-
Compteur de contenus
1 030 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
4
Type de contenu
Forums
Galeries photos
Calendrier
Articles
Tout ce qui a été posté par Geoffroy CACHAT
-
Absolument Michel, Pidcock n'a pas cherché à rouler pour distancer Pogacar. Il a roulé peut être un à deux kilomètres puis il ralentit nettement son effort. Il savait pertinemment qu'en continuant aussi fort et tout seul, que le rythme de Pogi, ce diable de slovène serait de toutes façons revenu sur lui, et qu'il aurait par conséquent grillé encore plus de cartouches pour tenter de le suivre dans le final.
-
Christophe Laporte
Geoffroy CACHAT a répondu à un(e) sujet de Serge MASSELOT dans Le peloton professionnel
Pour sûr, puisqu'il n'a pas encore commencé sa saison... Comme une Lotte Kopecky chez les femmes par exemple 😁 -
Granfondo strade bianche
Geoffroy CACHAT a répondu à un(e) sujet de Gilles CARISEZ dans Les évènements route
Je confirme, il ne pouvait en être autrement de se faire quelques frayeurs. Même en anticipant et en voyant au loin que c'était plus foncé et moins tassé sur certains bords. C'est ce qui rend très compréhensible les nombreuses chutes chez les professionnel(le)s, en raison de leur obligation de rouler groupé sur la plus grande largeur possible des chemins. Certaines/certaines passent forcément au mauvais endroit et bien que leur habileté soit au-dessus de la norme, cela ne suffit pas toujours. Belle perf de temps en tout cas pour toi, tu termines pile entre mes comparses. Le secteur 4 était un pur bonheur à rouler oui, le genre de secteur où tu peux passer pour un pro (ou en tout cas toucher un peu plus facilement du doigt leur vitesse de croisière 😄). Pour le dénivelé, je n'étais pas surpris car j'avais déjà vu que les 2000m de l'orga n'étaient pas tout à fait justes. Mais je ne pensais pas qu'il y en avait "autant" en caché. -
Granfondo strade bianche
Geoffroy CACHAT a répondu à un(e) sujet de Gilles CARISEZ dans Les évènements route
Pour être honnête, j'en ai davantage profité la veille avec le temps magnifique que les pros ont eu, en allant, nous, faire la reco et les voir passer. Car plus facile de s'arrêter, prendre des photos et s'extasier. Dimanche, le temps était couvert, et sur les secteurs, les trajectoires idéales sont peu nombreuses. Donc il faut être très vigilant pour prendre en roulant ou alors s'arrêter dans des endroits qui ne craignent pas (le but n'est pas non plus de mettre en danger les autres participants en voulant s'offrir une belle photo). Comme j'avais pu faire de belles photos samedi, pendant la course dimanche, même à mon niveau, j'étais davantage focus sur le terrain sur lequel il faut régulièrement "piloter". Jusqu'à la séparation des parcours (kil 40), l'attention est vraiment permanente, mais c'est la partie qui n'est pas la plus photogénique du grand parcours, qui arrive justement à compter des 40km, en tout cas à mon avis. -
Granfondo strade bianche
Geoffroy CACHAT a répondu à un(e) sujet de Gilles CARISEZ dans Les évènements route
Il Lombardia oui, mais ça fait encore un we loin de femmes et enfants, sauf si j'arrive à les trainer avec moi cette fois-ci 😆 Mais pour Sormano, il me faudra encore me délester de kilos 🤣 -
Granfondo strade bianche
Geoffroy CACHAT a répondu à un(e) sujet de Gilles CARISEZ dans Les évènements route
Idem ! Un point que je n'ai absolument pas mentionné mais que tu fais bien de préciser ! Vittoria Corsa Pro Control en 30mm gonflés à 4 devant et 4,5 derrière Et toi @Sebastienpsffff comment cela s'est passé ? -
Votre sortie du jour 2025
Geoffroy CACHAT a répondu à un(e) sujet de Sylvain KARLE dans L'entrainement et la santé
Dimanche, ce n'était pas aujourd'hui, j'ai participé au Gran Fondo Strade Bianche. C'est vraiment à faire une fois même si cela demande un peu d'entrainement pour le préparer malgré tout. 137,5km/2346m de + en 5h54 temps chrono (5h37 de roulage). Magnifique mais malgré tout usant malgré une distance "courte". -
Granfondo strade bianche
Geoffroy CACHAT a répondu à un(e) sujet de Gilles CARISEZ dans Les évènements route
Le GF Strade Bianche, c'était dimanche ! Vendredi sur la route à 4 du club en minibus pour arriver à Sienne en milieu d'après midi, prendre le race kit, la puce etc et voir la présentation des équipes pros femmes et hommes. Lors de celle-ci, nous avons été étonné de voir à quel point les coureuses et coureurs avaient l'allure juvénile : pour certains hommes malgré une tentative d'arborer une "moustache". Et puis surtout de voir des petits gabarits sauf dans l'équipe Ineos où les anglais sont plus grands. Je sais que nous vieillissons, mais vraiment, ce sont des gamines/gamins. Veille de course : reco et passage des pros, météo ensoleillée et 17°C Après une belle première soirée, nous avons enfourché nos montures pour aller faire une reco "déblocage" et arpenter quelques uns des secteurs clés du lendemain. Le premier est le secteur de San Martino in Grania, secteur 6 de la course féminine (parcours identique pour le Grand Fondo amateurs) : une succession de passages entre 8 et 10% (parfois un peu plus plus), entrecoupée de courtes descentes ou passage moins raides en faux plat. Nous avons attendu quasi au sommet le passage de la course féminine, qui s'était lancée à ce moment là avec un peloton de tête d'environ 40 jeunes femmes (dont Juliette Labous, Evita Muzic, PFP, Dylixine Miermont, Cédrine Kerbaol pour les françaises). La gagnante de jour, Demi Vollering, sans doute victime d'une crevaison ou d'un petit incident technique, pointait à une vingtaine de secondes, mais elle ne paniquait pas, étant très très facile bouche fermée et moulinant légèrement. Cela se voyait qu'elle était dans une forme optimale. Une fois la voiture balais passée, nous avons repris notre chemin en vue de couper vers les deux derniers secteurs, le colle Pinzuto et le Tolfe. Nous avons roulé quelques kilomètres avec Lizzie Deignan de la Lidl Trek (ancienne vainqueur de Paris Roubaix et des championnats du monde), qui bâchait, déjà loin derrière la voiture de fin de course. Mais c'était plutôt sympa. Dans le colle Pinzuto, cela avait complètement explosé chez les filles : un groupe devant avec Evita Muzic, PFP, Mavi Garcia etc... Suivi à 1' par le groupe Labous Vollering. Bref, la fin de la course, vous la connaissez. Mais quelle détresse dans les groupes qui suivaient... Les corps et les tenues abimées, voir des filles à bout de forces comme Elisa Longo Borghini, championne d'Italie, complètement arrêtée alors qu'elle était déjà montée à 5 reprises sur le podium. Ou Cédrine Kerbaol, avec la cuisse droite complètement arrachée, chaires apparentes (et pas d'un peu, video à l'appui) qui se battait encore pour terminer avec un courage qui dépasse franchement ce que certains considèrent comme le professionnalisme. Après le passage des dernières, direction le Tolfe sur le même itinéraire que les concurrentes (ce n'est pas ASO qui permettrait cela 😆) pour s'installer et voir passer deux fois les hommes. Et là le topo est le même, la tête va trop vite, beaucoup trop vite, pour la grande majorité des autres coureurs sur ce genre d'épreuve. Au passage des derniers en course, nous avons emboité le pas (derrière la voiture de sécurité signalant la fin de la course), bientôt rejoints par quelques coureurs ayant abandonné mais rentrant à Sienne au bus sur l'itinéraire. Sympa aussi de rouler avec, pour quelques centaines de mètres au mieux, des Uno X, des Decathlon, des Picnic ou autres... Bilan 60km/1000M de D+ en faisant les secteurs en appuyant aussi fort que je peux être "c**", l'idéal pour être frais le lendemain 🤣 Jour de course : couvert et quelques éclaircies, environ 17°C au plus chaud Retour à l'hôtel au coeur de Sienne, douche et préparation des vélos pour le lendemain, repas et dodo. Nuit pas terrible pour la seconde fois consécutive. Départ à 7h30 pour être dans le sas 5 auquel nous étions affectés. Départ réel à 8h07 pour les Medio et Grand Fondo, un peu plus de 5200 partants. 20 premiers kil très très groupés, sur des routes variées avec quelques petits talus (montées de 1 à 2'), avalés à vive allure (35km/h de moyenne). Plusieurs accrochages à signaler, mais moins dangereux que ce qui nous avait été rapporté par d'anciens participants. Dès le premier secteur en revanche, c'était la gabegie, entre ceux équipés de gravel mais qui n'avancent pas, ceux qui roulent à gauche à deux à l'heure, les bidons au sol à éviter, les pneus ou CAA percées (bon certains cherchent un peu en ayant fait le choix de CAA latex, si si je vous assure...😁). Je me faufile mais la vitesse baisse vite sur ce secteur malgré tout roulant (autour de 27-28km/h). Le deuxième secteur arrive assez vite, et c'est toujours la cohue surtout qu'il est en bonne partie montant avec une pente moyenne autour de 5% dont des passages raides à 15%. Je ne m'affole pas, je double autant que je suis doublé en moulinant le plus possible. Première info très positive : le choix pneumatique et la pression de gonflage sont absolument parfaitement adaptés. Le 3° secteur est montant dans sa première partie, puis faux plat descendant et montant avec un bon coup de cul à 12% sur la fin. Il me fait assez mal et j'ai eu du mal à garder un bon rythme. Les deux longs secteurs suivants (4 et 5) me permettent de remettre du gaz et retrouver un peu mes jambes, avant d'arriver au secteur 6, le premier gros morceau de la journée répertorié au kil 70. Reconnu la veille, il est en trois temps : première montée de 700m environ à 9% de moyenne, suivi d'une courte descente et d'un plat, puis deuxième montée avec les pentes à 12%. Au sommet le premier raivto auquel je m'arrête pour remplir les deux bidons vidés après 3h de course et manger autre chose que ce que j'ai emporté. Et ça repart pour le troisième temps, le final assez raide encore à 12% précédé d'un faux plat montant. Après une descente menée tambour battant (autant en montée je me faisais doubler plus souvent, autant en descente, cela n'a jamais été le cas), longue transition de quasi 25km, en bitume. Et là, je fais rapidement mon calcul : il reste 1000m de D+ à faire avec seulement 4 secteurs dont trois "courts" et raides, et un plus long et raide, en plus de la montée finale via Santa Caterina. Ce qui veut dire qu'elle comporte beaucoup de D+ caché, et c'est effectivement le cas, sur un bitume atroce (franchement, certains secteurs bien secs et tassés étaient meilleurs à rouler). Je suis dans un groupe de 6 qui ne se relaye pas et qui ralentit beaucoup, alors que devant, un mini peloton de 40 est à environ 300m à vue de nez. Deux gars d'un club décident d'y aller, j'emboite, mais après quelques hectomètres, le premier des deux dandine de la tête et je comprends qu'il ne pourra pas boucher le trou, son compère ne passant pas. Qu'importe, je tombe deux dents et me fais un joli petit CLM pendant quelques minutes, pour rejoindre le petit troupeau devant. Je recolle avant une succession de petites bosses que je passe bon gré mal gré avec eux à l'arrachée, payant un peu mon effort solitaire. Je calme le jeu sur la dernière bosse avant de rejoindre le secteur 7 au kil 102 qui est une cuvette (400m de "descente" et 700m de montée plutôt sèche et casse pattes). Courte descente bitumée et montée goudronnée de 2km à 4%, puis ondulations jusqu'au deuxième et dernier ravitaillement (pour ma part, mais le 3° du parcours) au kil 113 en 4h45. Il reste 24km jusqu'à la ligne. Je remange un peu de salé à disposition, je discute avec les bénévoles (toujours très sympathiques mais à cheval sur l'orga), je passe un message à ma femme et mes enfants en leur indiquant que j'en ai encore pour 1h-1h15, les deux derniers morceaux étant les plus difficiles. Après 10 bonnes minutes de pause, je repars directement dans le secteur 8, un "talus" de 500m à 10,5% de moyenne, et ça répond bien 😂. Alors j'enclenche pour le final où je mets tout. A partir de ce passage là, nous avions reconnu la veille l'intégralité du parcours, donc je connais les moindre bosses ou relances à faire. A l'entrée du secteur 9 le colle Pinzuto, je laisse passer une ambulance en ralentissant l'allure et elle file entre les participants. Je mets tout ce que je peux dans les 400m à 15% puis mouline davantage sur la fin du secteur qui est une succession de faux plats montants entrecoupés de quelques petits coup de culs de dizaine de mètres (celui dans lequel Pogcar lâche Pidcock dans la course masculine). Enchainement de bosses (3%) et portions descendantes pour rejoindre le dernier secteur du Tolfe, et là, en fin de parcours, c'est raide, vraiment. Autant la veille au bout de 40 bornes, c'était "facile" autant au bout de 124, ça pique. Je tourne les jambes à 50rpm dans les 400m les plus raides à 12% de moyenne (passage entre 14 et 18% au plus), mais je m'en sors sans crampes. Les derniers 10 kil sont encore une succession de petites descentes, petits talus à passer sur l'élan quand on a encore de la force, mais comme cela sent l'écurie, je relance à tout va et mets ce qu'il faut en watts pour m'amuser. Arrive enfin Sienne et la via Santa Caterina ! Et là, un monde fou dans la rue, qui encourage tous les valeureux encore présents sur le parcours et qui tentent de passer cette dernière montée abrupte à 15% de moyenne sur 200m à vélo. C'est un effort court (moins de 1'45 pour quelqu'un comme moi), punchy, mais magnifique car précédée de 450m alternant 2% à 9% de pente qui mettent déjà un peu dans le rouge. Je fais les 140 premiers mètres en force bien assis sur l'avant de ma selle, et je me mets en danseuse pour les 60 derniers. A ce moment, un participant déclipse, et vient sur moi, et je dois à une spectatrice ayant eu le réflexe de s'écarter la possibilité d'avoir fait l'intégralité sur le vélo, car j'ai du faire un écart pour éviter la chute. Je finis à l'arrache, relance et arpente les trois derniers virages avant de déboucher sur la piazza del campo, bondée, en heureux finisher. 137,5km / 2346m de D+ / 5h54 temps puce. Mais un énorme plaisir à arpenter ces paysages et chemins magiques, bien qu'usants, lessivants. Mes trois copains de club avaient fini bien avant (trois bons coureurs) en 4h30 pour 2 et 4h50 pour l'autre. Je m'étais mis un objectif de 6h si j'étais en bonne condition. Mais avec la reco de la veille et les deux mauvaises nuits, je ne pensais pouvoir parvenir à le tenir. Ayant toutefois bien géré alimentation/boisson et temps forts/"faibles" pendant la course tout en gardant un rythme régulier, j'ai pu le réaliser. Mais ce serait bien plus facile avec des kilos en moins. Pour comparer avec le grand parcours du Tour des Flandres, qui reste ma dernière expérience sur une classique : le Tour des Flandres est certes plus long, mais on roule beaucoup plus longtemps en peloton dans lequel on s'économise. Dans les monts pavés, les ascensions sont souvent plus courtes (pas moins pentues), mais les descentes sont très souvent synonymes de récupération, ce qui est moins le cas lors des Strade Bianche car certaines sont sur chemins blancs. Et il y a beaucoup plus de dénivelé caché dans les Strade que dans les Flandres, ce qui contribue à mon avis à la rendre plus usante. Au final, ces Strade ne sont ni une course flandrienne, ni une ardennaise, bien que de l'avis de coureurs, elle devienne de plus en plus une course de grimpeur/puncheur que de rouleur/grimpeur. Et j'avoue que je partage un peu cet avis, à mon niveau. Voici mon bilan Positif : - Organisation parfaite, à l'italienne (et contrairement à ce que l'on pourrait penser, pas à l'arrache), directive et passionnée. - Bénévoles toujours très agréables, signalétique et signaleurs parfaits, grande variété de produits et boissons disponibles au ravitaillement. - Assistance technique très bien répartie et très nombreuse - Cadre magnifique, historique, faisant la part belle au patrimoine bâti et non bâti - Accessibilité avec les pros - Race kit vraiment intéressant (un maillot et un gilet sans manche coupe-vent mi saison), casquette, deux huiles pour chaines selon conditions etc... - Dolce vita italienne et un super week-end entre copains amoureux de vélo "Négatif" : - Cela fait partie de l'organisation, mais un éventuel départ décalé de quelques minutes entre Medio et Gran Fondo serait à mon sens opportun (cela éviterait quelques attitude "dangereuses") jusqu'à la séparation des parcours. En soi, rien de négatif mais on va dire que cela pourrait être un point d'amélioration. - La préparation matérielle de certains : venir en CAA à latex, en gros gravel sans se servir des facultés permises par ce type de vélos etc... C'est ouvert à tous et il faut le comprendre, mais ce serait plus judicieux d'avoir une vraie course pour les possesseurs de gravel. Je recommande à tous d'aller la cocher et participer une fois. -
monter manivelle shimano durace 12v avex plateaux ultégra 11 v
Geoffroy CACHAT a répondu à un(e) sujet de Jean-Pierre CAZALENS dans La transmission
Bonjour, Je ne sais pas si tu avais été renseigné, mais les deux ne sont pas compatibles. -
tubeless - pneus - danger ?
Geoffroy CACHAT a répondu à un(e) sujet de Olivier DARGE dans Les roues et pneus
Lors KBK, un des coureurs dans le groupe de Wellens (UAE) tentant de rejoindre les échappés à un moment de la course (de mémoire, un Alpecin), a aussi percé de l'avant dans un virage à droite traversant un village. Il était également en tubeless a priori, car lors du ralenti, on pouvait distinguer le liquide de couleur claire qui s'échappait du pneu. Il a réussi à garder le contrôle je ne sais comment... A tous niveaux, ce sont vraiment des as du pilotage, on ne s'en rend pas assez compte en les voyant rouler parfois comme ça à la télévision quand tout va bien... (enfin pour ceux qui n'ont jamais vraiment mis le postérieur sur une selle, et même en le mettant plus souvent du reste). -
tubeless - pneus - danger ?
Geoffroy CACHAT a répondu à un(e) sujet de Olivier DARGE dans Les roues et pneus
J'ai vu cet incident aussi. Les commentateurs parlent des circonstances qui auraient pu favoriser le déjantage. Je retranscris en gros les circonstances et leur point de vue : Les coureurs arrivaient très vite sur un rétrécissement, avec sur la gauche un panneau de signalisation amovible. Le coureur de la Bahrain semble l'avoir vu au dernier moment et, pour l'éviter a du "piler" sur ses freins. Selon les commentateurs, la violence du freinage appuyé aurait pu causer le déjantage. -
Gains marginaux. Au total, pas si marginaux que çà.
Geoffroy CACHAT a répondu à un(e) sujet de Michel ROTH dans Le peloton professionnel
Tu es certain Thierry qu'il pilote une moto ? J'ai cru voir un homme bardé de deux caméras sur un vélo type Scott Foil RC ou Cervelo S5... Mais je peux me tromper. PS : jolie photo de Moto GP de Marc Marquez 😉 -
Gains marginaux. Au total, pas si marginaux que çà.
Geoffroy CACHAT a répondu à un(e) sujet de Michel ROTH dans Le peloton professionnel
Même en sachant qu'il s'agit de Pidcock, que je me doutais que la route était fermée à la circulation, quand j'ai vu l'état poussiéreux de bords de route, je n'ai pas pu m'empêcher de ne pas être tranquille pour lui... Et celui qui le filme pilote pas mal non plus, même si quand tu as un "ouvreur", il est plus facile de se lâcher. Fallait quand même le suivre, le petit asticot grand-breton...😄 -
Concernant Bioracer, je ne peux pas te donner les caractéristiques techniques d'imperméabilité car je ne les ai pas. J'ai cherché un peu mais pas trouvé. La seule chose que je peux t'indiquer avec précision est ce que j'ai effectué des sorties avec et pour lesquelles je n'ai jamais pas été trempé par la pluie. Et la plus marquante est le Tour de Flandres 2023 où nous avons roulé sous une pluie constante (à part 1h de temps) sur les 240km (j'avais, de mémoire, posté quelques photos ici). Je n'ai pas été mouillé à l'intérieur du cuissard et sous la veste coupe-vent imperméable en étant près de 10h sur le vélo. Question taille, pour mes 1,83m et 90-95kg, je prends XL en maillot et XXL pour le coupe-vent imper dans la mesure où je porte très souvent plusieurs épaisseurs. Et cela reste bien ajusté.
-
ROVAL C38 ou SHAMAL carbone ?
Geoffroy CACHAT a répondu à un(e) sujet de Dominique DAVRE dans Le matos
Je ne le disais pas pour généraliser. Il se trouve que pour un gain de poids très marginal, vu qu'il s'agit d'un autre sujet à la mode 😁, l'effet était pour autant bien plus important. Parce que ce sont des roues qui sont meilleures en terme de dynamisme et de qualité d'inertie, dans mon cas. Ainsi, tu pourrais aussi très bien avoir le cas avec une roue un peu plus lourde d'une marque, par rapport à une autre d'une autre marque, et qu'en cela il ne fallait vraiment pas voir le poids comme un handicap. Je ne connais pas les roues Syncros Capital 1.0 en 35mm (je n'ai jamais roulé avec), mais les moyeux sont de qualité équivalente aux DT, et sont des roues plutôt destinées à des parcours montagneux. A priori, elles ont l'air de convenir au programme qui est le tien. Reste à savoir pour le reste : conduite, dynamisme et inertie. Et ça, ne les ayant jamais roulées, je me garderai bien de te conseiller sur ces aspects, malheureusement. -
Puisque tu te rends en Belgique, je me permets de te suggérer une marque que nous utilisons au club, et qui est belge... Bioracer. Ils ont des produits très efficaces contre la pluie, quand on les met (pas comme moi dimanche où je n'avais pas pris la veste pluie, étant donné que la météo n'annonçait que 30' de petite pluie fine en partant le matin 😄). Il y a deux options que je connais et que j'utilise : - La veste, pour conditions fraiches et imperméable : https://shop.bioracer.com/product/tempest-protect-jacket-black/ J'ai aussi un cuissard en cette matière, que j'avais utilisé pour le Tour des Flandres il y a deux ans, déroulé intégralement sous la pluie - Le coupe-vent imperméable (à porter un maillot ML par exemple) : https://shop.bioracer.com/product/epic-rainy-jacket-fluo-orange/ (gamme au dessus que celle que j'utilise au club, avec laquelle j'avais fait le Tour des Flandres aussi sans être mouillé à l'intérieur) ou https://shop.bioracer.com/product/rainy-2-0/ ou https://shop.bioracer.com/product/kaaiman-jacket-fluo-orange/
-
ROVAL C38 ou SHAMAL carbone ?
Geoffroy CACHAT a répondu à un(e) sujet de Dominique DAVRE dans Le matos
Pour te donner un élément de comparaison autre, et un avis autre, si le poids te dérange pour du carbone (bien que Tschopp t'ait déjà dit de ne pas te focaliser dessus et il a bien raison). J'ai un Wilier Garda, vélo pas spécialement léger à la base. Équipé au montage à ma demande de roues alu un peu supérieures à celles prévues : des Fulcrum Racing 3 DB avec des tubeless Pirelli Cinturato Vélo en 28mm à 340gr (l'un). J'ai acquis il y a un mois des roues carbone Campagnolo Shamal Carbon (pas les toutes dernières, celles en C21) montés avec des tubeless Vittoria Corsa Pro Control en 30mm à 325gr (l'un). Poids des roues alu : 1660gr + 680gr de pneus + 80gr de liquide = 2420gr / Poids des roues carbone : 1585gr + 650gr de pneus + 80gr de liquide = 2315gr Soit la bagatelle cumulée immense de 105gr d'écart. Mais, avec l'une ou l'autre paire de roues, je n'ai pas du tout le même vélo, en termes de comportement et d'efficacité, pour seulement 105gr d'écart au total. Pourquoi ? Ce ne sont pourtant que 105gr. La matière des roues, leur conception et leur façon de travailler ensemble avec le vélo procurent un rendement complètement différent et beaucoup plus de facilité et de plaisir à rouler. Et tout ça pour 105gr seulement, soit vraiment rien du tout sur un vélo au poids supérieur à 8kg. Donc à titre personnel, ce n'est pas le poids qui va rendre mon vélo plus agréable, plus dynamique, mais les choix de matériel par rapport à leur propriété en fonction de ce qui est recherché. -
Votre sortie du jour 2025
Geoffroy CACHAT a répondu à un(e) sujet de Sylvain KARLE dans L'entrainement et la santé
Merci. Bravo à toi surtout, car à la différence de ton périple, je n'étais pas tout seul, et cela rend la chose quand même nettement plus facile. Même en prenant très souvent des relais. 😄 -
Hutchinson Black Bird
Geoffroy CACHAT a répondu à un(e) sujet de Pierre PLANA dans Les roues et pneus
J'ai refait une sortie très longue avec hier, sur une route détrempée pendant plus de 60% du temps. Toujours aussi content du rendement et de l'accroche, et même du confort (bien que j'avais pris mon vélo le moins confortable des deux). Gonflés à 5 et 5,5 en 28mm. Mais je peux comprendre que ce ne soit pas forcément un avis qui soit partagé par tous. Les pneumatiques, cela reste aussi assez personnel. 😉 -
A titre personnel, je privilégierai davantage le confort que le rendement sur un périple à vélo de plusieurs jours. Sur une sortie seule, la question ne se pose pas, ce sera le rendement. Mais sur plusieurs jours à vélo, le confort accru peut largement valoir le rendement perdu.
-
Votre sortie du jour 2025
Geoffroy CACHAT a répondu à un(e) sujet de Sylvain KARLE dans L'entrainement et la santé
Bien eu de la chance avec la météo, car ici entre Haute-Savoie et suisse limitrophe pour le tour du lac Léman hier avec des camarades de club, nous avons eu droit à une pluie fine mais bien présente pendant 135km sur les 241 de notre parcours. Et cela est nettement moins agréable 😁 -
Hutchinson Black Bird
Geoffroy CACHAT a répondu à un(e) sujet de Pierre PLANA dans Les roues et pneus
Veux-tu dire que tu les trouves moins confortables que les Pirelli PZero ? Ou "simplement" que tu t'attendais à davantage de confort pour un 30mm haut de gamme ? -
Tour d' Algarve - 1ère étape -Arrivée tourmentée
Geoffroy CACHAT a répondu à un(e) sujet de Jacques VANDEWIELE dans Les évènements route
Et en plus de ça, c'est systématiquement la même arrivée à Lagos, avec la chicane pour prendre à gauche l'arrivée, et avec la voie de dérivation sur la droite pour les voitures de directeurs sportifs, motos etc... Comme De Lie l'a dit, faut être complètement %@!? pour ne pas se rappeler, aussi, qu'en course aucune voiture ou moto ne franchit la ligne d'arrivée. Donc qu'il n'y a pas à les suivre dans les derniers hectomètres. Après pour rendre cela plus simple, comme il s'agit d'une succession de ronds-points, peut être que dès le premier, les coureurs pourraient être "aiguillés" à gauche et ainsi finir en ligne droite, plutôt que de leur faire réaliser ce changement de direction au dernier... -
Réglage manuel DI2 105 12v et croisement de chaîne
Geoffroy CACHAT a répondu à un(e) sujet de Philou14 dans La transmission
C'est tout à fait ça. Il y a encore quelques courses où ils roulent en 26 mais c'est de plus en plus rare. Même chez les sprinters. Quant au confort de roulement, il y a une vraie différence entre un vélo aux anciennes caractéristiques et un vélo moderne, en tout cas pour mon expérience personnelle. J'ai fait trois Paris Roubaix Challenge (le grand de 175km avec tous les secteurs pavés) : le premier et le deuxième avec la même machine (un Peugeot), le troisième avec un vélo carbone moderne (le Wilier Garda). Je n'ai pu que constater le gouffre qui existe entre les deux premières éditions et la troisième. Ma préparation a été peu ou proue la même car à ce moment là de la saison, en vue de cet objectif qui était dans mon premier bloc, j'ai travaillé de façon identique, de la force, de la vélocité et de la PMA pour être le plus puissant possible si j'arrivais à le tenir sur les pavés. J'ai collectionné un nombre très majoritaire de PR sur les secteurs pavés à la troisième participation, et je suis arrivé très frais comparativement aux deux premières éditions. Tout cela en prenant le temps d'accompagner sur les secteurs pavés deux novices complets. Quant au plaisir pris sur le vélo, il a été incroyablement plus présent, car justement l'ensemble du parcours a été roulé sur une machine qui absorbait davantage les chocs et était plus efficace en tous points. La première édition, j'avais roulé en pneus CAA de 25mm, la deuxième édition en pneus CAA de 28mm, et la troisième en pneus tubeless de 28mm. L'écart de confort, et donc de rendement global, lié à la machine et aux pneumatiques est réel. J'invite réellement ceux qui ne peuvent le croire à tester dans ce genre de conditions. -
Pareil que Pierre. J'ai gardé la configuration "normale" avec les palettes G et D pour monter descendre plateaux et pignons. Le bouton sur le haut de la poignée me sert à faire défiler les infos du compteur. Mais il est tout à fait possible de le configurer autrement, voire de l'appairer à autre chose qu'un compteur. (exemple dans ce pas à pas sur le site de Shimano : Visuels changements paramétrage bouton "D-Fly" : là, c'est pour passer d'une fonction de changement de vitesse à un pilotage d'un appareil connecté)