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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. La dernière chaîne que j'ai changée, record battu: c'était après seulement 900 bornes que l'outil Var a indiqué que la chaîne était usée. Après un bon paquet de sorties sur routes détrempées et donc pleines de boue sablonneuse venant des bas-côtés (champs cultivés), je précise. J'ai comparé les longueurs de la chaîne neuve et de l'ancienne: effectivement il y avait une différence d'1/3-1/2-maillon. En 900 bornes. Et pourtant je nettoie après chaque sortie. 🙁 Les routes brabançonnes en hiver et début de printemps ne valent décidément rien aux chaînes de vélo… Ces dernières semaines, c'était plus ou moins sec par contre: on verra si la chaîne neuve tient nettement plus longtemps.
  2. Le problème n'est pas de se priver de viande, le problème serait de se priver de toute source animale de protéines. Je n'ai jamais vu qu'un régime végétarien (sans viande ni poisson mais avec œufs et produits laitiers) posait des problèmes de santé, par contre les régimes végétaliens (aucun aliment de source animale) font débat, c'est le moins que l'on puisse dire!
  3. Je ne sais pas, n'ayant pas fait cette randonnée. Jacques nous en dira peut-être plus. Mais les Pays-Bas sont réellement impressionnants de platitude. À part dans l'extrême sud du Pays, dans les collines du Limbourg (le cadre de l'Amstel Gold Race), qui préfigure les Ardennes belges, c'est difficile d'y trouver le moindre ressaut de terrain. Ceci dit, le vent compense pas mal l'absence de dénivellation…
  4. Welkom in Nederland!
  5. Végétarien n'est pas pas végétalien. Dans les deux cas tu ne consommes plus ni viande ni poisson, mais le végétarien admet néanmoins la consommation d'œufs et de produits laitiers, tandis que le végétalien les refuse par principe, ainsi que toute alimentation d'origine animale. L'homme étant omnivore de nature, un régime végétalien doit être surveillé de très, très près.
  6. Moi à 10° en maillot sans manches ni manchettes, mes dents jouent aux castagnettes… 😬 On voit la différence entre un vrai Belge et un Français importé (à moitié d'origine espagnole, ce qui n'arrange rien à la chose 😃). Par contre, je supporte bien la chaleur en général, mais pas les grosses variations de température d'une journée à l'autre, ou pire, dans la même journée. Sortir par 30° constants à l'ombre ne me pose pas de problème, mais passer de 10° à 30° lors d'une même sortie, ou l'inverse, bof bof. C'est un problème auquel je dois faire attention en montagne, notamment.
  7. Rectification: d'après MatosVélo (et Vélo101), c'est un braquet de 58/14 que Wiggins aurait utilisé, donc une cadence de 104,5 tours par minutes, dans la norme du record de l'heure. Donc s'il prévoyait une cadence de 108 comme l'affirmait les commentateurs d'Eurosport, il a peut-être eu plus de difficultés que prévu pendant sa tentative. http://www.matosvelo.fr/index.php?post/1520/un-record-de-l-heure-porte-a-54526-kilometres-pour-wiggins 58 dents au plateau, ça reste très conséquent…
  8. À 15° moi j'ai la tenue longue! 😲 Je suis très, très frileux, ceci dit. Samedi à la Grinta (22°) c'était la première fois de l'année que je mettais le maillot à manches courtes. Et encore, j'ai gardé le coupe-vent par-dessus jusqu'au premier ravitaillement…
  9. Confirmation de ce que rapportait Guillaume, Wiggins utilisait un braquet de 64/16, soit le même rapport (4) qu'un 56/14 ou un 52/13. C'est plus petit que ses prédécesseurs depuis Voigt (55/14), sauf peut-être Dowsett dont je n'ai pas pu savoir le braquet. Si on suppose un diamètre de roue de 2.1 m, ça lui faisait une cadence élevée, 108 tours/minutes environ. D'habitude les cadences des records sont entre 100 et 105 tours/minutes, mais cette cadence de 108 était celle que Wiggins avait prévu de maintenir, ont dit les commentateurs d'Eurosport. Il a vraiment tout maîtrisé du début à la fin! La taille exceptionnelle du plateau pourrait relancer les débats sur l'intérêt d'un plateau plus grand pour un braquet équivalent… 😇
  10. Tu es peut-être tout simplement parti avant moi! La prochaine fois que l'on prend part à la même cyclo, j'essaierai d'arriver plus tôt sur place (la veille du Challenge j'avais dû me coucher à minuit… et me lever à 5h30 pour pouvoir arriver à 8 h 00, et c'était tout juste suffisant pour ne pas être zombie…), comme ça on pourra peut-être se voir au moins au départ.
  11. L'album-photo d'André Tignon (une figure du cyclotourisme à Tournai) consacré au Grinta Challenge de cet année commence à se constituer! Première partie déjà en ligne, la suite arrivera bientôt. http://tignon.andre.free.fr/report.php?id=1786 Le grand parcours d'hier faisait 2200 m de dénivellation, nous dit-il. Pas mal!
  12. Tu as un bon moteur, en tout cas bien meilleur que le mien, pour pour faire 28 km/h en roulant seul sur un tel parcours! On a eu de la chance avec le temps, il fallait en profiter. Je me souviens d'une édition, en 2012 je crois, plus que détrempée! L'année dernière aussi, paraît-il, mais je n'y étais pas. J'essaie d'y participer chaque année, mais ce n'est pas toujours possible à cause de mes contraintes familiales ou professionnelles. En passant, je viens de relire mon compte-rendu et je me rends compte de mes fautes de grammaire, d'orthographe et diverses coquilles, ça fait peur… Par exemple, «Et puis le versant nord de la «Croisette»: non, on n'est pas à Cannes, mais à Saint-Sauveau»… C'était Saint-Sauveur bien sûr. 😳
  13. Parle pour toi. Moi c'est la pub sur Eurosport pendant la tentative qui m'a fait ch… 📢
  14. Oui, c'est bien la taille du plateau qui m'impressionne, pas la grandeur du braquet. Je me demande d'ailleurs si ce ne serait pas un record dans le record, s'il l'utilise. De mémoire, Francesco Moser a utilisé un plateau de ce genre pour un de ses records, mais je ne sais plus sa taille.
  15. Houla, un 64 dents possible! Et des méga-plateaux dans les trois cas de toutes façons. Tu peux nous citer ta source?
  16. Hier, j'ai passé ma journée dans le nord de la province belge du Hainaut, à parcourir à vélo le « Pays des Collines » dans le cadre du Grinta Challenge, pour ma quatrième participation à cette épreuve. http://www.sport.be/cyclingtour/grintachallenge/2015/fr/ Le Pays des Collines, c'est en fait est la même région géologique, mais dans sa partie wallonne, que les fameuses «Ardennes flamandes» parcourues par les cyclistes du Tour des Flandres. C'est donc une région de collines, courtes (maxi 150 m de haut et 120 m de dénivellation) mais souvent raides… et nombreuses, ce qui rend tout parcours cycliste dans le coin très exigeant. Pour le Grinta Challenge, basé à Tournai, on avait cette année le choix entre quatre parcours, pas moins: 69, 113, 157 et 173 km. Le plus couru a été le 113 (un tiers des participants). Pour ma part, je me suis lancé sur le grand, le 173 donc (distance qui sera d'ailleurs confirmée par mon compteur). 21 difficultés répertoriées au programme. Le départ de ce grand parcours est libre de 7 h 30 à 9 h 30: comme la plupart des événements cyclistes de Belgique, le Grinta Challenge est une randonnée non chronométrée, pas une course. Chacun le fait à son rythme donc… même si beaucoup de participants s'y donnent à fond! Parti de Bruxelles en voiture avec le vélo dans le coffre, j'arrive à Tournai vers 8 h 00. Se garer dans la zone «Tournai Expo» où a lieu le départ prend pas mal de temps, les bénévoles sont visiblement débordés par l'afflux de voitures à cette heure-là. Si bien que je prends le vélo à 8 h 30 seulement. Il fait un temps magnifique, un peu frisquet le matin, mais ça va se réchauffer assez vite jusqu'à dépasser les 20°: idéal pour le vélo. Par contre, on aura à composer avec un vent d'ouest assez fort. Et des routes souvent dans un état «limite» mais comme partout ailleurs ou presque dans ce pays… 😕 La première difficulté (et la 21ème et dernière aussi, mais par l'autre versant) est le «col» de la Croix-Jubaru, à… 99 m d'altitude, à l'ombre du Mont Saint-Aubert nettement plus haut (145 m) mais où on n'ira pas. Peu pentu, roulant, c'est juste pour s'échauffer. Ensuite on traverse un plateau peu vallonné d'une quinzaine de kilomètres avant d'arriver dans la chaîne de collines du mont de l'Enclus, à la frontière linguistique Wallonie-Flandre. Les participants du 69 et du 113 km bifurquent dans cette plaine, et n'auront donc pas à escalader les deux difficultés suivantes: d'abord la «Verte Voie», la bien nommée, avec en plus un point de vue magnifque au sommet) puis redescente à toute allure sur le même versant par le Horlitin pour affronter dans la foulée, toujours dans le mont de l'Enclus, un classique des courses flamandes: la côte de Trieu, ou Knokteberg pour les Flamands. Un départ en douceur mais une pente devenant bien raide dans les derniers mètres. http://www.sport.be/cyclingtour/grintachallenge/2015/fr/ Au sommet, on est en Flandre. Pas pour longtemps, puisqu'on redescend aussitôt sur le plateau qu'on venait de quitter, pour parcourir quelques courtes bosses, dont une répertoriée: la Drève du Callois, une sorte d'allée royale en ligne droite juste en face du très beau château d'Anvaing: http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_d'Anvaing Et puis c'est le premier ravitaillement, à Frasnes-lez-Anvaing, le centre névralgique du Pays des Collines. À partir de là les difficultés vont s'enchaîner, sans guère de répit. À peine le ravitaillement quitté, les participants du 69 km retournent déjà vers Tournai. Les autres attaquent le versant sud de la côte de la Croisette, très raide dans son final, puis redescendent vers les alentours de Frasnes pour rechercher la côte appelée «Saule pendu», une des rares ascensions pavées de la région. Mais, surprise! cette côte est fermée à la circulation aujourd'hui, si bien que l'on doit faire un détour vers sa variante bitumée, qui aboutit au même endroit, juste au-dessus de l'autoroute Bruxelles-Lille. On est alors sur le territoire de la commune d'Ath. Une descente rapide nous amène au pied du Mont de Mainvault, où je vois pour la première fois des cyclistes zigzaguer dans la dernière partie, la plus raide. À nouveau une bonne descente, et une courte transition avant un autre «morceau», à Œudeghien: la côte de Bousée, très irrégulière avec , qui envoie encore plus de cyclistes dans des zigzags dangereux dans ses 200 derniers mètres à 12-15%. Pour ma part, je commence à me sentir des ailes et sur mon 26/34 d'apparence si ridicule je redépasse un grand nombre de cyclistes qui m'avaient doublés juste avant. La longue descente de la côte de l'Escalette qui suit presque immédiatement est un répit bienvenu, mais trompeur, car juste en bas va nous cueillir à froid la principale difficulté du jour: la côte des Papins, ou Rossignol, à Frasnes. http://www.climbbybike.com/NL/beklimming.asp?Col=Le-Rossignol&qryMountainID=818 Ça remonte direct sur 600 m très pentus, avec notamment un long passage à 16%, où je vois des cyclistes mettre pied à terre, puis une très courte redescente suivi des 300 m finaux à 5% qui achèvent le cycliste présomptueux. Mon mini-braquet me permet à nouveau de dépasser pas mal de monde. J'ai le temps d'échanger quelques mots avec un Anversois qui se rend compte à ses dépens du contraste douloureux entre ce «Pays des collines» et sa propre région («plate comme une crêpe», dixit). Au sommet, à nouveau une bifurcation: les participants du 113 km, les plus nombreux, tournent à gauche vers le Grinquier, tandis que les 157 et les 173 km vont à droite pour rallonger le plaisir, sur une portion d'une dizaine de kilomètres peu vallonnés, vers Lahamaide puis Flobecq, où se trouve le deuxième ravitaillement. Et ça repart, mais pas pareil pour les deux parcours, puisque ceux du 157 km n'auront pas à s'attaquer aux 3 difficultés qui attendent ceux du 173: ils bifurqueront juste avant. D'abord deux murs Flobecquois pas piqués des vers, Hurdumont et les Plachettes, sans aucune transition plate entre les deux. Mes bonnes sensations se confirment et ils ne me posent pas de problème. http://www.climbbybike.com/fr/ascension.asp?Col=Hurdumont&qryMountainID=696 http://www.climbbybike.com/fr/ascension.asp?Col=Les-Planchettes&qryMountainID=882 Ensuite une courte excursion en Flandre, à Brakel, pour grimper le «Lobbe», pas très pentu mais assez long et très champêtre, avant de revenir en Wallonie, à Flobecq à nouveau puis Ellezelles, pour rejoindre le parcours du 157 km via une série pénible de casse-pattes non répertoriés (Lumen, Quenau…). Le compteur affiche 110 bornes et quelques, et mes jambes commencent à devenir lourdes. Les difficultés répertoriées à Ellezelles, Haizette et Cinquant, longues mais peu pentues, je les avale à l'économie, sachant que de plus gros morceaux m'attendent bientôt. D'Ellezelles, on passe brièvement à nouveau en Flandre, à Renaix, à la faveur d'une descente rapide et dangereuse, pour repasser directement en Wallonie, à Saint-Sauveur, à la faveur d'une longue côte appelée bizarrement «l'Arabie», qui mène en direction du hameau des Hauts par une route étroite en pleine forêt. (Soit dit en passant, c'est dommage qu'ils ne nous aient pas fait passer par un autre versans du même mont, qui est la plus forte difficulté de toute la région et du Hainaut: le Beau-site sud-ouest, ou Mont Saint-Laurent. Grégory Ruysschaert connaît bien notamment, il sait que ce n'est pas à faire en grand plateau! 😉) http://www.climbbybike.com/fr/ascension.asp?Col=Beau-Site-Sud-Ouest&qryMountainID=137 Après l'Arabie, où je commence à ressentir les effets avant-coureurs d'une crampe à la cuisse droite, on retrouve le parcours du 113 km et c'est le versant sud du Grinquier qui s'annonce: une montée en «escalier» délicate à gérer où mes sensations de crampes se confirment 😕 sans être encore trop gênantes. Et puis le versant nord de la «Croisette»: non, on n'est pas à Cannes, mais à Saint-Sauveau, et c'est une montée longue et peu raide, faite pour les rouleurs, passée sans encombre (ma crampe s'est fait oublier) et même assez rapidement: le 3e et dernier ravitaillement est juste en bas de la descente qui suit, au même endroit que le tout premier, ça motive! Il est 15 h environ quand j'y arrive. On n'y est pas très nombreux: la plupart des participants, qui ont opté pour les distances plus courtes, sont déjà passés. Il reste la partie la plus pénible à faire pour moi: le retour à Tournai, direction ouest, et donc contre mon pire ennemi: le vent. Par chance je me retrouve à faire cette partie en compagnie de deux dames flamandes, d'une cinquantaine d'années apparemment mais particulièrement fringantes, notamment sur le plat: elles enroulent toutes les deux des braquets énormes et je dois m'accrocher pour les suivre. Heureusement pour mon orgueil, c'est à mon tour de les remorquer lorsque ça grimpe. On avale ainsi les quatre dernières difficultés répertoriées (en plus de divers casse-pattes qui ne le sont pas) : le mini-mur du Trou Robin à Montrœul-au-Bois, les courtes côtes de Relambu à Beclers et celle de Saint-Pierre à Mourcourt. Et juste après, se présente le dessert de la sortie: la côte de la Croix-Jubaru à nouveau, mais versant nord. Et là, ma crampe à la cuisse droite, en sommeil depuis le Grinquier, se déclare cette fois-ci dans toute son ampleur. 😬 Je dois m'accrocher pour ne pas descendre de vélo pendant les 1300 m d'ascension pourtant peu pentus, mais j'y parviens, avec mes deux compagnes de route juste derrière moi, qui doivent se demander pourquoi mon pédalage est devenu aussi heurté. Mais le sommet est vite arrivé, et après c'est presque fini : encore la descente où ma crampe disparaît après un temps de pédalage relâché, et quelques trois-quatre kilomètres de plat (entrecoupé d'une montée de pont d'autoroute, sans crampe, ouf) pour retrouver le point de départ à Tournai Expo! Il est un peu moins de 17 h. Bilan chiffré : 173 bornes en 7 h 50 de vélo (ravitaillements décomptés), à 22,2 km/h de moyenne, ce qui est d'un niveau correct pour moi qui ai roulé la plupart du temps seul, vu la distance et le côté vallonné du parcours. Une cadence de pédalage moyenne de 89 tours/minutes, signe que mes jambes ont bien tourné. Vitesse maximale de 65 km/h, atteinte il me semble dans la descente du Hurdumont. Bref, une bonne partie de manivelles, et un bon souvenir pour cette année cycliste! 😄
  17. Tu ne dois pas beaucoup apprécier les courses contre la montre en général… Quant au «semi-inconnus», ils ne le sont plus, justement grâce à leurs records. Preuve que si ça ne n'intéresse pas toi, il y a quand même un public réceptif à ce type d'effort. 😛
  18. Le Grinta Challenge aujourd'hui, à Tournai, dans le «Pays des Collines» hennuyer. http://www.sport.be/cyclingtour/grintachallenge/2015/fr/nieuws/article.html?Article_ID=730995 J'ai opté pour le grand parcours, soit 173 km et 21 difficultés répertoriées. Le tout bouclé en 7 h 50 minutes en décomptant les trois ravitaillements (8 h 30 environ ravitaillements compris), soit 22,2 km/h en vitesse moyenne, avec une cadence moyenne de 89 tours de pédalier par minute. Soleil radieux, température idéale (22°), cadre magnifique. Seuls bémols, mais prévisibles, un vent d'ouest assez fort et l'état général des routes, comme d'hab en Belgique. Excellentes sensations, sauf à la toute fin où j'ai dû faire avec une crampe à la cuisse droite, qui heureusement ne m'a pas forcé à m'arrêter. Si j'ai le temps demain, j'en ferai un rapport plus détaillé!
  19. Non. La dernière fois pour moi c'était en 96 et l'état de la route n'était déjà pas reluisant. Mais ça ne s'est pas amélioré du tout depuis, paraît-t-il. Pour ne rien arranger, une partie conséquente de ce versant est interdite à tout véhicule, y compris les vélos. Avec amende salée à la clé pour les contrevenants. On en a déjà parlé ici l'année dernière: http://www.velo101.com/forum/voirsujet/juste-une-a-suffit--28144/page:2 Franchement, à moins d'aimer se faire des frayeurs, mieux vaut abandonner l'idée de passer par le versant Saint-Laurent-du-Pont…
  20. Si tu envisages de faire le Mont Saint-Aubert lors du Grinta Challenge, sache que malgré ce qui semble mentionné dans le parcours, on ne passera pas par le Mont Saint-Aubert (145m d'altitude), mais par le «col» de la Croix-Jubaru (99 m d'altitude) un peu en contrebas. Ceci dit tu peux éventuellement faire le détour vers le véritable sommet en cul-de-sac du mont Saint-Aubert si tu n'est pas pressé. Ça rajoute environ 600 m de grimpette, mais nettement plus pentus (maxi 12%) que ceux de la Croix-Jubaru.
  21. Oui, avec des températures montant jusqu'à 30° à l'ombre ce samedi! Soit le double de celles de ce lundi! 😲 Pas de transition, on passe d'un temps froid à la quasi-canicule en moins d'une semaine. J'aime bien la chaleur, mais pas quand elle me tombe dessus d'un coup comme ça. Pour ceux qui font une cyclo ce week-end comme moi, gare à la déshydratation, aux crampes… et aux coups de soleil. Va falloir boire, boire et encore boire… et il faudra en plus que je me tartine de crème solaire si je ne veux pas ressembler à une tomate trop mûre à l'arrivée.
  22. L'incontournable pour les Lillois, c'est le mont Saint-Aubert à Tournai, à 25-30 km du centre de Lille. Plus de 120 m de dénivelée, ça n'a l'air de rien mais on ne trouve pas mieux dans tout le nord de la Belgique (Flandre, Hainaut, Brabant wallon), et je ne crois pas qu'il y ait mieux non plus dans le département du Nord français, en tout cas au voisinage de Lille.
  23. 120 bornes au sud de Bruxelles ce matin: Beersel, Hal, Ittre, Braine-le-château, Ronquières… où j'ai joué au toboggan avec les nombreuses bosses du coin: côte d'Alsemberg, Krabosstraat, Krekelenberg, Charly-des-Bois, côte de Combreuil, chemin du Crac, côte Sainte-Croix, Bruine Put (les deux versants), etc. Tenue longue de rigueur pour le frileux que je suis, et c'est sacrément frustrant pour un premier juin. Il faisait certainement moins de 10° ce matin à mon départ, et pas plus de 15° ensuite. Temps sec, mais comme il avait plu à seaux la veille, les routes étaient dégueulasses par endroits, surtout dans les sous-bois. Pas mal de vent aussi, mais supportable. Bonnes sensations dans les bosses, avec généralement un pignon de mieux que lors de mon dernier passage.
  24. Oui, c'est bien ce que je pensais, ce sont bien les ischio-jambiers qui sont en jeu ici.
  25. Ce ne sont pas plutôt l'arrière de la cuisse, les ischio-jambiers qui requièrent un certain angle de fermeture du genou pour travailler de façon optimale? Il ne me semble pas qu'un angle très ouvert gêne le travail du quadriceps, au contraire. Selon certains principes de position, du moment qu'on se déhanche pour pédaler, même (et surtout) en plein effort, c'est que la selle serait trop haute pour soi. Mais d'autres ne sont pas d'accord, comme Daniel Proust. Pour ma part, à en croire les gens qui me regardent pédaler, je me suis toujours déhanché sur ma selle, sans que ça me gêne. Je dois dire que j'ai une jambe plus courte que l'autre (1 cm d'inégalité au squelette) et une légère scoliose, ce qui doit accentuer le phénomène.
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