours les Flamands (et les Néerlandais) parlent en priorité leurs dialectes, qui diffèrent sensiblement du néerlandais standard, et qui varient énormément de province en province, voire de village en village. De plus en plus de Flamands ne maîtrisant pas à fond le néerlandais standard se rabattent sur une mixture néerlandais-dialecte local. Ils appellent ça la «langue intermédiaire» (tussentaal) Dans le Brabant flamand et dans la province d'Anvers, la zone la plus peuplée de Flandre où on parle les dialectes dits brabançons, il paraît que c'est de plus en plus répandu. Les puristes de la langue néerlandaise s'en arrachent les cheveux! Pour ma part, que ce soit les dialectes ou la tussentaal, dès que mon interlocuteur sort du néerlandais standard c'est toujours du chinois pour moi. Pour me débrouiller à ce niveau il faudrait que je déménage en Flandre et que je parle quotidiennement avec les gens du cru.

Je serai dans les environs de Grenoble la première quinzaine d'août, mais j'espère plutôt faire ce challenge-ci: http://www.velo101.com/forum/voirsujet/pour-les-cyclistes-du-38-challenge-de-grimpeur--28965 Corsé, mais dans un autre genre: là ce sont les pentes qui jouent le rôle d'épouvantail et non la distance ou la dénivelée.

C'est le métier de Flandrien qui rentre ! 😃 Moi j'ai toujours aimé le Paterberg et contrairement au Koppenberg il ne m'a jamais fait peur… quand le temps est sec. S'il pleut et que les pavés sont humides, c'est la patinoire comme sur tous les murs pavés. Ce qui me plait dans le Paterberg, comme dans le Koppenberg c'est justement leur pente : mes tout petits braquets dignes d'un VTT y donnent leur pleine mesure et j'y laisse souvent sur place des costauds qui eux sont à la traine, voire à pied à cause de braquets inadaptés. 😆 J'ai l'habitude de passer dans la rigole du Paterberg, ça ne me pose pas de problème de conscience, juste un problème de contorsion du fait de buissons qui à certains endroits débordent vers la sente. Mais parfois la rigole n'est pas praticable (déchets, boue, etc.) et alors je passe sur les pavés, qui sont je trouve en bon état. Le Oude Kwaremont, c'est autre chose à ce niveau… La différence entre le Paterberg et le Koppenberg, outre leur longueur différente (Koppenberg nettement plus long), c'est que le Paterberg est un tracé ouvert au milieu des champs, avec la partie la plus pentue bien en évidence, tandis que le Koppenberg est en partie en chemin creux, avec la partie la plus pentue escamotée dans l'ombre. Quand on ne connait pas, on se demande ce qui nous attend là tapi sournoisement dans le noir ! 😲

La boisson phare d'Overstims serait plutôt Hydrixir Antioxydant aujourd'hui, et non plus Hydrixir tout court dont la formule n'est plus mise à jour depuis une éternité, or c'est cette dernière qui est testée.

Sortie de 2 h 30 cet après-midi à l'est de Bruxelles, par un temps très couvert, froid, venteux, mais sec. Les routes sont tout aussi sèches, ça change agréablement (et la transmission dit merci). Quelques bosses dont une conséquente, le Smeysberg. En haut de chaque bosse, un petit sprint. Pas trop mauvaises sensations, mais je suis encore loin d'avoir la caisse pour faire ce genre de mur à fond.

Oui, mais je n'ai plus intérêt à avoir le moindre pépin si je veux être suffisamment en forme pour tenir la distance. C'est le parcours moyen que j'ai prévu de faire, mais 151 km c'est déjà un sacré morceau si tôt dans la saison, surtout dans les Ardennes!

Pour ma part sauf catastrophe je serai à Grenoble du 12 avril au soir jusqu'au 19 avril au matin (soyons précis que diable), avec le vélo. Tu seras revenu de l'autre bout du monde à cette moment-là? Le moyeu a été «retapé» avant-hier. Apparemment le vélociste s'est contenté de resserrer les roulements avec les outils idoines (que je n'ai pas encore). Plus de jeu, mais le roulement est nettement moins fluide évidemment.

3 h de sortie aujourd'hui après 15 jours d'arrêt forcé, cause boulot d'abord et roue arrière patraque ensuite. Je crois que je vais m'acheter une paire de roues de rechange, au cas où… Temps très couvert, sans pluie, mais froid… 7° dehors, alors qu'il y a quelques jours ça dépassait les 15° (quand je ne pouvais pas sortir, bien sûr 📢). Sensations mauvaises. Aucun tonus. En plus, je n'ai pas encore pu retrouver ma position précise après le changement de selle d'il y a un mois. Le retard pris va être difficile à rattraper.

Avant d'incliner le bec de selle vers le bas, il faudrait peut-être se demander si la position du cintre n'est pas trop basse. Un cintre trop bas fait que la pression sur le périnée augmente notablement. Quand je vois un vélo avec le bec de selle qui pointe carrément vers le cadre, et avec en plus les cocottes qui sont relevées façon cornes de vaches (et j'en vois de plus en plus souvent), je me dis que le cycliste qui roule avec aurait bien besoin de revoir sa position à l'avant…

Des "clacs", oui. Des claques, je n'en ai plus pris depuis que je suis devenu adulte. (Désolé, pas pu résister 😃)

Y en a décidément beaucoup ici qui ont la chance de pouvoir rouler au sec en hiver… Veinards, je vous hais! Ici en Belgique (Bruxelles et environs), jusqu'à il y a deux semaines environ c'était routes humides, boueuses et sablonneuses en permanence. Et ce depuis décembre. On peut donc oublier les cires comme lubrifiant. Déjà un moyeu arrière hors service comme résultat de ce traitement, et une chaîne, pourtant nettoyée à fond et lubrifiée après chaque sortie, qui montre déjà les premiers signes d'usure après… 800 bornes. 😢

Pour la prochaine fois, d'accord. Mais là, je suis déjà en retard sur ma préparation pour Tilff-Bastogne-Tilff fin mai, je préfère donc ne pas tenter le diable et aggraver la situation par des erreurs de débutant (comme j'en fais chaque fois ou presque que je commence à bricoler telle ou telle chose sur mon vélo — je casse toujours deux ou trois trucs avant de réussir à avoir la main!) Merci pour le schéma éclaté du moyeu!

Ma patte de dérailleur n'est pas démontable, cela vient donc bien de la roue…

Il y a quelques années c'était ma roue libre qui avait lâché à cette période. Rebelote l'année dernière d'ailleurs, mais en août, après les déluges du Géant des Ardennes. Arf, nos belles routes belges font décidément le bonheur des mécaniciens vélo… Je n'ai pas les outils dont tu parles (clés ultra-plates, clés à cône), il va falloir que je m'y mette un jour…

Le moyeu est un Shimano Tiagra, de deux ou trois ans d'âge, je ne sais plus. Et je n'ai aucune idée de s'il s'agit de roulements classiques ou à contact oblique (je ne sais même pas la différence). Je n'ose pas démonter moi-même pour vérifier: je suis un gaucher qui, lorsqu'il s'agit de bricoler quoi que ce soit, a deux mains droites… Je me débrouille quand même pour certaines choses, mais les roulement sont terra incognita pour moi 😳 Je vais donc suivre le conseil de Daniel : ne pas rouler comme ça. Et je vais emmener mon vélo (ou plutôt ma roue) à réparer dès que possible. Merci !

Hier après-midi, voulant faire un tour à vélo de retour du boulot, je me prépare, vérifie la bécane et je m'aperçois que la roue arrière a pris un jeu latéral impressionnant : quand je saisis le pneu et tente de le déplacer vers la gauche ou vers la droite il y a un jeu de chaque côté de l'ordre de plusieurs millimètres (la jante vient buter contre les patins). Ça m'a tellement surpris que j'ai préféré ne pas sortir, au cas où… Je pense aux roulements dans les moyeux qui seraient trop desserrés, mais y a-t-il un autre diagnostic possible? Et est-ce dangereux de rouler malgré ça, sachant que je n'ai pas les outils pour y remédier et que j'aimerais plutôt emmener mon vélo à réparer en début de semaine prochaine que dans les jours qui viennent?

Ça ne changerait rien du tout. Les sanctions de suspension n'ont jamais été aussi sévères, ça n'empêche pas le dopage de continuer à prospérer, la preuve. La seule chose qui semble faire effet, ce sont les vraies actions judiciaires, les descentes de flics/gendarmes. Et encore. Ça calme un peu le délire dopant pour repartir de plus belle par la suite. Tant qu'il y aura compétition, au sens où on l'entend actuellement, il y aura dopage. http://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/albert-jacquard-je-suis-absolument-contre-la-competition-mais-pour-l-emulation_1374900.html