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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Pas de moi jusqu'à ce que tu en parles, mais Bruxelles est quand même loin d'Aywaille à l'échelle belge.
  2. Il faut croire que les concepteurs de ces engins n'imaginent pas qu'on puisse les utiliser sous une pluie intense ! D'ailleurs la liste s'allonge des équipements de mon vélo qu'une bonne séance de pluie m'a fait mettre à la poubelle: deux sacoches de selle (dont l'une malgré une protection), deux roues libres, une collection de chambres à air, un compteur… Pendant la Flèche brabançonne cyclo, mon compteur de vitesse actuel (un Specialized modèle filaire) s'est mis à débloquer complètement pendant une bonne demi-heure, après deux heures de pluie. En pleine côte il indiquait des vitesses du genre 30 km/h et des cadences de 200 tours/minutes… J'ai compris pourquoi en retirant le compteur de son support, lors d'un arrêt: l'eau s'était glissée entre ce support et le compteur, sur les contacts. J'ai essuyé, et suis reparti sans qu'il redébloque, la pluie ayant cessé peu après. Il a remis ça brièvement hier dans le faux-plat descendant entre Stoumont et Remouchamps: tout-à-coup et pendant cinq minutes j'étais censé rouler à 45 km/h alors que d'après mes braquets je ne devais pas être à plus de 30 km/h… Bizarrement la cadence de pédalage, elle, était correcte. Mêmes causes (l'eau infiltrée entre le support et le compteur), même remède (essuyer cette eau). Là aussi il a cessé de pleuvoir juste après.
  3. Je devrais en être, sur le grand parcours de 210 bornes j'espère. Sinon, sur celui de 170. NB : pour l'encyclopédie Cotacol, c'est une variante du «col» d'Haussire, à la Roche-en-Ardenne, qui serait l'ascension la plus exigeante de Belgique. 😛 Moi je ne me prononce pas sur ce débat.
  4. Je plaide les torts partagés, vu nos heures de départ assez proches tu m'as probablement doublé vers Aywaille sans me reconnaître, et moi comme d'habitude à vélo j'essayais de faire abstraction des fusées qui me dépassaient. 🆒 Pour ma part, j'ai trouvé le ravitaillement au pied du Hornay un moindre mal par rapport à l'année dernière, quand ils l'avaient placé au pied de… la Redoute. Ç'avait été super dur de «mettre en route» au début de la côte… 😬 Pour info, ils ont mis les vidéos en ligne sur le site. J'ai pu voir les miennes en tout cas, à la même adresse que les temps du parcours. Je suis facile à reconnaître, je suis le type qui mouline un max, comme d'habitude! http://www.sport.be/lblcyclo/2015/fr/mypage/?bibnumber=7520
  5. Quelques idées qui me passent par la tête: Tu as crevé des deux pneus à la fois (vu le nombre faramineux de cyclistes avec roue à plat que j'ai croisés, ça me vient tout de suite à l'esprit) et tu n'avais qu'une chambre à air de rechange. Tu t'es perdu en cours de route: genre tu t'es retrouvé à Luxembourg au lieu de Bastogne. 😃 Une âme charitable a bien voulu t'embarquer en voiture jusqu'à rejoindre le parcours. Tu as fait une chute dans la descente de Wanne ou du Stockeu malgré nos conseils avisés de prudence 😛, et heureusement seulement cassé du matos.
  6. croyez-moi, vous n'allez pas croire... Faudrait savoir:on doit te croire ou pas? 😃 Sérieusement, j'espère que rien de grave ne t'est arrivé pour ton premier LBL!
  7. Je viens de remettre la main sur mes temps de l'édition 2014, où j'avais fait aussi la moyenne distance. Petit comparatif:Côte du Rosier. 2014: 19:22. 2015: 19:11.Côte de la Redoute. 2014: 10:31, 2015: 9:58.Côte de la Roche-aux-faucons. 2014: 10:04, 2015: 9:50.Côte de Saint-Nicolas. 2014: 7:29, 2015: 7:52. Bref des temps un peu meilleurs partout, sauf pour Saint-Nicolas. En y repensant, c'est vrai que je commençais à être un peu fatigué 😇 Mais globalement c'est encourageant pour la suite de la saison, qui ne fait que commencer 😄
  8. J'ai aussi fait le 156 bornes (161 d'après compteur) comme prévu aujourd'hui, mais beaucoup moins vite que Thierry : 21,4 km/h de moyenne en décomptant les pauses. Je n'ai pas beaucoup de kilomètres au compteur depuis le début de l'année (un peu moins de 2000, il me semble), mais même si j'en avais, atteindre le 25 km/h de moyenne sur une épreuve pareille serait pour moi un exploit sans précédent! 😃 Départ à 8 h 20 pour ma part, pour un retour à 16h30, donc 8 h 10 de balade dont 7h30 sur le vélo environ. Alternance de bruine et pluie battante pendant plus de 100 km, jusqu'au pied de la Redoute à peu près, et puis retour du temps sec. Comme quoi les miracles existent! À part cela, cela a été une journée sans histoire, ni incident. J'ai fait tout le parcours à mon rythme de sénateur, en piquant parfois quelques accélérations en haut des côtes. Je n'ai pas vu d'accident, mais par contre une incroyable série de cyclos sur le bas-côté pour cause de crevaison. Les pneus deviendraient-ils globalement plus fragiles? À propos des descentes : ce qui m'a surpris, moi, c'est la grande crispation de beaucoup de cyclos dès que les descentes devenaient un peu sinueuses. Alors beaucoup se mettaient carrément au milieu de la route faisant fi du trafic, buste droit comme un i, mains sur les cocottes(!!), prenant même les virages à droite bien trop largement. Peut-être des Flamands ou des Néerlandais trop habitués à leurs Plat Pays et qui auraient grand besoin d'un stage d'apprentissage des techniques de descente! Mes temps d'ascension, pour ceux que ça intéresse. Ils doivent probablement faire partie du bas du tableau, n'ayant fait «la course» avec certains que vers les sommets. http://www.sport.be/lblcyclo/2015/fr/mypage/?bibnumber=7520
  9. Je mets toujours une couche de graisse sur le filetage de mes pédales avant de les monter, sur le conseil d'un de mes anciens vélocistes. Graissage que je renouvelle tous les ans. Ça m'a peut-être évité ce genre de problèmes.
  10. À partir de la côte de Wanne, la succession des côtes sévères sera tellement rapide qu'un abri derrière d'autres cyclistes ne te servira à peu près à rien, sauf dans la longue transition (20 bornes environ) entre le Rosier et le pied de la Redoute. C'est donc surtout avant qu'il faudra chercher à t'économiser… Attention d'ailleurs à ne pas suivre certains fous furieux qui entament les côtes à fond pour finir à l'agonie en haut. C'est une tactique surprenante et pourtant répandue qui m'avait frappé l'année dernière.
  11. Aucune idée parce que pour moi c'est exactement le contraire! Quand je vais en montagne, j'ai tendance à trouver ma selle trop basse, et donc à la remonter de quelques millimètres. Et quand je reviens en Belgique, mes sensation me la font baisser à nouveau.
  12. Côte de la Roche-en Ardenne : longue, peu pentue, roulante, un boulevard. On passe sans encombre. La seule difficulté peut venir du trafic éventuel. Côte de Saint-Roch, à Houffalize : le premier mur de Liège-Bastogne-Liège, digne du Stockeu et de la Redoute. Une borne d'ascension très rude et pittoresque s'extrayant du centre de la ville pour la dominer à la fin. Les 7 premiers hectomètres sont à 10% minimum et à 15% maxi (pointe à 20%) c'est dire si le «tout à gauche» sera de rigueur. Mais comme elle vient au milieu du parcours, ça devrait passer encore facilement. Attention à ne pas s'y griller en se mettant dans le rouge, les difficultés ne font que commencer… La côte de Wanne : la seule de la liste que je n'ai jamais faite, je n'ai grimpé que sur ses variantes (Spineux, Aisomont)… et sa descente (Wanneraval — attention, dangereuse!). Apparemment un «morceau» d'après Cotacol : maxi 13%, 2200m, 7,6% de moyenne. Bien moins pentu que Saint-Roch donc mais bien plus long. Doit se passer à l'économie, les plats de résistance viennent juste après. Après avoir descendu Wanneranval, vous allez arriver à Stavelot… et tourner sec à droite sans transition pour grimper le Stockeu. Le Stockeu donc : le deuxième mur de la journée, dont vous grimperez malheureusement une version raccourcie, donc une borne d'ascension comme Saint-Roch, et légèrement plus pentue : hectomètres à mini 12% et maxi 17%. Arrivés à la stèle Merckx, au lieu de continuer à droite l'ascension vous bifurquez dans une descente raide et dangereuse comme l'a averti Michel. Prudence! En bas de la descente, vous revenez au pont sur l'Amblève qui était le pied du Stockeu, et vous entrez dans une sévère zone pavée en montée (ravitaillement à l'Abbaye de Stavelot). En sortant du ravitaillement, retour dans la zone pavée qui grimpe pour s'extraire du centre de Stavelot et commencer la Haute-Levée, en sortant des pavés : une borne régulière à 10% environ, suivi de 2,5 bornes moins pentus mais casse-pattes. Route dangereuse, surtout au début, à cause du trafic et d'une berme centrale qui réduit fortement l'espace disponible aux voitures et aux camions pour doubler les cyclistes… J'espère que les bénévoles pourront parer au problème. Col du Rosier : la plus longue côte de la journée, et la plus chouette d'un point de vue touristique je trouve, où la forêt alterne avec les champs. Un vrai petit col de moyenne montagne, 4,5 km d'ascension globalement peu pentue (5,7% de moyenne), sauf un bref passage au début. Mais après la trilogie de Stavelot, la fatigue a toutes les chances de s'y faire sentir… À Tilff-Bastogne-Tilff l'année dernière c'est là que j'avais dû abandonner, perclus de crampes de la tête aux pieds, je n'avais jamais connu ça… La côte de Saint-Nicolas : une belle bosse en pleine ville, globalement pentue mais pas un mur, très régulière cependant. Et comme elle est en fin de parcours, elle fera mal, sauf jour de grâce. Enfin, ne surtout pas négliger toutes les côtes non répertoriées, au moins aussi nombreuses que les répertoriées, et qui usent le cycliste sans qu'il s'en rende compte… la plus fameuse étant la montée finale, à Ans, peu pentue, mais longue et qui fait terriblement souffrir si on est au bout du rouleau… Demandez à Nibali qui s'y est fait déposer par Iglinskii en 2012 sous la flamme rouge.
  13. ? Qu'est-ce qui t'es arrivé? J'ai loupé un épisode là…
  14. Tant mieux. Si tu changes de disque, on te rendra la pareille.
  15. Avec les longues cannes qu'il a, ça ne m'étonne pas! Je ne pense pas m'arrêter en cours de route cette fois-ci, sauf aux ravitos, et encore seulement si j'ai besoin d'eau. J'ai toujours du mal à repartir ensuite. J'ai horreur notamment de grimper «à froid» (soit dit en passant j'espère qu'ils ne vont pas placer le dernier ravito juste au pied de la Redoute comme l'année dernière 📢). Par contre il y a toutes les chances que je repasse dans la région dans le courant du mois qui vient, dans ma préparation pour Tilff-Bastogne-Tilff. Je te ferai signe, sans faute!
  16. Comme je compte partir tôt, seul, à mon rythme pépère et pour le 156 bornes, tu vas peut-être me doubler en cours de route. Si un des cyclistes que tu doubles est fin comme une trique avec un vélo et un maillot bleus (ou un imper jaune vu les averses annoncées…), l'air pas plus frais que toi (quelques troubles de santé pas trop méchants ces derniers jours) et mouline pas mal, il y a des chances que ce soit moi. Bonne chance pour ton baptême ardennais!
  17. L'IRM prévoit plus des épisodes d'averses (pouvant être orageuses) qu'une pluie continuelle. Je ne sais pas si c'est plus optimiste… «Durant le week-end, nous serons sous l'influence de courants maritimes instables de secteur sud-ouest. Les périodes nuageuses seront alors fréquentes avec des épisodes d'averses pouvant localement être accompagnées d'un coup de tonnerre. Les maxima seront compris entre 12 ou 13 degrés sur les hauteurs de l'Ardenne et localement 19 degrés en plaine. »
  18. Peut-être, mais alors le moins que l'on puisse dire c'est qu'il ne se renouvelle pas beaucoup. Pendant des mois il a parsemé le fil «Votre sortie du jour 2014» de compte-rendus fantaisistes du même genre. À la longue ça finit par lasser.
  19. Hé bien, tu es blindé! Ou alors il y avait moins de vent en Hainaut hier qu'en Brabant. Il m'a proprement gelé hier, ce vent! Bon, je dois dire que le vent est ce que je supporte le moins bien parmi les aléas climatiques. Je n'ai jamais pu vraiment m'y faire. Je ne serai jamais un vrai Belge de ce côté! 🙁
  20. C'est le parcours médian qui fait 156 bornes. Le petit fait 75 km, ce qui sur un tel parcours est déjà pas mal pour ceux, et il y en a beaucoup, qui ne ressortent le vélo qu'au printemps.
  21. De retour à Bruxelles. Dernière sortie avant le Liège-Bastogne-Liège challenge de samedi, 2 h 30 dans la banlieue sud de Bruxelles à faire des accélérations dans les bosses. Sensations bonnes malgré des jambes un peu lourdes. Un vent de nord-est fort et glacial pour la saison. Rien que lui justifiait la tenue longue, et ce malgré un soleil radieux et une température autour de 15°.
  22. Oui, là tu ne devrais pas trouver beaucoup de plat, avec les côtes des bords de Meuse et le Condroz casse-pattes voisin (au sud d'Andenne). Attention au vent d'ailleurs, il s'ajoute aux difficultés de ces côtes du Condroz où il n'y a souvent aucun abri.
  23. Il fallait s'y attendre : le grand prix de l'Escaut sillonne la province d'Anvers qui est presque parfaitement plate. L'Encyclopédie Cotacol des côtes de Belgique ne recense qu'une seule côte dans cette province, à Heist-op-den-Berg, à la lisière du Brabant flamand, et en mentionne une autre juste à côté à Beerzel. Ce seraient rigoureusement les seuls «monticules» de la province.
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