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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Merci Jacques. Pour cette histoire de moyenne, je vais finir par me faire une raison. Je crois que ce qui me manque le plus pour ça, outre la volonté de «taper dedans» sur le plat (je réserve ça aux côtes, spontanément), c'est de rouler en groupe. C'est quelque chose que je n'arrive pas à faire longtemps. Soit le rythme est trop élevé pour moi et je n'arrive pas à suivre longtemps, soit je prends peur, avec les écarts et les prises de risque de ceux qui me précèdent, et je décroche volontairement. Et quand je vois l'allure supersonique à laquelle des gens que je laisse sur place en montée ou en descente me dépassent sur du plat ou du faux-plat, bien calés au creux d'un groupe, je me dis que je manque quelque chose et que je devrais surmonter mes craintes. Mais je ne suis pas sûr que ça suffise à me sortir de mes habitudes bien ancrées de cycliste solitaire.
  2. Quand on voit son palmarès, on ne voit pas vraiment de trou : https://en.wikipedia.org/wiki/Philippe_Gilbert En fait c'est plutôt un énorme pic, en 2011, qui fait juger le reste moins important. Alors que chaque année depuis 2008, malgré des contre-performances il arrive à en claquer au moins une belle, sauf en 2013 (seulement une étape du Tour d'Espagne). Par exemple, l'année dernière, où il a dû faire une croix sur ses courses de printemps du fait d'une fracture à la main, par sa faute (il avait voulu se faire justice sur un chauffard). À son retour aux affaires, hop, champion de Belgique sur route. Avant la blessure, il avait remporté le Tour de Murcie.
  3. Merci tout le monde ! Aujourd'hui c'est sûr, je suis en pleine récupération, c'est-à-dire que j'en f… pas une ce dimanche. 🆒 Hier soir en rentrant j'ai remis le vélo en état, autant que je pouvais. Outre la transmission à nettoyer et lubrifier à fond, il y avait les freins et les pneumatiques à inspecter, et j'ai découvert un bel éclat de verre fiché dans le pneu avant… heureusement qu'ils sont solides ces Schwalbe Durano plus ! Il y a eu d'ailleurs un bon paquet de participants sur le bas-côté avec un pneu à plat, comme souvent dans ces conditions climatiques. Vous voulez tester vos pneus ? Venez rouler en Belgique, un jour de pluie de préférence ! 😃 J'en ai profité pour regraisser la tige de selle. Je le fais deux fois par an, systématiquement, en hiver et en été, mais là vu la douche d'hier, j'ai préféré assurer. J'avais déjà graissé la potence (à plongeur) la semaine dernière, je me suis dit (à tort?) que ce n'était quand même pas la peine de le refaire si tôt.
  4. D'après les commentateurs de la chaîne flamande VRT, ce n'est pas Benoot qui a sauté, mais sa chaîne. 🙁
  5. Quasiment tous les favoris prévoient une arrivée au sprint en groupe plus ou moins grand, et malheureusement pour lui Naesen n'est pas le meilleur sprinter du lot. Mais si je me trompe, tant mieux, il mérite d'en gagner une belle ! Je vois plutôt Matthews ou Valverde, deux puncheurs qui passent parfaitement les bosses… et savent s'économiser le plus possible jusqu'à l'emballage final.
  6. Sinon, surpris que le Knokteberg / Trieu soit repris au parcours (tout comme à la Grinta), Si j'ai bonne mémoire c'était déjà le cas il y a deux ans, lors de ma dernière participation à la Grinta. Ce n'est pas moi qui m'en plaindrai, j'adore cette côte ! Ce que vous rapportez de cette «Bois de la Houppe» la rend bien intéressante, en tout cas. À part le vent et l'état des routes bien sûr, mais par rapport au Brabant ça ne me changera guère… Promis, j'y penserai pour l'année prochaine.
  7. Flèche brabançonne cyclo bouclée hier donc. 183 km au total, puisqu'aux 130 km environ de la randonnée proprement dite, j'ai ajouté l'aller-retour à vélo vers le lieu de départ/arrivée. Départ de chez moi à 7 h 25, par un temps très nuageux n'annonçant rien de bon. Après avoir atteint Tervuren, je suis la N3 jusqu'à Heverlee et de là je rejoins le Sporthal, où se trouve le départ. Formalités d'inscription bouclées, je me lance dans un périple brabançon qui va s'avérer mémorable ! Pas de bol, il s'est mis à pleuvoir, comme prévu par la météo. Une pluie fine et persistante, de celle qu'on ne sent guère mais qui finit quand même par vous tremper à la longue. Quant au vent, de secteur ouest, il soufflait déjà comme il soufflera toute la journée. Et lors de la première partie, il est globalement défavorable. Ambiance flahute donc ! Traversée de la banlieue ouest de Louvain : Heverlee, Bertem, Neerijse, Leefdal, Duisburg… Je connais bien cette zone, et le parcours choisi par l'organisateur, à travers des chemins bucoliques et panoramiques, serait très attrayant s'il ne faisait pas ce temps exécrable. Surtout, certains passages sont devenus de véritables parcours de cyclo-cross avec la boue sablonneuse des champs environnants qui a complètement recouvert la route. Et ça c'est mortel pour la transmisssion ! La chaîne se met à couiner en permanence, le câble du dérailleur arrière s'encrasse (j'ai du mal à descendre les vitesses à partir des grands pignons) et le dérailleur avant se grippe. Lors d'un ravitaillement j'arriverai à modifier le réglage pour garantir le passage correct au petit plateau de mon triple, mais le passage sur le grand deviendra lui carrément impossible vers la fin de la rando. Après Duisburg, on rejoint Huldenberg et on attaque la première sérieuse difficulté du jour, en fait la plus difficile : le Smeysberg. Je me suis toujours demandé pourquoi ce talus de 600 m à 7 % de moyenne mais dont 300 m font 14%, 16% et 14% respectivement, n'est pas emprunté par le circuit final de la course pro. Peut-être parce que les pros renâclent à l'escalader quatre fois ? En tout cas, certains devant moi doivent mettre pied à terre, et moi qui la connais par cœur je l'avale sans trop de problème sur mon 26/34. En haut on rejoint ce circuit final de la Flèche brabançonne cyclo : cinq bosses à parcourir entre Huldenberg et Overijse. D'abord la IJskelderlaan, 400 m à 7 % de moyenne, maxi 11 %. Premier ravito au sommet, où la pluie redouble d'intensité, transformant l'endroit en véritable champ de boue, un de plus. 🙁 Puis, après une belle descente avec épingle à cheveux (si, ça existe au nord de la Belgique !) sur la N4 vers le centre d'Overijse, survient le Schavei, 700 m à 6 % avec un passage à 12 % (sur les 300 m du début en fait, le reste étant du faux plat), chronométré par l'organisateur. Je viens de voir mon classement sur le site : 542e temps sur 1509 temps relevés, pas si mal pour mon niveau ! 🆒 Suit la Hagaard, la deuxième côte la plus dure en valeur absolue après le Smeysberg, mais courte : 300 m entre 10 % et 14 %. Au pied de cette bosse, j'ai commencé à avoir du mal à passer le petit plateau, et ce sera le cas jusqu'au deuxième ravitaillement, où je procèderai au réglage dont j'ai parlé. Mais passons : la Hertstraat, difficulté suivante, est avalée sans problème, de même que la Holstheide, 3 km plus loin. La forme n'est pas trop mauvaise puisque je rattrape souvent d'autres cyclos dans ces bosses. Par contre, je me fais doubler par tout le monde sur le plat, comme d'habitude… Un peu après la Holstheide, le petit parcours et le grand se scindent. Pendant que le petit parcours de 70 km retourne directement à Heverlee, le grand se dirige vers le Brabant wallon, et moi avec donc. Et ce, vent dans le dos, ce qui est plutôt bienvenu, d'autant que la pluie se raréfie. Encore une belle bosse au passage, la rue de Pécrot à… Pécrot, avalée sans problème, suivie d'une trentaine de kilomètres sans dénivellation notable le long des villages de Nethen, Hamme-Mille, Tourinnes-la-Grosse (pittoresque église perchée sur une mini-colline, au centre d'une minuscule placette pavée) et Beauvechain. Entre-temps on a quitté la vallée de la Dyle pour la Hesbaye : des champs de culture à perte de vue sur des collines ondoyantes et généralement très peu escarpées. Le temps s'est dégagé maintenant, la pluie s'arrête enfin définitivement et le deuxième ravito, à Kumtich, près de Tienen (Tirlemont) est bienvenu après déjà 90 km sur le parcours (115 pour moi). Au passage on est revenu en Brabant flamand. Malheureusement, quand on repart, c'est vers l'est et donc pour affronter un vent généralement défavorable. Qui plus est, on quitte assez vite la Hesbaye pour entrer dans la banlieue est de Louvain, ce qui signifie un paysage très urbanisé et donc peu attrayant. Particulièrement les routes sont en très mauvais état (qui a dit ici que les routes flamandes sont en bon état par rapport aux routes wallonnes ???), avec quelques secteurs pavés pour «pimenter» la chose. Traversée des communes de Boutersem, Lubbeek, Bierbeek, Oud-Heverlee… Le parcours reste vallonné, mais les côtes sont peu difficiles, à part une bizarrement non répertoriée, le Pellenberg, à Lubbeek, qui doit bien faire 8%-10 % sur 300 m. À Oud-Heverlee nous attend la dernière butte répertoriée du parcours, la Korbeekdamstraat, courte, 300 m à tout casser, mais avec un curieux profil en escalier, dont les marches sont très relevées, la dernière doit facilement dépasser les 15%. En tout cas, étant maintenant bien crevé, je dois mettre tout à gauche pour passer cette dernière marche ! C'est presque terminé. Le parcours nous fait faire un détour curieux nous faisant passer par un immense cimetière (!) flanqué d'une très rébarbative caserne militaire (!!) avant de nous ramener au Sporthal d'Heverlee. Flèche brabançonne cyclo bouclée, ouf !! 130 km pour le parcours de la cyclo proprement dit, un peu moins de 160 pour moi. L'organisateur a prévu un stand avec jet d'eau pour nettoyer les vélos, il y en a bien besoin ! Les jambes me font bien mal, et il me reste plus qu'a effectuer le retour «at home». 25 km par l'autoroute cycliste Louvain-Bruxelles, trajet plat le long de la ligne de chemin de fer… mais vent en pleine figure bien sûr, puisque c'est une ligne quasiment droite d'est en ouest. Dans mon état, c'est peu dire que j'en bave, je compte les kilomètres un à un. Mais je tiens debout (enfin, assis sur ma selle) et j'arrive chez moi, non mais ! Verdict du compteur : 183 km, 8 h 48 de vélo effectif, soit une moyenne de 20,8 km/h. Pas de quoi pavoiser sur Vélo101 avec ses participants aux moyenne stratosphériques, je sais ! 🤐 Mais vu la distance, mon état de cyclotouriste et les conditions climatiques, je ne trouve pas ça si mal. Cadence de pédalage moyenne de 90 tours/minutes. Temps de sortie complet, pauses comprises : 9 h 50. Bref, une journée bien remplie !
  8. Peut-être le chemin de Château Pilon, plus précisément sa dernière portion avant l'endroit où il rejoint la route principale du col de Porte, un peu au-dessus du «Café des Alpes» et juste avant le col de Vence. Connaissant ma passion pour les raidards, Daniel Hardy me l'a fait découvrir il y a une semaine. Mais à mon avis c'est bien plus de 20 % sur cette portion !
  9. Bedankt ! 😉 Et maintenant, mon prochain défi, c'est de (re)devenir un vrai Hennuyer avec les 200 km de Mons-Chimay-Mons !
  10. D'autant qu'ils ont quasiment le même gabarit. Il paraît que même les supporters néerlandais s'y trompaient, qui encourageaint Jungels en le prenant pour Terpstra l'année dernière (sur l'Amstel, je crois). Heureusement, ils étaient rarement sur les mêmes courses.
  11. Franck PASTOR

    LBL 2017

    Si t'as un petit creux, demande un «routier». C'est comme ça qu'à Liège on appelle ce qui est une «mitraillette» dans le reste de la Belgique francophone: une moitié de baguette fourrée de frites et de viande (le plus souvent une fricadelle) avec la sauce de ton choix. Si après ça tu as encore faim… 😃
  12. J'ai fait sauter mon compteur aujourd'hui : 183 km. Dont les 130 km de la Flèche Brabançonne cyclo, les 53 km restants représentant le trajet aller-retour pour rejoindre le site du départ et de l'arrivée à partir de chez moi, trajet que j'ai fait à vélo également. Un peu cuit au retour chez moi (euphémisme). D'autant que comme prévu la météo n'a pas été folichonne (euphémisme bis). Les détails dans la rubrique dédiée, section «cyclosport», dès que possible !
  13. Franck PASTOR

    LBL 2017

    Hélà, rien ne dit que c'est 20 % sur seulement 5 mètres ! C'est peut-être 10 m, 20 m, voire 50 m… Mais pas 100 m, certes. Ça fait partie de la démarche de l'encyclopédie Cotacol : pour chaque ascension les mesureurs repéraient la portion de minimum 5 m de la côte où la pente est la plus rude, et ils y mesurent la pente. Ils appellent ça le «pourcentage maximal», à distinguer du «pourcentage supérieur» qui est le plus grand pourcentage hectométrique. Donc, suivant le profil de la côte à l'endroit du pourcentage maximal (profil régulier ou non), cette portion de 5 m peut être plus longue… Et toc! 😛 Bon, c'est vrai que ce pourcentage maximal est intéressant surtout quand il est nettement plus grand que le pourcentage supérieur (en supposant qu'il se trouve dans l'hectomètre du pourcentage supérieur, ce qui n'est pas systématique). Ce n'est pas le cas de la Ferme Libert.
  14. Franck PASTOR

    LBL 2017

    On parlait de la Ferme Libert plus haut, la nouveauté de cette année. Je ne l'ai pas encore grimpée non plus mais j'ai les pourcentages hectométriques de la bête sous les yeux (encyclopédie Cotacol): 10-9-14-13-16-18-16-13-4-15-13-12-2 avec un maximum à 20 % sur cinq mètres. C'est en moyenne aussi pentu, mais plus long et plus irrégulier que la partie du Stockeu empruntée habituellement par LBL (le 1er kilomètre). Et surtout, ça vient après 200 bornes. Un conseil, les amis, ménagez-vous avant et ne lésinez pas sur vos petits braquets…
  15. Franck PASTOR

    LBL 2017

    Je suis de l'avis d'Éric, d'après ce que tu as laissé voir ici tu sembles prêt pour boucler Liège-Bastogne-Liège longue distance sans trop de difficultés. Je plussoie Jérémie également: prends soin d'en garder sous la pédale en permanence, y compris et surtout dans les côtes, au moins jusqu'à Vielsalm. Lors de Tilff-Bastogne-Tilff en 2014, j'ai fait justement l'erreur de trop en faire dans cette zone-clé Bastogne-Vielsalm, en plus, sans doute, de ne pas boire assez. J'ai dû abandonner au pied du Rosier, perclus de crampes des pieds jusqu'à la mâchoire…
  16. Pas besoin, je connais. Le Gauquier est une côte que je pourrais passer sur le plateau médian de mon triple. Le commun des mortels (cyclistes) peut donc la passer sur la plaque ! 😃
  17. Demain aura lieu la version cyclo de la semi-classique «Flèche brabançonne», sous forme de randonnée sans classement. Départ et arrivée à Heverlee, juste au sud de Leuven (Louvain). Deux parcours: 70 km et 130 km. Cadre : le Brabant comme son nom l'indique, notamment les vallée de la Dyle et de l'Ijse, grosso modo dans la zone située entre les communes de Leuven, Tervuren, Overijse et Tienen (Tirlemont). https://bpl.proximuscyclingchallenge.be/fr L'inscription se fait en ligne jusqu'à ce soir, et coûte 10 euros pour les non-licenciés, 8 euros pour les licenciés. Sur place, ce sera respectivement 12 euros et 10 euros. Le grand parcours est assez attrayant et vallonné, surtout dans sa première moitié. Ensuite c'est nettement plus plat, avec le retour de quelques bossses sur la fin. https://bpl.proximuscyclingchallenge.be/fr/track/135-km Pour ceux qui aiment faire la course, le Schavei, la côte d'arrivée à Overijse de la Flèche brabançonne professionnelle, sera chronométré. La prudence est requise, surtout aux croisements, car c'est une région densément peuplée. Et elle est truffée de routes de toute taille et de toute sorte, avec les divers revêtements faisant le «charme» des routes belges : asphalte parfois bien dégradé, routes de béton rugueuses aux plaques disjointes, secteurs pavés… quoique, ces derniers pas trop nombreux (pied de la Ijskelderlaan, Hertstraat, centre de Beauvechain). Prévisions météo peu réjouissantes : la pluie est prévue en matinée, et un vent de force 3 ou 4 sera de mise toute la journée. À partir de Beauvechain, aux deux-tiers du parcours, on l'aura généralement en plein dans le pif. Une sortie pour Flandrien, quoi ! 🆒
  18. La Verte Voie au-dessus d'Amougies n'est pas une terreur mais pas négligeable non plus, et quel point de vue au sommet ! J'aimais bien y monter mais par l'autre côté de préférence (Horlitin). J'étais au bois de la Houppe proprement dit il y a trois semaines, pour la Fabian Cancellara Classic, mais je n'y serai pas cette fois. En bon Brabançon d'adoption c'est la Flèche brabançonne cyclo qui m'occupera ce samedi (128 km).
  19. Pas de Flèche brabançonne cyclo pour toi ce samedi alors ? Ça se comprend, remarque, la météo n'annonce rien de bien folichon : pluie le matin et vent assez fort toute la journée. 🙁 Mais j'y vais quand même, en croisant les doigts pour que ces prévisions soient fausses (ce ne serait pas la première fois dans le coin).
  20. Ill vient de finir 3e de la Flèche brabançonne, et après une campagne flandrienne complètement ratée il se fixe comme dernière occasion de se rattraper l'Amstel Gold Race comme objectif. Bâti comme il est, très fin et les muscles tout en longueur, je le verrais plutôt briller dans les classiques wallonnes, mais apparemment il n'y participera pas.
  21. Mais non, mais non, ce n'est pas trop tard, remonte ton cintre et ça ira beaucoup mieux, tu verras ! 😇 Pas la peine de pousser, je sors ! 😃
  22. Oh, parmi les pros je sais bien qu'il y en a qui sont très sourcilleux sur leur position et la règlent au millimètre près, tandis que d'autres y attachent beaucoup moins d'importance et prennent les cotes que des gens supposés plus qualifiés qu'eux leur disent de prendre. Et toutes les nuances intermédiaires entre ces deux attitudes doivent exister aussi. D'accord pour la hauteur de selle, elle est effectivement moindre aujourd'hui (en général). Pour la descente mains aux cocottes, ce n'est pas recommandé parce que la prise au guidon est beaucoup moins ferme et assurée, particulièrement quand tu freines, et tu cours le risque de lâcher le guidon en cas de choc, comme ça m'est arrivé une fois. Dans une descente à 60 km/h mains aux cocottes, mon vélo a encaissé un nid-de-poule que je n'avais pas vu, je me suis retrouvé la poitrine sur le guidon et les bras pendants. Pas de chute, mais ça m'a fait suffisamment peur pour ne plus recommencer.
  23. Tu devrais utiliser un rétrécisseur de lien (si ça se dit comme ça en français), comme bitly: https://bitly.com Depuis qu'on me l'a recommandé ici-même, je ne peux plus m'en passer. Après un passage par bitly ou assimilé, les liens sont plus courts mais surtout ils sont toujours «clicables» (pas de caractère trop exotique).
  24. On se calme, il n'y a pas mort d'homme. Les pros sont souvent relativement indifférents à leur position, paraît-il, ils lalssent leur staff s'en occuper à leur place. Certains changent radicalement de cotes de position en changeant d'équipe. Et on dirait aujourd'hui qu'à chaque équipe, correspond une philosophie de position différente. Ça me paraît logique qu'un cycliste qui court avec les cocottes très redressées, a un cintre positionné trop bas, qu'il soit pro ou non. En tout cas trop bas pour se servir couramment de la position mains en bas du guidon, qui est de moins en moins fréquemment utilisée. On en voit même descendre les cols mains aux cocottes maintenant (Contador, Meintjes, Nieve…). Parce qu'ils se sentent mieux comme ça, ou parce que leur cintre est trop bas pour eux pour rester longtemps en position mains en bas? Parce que ça, c'est une constante par rapport aux vélos anciens, ça n'a pas pu t'échapper : les cintres (pas les cocottes, hein) sont posés beaucoup, beaucoup plus bas qu'avant. Sans doute avec l'idée de gagner en aérodynamisme. Parallèlement, les directions Headset se sont généralisées, rendant moins facile la personnalisation de la hauteur du cintre. Et maintenant, comme toi, je constate que les cocottes de frein sont elles beaucoup plus redressées qu'avant, y compris chez les pros. Une coïncidence, à ton avis ? Je ne pense pas. Plutôt une forme de compensation.
  25. regarde également les cocottes de freins , elles ont remontées !!!!!!!!!!!!! Ça, ça veut surtout dire que la direction est trop basse. Mais avec la généralisation des potences Headset, bon courage pour la remonter, sauf à changer de potence pour en prendre une plus redressée. Alors on redresse les poignées de frein, c'est plus simple.
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